Une Belle Communauté

BÊTA PUBLIQUE

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Mina subit la sodomie des 4 hommes sans aucune pitié, avant d'être retournée pour qu'ils visitent a tout de rôle son vagin déjà bien ouvert par mes pénétrations successives.

De mon cote et sans aucun scrupule, j'ai craqué, j'ai enlevé la culotte de la belle Lisa, je commence a caressait sa belle vulve bien rose, mon sexe se dresse tout seul, je sais le plaisir que je vais prendre avec cette petite vierge. Mais je me ressaisit, je la veux bien réveillée pour la dépuceler, c'est donc dans la bouche de la belle endormie que je m'enfonce. Je jouis rapidement. Je me mêle à mes hommes, je choisis alors de baiser le sexe gluant de sperme de Sandrine.

Lisa se réveille vers les cinq heures du matin, alors que l'orgie continue, tout aussi violente. Je m'approche d'elle :

- Comme ça va ma chérie? Ne t'en fais pas, je vais être ton seul amant, tu es tranquille pour quelques mois, tu auras le temps de t'habituer!

Je lui dis cela vicieusement pendant qu'elle regarde Mina et les autres se faire violer et hurler sous les pénétrations de mes hommes.

Laissant les hommes terminer l'orgie d'alcool et de sexe, j'emmène la belle Lisa dans ma chambre sous le regarde désespéré de Mina, qui sait ce qu'elle va subir. Je n'ai pas eus beaucoup plus de mal a la dépuceler que les autres, même si elle est encore plus étroite. À dix-huit ans, on peux subir n'importe qu'elle taille de bite, même pour une première fois. J'enfonce mon sexe dans son corps sans l'avoir lubrifiée, sans me soucier des hurlements et des pleurs de la belle pucelle.

L'avantage d'une petite bourge comme Lisa, c'est qu'elle ne peux même pas se défendre contre un gars comme moi, habitué à la violence de l'époque. Après quelques gifles, elle doit se contenter de subir. Je connaît donc le plaisir d'un nouveau pucelage de femme, sentant mon sexe encore une fois être le premier dans cet étroit fourreau, cela me fait obtenir une jouissance extraordinaire.

Plusieurs nouvelles fois dans la nuit je me réveille au côté de Lisa, à chaque fois je la pénètre aussitôt, tant j'apprécie son corps ferme, ainsi que sa vulve très serrée. À cause de mon absence de lubrification, son jeune vagin trop étroit pour moi, à vraiment été malmené. Plusieurs petites déchirures sans importance la font saigner à chaque pénétration, lui arrachant des cris supplémentaires qui ne m'empêchent cependant pas de prendre mon plaisir. Bien au contraire. D'ailleurs, le dimanche matin, je ne me prive pas de lui faire connaître les joies de la sodomie. D'un premier enculage, comme d'un troisième d'ailleurs.

Lisa n'a mit qu'un mois pour être enceinte. Quelques jours après que j'ai appris sa grossesse, mes hommes ont trouvés une japonaise de vingt ans. Une vrai merveille. Grande, avec de gros seins, un cul splendide, bref elle est très loin de l'archétype de la femme asiatique petite et plate. La jeune japonaise se prénomme Rin. Dès son arrivée, j'offre Lisa à mes hommes. Je ne drogue pas Rin, je la fais venir dans ma chambre pour un motif fallacieux. Je la viole elle aussi toute la nuit, je ne sais pas pourquoi, mais je suis vraiment violent avec elle. Déchirant son vagin en plusieurs endroits. Le lendemain, au réveil, Rin saigne encore du vagin.

Je l'emmène donc au médecin qui me propose de la recoudre pour éviter toute infection et complication. Ce fut fait sans aucun scrupules pendant que la japonaise est attachée sur la table gynéco bricolée. Il referma à vif les petites déchirures situé dans le vagin de la magnifique asiatique au corps parfait. Je ne sais pas si la douleur est supérieure qu'à celle de son dépucelage, mais c'est de véritables hurlements qu'elle pousse pendant que l'aiguille perce sa petite vulve, pour permettre aux fils de la recoudre.

Bien sur il me fut interdit de pénétrer vaginalement Rin pendant quelques jours, mais je ne veux pas me passer de ma nouvelle maîtresse. Après avoir essayé de la faire sucer bien maladroitement, je décide le soir même de l'enculer.

Ses cris furent largement supérieur a son dépucelage vaginal, de la même intensité que lorsque le docteur l'a recousu. Ainsi je peut prendre mon plaisir entre ses petites fesses régulièrement, le temps que son vagin cicatrise. Une fois que c'est fait, j'ai peux de nouveau prendre Rin. Ma magnifique maîtresse peut donc de nouveau être empalée sur mon sexe dressé.

Au fil du temps la vie s'est réorganisée. Aujourd'hui, deux ans après il semble que plus personne n'existe a part nous. Nous avons bien trouvé quelques autres hommes, et trois femelles de plus, dont deux sublimes black, mais plus personne depuis six mois. Nous sommes maintenant quarante-cinq hommes, vingt-deux femmes et onze enfants. Mais à part la reproduction interne de ma communauté, j'ai bien peur que rien de l'extérieur n'augmente plus celle-ci.

Les femmes perdent peu a peu leur ancien mode de vie. Elles sont maintenant des soumises, des cuisinières et des lingères. Elles sont toutes, à l'entière disposition des hommes, elles doivent se soumettre à tout leurs caprices sexuels sans rien dire.

Rin est tombée enceinte trois mois après son arrivée. Là encore, je l'ai donc mise à la disposition de la communauté, en interdisant tout rapport vaginal jusque à son accouchement. Mais à force de subir des sodomies bien violente, la pauvre asiatique a faillit subir une dilatation que le médecin déconseille fortement. Elle fut donc mise au repos jusqu'à la fin de sa grossesse, les autres durent subir un peu plus de rapport.

J'ai assisté à son accouchement, le premier bébé eurasien de notre communauté. La naissance est une belle chose surtout quand c'est une fille, mais voir le vagin de Rin si ouvert me donne alors des envies sexuelles incroyables. C'est la journée, les hommes sont en patrouille, je suis donc aller chercher la belle Océane, que je n'ai pas baisé depuis presque 8 mois et l'emmène dans ma chambre. Une idée bien perverse tend ma bite.

Elle croit que je vais la baiser normalement, à peine entrée, elle s'allonge cuisses ouvertes, je regardais son vagin qui baille tant il a l'habitude d'être pénétré. Océane est la plus belle fille de notre communauté, donc c'est elle que mes hommes choisissent le plus souvent pour lui faire subir les premiers et derniers outrage.

Me mettant contre elle, je commence à doigter avec un puis deux doigts sans que cela ne la fasse souffrir. Au troisième doigt elle commence à se tortiller me regardant surprise. Quand je joins les 4 doigts elle essaie de se relever mais je lui intime l'ordre de ne pas bouger. Je mets alors les 5 doigts en bout, je pousse sur son vagin. Même si elle est habituée aux grosses pénétrations, la grosseur de mon membre, empêche la progression de ma main, mais je réussis a enfoncer quatre centimètres juste a l'entrée, lui arrachant des gémissements de douleur. Je trouve cette position très excitante, voyant ma main pousser contre son petit sexe. Je me tourne un peu libérant mon sexe, que je lui enfonce dans la bouche, pendant que je continue à pousser ma main avec insistance sans qu'elle ne puisse rentrer.

Je sens les parois de son petit vagin serré autour de mes doigts, mais la grosseur de ma main ne peut aller plus loin, alors je continue mon va et vient limité, et c'est en envoyant tout mon sperme au fond de sa gorge que je me jurais d'arriver a la fister un jour.

Très vite après son accouchement, je reprends mes habitudes avec ma belle Rin, son corps parfait m'excite de plus en plus. Les femelles soumises, ne nous refusent plus rien. On fait souvent se gouiner une mère et sa fille, comme Sandrine avec Océane, ou Sylvie avec Céline ou Laure, voir les trois ensemble.

Malgré mon sexe assez imposant ainsi que ma violence naturelle, j'arrive à enfiler n'importe laquelle des femmes de notre groupe, sans trop les faire pleurer. Même si les grimaces de douleur sont visibles sur leurs visage pendant que mon sexe dilate leurs orifices, la période des cris est hélas terminée, les femmes servent de réceptacles sexuels a tous nos plaisirs pervers sans tabous.

Un jour un des gars propose une soirée particulière qui plut a tout le monde, du moins aux hommes. La fille du samedi. Cette fille sera la seule utilisée par les quarante-cinq hommes pour le week-end complet. La première à subir cette dure échéance fut Sylvie, qui subit le viol des quarante-cinq hommes pendant plus de quarante-huit heures. À la fin, débordante de sperme, le corps couvert de bleus dut à la brutalité des multiples pénétrations, elle mit deux jours pour récupérer. On lui laisse donc ces quarante-huit heures de repos, le temps qu'elle se refasse une santé. Au bout de ce laps de temps, elle fut immédiatement prise par trois hommes en rut, ensemble...

Pas de chance, le deuxième tirage désigne Océane, qui se met a trembler, pour la première fois depuis longtemps, Sandrine essaie de protéger sa fille en proposant de prendre sa place, mais rien n'y fait. La magnifique Océane, dut subir plus d'une centaine de pénétrations journalière pendant le week-end, hurlant et se débattant lorsque plusieurs hommes excités se soulagent dans son corps. Un des hommes propose même de faire une double vaginale, malgré les terrible hurlements de la belle, ils réussirent a enfoncer deux sexes d'une quinzaine de centimètre dans son petit vagin. Lui arrachant des pleurs encore plus nourris. Océane ne se déchire pas lors de ce viol monstrueux, son vagin s'est habitué lentement aux pénétrations hors-norme, il est devenu élastique, acceptant la monstrueuse dilatation, mais dans une douleur inhabituelle. Le lundi matin elle est rendu a sa liberté, souillée, tremblante, hagarde. Je l'emmène prendre sa douche, tenant a peine debout. je la lave longuement, ses orifices sont violets, des différentes pénétrations successives.

Les années passent, j'ai maintenant cinquante ans, mais je suis en pleine forme. Notre communauté qui compte maintenant plus de deux-cent membres, s'est développée avec ses nouvelles règles. Le jour de leurs dix-huit ans, chaque fille doit être offerte à la communauté. Pour éviter qu'une seule fille est à subir les cent-trente hommes du groupe, on organise cette cérémonie tout les trois mois. Toutes les filles ayant eut dix-huit ans durant les trois dernier mois sont donc offerte aux hommes. Étant le fondateur et chef de ce groupe, que j'ai créé il y a maintenant vingt ans, j'ai l'honneur de choisir la plus belle et la mieux foutu.

Je la viole et la dépucelle aussitôt, elle reste ma petite maîtresse et mon exclusive, jusqu'à ce qu'une séance soit organisée. J'ai alors le choix de garder ma pute personnelle, ou d'en choisir une autre qui me plaît encore plus. Parfois les filles ayant atteint leurs majorités se suivent, et mon ancienne maîtresse rejoins aussitôt le bordel à la disposition de tout les hommes, parfois avant dix-neuf ans, pour devenir une pute comme les autres. Nous choisissons les grossesses masculines et nos fils sont éduquées dans cette nouvelle ère, le partage totale des femmes empêchant la reconnaissance paternelle, ils violent leur propres filles sans aucuns scrupules, comme je le fis moi même avec Sandra vous vous rappelez la première fille de Océane, la première naissance de notre communautés, elle a dix-huit ans quand je l'assoie sur mon sexe pour la première fois.

Nous n'avons toujours pas eu d'autres contacts sur la planète...

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