Trouver Ma Place -- Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Chaque fois que nous entrons ou sortons d'une pièce, nous voulons que tu nous salues, tout rempli de dévotion et de disponibilité, quelle que soit la tache que tu fais. Aucun loisir bien entendu. A chaque instant la maison doit être impeccable, sans aucune excuse. Tu te lèves à 5 heure le matin pour faire toutes les corvées et ne pas nous déranger pendant la journée. Le linge est toujours propre, repassé, notre lit changé tous les deux jours et tout à l'avenant. Une fois encore tu comprendras vite qu'il ne faut pas me décevoir. Je vois toutes les imperfections tout de suite, c'est une de mes grandes qualités. J'ai oublié des choses ma chérie?

- Mmmhhh oui je crois quelques-unes, comme les toilettes, tu ne te soulages que dans les toilettes turques du sous-sol, que tu gardes impeccable de propreté, tout comme les nôtres évidemment.

- Ah oui c'est vrai, et douche glacée uniquement. Il n'y a pas d'eau chaude en bas, cela tombe bien. Impeccablement rasé, je te veux sans poils puisque les hommes adorent les femmes sans poil. Alors tu te débrouilles, je ne veux aucun poil sur toi, les cheveux au maximum à 5 mm de longueur

- On pourrait l'envoyer se faire épiler intégralement au laser?

- D'accord tu organises cela Jeanne et tu veilles à ce qu'il soit impeccable.

- Oui ma chérie

- D'autres choses que j'ai oubliée Jeanne?

- Tout ton volet plus personnel Juliette amour

- Oui tu as raison, on va terminer ce matin par cela, tu vas voir esclave, c'est la meilleure partie. J'espère que tu as tout bien écouté, tu vas vite voir que Jeanne et moi c'est un peu différent. Et sois certain que Jeanne est pleinement d'accord avec tout.

- Oh oui esclave, je suis tellement contente pour toi que Juliette ait décidé de te prendre en main, c'est vraiment incroyable à priori. Je lui fais totalement confiance. Je l'aime tellement! Tu veux dire quelque chose?

Quoi dire? Rien ne me surprend, rien ne me déstabilise vraiment sinon le sous-sol, ce qui est dégradant et ne me laisse pas indifférent. Je suis surpris de la vitesse du transfert sur Juliette, comme cette dernière prend les choses en main. Comme jeanne est séduite. Et moi donc. Je ne sais absolument pas ce que je pourrais dire.

- Merci

Les deux femmes me sourient enfin, moi je n'avais pas prémédité cette réponse. Jeanne s'en va se doucher, me laissant seul avec Juliette pour la dernière partie de son discours. J'ai une boule énorme dans le ventre, cela en est douloureux, besoin aussi de dormir après tant d'émotions. Avant sa douche, Jeanne descend à Juliette un sac dont elle sort ma ceinture de chasteté. J'avoue que j'en ai plus d'une, assez fasciné par cette chasteté, qui est aussi un rempart contre le besoin de performance permanente. Mais quand je suis enfermé, c'est une excitation et une tension permanente, et savoir que seule ma Maîtresse peut me libérer est vraiment très fort. Peu sont fiables sans un piercing du sexe, mais celle que Juliette tient en main l'est plus que toutes : une ceinture à la taille maintient la cage en elle-même avec une lanière qui passe dans la raie des fesses. Le sexe est collé entre mes jambes, seules les couilles émergent. Pour éviter de quand même tirer la peau du prépuce jusqu'à le libérer des pointes sont fixées à la base. Cela devient très douloureux dès que le sexe bouge, soit qu'on essaie de le tirer, soit qu'il bande. La ceinture rend ce dispositif très présent.

Juliette me fait le mettre et me regarde l'ajuster. J'ai du mal à ne pas bander compte tenu des circonstances mais j'arrive à fermer la cage puis à fixer la ceinture. Juliette passe derrière moi et vient la serrer de deux crans supplémentaires, c'est presque douloureux.

- Tu vas vite perdre du poids, tu verras, je ne veux pas que tu la perdes.

Elle vérifie l'ensemble, la solidité du dispositif et semble très satisfaite. Elle prend les trois clés qui ferment le cadenas et va les jeter à la poubelle. Je balbutie incrédule.

- Mais, mais pourquoi tu les jettes?

- Nous n'en avons plus besoin, je t'ai bien dit que je voulais un esclave, pas un homme.

- Mais, si j'ai besoin.

- Tu n'auras pas besoin, sinon on coupe le cadenas.

Cela ne m'amuse pas, Jeanne me libérait au bout de quelques jours, tant elle voulait m'utiliser. Je suis perdu dans mes pensées quand je me prends un camion dans la figure. Plus précisément la main de Juliette qu'elle m'a balancé à toute force sur le visage, m'assommant à moitié. Par réflexe je me remets en position, pour recevoir le même coup de l'autre côté. Jeanne aimait beaucoup me gifler, cela a un pouvoir fou de me mettre à ma place, de me sentir tout petit. Mais certainement pas aussi fort. Je me prends encore un aller et retour, avant un coup de pied entre mes cuisses, qui heureusement ne touche mes couilles que de côté. Qu'à cela ne tienne, Juliette a compris avoir raté son coup et recommence, très précisément, dans mes couilles tendues et offertes par la ceinture de chasteté. J'ai le souffle coupé, je m'effondre. Il me faut de longues minutes pour récupérer et me remettre en place, le visage brûlant des gifles reçues, les yeux remplis de larmes, le ventre douloureux.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Ravo sans concession

Il va être comblé au dela de ses espérances

A suivre

AurailiensAurailiensil y a environ 1 an

Si bien décrit et très excitant

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Toujours aussi bien écrit et aussi pervers. Bravo

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Excellent et sa vie future sera captivante

Rudy

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