Un gang-bang qui tourne mal Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Les larmes coulent sur mon visage, car je ne me suis jamais sentie aussi stupide et aussi faible. Par contre je ne me suis jamais sentie aussi libre sexuellement. D'ailleurs, je sens un autre orgasme se préparer. Et à chaque orgasme, j'ai de plus en plus peur de perdre la tête. J'ai peur que mon esprit se brise, car le corps n'est pas fait pour supporter autant de jouissances.

- Jouis, salope, et nous te laisserons partir!

J'entends le chef juste avant que le fouet ne tombe sur ma chatte. Alors je ferme les yeux et je me laisse aller, permettant aux vibrations de faire leur travail.

Mon clitoris est sur-stimulé pat tout ce qui est arrivé ce soir. Me sentant comme une véritable esclave sexuelle, je cède à cette sensation et me dis que je dois jouir pour mes maîtres, même si ce ne sont que des étudiants.

Après quelques instants, je sens les gémissements dans ma bouche être bloqués par l'énorme gode. D'autres cris arrivent et je me dis que je mérite chaque coup de fouet, car mes maîtres le font parce que je ne jouis pas assez vite. Sans savoir pourquoi, je suis encore plus excitée.

Je jouis encore. Mais quand je le fais, je penche ma tête en arrière ce qui tire sur les pinces sur mes mamelons. La douleur dans mes seins me frappe. Mais je penche encore plus la tête, car les vagues de plaisir sont amplifiées par la douleur. Et j'entends les rires alors qu'ils commencent à me frapper plus rapidement avec le fouet.

Les gémissements étouffés s'échappent de ma bouche alors que je me tortille et que je tremble sous ce sombre orgasme. C'est vraiment une sensation étrange, mais qui est à la fois magnifiquement intense et effrayante. Je m'imprègne de chacune des vagues en cambrant mon dos.

Lorsque je reprends mes esprits, je constate que les étudiants ont cessé de faire bouger la balançoire et de me fouetter. Incroyablement fatiguée je ferme les yeux. Je lutte, mais je sens le sommeil m'envahir.

Je crie « AIE » alors que suis fouetté sur mon dos nu. J'ouvre les yeux pour découvrir que je ne suis plus sur la balançoire et que je n'ai plus le gode dans la bouche. Ils m'ont déplacée pendant que je dormais. Je suis étonnée qu'ils ne m'aient pas réveillée, car je n'ai pas tendance à avoir le sommeil lourd.

Je regarde autour de moi et je gémis. Je suis sur un toboggan. Ouais, un toboggan. Je suis face à la descente de celui-ci, les bras tendus vers le haut, mes mains attachées au sommet du toboggan. Mes jambes sont de chaque côté du jeu. Je suppose qu'elles sont attachées aux rails du bas. Je dois dire que c'est très inconfortable, mais ils mettent des oreillers ou des vêtements ou quelque chose comme ça sous moi pour amortir mon corps qui se presse contre le toboggan.

- Et maintenant? Demandé-je en gémissant.

Je baisse ma tête et la laisse reposer contre la glissière métallique. Je n'arrive pas à croire que ça continue. Mais qui peut avoir inventé tout ça? Est-ce qu'ils ont fait un groupe de travail pour imaginer de telles positions bizarres? Ou sont-ils seulement imaginatifs en pensant aux façons d'abuser de moi.

- Tais-toi! Dit-on alors que mon cul est fouetté.

Je glapis, car mon postérieur est encore incroyablement douloureux et brûlant. Je sens que le bâton a été retiré de mon cul, heureusement.

J'entends du mouvement derrière moi, mais je n'essaie même pas de voir ce qu'ils font. À ce stade, j'ai accepté ce que je suis pour eux, une véritable esclave sexuelle. Ce qui signifie qu'ils peuvent ce qu'ils veulent de moi et de mon corps.

- A la queue, les gars! Crie le chef avec excitation.

Je déglutis, car je sais que ce n'est pas une bonne chose à entendre. Des pas s'approchent.

- Il faut juste que l'on essaie ton dernier trou, n'est-ce pas? Dit doucement le leader dans mon oreille.

Je fronce les sourcils, mais je comprends ce qu'il veut dire. Je reconnais alors que dans cette position, ça va être facile.

Alors un premier gars se place derrière moi. Je suppose qu'il met ses jambes de chaque côté du toboggan pour se mettre en position. Il écarte mes fesses et je sens qu'il verse quelque chose de gluant entre elles. Un moment plus tard, je sens la chose que je savais qui allait venir : sa bite.

Je fais de mon mieux pour me détendre alors que je sens son membre presser de plus en plus fort contre mon cul. Il force pour entrer. Je comprends pourquoi ils m'ont fourré quelque chose dans le cul plus tôt. Ils ont élargi mon trou du cul et le gland du meneur entre sans problème.

Alors que je gémis à cette introduction non désirée, il continue à enfoncer sa bite en moi. Incapable de m'en empêcher, je me tortille. Mais comme je suis bien attachée, ça ne sert à rien. Je continue de gémir tandis qu'ils 'enfonce de plus en plus jusqu'à ce qu'il soit complètement contre moi, sa bite entièrement enterrée dans mon cul.

- Maintenant, continue d'être une bonne fille et dis à la caméra ce que tu as dans ton cul! Me demande le chef par-derrière, me révélant que c'est lui qui m'encule, que c'est sa bite qui envahit mon cul de cette façon douloureuse et humiliante.

- Ta bite! Ta bite est dans mon cul!

Je balbutie et je rougis en le disant. Devoir le dire ne fait que renforcer le sentiment d'être une esclave sexuelle. Ce qui, après tout, est la raison de toute cette soirée. Pourquoi ai-je répondu à cette annonce?

Après ma réponse, le gars rigole et se retire pour mieux s'enfoncer. Son coup de rein est puissant et brutal, ce qui est aussi très douloureux. Il commence à me sodomiser, d'abord lentement, puis en accélérant avec des coups de rein brutaux. De cette façon je suis poussée vers le haut, mais comme je suis bien attachée, je ne bouge presque pas.

Je regarde sur le côté pendant qu'il m'encule et je ressens de nouveau des émotions bizarres. Je peux entendre ses amis l'encourager à me sodomiser plus fort, faire des remarques sur ma situation, ou tout simplement rire. C'est trop, je m'enfonce de plus en plus dans une noirceur sexuelle où je découvre que j'aime beaucoup le sentiment de n'être qu'un objet de défoulement sexuel, d'être une simple esclave sexuelle.

- Oh ouais! Dit le chef après un moment.

Je le sens jouir... en moi. Il déverse son foutre dans mon cul. Je sens de la chaleur se répandre. Je ne dis rien, mais je gémis à cause de l'étrange sensation que ça me procure. C'est violent, vicieux, mais excitant. Je me sens tellement dominée.

Quelques secondes plus tard, il se retire en laissant mon cul ouvert. Aussitôt le suivant s'avance rapidement pour prendre sa place. Après quelques claques sur mes fesses, il positionne sa bite à l'entrée de mon cul. Puis il commence à me baiser, mais pas aussi fort.

L'un après l'autre, ils me sodomisent. Ils m'enculent alors que je reste attachée dans cette position douloureuse, sentant mes seins pressés et écrasés contre le toboggan. Je ne vois pas le gars qui me baise, car je suis obligée de faire face à la descente du toboggan. Quand j'y pense, je suis encore plus excitée, car c'est comme ça que j'aurais pensé qu'une esclave doit être utilisée.

Certains saisissent mes cheveux pour me tirer la tête en arrière, d'autres me claquent les cuisses. Certains me forcent à crier que je me fais enculer, tandis que d'autres me font dire que je ne suis qu'une salope stupide. Certains mettent une éternité à jouir, tandis que d'autres éjaculent d-s qu'ils sont dans mon cul. Mais à chaque fois, mon cul est bien utilisé, ce qui rend mon petit trou encore plus ouvert. Après deux ou trois gars, ils n'ont plus aucun mal à entrer.

Et à chaque étudiant, le caméscope fait le tour, s'assurant de tout filmer. Il enregistre la scène sous tous les angles, et de haut en bas quand on m'oblige à lever la tête. Il s'assure aussi de capturer tous les bruits que je fais : grognements, gémissements, paroles et bien sûr mes orgasmes.

Une fois qu'ils sont tous passés, ils me laissent là et je sens le sperme s'écouler de mon cul. Je me repose comme ça, en étant reconnaissante que mon cul ne soit plus violé, mais détestant la façon dont il palpite après ce qu'ils lui ont fait. Tout en me reposant, je réalise que je viens d'être enculée par plusieurs hommes.

Maintenant, des mains me détachent. La scène doit être comique quand je glisse lentement le long du toboggan, trop fatiguée pour me rattraper. Je glisse jusqu'à ce que je m'arrête sur le sol.

Des mains me saisissent et m'aident à tenir debout. Elles commencent à me faire marcher en me traînant à moitié. Ces mains sont douces et, au fur et à mesure que nous avançons, elles s'assurent de me tenir sans me faire de mal.

Cette fois-ci, nous n'allons pas loin, car ils m'amènent à une table de pique-nique. Là, on me place sur le dos sur la table en bois. Je soupire lorsqu'ils le font et je les laisse m'allonger sur cette vieille table de pique-nique inconfortable. Ils me font ensuite glisser de façon à ce que ma tête dépasse le bord de la table et pende.

- Encore? Vraiment? Encore? Demandé-je, fatiguée et endolorie.

Tous mes trous sont douloureux d'avoir été baisés brutalement. Je ne suis même pas sûre que je peux en supporter plus.

- Autant que nous le voudrons! Répond le chef.

C'est alors que l'un des gars prend appui sur le banc pour monter sur la table. Quand il le fait, je remarque qu'il n'a plus ni pantalon ni caleçon. Son membre est bien rigide. Sans rien dire il se baisse jusqu'à toucher ma poitrine.

- Que... Que faites-vous? Demandé-je, confuse, alors que mes deux mains sont saisies.

Il tire mes bras à l'extérieur de la table, et je ne résiste pas. Un autre gars soulève mes jambes et se place entre elles. Lui aussi n'a plus de pantalon, sa bite est sortie et prête. Sans attendre il se positionne et enfonce sa bite dans ma chatte, ce qui me fait sursauter sous cette sensation incroyable.

Je lève les yeux au ciel alors que ma chatte accueille une bite une nouvelle fois. C'est alors que je sens que l'on pose mes mains sur quelque chose et que l'on me fait refermer mes doigts. En regardant sur ma gauche, je vois qu'il y a une bite raide dans ma main. L'homme utilise ma main pour que je serre sa queue. Maintenant il bouge mon poignet pour m'obliger à le branler. Humiliée, je suis obligée de branler des bites avec mes mains tout en étant baisée.

- Oh non... Dis-je au type qui est en train de placer son membre entre mes seins. Impatient, il prend un sein dans chaque main et il les écrase ensemble comme s'il voulait les fusionner en un seul. Il le fait si fort que je me dis que je vais avoir des bleus en forme d'empreinte de mains sur la chair tendre de ma poitrine.

Il commence alors à pousser sa bite qui disparaît entre mes seins. Il balance ses hanches encore et encore, sa bite glissant entre mes deux globes. Il me baise les seins.

- Non, non, non, s'il vous plaît! Supplié-je alors que j'ai l'impression qu'ils vont vraiment utiliser chaque partie de mon corps pour leur plaisir.

Au moment où je dis cela, des mains saisissent ma tête et la force à se pencher en arrière sur le bord de la table. Je vois alors une bite raide pointée sur mon visage. Un moment plus tard, elle est poussée dans ma bouche où je l'avale avidement. Il commence lui aussi à me baiser.

Assommée et étourdie, je suis allongée sur la table alors qu'ils utilisent chaque partie de mon corps. Celui qui est à ma tête et celui qui est dans ma chatte semblent s'entendre pour suivre le même rythme. Mais ça n'a plus d'importance, je suis en train de me faire gang-banguer de la pire façon possible.

Je suis en train d'être baisée par plusieurs hommes en même temps. Je n'arrive pas à croire que ça arrive vraiment. Pourtant c'est ce que je voulais. Je me souviens avoir plaisanté avec le chef sur le fait que je voulais être abusée de toutes les manières possibles. Et avec une bite dans chaque main, une dans ma chatte et une autre dans ma bouche, je comprends que ça y est. Je vais bien être abusée de toutes les manières .

Les larmes coulent pendant qu'ils continuent, le type entre mes seins étant le plus brutal de tous. Il commence à les faire rebondir plutôt que les serrer. Je vois que ses ongles laissent des marques sur ma peau.

Je commence à sangloter sans qu'aucun d'eux ne le remarque. Les larmes coulent alors que je les laisse m'utiliser comme ça, comme une pute qui a besoin d'être constamment baisée. En sentant ce que ça fait, la façon dont c'est si humiliant, douloureux, brutal et pourtant magnifiquement intense, je n'arrive toujours pas à croire que ça se passe.

Tout mon corps est brûlant et douloureux. j'arrive à un point où la douleur et le plaisir se mélangent sans que je puisse distinguer l'un ou l'autre. Tout comme j'arrive à un point de trouver bizarre de ne pas avoir une bite dans chacun de mes trous.

Je suis une pute, une salope, une esclave sexuelle. Je suis tout ça. Je les ai laissés faire tout ce qu'ils voulaient de moi. Et j'ai adoré ça. Je continue à sangloter. Celui qui me baise la bouche accélère, de la bave coule alors qu'il devient plus brutal.

Je jouis. Mais cette fois-ci c'est différent. C'est un orgasme étrange, triste, mais beau. Mais plus que tout il est intense. Encore plus intense que ceux que j'ai eu auparavant.

C'est le premier orgasme que j'ai en acceptant que je suis une pute. Que c'est comme ça que je devrais me sentir la plupart du temps. Que c'est ma place dans le monde, pas parce qu'on m'y a obligée, mais parce que je le voulais. Je ne me retiens pas, laissant l'orgasme s'exprimer plutôt que d'essayer de le contrôler.

Celui qui est dans ma bouche jouit. Il éjacule directement dans ma gorge et j'avale avec plaisir, appréciant le goût unique du sperme. Cela semble donner de la vigueur à mon orgasme, les vagues de plaisir devenant plus fortes alors que je réalise que je viens d'avaler du sperme. Un moment plus tard, je sens un liquide chaud sur mon bras gauche alors que le gars que je branle jouit.

La bite est retirée de ma bouche et mes gémissements résonnent tandis que je continue à profiter de mon orgasme. Les yeux écarquillés, je sens celui qui baise mes seins jouir. Son sperme jaillit sur ma peau nue, frappant ma poitrine, mon cou et même mon menton. Il bouge pour me faire comme un collier, un collier de perles de foutre.

Toujours en train de profiter de ma jouissance, je sens que celui que je branle de l'autre côté éjacule aussi. Son sperme gicle si fort que je le sens frapper mon côté. Je continue à le branler jusqu'à ce qu'il retire ma main que je retrouve couvert de foutre.

Celui qui baise ma chatte est le dernier à jouir. Il a attrapé mes deux jambes et les a serrées l'une contre l'autre. Mon cul ne touche même plus la table alors qu'il me martèle rapidement. Il devient de plus en plus rapide et brutal, alors que les vagues de plaisir continuent à parcourir mes sens et que mon orgasme dure beaucoup plus longtemps que d'habitude.

Il jouit. Il jouit dans ma chatte. Il jouit sans se soucier de savoir si je prends la pilule. Il jouit sans penser qu'il puisse me mettre enceinte. Je sens les flots de sperme en moi. La chaleur envahit mon ventre. Je ferme les yeux pour profiter de mon orgasme. Et puis tout devient noir.

- Hé ça va?

J'entends une voix inquiète me poser la question? Je sens alors une odeur très forte qui m'oblige à ouvrir les yeux. Cette odeur est si puissante que je ressens le besoin de m'en éloigner? À tel point que je recule ma tête.

En ouvrant les yeux, je regarde autour de moi. Je suis toujours dans le parc et il fait encore nuit. Devant moi il y a le chef du groupe avec ses amis derrière lui. Il tient à la main quelque chose qui ressemble à une cigarette, mais qui sent très fort.

Je ne suis plus sur la table de pique-nique. Je suis sur un banc, je suis assise. Hein?? Je suis habillée? Oui, ils m'ont mis un peignoir et ils l'ont même fermé pour cacher mon corps nu. C'est un joli peignoir bien chaud.

- Je... je pense que oui... Dis-je.

J'ai l'esprit embrumé. Le chef me regarde, il vérifie mes yeux. Puis il attrape ma main droite et la soulève. Il déplace mon coude comme pour s'assurer que mon bras n'est pas cassé. Il répète l'opération avec ma main gauche. Bizarrement il sourit, mais ce n'est pas le sourire vicieux d'avant, c'est un sourire bienveillant.

- As-tu l'impression que quelque chose est cassé? Demande-t-il.

Je secoue la tête, car pour l'instant je n'ai pas l'impression d'être blessée. Il faudra voir demain, ça sera peut-être différent.

- Je pense que la dernière partie était de trop pour toi? Tu as crié : « Je jouis parce que je suis une pute » et tu t'es évanouie. Je pense que le plaisir a été un peu trop fort pour ton corps et ton cerveau fatigués. Mais tu seras heureuse d'apprendre que c'était la fin. Au moins de toutes les choses que tu as dites que tu voulais essayer. Me dit-il avec son sourire aimable toujours présent.

- Que... Que je voulais essayer? Demandé-je, encore très confuse.

Son sourire s'élargit, comme s'il savait ce que je ressens. Je ne me souviens pas avoir demandé quoi que ce soit de ce qui s'est passé.

- Oui, dans les messages que nous avons échangés. C'était ça ce soir. On avait tout prévu. Je veux dire que les choses que nous avons faites étaient des choses que tu as dites vouloir essayer. J'avoue que j'ai été un peu surpris quand tu as mentionné que si c'était possible, tu voulais voir combien de gars pouvaient t'utiliser en même temps. Explique-t-il calmement.

Je m'en souviens vaguement. En ce moment j'ai du mal à me rappeler où je suis et pourquoi je suis ici. Mais ça me revient doucement. L'annonce en ligne. La discussion par messages. Je me souviens lui avoir parlé de mes fantasmes bizarres, ainsi que des choses que j'ai toujours voulu essayer. Je ne pensais pas qu'il s'en servirait pour construire un plan de ce qu'ils allaient me faire ce soir.

- Laisse-nous t'aider à te relever! Dit-il.

Deux autres gars viennent à mes côtés et m'aident à me lever. Je gémis, car jamais je ne me suis sentie aussi mal. Chaque parcelle de mon corps me fait mal. Et j'ai l'impression que ma chatte a été massacrée. Je ne parlerai même pas de mon cul.

Pourtant je me sens bien. Je me sens heureuse. Je me sens calme. Je me sens comme si le poids du monde avait été retiré de mes épaules et que je pouvais enfin me détendre. Comme si toutes les mauvaises choses qui étaient en moi étaient parties. Pour la première fois depuis très longtemps, je me sens en paix.

Les garçons m'aident à marcher en allant très lentement. Ils me soutiennent comme si j'étais une vieille femme. Il devient clair pour moi que nous nous dirigeons vers la sortir du parc. Bien qu'ils m'aient tous baisée plusieurs fois, ils ont l'air tous différent. Au lieu des étudiants sauvages et brutaux qu'ils étaient auparavant, ils ressemblent maintenant à des hommes sérieux et droits. Le genre d'homme qui ne blesserait ou n'agresserait jamais une femme dans la vie réelle.

- Tu devrais prendre quelques jours de congé pour te reposer. Le processus de guérison ira plus vite. Et si j'étais toi, je prendrais aussi des vitamines, sans oublier un supplément de fer. Ça aidera pour résorber les ecchymoses. Dit le chef en ayant l'air de savoir réellement de ce qu'il parle.

Plus je marche, plus je sens mes forces revenir. Je commence à marcher presque normalement. Les gars me tiennent toujours, mais je me sens beaucoup plus solide. Comme si j'étais endolorie par une séance de gym et que je persévère pour me sentir mieux.

- Ton corps mettra quelques semaines, voire quelques mois, à revenir à la normale, mais si tu ne vois pas de progression de la guérison au bout d'une semaine, tu devras aller consulter un médecin. Ajoute le chef à la sortie du parc.

Je le regarde pour essayer de comprendre s'il est en train de me raconter des histoires ou s'il sait vraiment ce qu'il dit.

- Je fais des études de médecine. Mentionne-t-il avec un sourire.

Je réponds par un « Ahh », mais je ne dis rien d'autre. Nous quittons le parc pour retourner d'où nous sommes venus. Nous sommes sur le trottoir sur lequel ils m'ont fait marcher nue en faisant rebondir ma poitrine un peu plus tôt.