Trois Sœurs: Romane et Lindsay

BÊTA PUBLIQUE

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- Allez ouvre la bouche.

Terrorisée, Lindsay obéit. L'homme sort un pieu de belle taille, et l'enfonce dans la bouche de Lindsay. Il la pénètre d'un seul coup, en entier, violant sa gorge. La jeunette crie, mais il est étouffé par la bâillon de chair plongé dans sa gorge. Il la saisit aux oreilles, il s'en sert alors pour faire aller-et-venir la tête de sa victime sur sa bite. Lindsay, bien que n'ayant jamais eus de rapports, même buccaux, sait néanmoins comment sucer. Du moins en théorie. Elle se rappelle de ce que disait les premiers mecs qu'a sucée Anne. Alors pour accélérer son viol, et surtout espérant qu'une fois vide, il n'irait pas plus loin, la jeunette se met à bouger sa langue sur le pieu dans sa bouche. A chaque fois le nez de Lindsay s'écrase contre le ventre de son bourreau. Elle a du mal à respirer avec ça dans la gorge. Surtout que l'homme u va de plus en plus fort. Lindsay l'entend respirer de plus en plus vite. Puis un liquide chaud et acre lui inonde la gorge. Il éjacule tellement profondément dans sa gorge, qu'elle est obligée de tout avaler. A peine s'est-il retiré de sa bouche, d'où coule une fine rigole de sperme, qu'une autre queue la viole buccalement, l'empêchant de reprendre son souffle. De nouveau Lindsay est obligée de sucer. Lui c'est sur sa langue qu'il éjaculera. La forçant ensuite à ouvrir la bouche pour lui montrer sa semence dedans. Avant de lui faire tout avaler et de nouveau ouvrir la bouche pour lui montrer qu'elle est bien vide. Lindsay devra ensuite sucer les quatre autres, tout aussi violent. Un lui jouira dans les cheveux, deux sur le visage et enfin le dernier sur ses petits seins.

Le blanc cagoulé lui fais ensuite retirer son mini-short et son string. Leurs dévoilant son gros cul, ainsi que sa chatte entouré d'un buisson touffu de poils brun. Si Lindsay bronze seins nus, on voit le contraste de son monokini, entre son bronzage et la vraie couleur de sa peau. Cela excite les hommes. Le blanc cagoulé la pousse sur le lit. Comme pour sa bouche, sa bite sera la première pour sa chatte.

On la jette nue sur le lit. Quatre homme saisissent chacun un de ses membres, la mettant en croix. Ils la tiennent solidement. Elle se débat, mais rien n'y fais, ils sont trop fort. Le blanc cagoulé se couche sur elle. Lindsay le supplie.

- Arrêtez, ne le faites pas, s'il vous plaît, non! Non!

Mais rien y fait, elle sent le gland du mâle contre l'entrée encore inusitée de son vagin.

- Je suis vierge! Pitié, je suis vierge!!!

Il se moque de ses suppliques, il se propulse puissamment en avant, arrachant son hymen, déchirant son vagin, cognant directement contre l'entrée de son utérus. Lindsay hurle comme une folle. Lui reste immobile en elle. Quand le hurlement de la fille se tait, il colle sa bouche contre son oreille.

- Erreur, tu étais vierge, maintenant tu ne l'es plus!

Il ne lui laisse pas le temps de répondre, aussitôt il se met à bouger dans le corps fraîchement dépucelée de sa victime. Il déclenche des hurlements de la part de sa victime tant il la besogne comme un sauvage. C'est ce qu'il cherche à faire, le plus de mal possible. Il y réussit, le gland de sa queue rentrant maintenant dans l'entrée du col de l'utérus de la femelle. Il la défonce comme un fou, la massacre de sa queue, la détruit. Puis il se fige en elle, criant son orgasme. Choquée, détruite, Lindsay n'a même pas la force de le supplier de ne pas jouir en elle, de lui dire qu'elle ne prend pas la pilule. A peine retiré, un autre homme s'enfonce dans son vagin suintant de sperme et du sang de son dépucelage. Ce dernier se met à la violer tout aussi méchamment. Puis il y en a un autre, et un autre, et un autre, puis encore un autre. D'autres et d'autres suivront encore. A la fin, Lindsay, tel un poisson, la bouche ouverte, ne pourra plus que geindre. Ne lâchant un cri que quand la douleur sera trop forte. Contrairement à Romane, elle n'aura pas eus la chance de l'alcool pour atténuer un peu l'horreur de ce qu'elle subit.

Le blanc cagoulé revient alors à la charge. Lindsay ne doutant pas que c'est lui l'instigateur de la chose, le supplie quand il monte sur le lit. Elle parle tel un murmure.

- Pitié, je n'en peux plus... Faîtes... que cela s'arrête...

Lindsay entend Romane qui hurle aussi.

- Violez ma copine... mais plus moi... par pitié... plus moi...

L'homme sourit intérieurement. Cette chienne est prête à vendre sa copine pour qu'on la laisse tranquille. Lindsay enverrait Romane dans un enfer encore pire que celui où elle se trouve déjà, pour un peu de répit. Mais pour toutes réponse il la retourne sur le ventre. De nouveau il se couche sur elle. Mais cette fois le gland de l'homme se met entre ses fesses proéminente. Il se pose contre l'entrée du dernier pucelage qui lui reste. Le même que celui par lequel Anne se fait autant prendre.

- Pas par là... Pitié... Pas par là...

Mais l'homme l'ignore encore une fois. Il commence alors à forcer. Son sphincter résiste. Il descend alors sa bite et il s'enfonce alors dans son vagin suintant de sperme et de sang de ses multiples déchirures non graves. Il se lubrifie ainsi, avant de ressortir et de remettre son engin entre les fesses de la malheureuse.

Cette fois, le sphincter ne résiste pas longtemps. Le gland est avaler dans l'anus qui s'ouvre avec un bruit déchirant. Un coup de reins de l'homme qui le fait s'enfoncer en entier dans les entrailles de Lindsay, achève de fissurer le malheureux anus. Lindsay hurle comme une folle sur l'infernale douleur. Douleur qui vainc sa fatigue, la faisant se remettre à hurler comme une folle. Elle saute et cabre tellement elle a mal, soulevant le corps de son violeur. L'homme cagoulé saisit les petits seins de la fille, il se met à les broyer à l'intèrieur de ses paumes. Puis s'en servant comme point d'ancrage, il se met à aller-et-venir en elle. Se retirant pratiquement à chaque fois, avant de s'empaler de nouveau en entier, dans un grand bruit de claque mouillée. Déclenchant des hurlements de plus en plus strident et puissant de la part de la malheureuse Lindsay. Son cul magnifique subit son viol horriblement. Son bourreau lui massacre les entrailles de son pieu. Comme si il voulait la transpercer de son engin devenu poignard, lance, épée.

Il la sodomise longtemps, très longtemps, un enfer qui ressemble à l'éternité pour Lindsay. Puis quand il éclate dans ses reins, la douleur est encore plus lancinante, plus puissante, tant la semence de son violeur, brûle ses chairs tuméfiées et à vif autant que de l'acide. Il reste quelques secondes en elle. Il se retire, et comme pour sa chatte, un autre vient prendre sa place dans le cul de la pauvre Lindsay. Le blanc soulève la tête de la fille, qui hurle comme une folle. Il enfonce alors sa bite dans la bouche grande ouverte pour nettoyer son braquemart. Un pénis tacher de sperme, de sang et de merde. Mais le goût infâme atteint à peine le cerveau de la malheureuse, tant il est occupé par la douleur qui émane de son cul détruit. Puis comme pour son vagin, c'est un défilé incessant de bite qui la sodomise. Au trentième, Lindsay ne réagit plus. Elle fixe dans le vide le lit en face. Elle n'a aucune réaction quand le corps de Romane est poussée à plat-ventre dessus. Comme un pantin au corps désarticulé, Lindsay se laisse violer. Ses bourreaux manipule son corps pour la coucher tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos, suivant qu'ils veulent violer son vagin ou son anus. Parfois même, on l'encule par devant, la faisant alors réagir un peu. Lindsay geint et grimace de douleur, tant cette position pour l'enculage est plus douloureuse qu'en levrette ou sur le ventre.

Lindsay est de nouveau tiré de son néant, quand on la pose sur un homme qui lui viole la chatte. Si cette pénétration ne lui tire aucune réaction, il en va autrement quand son nouveau violeur la plaque contre son torse. Un autre homme grimpe sur le lit, et pose son gland contre l'anus ouvert quoique contracté par la bite dans sa chatte. Quand il la pénètre, Lindsay revient à elle en hurlant, tant la douleur est effroyable, indescriptible. Comme son amie, les double-viols se succèdent alors pour la malheureuse.

Lindsay et Romane:

Les hommes ne manquent pas d'imagination pour tout ce qu'ils font subir à leurs proies. A un moment, Romane est piquée par une aiguille dans le bras.

- C'est pour t'empêcher de dormir, toi et ta pute de copine, avaient encore beaucoup de bites à satisfaire.

Romane veut répondre, mais déjà une bite lui force la bouche, tandis qu'une seconde s'enfonce dans son anus grand ouvert. Du coin de l'œil elle voit que Lindsay est piquée elle aussi. Puis on descend encore d'un cran dans l'effroyable pour les deux femelles humaines. Deux bites s'enfoncent dans leurs chatte, une dans leurs anus, une dans la bouche et une dans chaque main. Elles sont violées comme cela par cinq hommes à la fois. Des fois les plaisirs sont variés, si la bite dans la bouche et celle dans chaque main ne change pas, c'est dans les deux autres orifices qu'il y a de l'innovation. Une bite leur viole leurs chattes massacrées, tandis que deux autres forcent leurs anus. Les faisant hurler à la mort.

Le jour envahit la pièce, mais les viols a plusieurs ou en solo continuent pour les deux victimes. Puis il y a de nouveau la nuit. Puis de nouveau le jour. Mais jamais le nombre de queue ne diminue ou ne se tarit. Par moments on les faits s'allonger l'une sur l'autre, en soixante-neuf. On les contraints à se lécher l'anus et le vagin dégoulinant de sperme. Avec leurs langues, jusque à ce que les orifices soient propre.

A un moment, elles sont misent à quatre pattes, une bite dans la bouche. Romane et Lindsay sentent un poids énormes monter sur le lit, enfonçant le matelas. Il y a un halètement. Un sexe énorme, se colle, d'abord contre leurs vagins. Des griffes puissantes se plantent dans leurs seins, d'où se mets à couler des fines rigoles de sang. Puis l'engin leurs massacrent leur chattes. Elles hurlent comme des folles, malgré le bâillon de chair dans leurs gorge quand les deux chiens les violent de leurs bites, leurs enfonçant leurs boules énorme. Mais le pire vient quand les deux chiens suivant les enculent.

Mais ce n'est pas fini pour l'enfer des deux néo-putains. Elles ont droit à des fist anaux ou vaginaux, puis à des double-fist. Avant d'atteindre le panthéon de l'horreur, par un viol vaginal à l'aide d'une batte de base-ball, puis d'un viol anal avec la même batte, pour finir par une double-péné avec deux battes.

Leurs viols atroces durera une semaine. Une semaine non-stop, jusque à ce qu'elles s'évanouissent enfin, les drogues malgré leurs puissance ne faisant plus effet. Quand Romane se réveille, Lindsay est couchée à côté d'elle sur le lit. On ne les a pas nettoyées. Ni l'une, ni l'autre. Le blanc cagoulé est là. Il soulève la tête de Romane, la forçant à regarder Lindsay. La pauvresse est couchée sur le dos, dans une position obscène. Ses poignets sont attachés à chaque cheville. Le droit à la cheville droite. Un gode énorme est enfoncé dans son vagin, l'autre dans son anus, elle en a un aussi dans la bouche. Lindsay hurle, mais le gode dans sa gorge absorbe le son. La douleur est terrible. Romane ne voit que la base des godemichés. Mais le blanc cagoulé tourne la tête de Romane vers lui. Il lui sourit.

- A ton tour.

D'abord on lui attache le poignet droit à la cheville droite, puis le poignet gauche à la cheville gauche. La même position obscène est alors pris par le corps de Romane. Cuisse grand ouverte, lui ouvrant complètement vagin et anus. Il lui enfonce un gode dans la gorge, qu'il fait tenir, comme pour Lindsay, à l'aide de lanière de cuire attachées derrière la tête. Puis il prend un autre gode, qu'il montre bien à Romane. Un de ces engins de mort, moulé sur un bras humain. Trente centimètres de long, pour dix de diamètre. On le lui enfonce dans le ventre, un second lui est enfoncer dans l'anus. Romane hurle comme une folle, mais le son travers à peine le gode dans sa gorge. Puis le pire arrive, quand, comme pour son amie, les godes se mettent à vibrer dans ses orifices. Des bras puissants les soulèvent, puis on les sorts de la maison. Les deux filles sont jetées à l'arrière d'un van, qui démarre aussitôt. Le blanc cagoulé et quatre hommes sont avec elles. Il y en a trois à l'avant, le drôle d'équipage se met alors en route quand le van démarre.

Ils roulent une bonne heure, avant que le van ne s'immobilise. On a enlevé le gode bâillon des filles, elles ont dut sucer chaque homme durant le voyage. A l'arrivée, les hommes ne remettent un gode que dans la gorge de Lindsay. Elles sont sortis du véhicule, on est dans un hangar abandonné. Elles sont jetées sur le sol. Ils laissent près de chacune deux bidons d'eau de dix litres, avec un tuyau ressortant de chacun pour qu'elles puissent boire. L'homme cagoulé regarde Romane.

- Je vais mettre ton téléphone dans un coin du hangar. Il est allumé et mis sur commande vocale. A toi de le retrouver. Tu pourras appeler qui tu veux. Tes parents, les flics, le samu. Peu importe. Tu es au vieux hangar, 22 rue abandonnée.

Il lui caresse les cheveux.

- Les godes en vous on une autonomie de plusieurs jours, alors ne compte pas sur le fait qu'ils s'arrêtent pour ramper plus vite. Bonne chance.

Les hommes s'éloignent. Romane hurle :

- Ne nous laissez-pas ici!!!

Mais rien y fait, ils remontent à bord du véhicule et repartent. Romane n'a pas vu où ils ont laissé son téléphone. Personne ne les recherchera, je sais où est ma fille, tandis que le père de Lindsay est mort, et que Sheila, la mère de la jeune fille est à bord d'un cargo où elle est violée sauvagement tout du long de la traversée.

Après le viol de Sheila et la mort de son mari, nous sommes rentré chez nous, avec Pierre et Kevin. Mon neveu à dormi avec la petite black, mon frère avec Roxane et moi avec Anne. Anne et moi, si nous étions en couple, nous étions un couple libre. Elle a couché régulièrement avec Pierre et Lorenzo. Cela ne m'a jamais dérangé, vu que je me suis fait toutes les filles que l'on à enlevé pour Kevin. J'ai également eus d'autre relation, avec des filles que j'ai agressé pour mon seul plaisir. Bref, la semaine de viol de ma fille Romane et de son amie Lindsay se passe parfaitement pour moi. On en profite pour donner à Radiu la petite black et les deux italiennes. On enlève à la place, un trois jeune étudiante. Une blonde, une brune et une rousse. Séparément. Toutes avec de gros seins et un cul bien en chair mais ferme. Grâce au flics qui bossent pour Radiu, la police conclura à des fugues et n'entreprendra aucune recherches. Romane mettra trois jours pour trouver le téléphone. Je suis en train de me faire sucer par Anne, quand mon portable sonne. En voyant le nom de Romane s'afficher à l'écran, je gicle dans la bouche de Anne qui avale-tout. Grâce au caméra placé dans la maison, j'ai assisté en direct à ce qu'on subit Romane et Lindsay. J'ai également des caméra dans le hangar où elles se trouvent. Je décroche, tout en allumant la télé. Je vois Romane, sur les genoux, parlant avec difficulté sur son téléphone, posé sur le sol, à côté de sa bouche.

- Allô?

- Papa, c'est Romane...

Ma fille parle difficilement, les godes vibrant toujours dans ses orifices. Elle parle dans un murmure, j'entends à peine ce qu'elle dit.

- Romane!!! Tu es où? Cela fait dix jours que l'on vous cherche!

- Papa... On a été... enlevée... violée...

- Quoi?

- On est... au vieux hangar... 22 rue abandonnée...

- J'arrive ma puce, j'arrive...

- Plus de force... parler...

Le silence s'est fait. Je raccroche. Je regarde Anne, mon amour.

- Je vais chercher ta sœur et Lindsay. La suite du plan va pouvoir se dérouler.

Je suis parti avec Pierre.

On est arrivé une heure plus tard. Les deux filles sont sur le dos, attachées, jambes grandes écartées. Les godes vibrent toujours. Je m'approche de Romane, j'enlève ses godes, Pierre fais pareil avec Lindsay.

- Romane, ma chérie, le Samu arrive, Pierre va vous examiner en premier.

- D'accord... papa... Détache...nous...

- Je ne peux pas, je n'ai pas les clés des menottes.

Je regarde de plus prés le corps des deux salopes. Elles sont bien marquées, surtout Lindsay, dont le visage montre les marques des coups qu'elle a reçu au début. Son œil droit est fermé, tout sa joue droite est bleu, tout comme son œil. J'enlève les godes du vagin et de l'anus de Romane. Pierre fait de même avec Lindsay. Mon frère commente.

Il va falloir recoudre analement et vaginalement. Et faire une reconstruction vaginal et anal également. Mais ce sont de petites opérations dont je peux me charger seul. Sous anesthésie bien entendu.

- Bien Pierre, en matière de soin c'est toi l'expert.

Les deux chiennes ont tellement été violées que leurs anus et leurs vagins restent ouvert. Je pourrais y mettre deux doigts sans en toucher les bords. Mais au lieu de ça, je me couche sur Romane, qui ne comprend pas ce que je fais. Je baisse ma braguette pour en faire sortir ma bite dure comme jamais.

- Papa, tu fais quoi? Tu fais quoi?

- Chut, tu es trop tentante comme ça. Je vais te baiser un peu...

- Pitié papa, pas toi... Pas toi...

- Si moi!

- Argh!!!

Romane crie quand je la pénètre. Son vagin est large, plus rien avoir avec la chatte de pucelle qu'elle avait avant de se faire violer la première fois. Mais cela reste agréable pour ma queue. Ma fille quand à elle, est trop épuisée pour hurler, aussi se contente-t'-elle de gémir de douleur quand j'entreprends de la violer.

Pierre quand à lui s'est agenouillée entre les cuisses de Lindsay.

- Pitié... pas encore... pas encore... je n'en peux plus...

Pour toute réponse, Pierre la pénètre d'un seul coup. Lindsay non plus ne hurle pas, trop détruite pour cela, comme Romane, elle gémit de douleur. Pierre se penche alors sur l'oreille de sa victime.

- Au faits, ton père est mort, et ta putain de mère est en route pour l'Afrique où elle va faire la pute pour des milliers de black dans une mine de diamant.

En entendant ces mots, Lindsay se mit à hurler encore plus fort.

Lorenzo est rentré chez moi, après avoir violé Romane et Lindsay par chacun de leurs orifices. C'est lui l'homme cagoulé. Une fois à la maison, il rejoint Anne dans sa chambre. Ils feront l'amour pendant deux heures. Ma nymphomane de fille aînée, ayant plusieurs orgasmes. Moins fort qu'avec moi, mais des orgasmes quand même. Anne a du sperme qui coule de son vagin et de son anus.

- Putain, ce que tu m'a mis Lorenzo. Tu es vraiment un bon coup.

- Meilleur que ton père?

- Non, il ne faut pas pousser. Je dirais le deuxième meilleur coup de ma vie, mais loin derrière mon papa, lui c'est un vrai dieu du sexe! (NDA: Bon, OK, cette phrase, je l'ai rajoutée pour me faire mousser, elle n'a peut-être pas dis-ça exactement comme cela, mais pas loin...).

- Et en baise, tu t'y connais vraiment.

Anne rigole de la boutade de Lorenzo.

- Oui, d'ailleurs, maintenant que tu m'y fais penser.

Ma fille se lève et va fouiller dans son sac, elle revient avec un billet de cinquante euros à la main. Elle le tend à Lorenzo. Il prend le billet en souriant.

- C'est pour ma performance de ce soir?

- Tu es con. Non, c'est pour notre pari que tu as gagné.

- Énumère tout, S'il-te-plait!

- Tu le sais bien.

- Oui, mais je veux te l'entendre dire.

- OK, tu as gagné.

- Je sais. Vas-y

- Oui, ton plan à marché à merveille. Oui tu as eus raison sur toute la ligne. Mon père est amoureux de moi. Oui, tu as eus raison, lui faire croire que mes sœurs et Lindsay m'avaient faites violer alors que c'est moi qui me prostituer de mon plein gré parce que je suis une nympho à été un jeu d'enfant. Oui, tu as eus raison, en le guidant juste un peu, il me vengerait d'elle, en le faisant subir ce qu'il croyait qu'elles me faisaient subir. Oui tu as eus raison, de cette façon, il n'aime plus que moi et il déteste Romane et Roxanne, sans parler de Lindsay. Mais bon, tu es gagnant toi aussi, car tu as réussis à te faire ces trois connasses de pucelles. Tu as exécuté ton fantasme.