Un Vieux Couple

BÊTA PUBLIQUE

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Germaine gémissait de plaisir et se pressa encore plus contre lui, le forçant à écarter les jambes au maximum pour venir emprisonner son visage dans sa poitrine du plus fort qu'elle le pouvait. Elle sentit contre sa cuisse la forte érection de l'étudiant et en eut une moue triomphante que Lucas ne pouvait voir. La partie était gagnée encore une fois, comme d'habitude. Des années que ces petits jeunes ne lui résistaient jamais bien longtemps!

De son côté, Lucas sentit monter vers lui une odeur forte et n'ayant fréquenté que trois filles de son âge aux odeurs corporelles très légères, il se demandait ce qui en était à l'origine. Il ne le savait pas encore, mais pour la première fois de sa vie, il respirait le parfum entêtant d'une femme excitée qui commence à mouiller sérieusement. Cette senteur tout à la fois chaude et violente dont il ignorait l'origine, quasi bestiale, ne l'effarouchait pas, mais l'excitait de plus en plus.

Germaine reprit ses mains et les dirigea sur ses fesses.

- Caresse-moi les fesses et occupe-toi de mes seins avec ta bouche, petit garnement, tu me fais faire des folies toi!

Lucas ne savait plus où donner de la tête et des mains, se contentant de répondre aux attentes de Germaine du mieux qu'il le pouvait! Il voulait bien maintenant caresser Germaine et l'embrasser partout, mais il ne contrôlait rien et cette femme qui savait exactement ce qu'elle voulait était une première pour lui.

Puis tout d'un coup, sans prévenir, elle se détacha de lui comme si tout était fini, le laissant en plan les bras écartés comme un imbécile. Germaine se précipitait vers la porte de la pièce qu'elle referma doucement, tournant un verrou silencieusement.

Lucas observa ses fesses dénudées et aperçu involontairement un trou noir plissé d'où émergeait quelques poils gris lorsque Germaine se baissa un peu. Puis Germaine se retourna vers lui et son regard était sans équivoque. Il allait y passer!

Après l'avoir frôlé d'une main dont les ongles glissèrent sur la peau de son visage, lui provoquant une légère décharge d'excitation supplémentaire, elle alla s'allonger sur le lit et lui lança :

- Allez, fous-toi à poil maintenant que l'on est sûrs d'être tranquilles, rejoins-moi mon petit! J'ai quelques trucs qui vont vraiment te plaire à te faire découvrir!

Lucas se dévêtit en lui tournant le dos sous le regard concupiscent de la vieille femme qui l'observait à chaque étape de son déshabillage. Il semblait bien à Lucas qu'une main de Germaine était clairement enfouie entre ses jambes depuis qu'elle lui avait demandé de se déshabiller. Quand, tremblant de tous ses membres, il fut enfin nu, ses affaires correctement rangées sur la chaise, subitement gêné devant Germaine, il posa ses deux mains en coupes sur son sexe tendu en se tournant vers elle.

Germaine rigola franchement.

- Enlève tes mains, mon mignon! Ce n'est pas ton petit oiseau tout mimi qui va me faire peur! Allez viens me rejoindre et n'aie pas peur.

Lucas avança pourtant vers la vieille dame comme s'il partait au supplice. Lorsqu'il toucha le lit, il ferma même les yeux comme si son excitation toujours présente était l'aveu d'un crime qu'il n'osait avouer.

Germaine savourait ses moments où ses jeunes hommes qu'elle prenait dans ses filets rendaient leurs dernières armes face à son corps et à leurs désirs. Son excitation était maximale et aucun d'entre eux ne pouvaient comprendre pourquoi ces instants de pur bonheur étaient si paradisiaques pour elle. Germaine ne mouillait jamais autant et sentait ses fluides couler entre ses petites et grandes lèvres humidifiant son entrejambe comme un fleuve en cru qui débordait au-delà de toutes limites.

- Embrasse-moi mon petit lui dit-elle tendrement pour ne pas l'effaroucher plus encore.

Germain était allongée sur le dos et attendait. Lucas ouvrit sa bouche et se pencha vers elle. Les lèvres de Germaine se collèrent aux siennes, l'envahirent et une langue ardente posséda sa bouche. Un flot de salive suivit comme si Germaine voulait étancher la soif du jeune étudiant et l'abreuver de sa salive. Leur baiser durant de longues minutes durant lesquelles Germaine dicta les mouvements de sa langue.

Puis Germaine saisit la tête de Lucas et la ramena fermement sur sa poitrine entre ses deux seins. Lucas ne se fit pas prier et se laissa diriger de bonne grâce en haletant comme un petit chien. Il retrouvait un territoire rassurant qu'il avait déjà commencé à explorer

Sous ses lèvres et sa langue, Germaine gémissait de plus en plus bruyamment, l'encourageant tantôt à la lécher, tantôt à la mordre, soulevant un sein pour qu'il l'embrasse sous cette peau qui sentait la sueur, écartant les bras et lui plongeant son visage dans ses aisselles pour qu'il lèche longuement cette zone odorante, salée où quelques poils venaient se déposer sur sa langue.

Lucas ne résistait à rien et se laissait faire sans protester. Germaine lui ordonna ainsi de la caresser à différents endroits de son corps qu'elle choisissait selon ses désirs sans jamais lui demander son avis. Elle n'oubliait pas de l'encourager en le félicitant souvent et en le remerciant pour son obéissance comme s'il s'agissait de son nouveau travail.

Devant tant d'assiduité à respecter ses ordres, Germaine commença à se tendre de plus en plus et finit par s'arcbouter violement sous les caresses qu'elle se donnait à travers son jeune étudiant. Puis elle se mit à haleter en un rythme de plus en plus rapide et demanda à Lucas de venir à nouveau presser son visage contre son sein gauche. Elle écrasa ce visage imberbe contre sa peau, l'enfonçant contre sa chair malléable et brulante en criant son plaisir.

Du fond du corps de cette femme mature, Lucas sentit une vibration sourde monter, s'amplifier avant que Germaine ne l'écrase tout entier contre elle en criant sa jouissance.

Plusieurs secousses agitèrent la vieille dame qui entre les bras de son jeune étudiant venait d'avoir l'orgasme intense et ravageur qu'elle avait espéré depuis les premières secondes où elle l'avait rencontré. Lucas de son côté n'avait pas joui mais sentait qu'il était à deux doigts d'exploser. Jamais aucune des jeunes femmes avec qui il était sorti ne lui avait fait un tel effet!

De longues minutes passèrent où, toujours écrasé contre Germaine, Lucas ne pouvait bouger. Peu à peu cependant, Germaine relâcha son étreinte tout en le maintenant contre son corps puis elle finit par le libérer de ses bras et lui souffla :

- Mets-toi à quatre pattes au-dessus de moi, mon petit. Je vais te faire jouir, il est temps que je te rende la pareille!

Lucas prit la position indiquée à quatre pattes au-dessus de Germaine. Sa tête au-dessus de la sienne, son sexe dur et tendu au-dessus de la forêt de poils gris et touffus qui masquaient le fameux Mont de Vénus que les jeunes femmes de son temps dévoilaient par l'éradication sans faille de leur pilosité.

Étrangement, ces instants de calme et le fait d'avoir fait jouir Germaine en la caressant puis avec sa seule bouche sur ses seins l'avait un peu apaisé. Son désir ne s'était pas totalement éteint, mais Lucas comprenait qu'il venait de se livrer sans explication à une femme qui lui rendait quarante ou cinquante ans et qu'il ne connaissait pas le matin en se levant!

Pourtant, la vieille dame s'exhibait et se livrait sans aucune gêne et posant ses mains sur les hanches du jeune étudiant, elle lui demanda de ramper au-dessus d'elle. Redressant la tête, Germaine commença à embrasser son torse, passant elle aussi d'un téton à l'autre, promenant sa langue sur cette peau si jeune et tendre, quasi imberbe, descendant peu à peu vers cette queue vibrante de sève qu'elle allait honorer de ses lèvres.

En arrivant à destination, Germaine ouvrit la bouche et accueillit dans son antre ce sexe imprégné de l'excitation et de la petite liqueur qu'elle adorait, si typique de ces instants. Elle posa ses lèvres doucement autour du gland, humidifia la zone en laissant sa salive se répandre autour, puis elle commença à boire à cette source ce nectar si rare et précieux.

Toujours à quatre pattes comme un enfant qui ramperait sur un lit, Lucas avait avancé sans trop savoir exactement pourquoi Germaine le poussait vers la tête du lit quand il sentit un fourreau chaud et humide se refermer sur son sexe. Il baissa sa tête et vit une masse de cheveux gris perdue à hauteur de son entrejambe et il comprit enfin!

La vieille dame lui offrait la première fellation de sa vie. C'était chaud, humide, doux, étonnant et si bon. Lucas gémit et se courba, creusant ses reins et s'abandonnant totalement aux lèvres qui commençaient à coulisser de plus en plus rapidement autour de son sexe.

Germaine était maintenant la tête entre les jambes de Lucas, ses deux bras l'enserrant fermement et elle le suçait goulument et savamment. Elle allait et venait avec toute son expérience et la plus grande douceur sur cet instrument dont elle comptait jouer un bon et long moment. Germaine était une femme en pleine maîtrise de son art et ne comptait pas le faire éjaculer en quelques secondes, mais bien profiter longuement de la situation.

Et puis, elle devait préparer ce petit à ce qui suivrait, comme prévu. Et pour cela, il fallait qu'il soit obnubilé par une envie de jouir incontrôlable, mais absolument maîtrisée par les soins de Germaine.

Lucas tout à son plaisir, ferma les yeux, vaincu par ces lèvres et cette bouche qui en avaient sucé bien d'autres. Experte en son art, Germaine savait exactement comment faire monter et descendre les humeurs de son jeune instrument sans le faire exploser. Elle comptait bien savourer la liqueur de son nouveau jouet et l'amener à défaillir entre ses lèvres, mais au moment voulu! Celui où une seconde surprise viendrait augmenter d'autant son expérience et se révéler inoubliable pour lui!

Depuis trop de semaines, elle attendait qu'un jeune sexe se tendent entre ses lèvres et lui offre sa liqueur si forte et douce. Germaine adorait le goût du sperme, ce qui n'est pas le cas de beaucoup de monde, elle le savait bien. Non seulement, elle adorait sucer des bites bien tendues, mais elle se délectait des goûts si différents qu'elle dégustait lentement comme les passionnés de vins le font avec les plus grands crus. Plus de cinquante années à sucer des membres qui n'attendaient que cela n'avaient pas réussi à étancher sa soif et sa passion de « la pipe », c'était ainsi.

Les yeux fermés, elle était capable de reconnaître le sperme des nombreux amants qu'elle s'était offerte. La densité du liquide, son amertume, la violence des jets qui tapaient le fond de sa gorge ou atterrissaient sur sa langue, autant d'indices qui la renseignaient sans faille!

Germaine pensait à tout cela, accélérant ou ralentissant le rythme de sa fellation, humectant tendrement la peau si douce, s'arrêtant pour laisser courir sa langue sur ce membre, enserrant le gland de ses lèvres, plongeant sa bouche vers le pubis de Lucas et l'absorbant entièrement sans aucun effort.

Y penser tout en le faisant accélérait d'autant son plaisir, c'était comment dire, cérébral et physique tout à la fois!

Seuls ceux et celles qui aiment tailler des pipes peuvent comprendre, soupirait-elle intérieurement. Et un autre rire interne la secouait quand elle pensait à ces pauvres femmes (et hommes) qui se privaient de ce plaisir et lui laissaient un champ libre d'explorations buccales sans fin depuis qu'elle s'était découverte cette addiction.

Germaine se disait aussi que la récolte du jour serait un délice. Il était clair que ce petit Lucas ne vidait pas souvent ses couilles et qu'il n'avait pas une grande expérience des plaisirs de la chair. Tout en lui sentait la timidité et le sérieux. À moins qu'une femme ait eu envie de le violer (façon de parler, bien sûr), comme Germaine aujourd'hui, ses expériences devaient se compter sur les doigts d'une main et encore. Sa fin de journée allait être chargée ou déchargée!

Tout en en continuant de le sucer, ses mains commencèrent discrètement un lent voyage vers la raie des fesses du jeune homme. Germaine sentit Lucas se contracter quand ses ongles effleurèrent son anus, le faisant sursauter, mais elle lui prodiguait tellement de plaisir avec sa bouche qu'il capitula et se laissa manœuvrer sans coup férir. Germaine tout en contrôlant la montée du plaisir du jeune homme s'occupait maintenant minutieusement de ses fesses. Les malaxant avec douceur ou rudesse, passant ses doigts du creux de ses reins jusqu'à ses bourses qu'elle serrait doucement. À chaque passage néanmoins, elle insistait et s'attardait de plus en plus longuement sur son anus tout serré et contracté.

La fellation qu'elle lui offrait amenait le pauvre Lucas sur les Montagnes Russes du désir. Germaine maîtrisait si parfaitement cet exercice de patience qu'à chaque fois que le pauvre étudiant sentait arriver le pic espéré, elle se débrouillait pour stopper cette ascension vers la jouissance, le laissant pantois, haletant, geignant et réclamant ce plaisir qui se refusait à lui.

Le pauvre Lucas croyait qu'il allait tutoyer les cieux et retombait rudement sur terre à chaque fois. Germaine s'amusait et savourait l'état de contrôle physique et sexuel total qu'elle avait sur Lui à travers sa bouche. Profitant d'une nouvelle montée vers l'extase, elle perçut que le moment était propice à ses intentions originelles. Un de ses doigts convenablement mouillé préalablement se mit à caresser le petit trou palpitant et s'infiltra dans l'anus offert à la pénétration.

Lucas gémit de surprise, se contractant, mais se laissa faire. Ainsi sucé par une bouche experte et maintenant massé et pénétré, il découvrait des sensations totalement inconnues de son corps. Choqué, ébahi, surpris par la dextérité et l'art de Germaine, il se laissa pénétrer par ce doigt inquisiteur bientôt rejoint par un second. Germaine allait maintenant dans son fondement assez rudement et serrait son sexe avec sa bouche.

La sensation d'extase qu'il éprouvait ne venait plus de son sexe et de la bouche qui ne bougeait plus, mais bien de son anus et des doigts qui le pénétraient! Il s'affaissa sur le lit sous ces caresses, enfonçant sa tête dans le couvre-lit qui portait l'odeur de cette femme, noyant son visage dans le tissu qu'il serrait de ses doigts crispés. Lucas se cambra involontairement et offrit totalement aux mains et aux doigts de Germaine son cul maintenant bien ouvert.

Ce fut le moment que choisit Robert pour révéler enfin sa présence, monter sur le lit et venir lui aussi saisir le jeune homme entre ses mains, les posant fermement sur ses hanches. Lucas sentant la rudesse de cette nouvelle prise sur son corps, essaya de se relever, mais il ne le put.

Germaine et son époux le tenaient si forts qu'il ne pouvait qu'à peine bouger son torse et tourner sa tête, découvrant de ses yeux écarquillés Robert derrière lui, nu comme un vert. Robert qui le regardait avec son fameux regard gourmand qui lui avait fait si peur. Robert qui allait le dévorer en lui défonçant le cul! Tout s'expliquait! Lucas essaya une dernière fois désespérément de bouger en se servant de ses mains et de ses bras, mais rien à faire, il était quasi immobilisé sur le lit.

Germaine choisit ce moment pour recommencer ses va-et-vient autour de son sexe lui procurant de nouvelles ondes de plaisir. Robert parfaitement coordonné avec sa femme venait de poser son gland contre l'anus de Lucas que les doigts de Germaine venaient de quitter.

Robert malgré son âge présentait une érection digne du jeune homme, mais offrait surtout un sexe de bonne taille et très large. Germaine savait que Lucas allait déguster car son Robert lui élargirait son petit trou d'une manière assez conséquente. Elle avait fait tout son possible pour le préparer à cet instant, mais le jeune homme percevrait très vite la différence entre ses doigts et la queue de son Robert.

De toute façon, c'était toujours pareil se dit Germaine. Ils disaient tous non avec de crier leur jouissance et de venir en demander plus! Rien de nouveau sous le soleil, les hommes comme les femmes étaient esclaves de leurs désirs durant leur bref passage sur Terre.

Loin de ces considérations et tout à son futur ouvrage, Robert cracha un gros jet de salive sur l'anus de Lucas et sur son gland au passage afin de lubrifier un peu tout cela. Il fit coulisser sa bite sur la salive déposée et étalée, enduisant les chairs qu'il allait forcer. Si Germaine maitrisait l'art de la fellation Robert était expert ès.sodomies et adorait cela.

Le moment était venu pour lui de poser son gland sur la muqueuse et il le fit, poussant très fort, s'enfonçant d'un bon centimètre et d'un seul coup dans le conduit offert.

- Oh putain! Oh putain!

Lucas ne put s'empêcher de crier, vaincu et humilié par la pénétration qui commençait.

- Tu vas voir, tu vas aimer ça mon petit lui murmura Germaine ajoutant vulgairement à l'adresse de son époux :

- Baise-le, baise-le bien et longtemps, je suis certaine qu'il va adorer se faire enculer!

Sous les mains fermes du vieux couple, Lucas ne pouvait plus résister et se refuser à la sodomie qui commençait. Robert continuait à pousser et à pénétrer le conduit de Lucas certes lentement, mais sans faiblir. Lucas se sentait coupé en deux, écartelé par le membre qui s'enfonçait et qu'il sentait douloureusement l'envahir. Il n'aimait pas du tout cette sensation de brûlure sans parler de la honte qu'il éprouvait sous les assauts du mâle qu'il n'avait pas vu venir.

Robert poursuivit son œuvre jusqu'à ce que son bas ventre heurte les fesses de l'étudiant. Une fois bien au fond, ses grosses couilles butant et se balançant contre celles du jeune homme, il attendit que le divin boyau s'adapte aux dimensions de sa queue pour commencer très lentement à se retirer. Arrivé à mi-distance, il s'enfonça de nouveau heurtant une nouvelle fois les fesses de Lucas en bout de course. Il répéta cette opération une bonne dizaine de fois, ressortant son glaive de plus en plus loin. Prenant un pieds phénoménal à s'enfoncer aussi profondément dans ce jeune cul qu'il déviergeait avec enthousiasme et un rien de sadisme décuplé par les plaintes sonores de l'étudiant.

Le pauvre jeune homme en était réduit à balbutier des " Oh putain, oh putain " et à gémir la bouche enfoncée dans le tissu du couvre lit. C'était comme s'il n'avait pas d'autre vocabulaire malgré ses études...

Loin de choquer le couple mature en chaleur, la situation ne faisait qu'augmenter leur joie de le baiser. Ce petit était incontestablement leur meilleur coup depuis longtemps!

Le vieux satyre sans pitié et Germaine, son aide de camp dévouée, continuèrent de travailler Lucas durant de très longues minutes. Robert accélérait à chaque fois ses mouvements et l'amplitude de ses pénétrations, sortant régulièrement et entièrement son gland de l'anus franchement élargi par ces exercices. Lucas ne criait plus, mais respirait comme un athlète en plein effort. Et à sa grande détresse, des vagues bizarres et... agréables commencèrent à le secouer, à venir le faire vibrer, au plus profond de son corps.

Robert observait l'anus élargi qui palpitait et réclamait franchement sa queue. Tous les signes étaient là sous ses yeux. Il nota les légers mouvements de recul et de balancier du corps de Lucas qui cherchait la bite qui venait de le travailler, aveu inconscient de son plaisir anal naissant.

Robert sourit de sa victoire et balança à nouveau une bonne dose de salive autant sur son sexe que dans le trou qui attendait d'être comblé. Il s'enfonça aussitôt de toute sa longueur, le plus violement possible,sans aucune pitié dans le cul vaincu. Lucas ne se refusait plus.

Cette dernière pénétration le fit même crier, mais point de "Oh putain" apeuré, un simple "OUI!!!!" d'approbation retentit à la grande joie de ces initiateurs.

C'était la dernière preuve qu'attendaient Germaine et Robert pour le soumettre définitivement avec leurs corps. Robert y allait toujours franchement, pénétrant Lucas de plus en plus vite et de plus en plus fort. Sa queue naviguait sans frein et coulissait en toute liberté arrachant dès lors des cris d'enthousiasmes à Lucas.