Un gang-bang qui tourne mal Ch. 03

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2

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/28/2023
Créé 06/06/2023
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Traduction d'un texte de creativeboyinspring

*****

- S'il vous plaît, pas plus! Dis-je faiblement en sentant que mes pieds et mes mains sont complètement déliés de la structure en fer. Tandis qu'ils s'activent à me détacher, je sens le sperme qui me recouvre commencer à s'écouler. J'ai la sensation d'être sale et dégoûtante. Je sais que chacun d'eux a joui sur moi. Et comme ils sont... six je crois, et qu'ils ont joui plusieurs fois, ça fait beaucoup de sperme.

Au moment où je ne suis plus retenue par les cordes, je tombe à la renverse, mes jambes ne répondant plus à mes ordres. Heureusement, ou peut-être pas, quelques gars m'attrapent avant que je ne tombe. Ils me soulèvent par les bars et me mettent plus ou moins debout. Je peux entendre leurs rires, j'ai vraiment l'impression qu'un train m'est passé dessus.

Et maintenant je suis en train de marcher en étant à moitié traînée sur ce terrain de jeu public. Mes pieds bougent pour que je puisse marcher, mais ils vont bien trop lentement. Puis-je les blâmer? Un train vient de me rouler dessus et j'ai été baisé au moins vingt fois de suite. J'aimerais bien savoir si quelqu'un est capable de marcher normalement après avoir subi ça.

- Pourquoi as-tu répondu à cette annonce, Michelle? Me demandé-je à voix haute alors qu'ils m'aident à avancer. Quand ils m'entendent, ils rient tous d'un vrai rire qui montre que ma réflexion était drôle.

Pourquoi ai-je dû faire quelque chose d'aussi fou que ça? Je vais avoir mal pendant des semaines, voire des mois, à cause de tout ce qu'ils m'ont fait subir. Bon sang, je ne suis pas sûre que mes seins retrouveront un jour leur apparence normale. Et toutes ces marques? Non seulement ils m'ont tous baisée, mais ils m'ont aussi fouettée avec rudesse. Et ils ne m'ont pas fouetté que les fesses, ils se sont aussi acharnés sur mes seins et ma chatte.

- Ça vient! Dit quelqu'un comme un avertissement pour que je puisse me préparer.

De l'eau glacée est projetée sur mon estomac. Instantanément je suis refroidie et je pousse un petit cri. En réaction, je lâche les gars qui me tiennent et je lève les mains pour me protéger du jet d'eau. Mais celui-ci se déplace vers le bas et asperge mes jambes. Alors j'essaie de le bloquer avec mes mains, mais les gars rigolent et arrosent ailleurs.

Je comprends alors qu'ils me lavent, qu'ils me douchent comme dans une prison. Alors j'arrête d'essayer de me protéger du jet et je les laisse faire. Et je fais la chose la plus dégoûtante que je n'ai jamais eue à faire, j'essuie le sperme sur mes yeux pour pouvoir voir ce qui se passe. Maintenant je peux voir le gars qui m'arrose. Nous sommes tous à côté d'un petit hangar, où semblent être ranger tous les outils de jardinage.

L'eau gicle sur mon corps. Je m'agite et me tortille, car l'eau froide est une vraie torture sur mon corps brûlant. L'eau est pulvérisée sur chaque parcelle de mon corps nu pour me nettoyer.

C'est alors qu'un autre gars s'approche de moi avec une bouteille qui semble contenir du savon vaisselle. Lorsqu'il arrive près de moi, le jet d'eau est dirigé vers le bas. Un sentiment, maintenant trop familier, d'humiliation m'envahit à nouveau lorsque le type commence à verser le liquide vaisselle... sur moi. Il commence directement sur mes seins, les noyant sous le liquide bleu et épais, puis il continue par mes épaules et sur le haut de ma tête et mes cheveux. Puis il descend et presse la bouteille sur moi à mesure qu'il se déplace. Ça lui prend bien une minute, mais il verse du savon sur chaque centimètre de mon corps.

La confusion que je ressentais plus tôt revient et elle est incontrôlable. Je ne comprends plus ce que je veux. Je veux dire qu'ils ne font pas là ce pour quoi j'ai signé, et pourtant j'adore ça. Le problème c'est que je déteste ça aussi. Je ne comprends pas comment je peux détester quelque chose que j'aime.

Ils auraient bien pu me donner un pain de savon et me dire de me nettoyer, mais non. Comme un chien, ils me versent du savon dessus et ils utilisent ce putain de tuyau pour me rincer. Tout ça juste pour pouvoir rire de moi. Ils ne veulent pas me traiter comme un être humain, mais comme une chose.

Mon humiliation augmente lorsque je sens des mains se poser sur moi pour faire mousser le savon. Je pourrais essayer de les arrêter, mais je garde les bras collés contre les côtés de mon corps. Je sais bien que si j'essaie de les empêcher on va de nouveau attacher mes mains.

Au premier regard, je me suis dit qu'ils devaient utiliser des éponges, mais quand je regarde mieux, je vois qu'il s'agit de morceaux de mon tee-shirt. Il utilise mon tee-shirt qu'ils ont déchiré pour nettoyer la saleté sur mon corps. Je gémis en entendant leurs rires alors qu'ils frottent vigoureusement mes seins douloureux qui ballottent.

L'eau est remise en marche et me frappe directement entre les jambes. Je glapis. Alors qu'ils m'aspergent et lavent le savon et la saleté, je dois admettre que je me sens mieux. Ne plus être recouverte de sperme est une bonne chose. Se sentir propre change vraiment la façon de voir les choses.

- C'est bon, j'y vais! Crié-je d'agacement alors que l'on me pousse par-derrière en me demandant de marcher.

L'eau continue de m'asperger, mais elle est bientôt coupée. Le gars qui tient le tuyau le lâche. Ma réflexion fait bien rire les gars. Ils se moquent de moi comme si je les défiais de se battre avec moi.

En essayant de garder un peu de dignité en restant droite et fière, je commence à marcher en publiant que je suis complètement nue, que je viens de me faire baiser et gang-banguer. Le groupe de garçons marche près de moi, en riant et en se moquant avec des commentaires vicieux. Mais au moins je peux marcher sans que personne ne m'aide cette fois-ci. Toutefois je marche avec précaution, car je suis encore toute endolorie.

- Hé vous tous, vous n'êtes pas sérieux! Commencé-je à dire alors qu'ils me conduisent vers la balançoire en métal.

Mais des mains m'attrapent et je suis soulevée en l'air sans efforts. Ils me portent jusqu'à elle. Je me débats contre ces mains qui me tiennent, car je suis effrayée de ne pas savoir ce qu'ils veulent me faire.

Ils me placent dos à plat sur la planche de la balançoire, avec mes jambes qui pendent sur les côtés. Ils me font glisser vers le bas de façon à ce que mes fesses soient au bord de la planche. Leurs mains fortes saisissent mes mains et les tirent derrière la planche, où je sens qu'ils les attachent à nouveau. Puis ils enroulent une corde autour de mon ventre, au-dessus et en dessous de mes seins et l'attache sous la balançoire. Ainsi je ne peux plus me relever.

- Vous ne pouvez pas en vouloir plus? Comment êtes-vous encore capable de penser au sexe?

Je proteste alors qu'il m'attache à cette balançoire à bascule. Je suis surprise et stupéfaite. Après tout ce qu'ils ont fait, ils veulent encore me baiser? Comment est-ce physiquement possible?

- Qui a parlé de sexe? Demande le chef sérieusement.

Pendant un moment je ne comprends pas, puis mes yeux s'élargissent alors que je comprends ce qu'il veut dire : Pas de sexe, mais encore des abus, des punitions...

- Non, non, non, non... Protesté-je sous les rires.

Je secoue la tête d'avant en arrière pour essayer de me sortir de cette situation, mais je suis trop bien attachée.

Qu'est-ce que j'ai bien pu avouer d'autre quand on parlait? Quels autres tourments stupides ai-je dit vouloir essayer? Oh bon sang, pourquoi ai-je été aussi honnête et stupide?

- Ouvre grand! Dit l'un d'eux alors que des mains saisissent ma tête pour me forcer à ne plus bouger.

Un énorme gode est alors pressé contre mes lèvres. J'ai peur, car ce truc est vraiment gigantesque. Il est presque aussi large qu'une canette de boisson normal. Prise de court, je garde la bouche fermée pendant qu'on le frotte sur mes lèvres. Puis un de ces salauds me pince les tétons très fort. Bien sûr je crie et le gode est poussé dans ma bouche.

Les rires retentissent à nouveau et me font rougir lorsque qu'ils enfoncent l'objet dans ma bouche. Il est si gros que je sens mes lèvres se distendre dessus et m'empêcher de fermer la bouche. Je sens le goût du plastique.

Je ne suis pas stupide, je sais qu'ils ne font pas ça seulement pour m'humilier. Ils veulent me bâillonner pour que je ne puisse plus rien dire. Pour cela ils poussent le gode presque jusqu'au fond de ma gorge.

Les larmes aux yeux, je tourne la tête sur le côté. Là je vois quelques-uns d'entre eux avec un grand sac de sport. Ils sont en train de fouiller dedans, pour chercher je ne sais quoi.

- Je l'ai! Crie un des gars en sortant quelque chose du sac.

C'est l'un des noirs et quand il se lève, je vois qu'il a quelque chose dans la main. Quoi que ce soit c'est petit, mais ça brille à la lumière.

Le gars se précipite vers moi. J'ai l'impression d'un enfant qui court vers les cadeaux sous le sapin de Noël. Plus nerveuse qu'effrayée, j'essaie de voir quel objet il a en main. C'est alors qu'il me le montre ce qu'il a dans chaque main. Ce sont des pinces à tétons avec une chaîne qui les relie. En voyant cela, je ne peux que laisser échapper un faible gémissement pour lui faire comprendre que je ne veux pas. Mais il s'en moque.

Je dois le regarder ouvrir la première pince et l'approcher de mon sein gauche. Pendant un moment j'envisage de secouer ma poitrine dans l'espoir de rendre plus difficile la mise en place de l'instrument de torture, mais je crois que si je résiste, je risque d'être giflée. Un instant plus tard je plante mes dents dans le gode, car j'ai l'impression que l'on pince mon téton dur sans vouloir le relâcher. Je gémis et je ressens la même chose sur mon téton droit quand il y met l'autre pince. J'ai vraiment l'impression que leurs pinces ont été choisies avec soin, car elles serrent mes tétons aussi fort qu'elles le peuvent.

C'est alors que ce salaud attrape la chaîne et la soulève. Les pinces tirent alors sur mes tétons. À ce moment je commence à crier ou du moins j'essaie. D'avoir les tétons pincés est déjà assez pénible, mais le fait qu'il tire sur la chaîne fait doublement mal. C'est tellement douloureux que j'essaie de cambrer mon dos pour avoir un peu de mou, mais j'oublie que je suis attachée.

Cet enfoiré continue de tirer pour me faire hurler de plus en plus fort sous mon bâillon. Mes yeux s'écarquillent alors que je vois mes seins être étirés en une forme de cône. Bon sang, que ça fait mal!

En riant, le gars tire la chaîne vers ma tête. Mes seins suivent alors le mouvement et j'ai l'impression que mes mamelons vont être arrachés. Il tire la chaîne de plus en plus loin jusqu'au morceau de gode qui sort de ma bouche. Puis il lâche prise. La douleur s'arrête instantanément, car mes pauvres seins ne sont plus tirés.

Je regarde alors ma poitrine et je vois que la chaîne est tendue. Si je bouge un peu la tête vers le haut, l'horrible douleur revient. j'insulte silencieusement le noir en voyant que si je bouge la tête, cela fait bouger le gode qui tirera sur la chaîne. Donc mes mouvements me provoqueront de la douleur.

Tandis qu'il continue de rire, je vois un de ses copains s'approcher et se mettre entre mes jambes. J'essaie trop tard de les fermer, amis il est déjà entre elles. Il place quelque chose qui se pose directement sur mon clitoris. j'essaie de voir ce que c'est, mais le gode et mes seins me bouchent la vue. Je vois le gars sortir du ruban adhésif. Il en prend un gros morceau et colle l'objet sur moi. Il répète l'opération jusqu'à ce que l'objet soit bien fixé sur moi.

Un bourdonnement se fait entendre. Je pense à un petit moteur. Puis je ressens des vibrations. Je gémis bruyamment en comprenant ce qu'ils viennent de faire et ce qui les fait rire. Ils ont scotché un vibromasseur sur mon clitoris.

En sentant les vibrations, je remue les hanches pour essayer de faire bouger la tête de l'objet. Mais j'ai beau me tortiller dans tous les sens, il reste là où il est. Il est vraiment bien collé. De toute façon comme je suis attachée je ne peux pas bouger suffisamment pour faire quoi que ce soit. Comprenant cela j'ai peur, car je sais que ça va devenir bientôt insupportable.

L'humiliation de cette situation ne fait que croître lorsque je vois le reste du groupe me regarder et rire. Ils savent exactement ce qu'ils font. Ils savent qu'ils me torturent. C'est une torture érotique et ils aiment ça.

- A mon tour! Dit un autre d'entre eux.

Il s'approche de moi avec un regard vicieux, comme s'il sait que ce qu'il s'apprête à faire va être très pervers. Je regarde vers le bas où il fait tourner dans sa main ce que je prends d'abord pour un crayon. Mais c'est beaucoup plus gros qu'un crayon.

Il avance entre mes jambes et son regard se tourne vers ce petit putain de vibromasseur qui fonctionne toujours. Je laisse alors échapper un petit glapissement sourd quand je sens les mains de gars me toucher, mais plus bas, sous mon sexe. Je pousse un glapissement plus fort quand je sens qu'il commence à écarter mes fesses.

La panique s'installe quand je sens que quelque chose se presse contre mon cul. Je commence alors d'essayer de pousser le gars avec mes pieds, mais des mains agrippent mes jambes pour les maintenir écartées. Puis je sens qu'il insère quelque chose dans mon cul. Il me met quelque chose dans mon petit trou. Il le fait lentement, centimètre par centimètre, mais il le fait. On m'enfonce quelque chose dans le cul.

Je pleure, je hurle, et je me débats, mais ça ne sert à rien. Il continue à enfoncer l'objet de plus en plus profond. Quoi que ce soit, c'est lisse donc ça rentre facilement. j'essaie de me crisper et de le faire sortir, mais le garçon arrive à l'enfoncer malgré ma résistance. Il l'enfonce de plus en plus profondément, me faisant me sentir vraiment violée. Puis il s'arrête enfin, et je sens qu'une petite partie dépasse encore.

- Hé les gars, qui lui dit qu'elle a un bâton dans le cul? Crie le gars, ce qui fait rire tous ses copains.

Des larmes coulent sur mon visage qui est rouge de honte pendant que des vibrations s'acharnent sur mon clitoris. Je lutte contre tout ça, mais je n'ai pas de chance. Je sais que je vais avoir un orgasme, que je le veuille ou non.

- Souris! Ordonne le cameraman d'un air moqueur en s'avançant pour faire un gros plan de mon visage avec le gode coincé dans ma bouche. Il descend ensuite le long de mon corps pour filmer les pinces sur mes seins et l'objet dans mon cul. Il me filme sous toutes les coutures.

Puis il recule alors que ses amis avancent vers moi. En un instant je suis entourée par quatre d'entre eux. Ils me regardent de haut. Puis je vois qu'ils ont chacun un marqueur dans la main.

Je secoue doucement la tête en faisant attention de ne pas faire bouger la chaîne. Je veux leur faire comprendre que je ne veux pas qu'ils m'écrivent dessus. Mais je pousse un glapissement lorsque la douleur irradie dans mes tétons quand je fais bouger la chaîne. Bien sûr ils rigolent et se penchent vers moi pour commencer à écrire.

Chacun d'eux choisit un endroit différent pour commencer. L'un va sur ma jambe droite, un autre sur mon bras gauche, un sur mon estomac et un autre sur mon visage? Je sens chaque marqueur humide se déplacer sur ma peau, mais je ne sais pas ce qu'ils peuvent écrire. Ils gloussent et rient tout en le faisant, ça semble vraiment amusant.

Lorsqu'ils ont terminé, chacun regarde le travail des autres et ils rient. Puis ils changent de position et écrivent ou dessinent ailleurs. Vaincue et humiliée, je me contente de lever les yeux au ciel en sentant les marqueurs parcourir mon corps. Pour aggraver les choses, je sais qu'ils changent de couleur à chaque fois qu'ils se déplacent, donc ça risque d'être vraiment coloré.

Maintenant, l'un d'eux commence à écrire sur mon sein droit. En baissant les yeux, je suis capable de le voir ainsi que l'énorme sourire du gars. Je ne comprends pas, il dessine une ligne épaisse et incurvée au-dessus de mon mamelon pris dans la pince. Puis il fait la même chose sur l'autre sein. Ensuite il échange son marqueur avec celui d'un autre homme et il dessine sur mon ventre, mais je ne peux voir ce qu'il fait.

Les rires du groupe augmentent au fur à mesure de son dessin sur mon corps. Ça ne fait qu'augmenter mon humiliation et la puissance de l'orgasme que je sens arriver. J'essaie de me concentrer sur ma respiration pour essayer de retenir cet orgasme, mais ça ne sert à rien. Donc, ma respiration s'accélère alors que je sens que je suis vraiment sur le point de jouir. Je ferme les yeux en ayant honte de ne pouvoir combattre cette réaction.

Je jouis. L'orgasme que j'essayais de retenir explose dans mon corps avec des grosses vagues de plaisir. Les vibrations dans mon clitoris refusent de s'arrêter, ce qui rend mon humiliation encore plus intense. Et tandis que je gémis, je les entends rire et me faire remarquer que je jouis encore. Mon corps s'agite et tremble sous l'effet de l'orgasme alors que mes cris de plaisir sont étouffés par l'énorme gode enfoncé dans ma bouche.

Lorsque mon orgasme commence à s'estomper, j'ouvre les yeux pour voir l'écran du caméscope. Celui qui le tient l'a tourné vers moi pour que je puisse voir ce qu'il filme. Je me sens devenir pâle et je ressens une nouvelle honte en regardant mon corps nu à l'écran. Je n'arrive pas à lire la plupart des textes qu'ils ont écrits sur moi, mais ce n'est pas le pire. Le pire c'est qu'ils ont fait de mon torse un visage heureux, avec mes seins et mes mamelons pour les yeux. Il a dessiné des sourcils dessus et en dessous, sur mon ventre, il a dessiné un énorme sourire alors que mon nombril fait le nez. C'est un putain de visage heureux fait sur mon corps nu.

Les rires fusent quand ils voient ma réaction. Je me demande vraiment pourquoi la police n'est toujours pas là avec le bruit qu'ils font. Un voisin a bien dû voir ce qu'il se passe et les a sûrement appelés. Alors pourquoi ne sont-ils pas là? Pourquoi personne n'arrête ça?

Le caméscope s'éloigne et je vois le visage du chef. Il me regarde de haut avec ce regard suffisant qui semble dire sans mots que je suis une salope stupide et vicieuse. C'est un regard que j'ai à la fois envie de frapper et d'embrasser.

- Maintenant, dès que tu auras joui à nouveau, nous arrêterons! Me dit-il un peu comme un père parle à sa fille.

Je commence à protester, mais le niveau des vibrations dans mon clitoris augmente. Puis quelqu'un s'assied de l'autre côté de la balançoire. Ce qui fait que de mon côté je bouge vers le haut. Je suis effrayée, car je n'ai pas le contrôle en étant attachée. Puis l'autre extrémité remonte alors que, sous le poids de mon corps, je redescends. Mon côté s'écrase en envoyant des secousses douloureuses dans tout mon corps, surtout avec l'objet dans mon cul. Puis de nouveau je me sens remonter.

Les rires reprennent de plus belle alors qu'ils s'amusent avec la balançoire pour me faire monter et descendre encore et encore. À chaque fois, mes pauvres seins subissent la gravité. Quand je suis en haut, je les sens qui se pressent contre mon menton. Si je bouge un tant soit peu la tête, la chaîne tire sur mes tétons. Et pendant qu'ils continuent à s'amuser, ce satané vibromasseur continuer de bourdonner comme un fou.

- Ça suffit!! essayé-je de crier à travers le gros gode qui distend ma bouche quand je sens le fouet me frapper au moment où j'atteins le sommet.

Le fouet atterrit directement sur le dessous de mes seins, ce qui me pique douloureusement. La balançoire redescend et le coup de fouet suivant tombe sur mon estomac.

Ils continuent de me faire monter et descendre et à chaque fois ils me fouettent, mais toujours à un endroit différent. Parfois c'est sur le dessous de mes seins, parfois sur les cuisses et quelques fois même entre les jambes. Je ne sais pas s'ils le font à tour de rôle ou s'il s'agit d'un seul gars qui s'en occupe. Tout ce que je sais, c'est que je dois fournir un spectacle pathétique alors que je suis attachée à la balançoire, nue et abusée, tout en sentant les vibrations envoyées dans mon clitoris.

trouchard
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