Un Amour Non Conventionnel 01

Informations sur Récit
Ma rencontre avec Beth.
1.7k mots
4.33
8k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 01/19/2021
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

J’ai rencontré Beth lors d’une soirée organisée par un ami commun. Nous étions inscris dans la même université, moi dans des études d’informatiques, et elle, dans des études de ressources humaines. Ce fut le coup de foudre immédiat, du moins pour moi. Beth était ce qu’on appelle « un canon ». Une petite beauté blonde, fine, avec de petits sein bien fermes et des jambes de déesses. J’étais subjugué et intrigué…et cela a dû se voir, car

- Elle s’appelle Beth, me souffle mon ami Jean. Mais attention, ça brule. Elle a une sacrée réputation, et dirige « à la baguette » tous les mecs qui croisent son chemin. Elle vient de larguer le dernier en date, un certain Thomas je crois, pas plus tard qu’hier soir.

- Ah bon. C’est pour ça que tous ces mecs tournent autour d’elle…La place est libre. Pourtant je lui trouve un petit air triste et agacé !

Beth a dû le voir aussi, car elle s’est mise à regarder dans ma direction. N’étant pas ce qu’on appelle un Apollon, même si je sais que je ne suis pas affreux, j’ai regardé derrière moi pour voir qui elle regardait. Il n’y avait personne. C’est alors que je l’ai vu sourire.

Elle a planté toute sa cour, et s’est dirigé vers moi.

- Salut. Moi c’est Beth. Tu voulais me dire quelque chose ?

- Euh…Salut. Pierre. Mon regard a juste été ébloui, et j’ai constaté que vous en étiez responsable. Je vous ai trouvé un air triste, alors que vous étiez entouré de beaux garçons. Ça m’a interpellé. Veuillez m’excuser.

- Oh ceux-là ? Ils ne valent rien. Ce sont tous les mêmes. Ils ne pensent qu’avec leur « membre » viril. Je me suis séparé de mon mec hier soir. Il a osé me tromper avec une pouffiasse, d’où mon « air triste ».

- Je suis désolé. J’ai du mal à comprendre comment on peut imaginer aller voir ailleurs quand on a la chance d’être aimé par une déesse.

- Qu’est-ce que tu as dit ?

- Euh…Veuillez m’excuser. Je disais que votre ami ne savait pas la chance qu’il avait…

- Non ce n’est les mots que tu as employés.

- Je voulais dire qu’il avait fait une grossière erreur.

- NON. Tu as employé le mot « être aimé par une déesse ». Précise ta pensée.

- Veuillez m’excuser. Je voulais juste dire que vous êtes TRES belle, et que c’est insensé d’imaginer même vous tromper.

- Que doit-on à sa déesse ?

- Comment ?

- Que doit-on à sa déesse ?

- Euh… dévotion, foi inébranlable, servitude….

Beth resta bouche bée. Elle me regarda droit dans les yeux sans prononcer un mot pendant un temps qui m’a paru une éternité. Je baissai les yeux et commençait à rougir. Puis elle me fit un grand sourire.

- Pierre. Cette soirée est ennuyeuse. Que dirais-tu si on s’éclipsait tous les deux dans un endroit plus calme ? Tu habites loin d’ici ?

Je n’en croyais pas mes oreilles.

- A 10 minutes d’ici à pied environ. J’ai un petit studio.

- Allons-y

Nous avons pris nos affaires et sommes parti sans dire un mot. Tout le monde nous regardait.

- C’est sympa chez toi. Et c’est propre. J’avais peur de trouver un taudis, comme chez la plupart de ces mecs sans valeurs

- J’aime la propreté et que tout soit bien rangé. De plus quand on vit dans un petit studio, c’est vital. Je n’ai pas grand-chose à vous offrir. Bière ? café ? ah si je dois avoir un Sancerre…

- Humm…tu as bon gout. Un verre de Sancerre s’il te plait.

J’ai été cherché 2 verres à pied et débouché la bouteille. Mes mains étaient moites et je tremblais un peu. Beth a esquissé un petit sourire au coin de ses lèvres.

- Je ne sais pas ce qu’on t’a raconté sur moi mais sache que je ne mors pas. Détend toi et buvons. J’imagine que tu n’as pas beaucoup l’habitude de recevoir des filles ici ?

- Non effectivement.

- Tu es puceau ?

- Euh…je n’ai pas beaucoup d’expériences, mais néanmoins je ne suis pas vierge.

- Raconte-moi.

- Une fille s’est intéressé à moi il y a 2 ans. Elle s’appelait Isabelle. On a flirté quelques temps, puis un soir elle a voulu aller un peu plus loin. Ça ne s’est pas vraiment bien passé. A priori, je ne l’ai pas impressionné. Une fois fait, elle m’a demandé si j’avais fini et a ri de moi. J’ai pris mes affaires et suis reparti aussitôt. Elle ne m’a jamais plus adressé la parole. Depuis, j’évite de parler aux femmes.

- Elle t’avait sucé ?

- Non

- L’Idiote ! Il faut toujours sucer son mec pour qu’il éjacule rapidement. Sinon l’excitation est trop forte et il ne dure pas. La 2ème bandaison dure toujours plus longtemps. La 3ème est la plus intense et jouissive. Tu l’avais léché ?

- Oui. Ça avait l’air de lui avoir plu. Elle a crié plusieurs fois et était trempée.

- L’idiote ! Elle avait un joyau et n’en était même pas consciente.

Beth me regarda droit dans les yeux, et commença à déboutonner sa jupe. Puis elle se leva et la fit tomber par terre. Beth se tenait devant moi, habillée seulement d’un string en dentelle et de ses hauts talons. Elle me releva ensuite et défit ma ceinture, déboutonna mon pantalon, puis le descendit complétement. Elle mit sa main dans mon caleçon, soupesa ma verge, puis baissa mon caleçon. Elle s’assit sur le canapé. Je restais debout, tétanisé. Beth commença à me sucer. J’étais au paradis. Puis rapidement je sentis la tension monter et savais que je n’allais plus tarder à éjaculer. Je tentais alors de me dégager, mais elle se cramponna et ne me laissa pas m’échapper.

- Beth, arrêtez, je vais jouir….

Et ce qui devait arriver, arriva. Je jouis, expulsant ma semence dans sa bouche. Elle n’en perdit pas une goutte et avala tout. Elle avait un grand sourire. J’étais terrorisé. Je revivais mon pire cauchemar.

- Maintenant qu’on s’est débarrassé de cette étape, on va pouvoir se focaliser sur les choses sérieuses…

- Je suis désolé Beth. Pardonnez-moi.

- Tout à l’heure, tu m’as parlé de « déesse » et de dévotion. Montre-moi.

Beth me mit à genoux et me présenta son pied. Son pied était magnifique, merveilleusement mis en valeur par son talon aiguille. Sans réfléchir je le baisai, l’embrassai, le léchai. Je n’avais plus qu’un but, celui de montrer à ma maitresse tout l’amour, toute la dévotion que j’avais pour elle.

- Bien. L’autre pied maintenant.

Je ne me fis pas prier. La notion du temps disparut. Je me dévouai corps et âme à ma tâche. Au bout d’un certain temps, que je ne saurai préciser, Beth m’interrompit, et m’embrassa à pleine bouche, jouant avec ma langue.

- Maintenant, lèche moi. Retire mon string avec ta bouche seulement.

Je n’avais pas osé l’espérer. Je m’exécutai et commençai à la lécher, j’embrassai son clitoris. J’étais comme un fou. Beth ouvrit grand les cuisses et commença à trembler, d’avoir des soubresauts. Un long râle s’échappa de ses lèvres.

- Ahhhh. OUI. OUI. Pierre, je JOUISSS. OUIIIIIIIII. CONTINUE

Son orgasme était intense et Beth mit plusieurs minutes à redescendre. Elle continuait à bien ouvrir ses cuisses et remonta ses jambes en l’air, me donnant ainsi accès à sa « petite rondelle ». Là encore je n’ai pas réfléchi. J’étais gouverné par mes instincts et j’ai léché, embrassé son anus.

Beth s’est interrompu nette.

- Je suis désolé Beth. Je ne voulais pas vous choquer. Veuillez m’excuser. Je ne le referai plus.

- Idiot ! CONTINUE. Je suis au 7ème ciel ! Jamais un homme ne m’a donné autant de plaisir. Pierre, tu es un JOYAU !!

Je me remis immédiatement à la tâche. Beth eut très rapidement un 2eme, puis un 3ème et un 4ème orgasme.

- Pierre. ARRETE maintenant. Je te veux en moi.

- Beth, j’ai peur de vous décevoir.

- Je vais te sucer. La 2eme bandaison est toujours meilleure que la 1ère. Je te l’ai dit. Ai confiance en moi.

Beth me suça à nouveau, et je me mis à bander dur immédiatement.

- Vas-y. Prends moi. Baise-moi

Je la pénétrai comme un damné. Mes va-et-vient durèrent quelques minutes, quand je sentis à nouveau cette tension familière, présage de mon éjaculation proche.

- Beth, je vais jouir

- Retire-toi et jouis sur mes pieds.

Je me retirai avec empressement et éjaculai sur ses pieds.

- C’est bien Pierre. Maintenant, nettoie et montre-moi à nouveau ta dévotion.

Je n’ai pas hésité une seconde. J’ai léché ses pieds, avalant mon sperme. Elle n’avait pas recraché mon sperme, et il n’était pas imaginable que je ne fis pas de même. Elle m’embrassa ensuite à pleine bouche. Nous partagions ma semence. Nous étions au paradis. Puis je fondis entre ses cuisses et la léchai, l’embrassai.

Nous avons fait l’amour toute la nuit. Je l’ai pénétré 3 fois cette nuit-là. Puis nous nous sommes endormi dans les bras de l’un de l’autre sur le petit matin. J’ai été réveillé par quelqu’un qui pleurnichait en silence, secoué par des petits sanglots.

- Beth ? Ça va ? Je vous ai fait mal ? Je suis désolé. Si vous ne voulez plus me voir, je comprendrai.

- Quoi ? Mais non gros Bêta. Ce sont des larmes de joie. Je t’ai enfin trouvé après toutes ces années. Tu es né pour être à moi.

- C’est vrai ?

- OUI. Tu ne me quitteras plus. Jamais un homme ne m’a rendu aussi heureuse. Tu es le meilleur amant que j’ai eu, et j’en ai eu beaucoup.

- Merci

- Vivre avec moi ne sera pas toujours facile. Tu entendras des histoires sur moi. Et je pourrais parfois me monter cruelle. Mais comme tu as su me le montrer cette nuit, ta dévotion et ta foi inébranlable en ta déesse seront des armes et ton bouclier contre les jaloux et les médisants. NE DOUTE JAMAIS DE MON AMOUR POUR TOI !

Beth s’est installé chez moi le lendemain. J’étais l’homme le plus heureux sur Terre. Et c’était le début de mon asservissement…

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Superbe récit

J'ai adoré ce récit et j'espère de tout cœur qu'il y aura une suite

OlivX

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Simplement extra !

Rudy

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE