Un Beau Mariage 02

BÊTA PUBLIQUE

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- " Viens mon grand, mets-moi ta bite sur le clito... Juste là où j'écarte mes lèvres... Oh, oui... Oui, là comme ça! Frotte-moi le bouton d'amour, chéri... Oh putain, je ne vais pas tenir longtemps... je sens que je vais venir!... Je sens que oui!!... " Elle se cambrait et s'arcboutait sur ses pieds et ses épaules, les fesses et les reins décollés du lit, s'enfonçant à fond le gode au fond de la matrice...

-" Mets moi ton doigt dans le cul, dit-elle à Georges... Vas-y vite! Prends le cul! Je viens!!... Je viens!!... Déchargez aussi!!... "

Dans un dernier soubresaut son corps se tendit comme on bande un arc, son vagin expulsa le dong et elle déchargea deux ou trois jets énormes et violents qui allèrent bien au-delà du pied du lit! Après 3 secondes où elle resta ainsi suspendue et tendue, la salope retomba le dos sur le lit, vaincue par sa propre jouissance. En même temps qu'elle ou presque, je déchargeais un mince filet de foutre sur la pointe de son téton... Il faut dire que je n'avais plus de jus dans la lampe. Georges aussi y alla de son reliquat de décharge et n'en mis pas beaucoup plus que moi sur le pubis de la belle. Les cuisses toujours ouvertes sa chatte ruisselait de mouille qui s'épanchait désormais en nappes peu abondantes mais continues. La grande Gisèle restait affalée, l'intérieur des cuisses encore frémissant des spasmes de sa jouissance. Nous restâmes ainsi deux ou trois minutes sans bouger à regarder son trou béant dégoulinant de mouille.

Le jour était maintenant en train de se lever. Il était 6 heures du matin. Nous étions Georges et moi, rompus et vidés, et pourtant, malgré la fatigue pas question de se coucher. Trop tard! Ou top tôt!... Nous sommes allés tous les trois ensembles sous la douche Ce fut encore autre grand moment fait de langottages des seins de la grande Gisèle et d'attouchements de clito, de fion et de bites. Elle avait demandé à ce que nous la tenions chacun sous une jambe dans la douche, les fesses très écartées au-dessus du vide. Et là dans cette position, elle a uriné longuement. Sa vulve présentait des lèvres turgescentes et rouges de nos attouchements de la nuit. Dans l'ouverture de sa moule très ouverte elle nous donnait à voir la papille de son pipi-trou très dilatée et large d'où s'échappait l'ondée dorée.

- " Il n'y a rien que j'aime comme ça : donner à voir à des hommes qui bandent, ma chatte bien ouverte qui pisse! C'est comme quand je me branle le seul fait de savoir que je suis regardé m'excite énormément et me fait bander... Penchez-vous et regardez bien : je pisse pour vous!... "

C'était vrai que la grande garce prenait du plaisir à cette exhibition, car pendant cette miction longue et interrompue, le clito était bien ressorti et se rengorgeait constamment, alors qu'un liquide un peu blanchâtre, qui n'était pas de l'urine, sortait à la base de son trou et tombait goutte à goutte de son con ouvert. Elle pissa ainsi un long moment, puis les jets faiblirent. Il y en eut encore 2 ou 3 en rappel plus brefs et moins intenses, puis les dernières gouttes se dissipèrent dans les lèvres et le trou. Reposant ses pieds dans la douche, elle me fit accroupir à ses pieds, puis relevant une jambe, elle me coiffa de son entrejambe ruisselant d'eau en me demandant :

- " Suce-moi mon joli, viens me pomper le reste de pisse... J'adore être léchée quand j'ai pissé... Ta langue est bonne, vas-y, entre la bien dans le trou de ma chatte... Huuummm c'est bon!... Et toi Georges passe-moi le bout ta bite sur le petit trou de mon cul... Ah, oui... Comme ça... Mets-le juste à l'entrée de mon cul... Juste là, à la porte du ciel!... Oh, oui!... ".

Je léchais la putain bien à fond, le nez frottant son clito, ma langue bien enfoncée dans le trou à bites. Mon menton frottait la hampe de l'engin de Georges, qui lui passait son gland sur la rosette. Georges lui tenait la jambe levée de sorte que j'avais la tête dans le compas de ses cuisses. J'entendais à ses râles et ses soupirs que la grande coquine appréciait nos caresses... Je sentais son plaisir monter. De ses deux mains elle m'appliquait plus fortement sur sa connasse ouverte et elle se frottait de plus en plus fort en tournant son bassin et ses fesses sur mon visage mais aussi sur la bite de Georges. D'une pierre deux coups!

- " Ah, mes salauds, vous savez faire reluire une femme vous!... Ah, putain continuez!... N'arrêtez pas!... Frottez-moi bien le cul et la fente... Oh, oui, comme ça... Oui!!...

Là maintenant, toi mets-moi ta bite dans le cul ... Oui, dans le cul... Encule-moi mon joli!... Vas-y enfonce-toi bien!!... " Elle fit un mouvement vers le haut pour avaler le membre dans son cul. Mouvement par lequel sa fente m'échappa un instant. Puis elle se plaqua de nouveau sur ma bouche et mon nez. Je happais son clito entre mes lèvres et le suçais, tandis que je lui mettais deux doigts dans le trou du con, là où ma langue l'avait fouillée... La pute éclata et ce fut un déluge de liqueur et d'insanités dans ses propos. Elle déchargeait comme une folle. En dessous j'étais couvert de son foutre chaud. Elle s'enculait elle-même sur le pieu de Georges et dans les mouvements qu'elle faisait, elle se frottait plus encore sur ma face inondée, ce qui redoublait sa jouissance et sa décharge de cyprine... Enfin, je sentis que juste au-dessus de mon menton, Georges à son tour larguait son foutre dans le cul de la belle, où il devait lui envoyer de longues et bonnes giclées...

Mais nous n'en avions pas fini! Il lui en fallut encore! C'était sans compter avec l'insatiabilité de Gisèle. Quand Georges eut déchargé, et qu'il se soit retiré de son cul, elle s'est accroupie dans la douche. Elle a poussé sur son cul pour expulser le foutre de son enculeur et a voulu s'en régaler... Elle recueillait au bout de ses doigts, qu'ensuite elle suçait avec application et gourmandise. Puis pour terminer, alors qu'elle était encore accroupie, elle a voulu qu'on lui urine dessus :

- " Oh oui, dit-elle, j'aime beaucoup voir les hommes pisser! J'aime voir le trou par où ils déchargent quand ils me pissent dessus!... J'aime que leur pisse me coule sur les seins, entre les seins, coule sur ma chatte aussi!... Je me branle avec leur pisse... Il m'arrive même d'en boire un peu pour retrouver le goût de chaque mec... Franck, pisse-moi bien dans le bec! Là comme ça... Putain que c'est bon! C'est chaud... J'avale... A toi Georges!... C'est super, il y a un peu de ton foutre encore avec!... Les femmes qui n'osent pas ça, manquent beaucoup de choses!!... "

Nous nous sommes remis un moment sous la douche pour nous laver de tout...

A 10 heures du matin, je me pris à penser que, sans doute, mon neveu n'avait pas dû avoir une nuit de noces aussi belle et aussi agitée que la mienne!!

Epilogue.

Lorsque tous les trois, nous sommes revenus au mariage, il devait être près de 13 heures. Il faut vous expliquer que dans les mariages traditionnels et un peu huppés de province, les festivités de la noce durent 2 à 3 jours. La plupart des invités reviennent le lendemain pour, comme le veut la tradition, "manger les restes"!

Il y avait là de nouveau la belle Marielle, mais cette fois avec son mari. Lorsque je l'aperçus, mon cœur se serra. Je devais avoir eu le coup de foudre pour cette jolie femme rousse dont je vous ai parlé plus haut! Lors de nos frasques à l'hôtel avec la grande Gisèle j'avais à plusieurs reprises, beaucoup regretté qu'elle ne soit pas des nôtres...

La revoyant ici, si belle encore et tellement désirable, je sentis ma bite se mettre à bander. Une magnifique érection que je ne pouvais en rien réprimer, et ce malgré la nuit que j'avais passée! Lorsque je m'approchais d'elle pour la saluer, je vis furtivement qu'elle avait remarqué la bosse dans mon pantalon. Elle m'adressa un signe plein de sous entendus. Puis, lorsqu'elle se tourna pour embrasser Gisèle qui arrivait à sa hauteur, adroitement elle se frotta les fesses à ma protubérance, à travers le tissu. L'effet fut immédiat : je larguais dans le slip ce qui me restait de foutre de la nuit! Hélas, j'avais un pantalon clair et très vite un cerne humide se forma au niveau de ma braguette. Je dus en vitesse ramener ma veste devant pour dissimuler la bosse mouillée aux regards des convives... Je remarquais que la belle Marielle, par contre n'était pas dupe, car je surpris son regard amusé sur mon geste. Elle m'adressa un sourire et un clin d'œil discret, qui scellèrent notre complicité...

Un peu avant le repas, elle s'arrangea pour glisser dans ma poche une petite carte. Elle y avait écrit de sa main :

" Mon chéri, j'ai vraiment beaucoup aimé ces moments trop courts avec toi... Je te donne l'adresse de l'hôtel où je descends à Paris. J'y vais assez souvent, seule ou en compagnie de Gisèle. Donne-moi ton téléphone et je t'appellerai lors de mon prochain voyage. Je t'embrasse partout.

Marielle."

Je m'arrangeais pour lui glisser mon téléphone...

Je l'ai revue, la belle Marielle et assez souvent je dois dire... Avec beaucoup de plaisir... Et je l'ai revue aussi avec la grande Gisèle ; toutes les deux ensembles... Ce fut là encore super!

Et là, lors d'une de ces rencontres, notre intimité grandissant, la rousse et belle Marielle, me fit une confidence. C'était une ancienne "fille de l'Est", comme on les appelle, elle avait "professé" à Milan, puis à Marseille, où lors d'une passe, elle avait rencontré son mari, un haut fonctionnaire qui s'était donné bonne conscience en voulant la sortir de là... Il n'empêche elle n'avait pu rompre complètement avec son ancienne vie. Elle avait besoin de temps à autres... d'autre chose! "Chassez le naturel, il revient au galop..." et ce pour notre plus grand plaisir!

Mais cela, c'est une autre histoire...

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