Trois Hommes et Un Coup Fin 07

BÊTA PUBLIQUE

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Peut-être cela a-t-il guidé son choix. Toujours est-il qu'il a opté pour une pipe. Sa femme lui a parlé, sans savoir qu'elle donnait des directives à son propre époux :

- Déshabille toi. Je veux te caresser partout.

Il a hésité mais il l'a fait. Il était vraiment à poil sur le parking, devant tout le monde. Elle a promené ses mains sur tout le corps. Une aveugle aurait reconnu le modelé de la plastique. Pour Sylvie, c'était juste un autre type qu'elle allait faire jouir.

- Allonge toi sur la voiture.

Il est monté sur la capot, obéissant à sa femme. Il a pris la position qu'elle avait pour son premier coït, sur le dos, les genoux en l'air et les pieds posés sur la carrosserie. Sylvie a cherché l'entrejambe à tâtons, a pris la bite dans une main et les couilles dans l'autre, s'est penchée et a commencé à sucer son mari. Ses seins touchaient les fesses. Elle nous offrait la vision de son cul, avec le début de sa fente. Le mari a tendu son cou et a pris la tête de sa femme dans ses mains, lui caressant les cheveux.

Je me suis approché d'eux et j'ai dit à l'oreille de Patrick :

- Enlève lui son bandeau.

J'avais pris le ton de l'injonction. Il m'a regardé avec un air de panique. Il ne pouvait pas me dire qu'il ne voulait pas que sa femme sache, puisque je n'étais pas censé savoir qu'il était l'époux. Il ne comprenait pas pourquoi je lui demandais de faire ça. Pourquoi ça tombait sur lui? Je l'ai fixé sans pitié. Il a compris qu'il n'y avait pas d'échappatoire, que d'une part je ne céderais pas mais qu'en plus, il me suffisait de faire un geste pour débarrasser Sylvie de son masque.

Elle continuait à le sucer, sans se douter de ce qui se jouait. Elle attendait qu'on lui rende la vue pour qu'elle puisse regarder la suite. La mort dans l'âme sans doute, il s'est résolu à défaire le foulard. Elle a levé les yeux pour découvrir à quoi ressemblait son partenaire. Elle est restée bouche bée, la queue de son mari dans la main. Lui avait un regard de chien battu. Il semblait s'excuser : c'était un comble.

Je me suis adressé à Sylvie, pour en quelque sorte stopper ce moment de gêne et reprendre le cours normal, si je puis dire :

- Ça te dirait que quelqu'un te prenne par derrière pendant que tu suces ton mari?

J'avais parlé assez haut pour que tout le monde en profite. Peut-être que certains parmi ceux qui attendaient leur tour ne comprenaient pas qu'en utilisant le mot « mari », j'exprimais la simple vérité de l'état civil.

Les femmes ont cette capacité de très vite retomber sur leurs pieds. Quand Sylvie a vu que son mari était penaud, elle l'a enfoncé dans sa soumission, prenant même plaisir à le provoquer.

- Oui, je veux que quelqu'un vienne m'enculer!

Le premier de file s'est avancé. Elle lui a précisé :

- Tu vas te branler dans mon cul mais quand tu seras prêt à gicler, tu sortiras et tu viendras jouir dans la bouche de mon cher époux. Il se fera un plaisir de te vider les couilles. N'est-ce pas mon chéri?

Patrick était encore plus malheureux. Il semblait supplier sa femme de revenir sur ses paroles. Son sexe s'était recroquevillé dans la main de sa femme. Il était de la taille d'un petit escargot. Elle insista :

- Dis nous bien fort que tu veux qu'il jouisse dans ta bouche. Dis le!

Il a bredouillé quelque chose d'inaudible, qui n'avait rien à voir avec ce qu'exigeait Sylvie. Sans doute une dernière tentative pour lui faire changer d'avis, probablement en vain.

- Répète exactement mes mots : « Encule ma femme s'il te plaît et vient jouir dans ma bouche. Je vais te vider les couilles et je vais te nettoyer la bite ».

Elle lui faisait subir l'humiliation que je lui avais moi-même infligée quelques semaines auparavant, sur le même parking. En sommant son mari, elle lui a serré les couilles. Patrick a fini pas obéir, comprenant que son refus ne faisait qu'exciter le sadisme de sa femme. Il a dit, d'une toute petite voix :

- Encule ma femme s'il te plaît.

Mais il n'est pas allé pas plus loin. Sylvie est revenue à la charge, lui pinçant un téton :

- Continue, dis la suite, très haut pour que tout le monde t'entende bien.

Et il a fait ce qu'elle voulait. Les spectateurs étaient silencieux, mais on les sentait terriblement tendus par l'excitation. La foule aime les mises à mort et là, tous venaient d'assister à ce qu'ils considéraient comme l'humiliation suprême d'un mari par son épouse.

D'ailleurs, celui qui était derrière Sylvie l'a prise brutalement, attrapant ses hanches et lui enfilant son dard dans le cul. C'était un splendide coup au but. Il l'a bourrée à toute allure. Sylvie a relevé la tête, pressé ses fesses sur le pubis de celui qui la fourrait et fermé les yeux. Elle a senti dans sa main que Patrick reprenait de la vigueur. Il regardait sa femme se faire prendre. Il voyait les seins ballottés et il l'entendait souffler à chaque coup. Il s'est décalé un peu pour pouvoir contempler la fornication. Sa queue était raide. Sa femme l'a laissée pour s'appuyer sur ses deux bras. La bite de Patrick dodelinait. Elle était tellement ferme qu'elle restait dressée dans l'air. Le type a soudainement sorti son sexe, est monté sur le capot, a pris Patrick par les cheveux et lui a collé son nœud sur la bouche. Il lui a dit :

- Ouvre! Fais moi ce que tu m'as promis!

Sylvie a repris les couilles de son mari en main et les a serrées à nouveau. Patrick a dû se résoudre à ouvrir ses lèvres. L'homme l'a pénétré. Il est ressorti et lui a ordonné de garder la bouche ouverte. Il s'est masturbé sous son nez et au moment de jouir, il lui a enfourné son sexe jusqu'à la glotte. On l'entendait crier et on voyait ses fesses se contracter, avec des coups de bassin vers l'avant, au fur et à mesure de ses giclées. Patrick en avait plein les gencives. Il en ressortait et ça coulait sur son menton.

Sylvie continuait à lui serrer les couilles. Elle lui a ordonné d'avaler. Il a refermé la bouche et on l'a vu déglutir. Il semblait à bout de force, résigné. L'homme est reparti, Sylvie s'est reculée et son mari s'est relevé, se positionnant sur ses genoux, la queue toujours en érection, du foutre autour des lèvres.

Le suivant est arrivé. Sylvie s'est allongée sur le capot, reprenant la position qu'elle avait quand elle s'est pissée dessus. Elle semblait ignorer son mari qui pourtant était juste à côté d'elle. Lui la regardait. Elle a demandé :

- Encule moi et fais moi jouir avec tes doigts dans ma chatte.

L'homme s'est déculotté et l'a prise. Ça rentrait tout seul. Elle avait le cul poisseux et la rondelle bien distendue. Elle avait basculé ses jambes et ses genoux lui arrivaient presque au niveau de ses oreilles. Elle se maintenait le haut des cuisses à deux mains. Elle faisait l'effort de lever la tête pour ne rien perdre du spectacle de l'homme qui la besognait.

Patrick regardait. Il a pris son sexe dans sa main. Je voyais qu'il avait envie de se masturber, mais il n'osait pas le faire devant tout le monde. Il était très exposé, à genoux sur le capot. Il ne pouvait rien cacher. Il pressait sa verge.

L'homme a commencé à branler Sylvie, laissant son sexe coulisser tout seul. Il y mettait ses deux mains, pour fourrer le vagin et tirer sur le bouton. Elle l'encourageait, lui disant qu'elle allait jouir sous ses doigts, lui donnant des consignes qu'il suivait à la lettre. Patrick ne s'est plus contenté de comprimer son envie. Il a commencé à bouger sa main. Il montait et descendait le long de la hampe de quelques millimètres tout au plus, pensant que ça ne se verrait pas. Un type lui a ruiné ses illusions en criant :

- Vas-y, branle toi! Ça t'excite de voir ta femme se faire mettre!

Sylvie ne faisait pas attention. Elle était concentrée sur son propre plaisir. Elle haletait et avait les yeux grand ouvert, exorbités. Ça rappelait une femme en train d'accoucher à la clinique, les mains servant d'étrier pour lever les cuisses et les écarter. L'homme lui perçait la vulve à deux doigts. Patrick n'a pas pu se retenir. Il a accentué son branle petit à petit, se désinhibant progressivement, jusqu'à se masturber sans complexe en regardant le visage de sa femme déformé par la tension. Elle, elle avait les yeux perdus, tournés vers ceux de l'homme qui la sodomisait et qui la menait à l'orgasme, mais la pensée totalement accaparée par je ne sais quel fantasme. Elle a poussé un petit cri, qui s'est prolongé, s'amplifiant. L'homme s'est arrêté, la laissant profiter de sa jouissance. Elle continuait de bramer, sans se soucier des autres. C'est à ce moment que Patrick a éjaculé, lui aussi poussant un grognement, modeste en comparaison.

Avec Jacques, on a décidé de terminer la séance. On a prévenu ceux qui attendaient encore leur tour. Ils étaient très déçus mais malgré tout, on leur avait offert un spectacle qu'ils n'oublieraient sans doute pas de si tôt.

Nous avons informé Patrick et Sylvie et nous sommes remontés en voiture, elle avec moi et Patrick avec Jacques.

*

Sylvie

Quand on est arrivé au parking, Serge m'a fait mettre un bandeau sur les yeux. J'avais l'impression qu'il voulait que je reste dans les conditions du gloryhole : faire mais sans voir. J'avais quand même eu le temps de regarder l'attroupement qui assistait aux ébats dans les deux autres voitures présentes. Je me doutais que Serge allait me faire prendre à la chaîne comme cette femme que j'avais vue la première fois. Je le voulais.

Serge m'a fait sortir de la voiture. On a fait quelques pas. Il me tenait par le bras pour me guider. J'avais un peu froid parce que j'étais toute nue. Il m'a fait allonger sur le capot. C'était bien chaud, à cause du moteur qui avait tourné.

J'ai senti qu'on venait entre mes cuisses. Un homme m'a pénétré. Je me suis dit ces mots crus : « je me fais baiser par un inconnu sur un capot de voiture ». Il me faisait l'amour et ça me plaisait. J'avais vraiment du plaisir à le sentir en moi. Je lui offrais mon sexe, j'avais envie de l'avoir plus profond, je levais mes jambes et j'écartais mes cuisses pour m'ouvrir encore plus. Il a joui et j'ai senti son sperme m'inonder.

Les hommes se sont succédés. Au fur et à mesure des saillies, je prenais de l'assurance. Je décidais moi-même de la façon de me faire baiser. Je donnais des ordres, avec les mots les plus crus que je trouvais. Je voulais que tout le monde entende, que ça excite les autres qui attendaient leur tour.

Je me rendais compte que je devenais de plus en plus dominatrice.

Ils ont continué à me baiser, les uns après les autres, sans relâche. Je devenais exigeante, demandant qu'on me prenne par mes trois trous, avec tout de même une prédilection pour la sodomie. Jacques m'avait vraiment fait aimer ça : on pouvait me faire jouir avec les doigts tout en me pistonnant avec une bite.

J'ai demandé à un homme de se déshabiller entièrement. Je ne pouvais pas voir s'il m'avait obéi mais j'ai vérifié en le caressant un peu partout. Il était effectivement à poil, pas même avec ses chaussettes. Je l'imaginais, exhibé devant tout le monde sur le parking. Je l'ai fait allonger sur le capot et j'ai commencé à le sucer. Soudain, j'ai entendu Serge qui lui demandait de m'enlever mon bandeau. Ça m'a tout de suite excitée parce que j'étais curieuse de revoir la scène, avec les hommes qui se tripotaient en attendant de pouvoir me posséder. Je ne comprenais pas pourquoi l'homme hésitait à le faire mais il a mis du temps à se décider.

J'avais aussi envie de voir à quoi il ressemblait. J'ai senti qu'il dénouait le foulard. J'avais le visage penché sur son pubis et je gardais la tête baissée pour lui faciliter la manœuvre. Dès que j'ai été libérée, j'ai levé la tête et ça a été la douche froide. Le type que je suçais, c'était mon mari! En un instant, je mesurais à quoi il venait d'assister. Il était au milieu de tous ces hommes qui me prenaient. Il les avait vu me remplir de leur foutre, m'en mettre partout. Et plutôt que de ruer dans les brancards, monsieur faisait la queue comme tout le monde pour attendre son tour. C'était incroyable!

Il me regardait. Lui n'était bien sûr pas surpris puisqu'il me voyait depuis un bon moment déjà. Mais il n'était pas fier pour autant. Il avait dû penser qu'il pourrait baiser et repartir sans que je le sache. Et là, il se sentait piégé, pris en faute. C'est moi qui aurait dû me sentir penaude de me faire surprendre en flagrant délit d'adultère, et quel adultère! Au lieu de ça, c'est lui qui était piteux. Serge a proposé qu'on m'encule pendant que je suce mon mari. Il a bien insisté sur le mot « mari ». J'ai compris qu'on l'avait piégé. Serge et Jacques avaient décidé de tout lui montrer.

J'ai eu envie de l'humilier devant tous les autres, comme si ce qu'il subissait déjà n'était pas suffisant. J'ai accepté qu'on me sodomise. Ça me survoltait même de me faire prendre par le petit trou devant mon époux. Lui n'y avait jamais eu droit. Mais en plus de me faire enculer sous ses yeux, j'ai exigé que celui qui le ferait aille jouir dans la bouche de mon cher et tendre époux. J'ai même ordonné à Patrick d'en faire lui-même la demande. Je l'ai forcé à le dire à voix haute en lui faisant mal jusqu'à ce qu'il cède.

Ça a galvanisé l'homme qui est venu me prendre. Il m'a bourré le derrière à toute allure. Et il est allé se vider dans la bouche de Patrick. J'ai exigé qu'il avale.

Ensuite, un autre homme est venu. La présence de mon mari à mes côtés ne changeait rien. Dans ma tête, ça ajoutait même à mon plaisir. Je savais que dorénavant, je n'aurais plus aucune difficulté à rencontrer Serge, chez lui, chez nous, n'importe où, n'importe quand.

*

Jacques

Je suis passé prendre Patrick chez lui vers minuit. Sylvie devait sonner chez Serge au même moment.

- T'as changé de slip au moins? que je lui ai dit en souriant.

Il restait neutre. Je me disais que pour un type qui s'apprêtait à participer à un gang bang, il ne me paraissait pas très excité. S'il avait su que la femme qui devait se faire sauter par toute la meute était la sienne, il aurait été encore moins loquace.

On a roulé une bonne vingtaine de minutes. Quand on est arrivé au parking, j'ai tout de suite vu que Serge et Sylvie étaient déjà sur place. Elle sortait juste de la voiture, à poil, aveuglée par un bandeau. C'est ce qu'on avait prévu avec Serge. On voulait que le mari voit sa femme se faire baiser par tout le monde mais on ne voulait pas qu'elle se crispe en sachant que son mari était présent. Évidemment, on espérait qu'il ne ferait pas d'histoire. Si c'était nécessaire, je devais le neutraliser et l'évacuer sans que Sylvie ne s'aperçoive de rien.

On s'est garé et on est allé rejoindre les autres. Je surveillais Patrick pour voir comment il allait réagir en reconnaissant sa femme. Mais j'ai été déçu. Il a encaissé la surprise avec le flegme d'un britannique. Il réussissait à ne pas faire apparaître qu'il était le mari. Si je n'avais pas su, je l'aurais pris pour un client quelconque. Je suis resté dans ce jeu là, lui disant de se mettre à la queue pour y attendre son tour.

Elle ne faisait pas semblant la Sylvie. Elle prenait son pied, c'était clair. Le mari devait la trouver saumâtre de voir sa dulcinée se faire bourrer à la chaîne comme une pute. Et sans se faire payer encore! Et en en redemandant en plus!

Je matais et je me régalais mais j'avais aussi du boulot. Maintenant que Patrick me semblait accepter la situation, je pouvais lui lâcher la bride et commencer à filmer.

Les types se sont succédés. Sylvie en a arrosé un comme elle fait toujours quand elle grimpe aux rideaux. Je remarquais qu'elle affectionnait particulièrement de se faire enculer en étant allongée sur le dos. C'est moi qui lui avait fait apprécier le fait que je pouvais lui remplir le fion et en même temps lui agiter la moulasse et lui tréfiler le clito. Dans cette position, elle ne résistait pas longtemps et elle me giclait toujours sa pisse à la gueule. Là, elle a fait pareil et le mec qui l'enfilait était aux premières loges pour admirer le jet d'eau de Genève.

Quand ça a été au tour de Patrick, sa femme l'a fait mettre à poil devant tout le monde. Pourtant, elle ne savait pas que c'était son homme. C'est tombé sur lui, comme ça. Le destin du type. Elle a commencé à le sucer quand Serge a demandé à Patrick d'enlever le bandeau.

C'était machiavélique. Un coup de maître. Patrick a dû se dire qu'il n'avait vraiment pas de bol. Il ne pouvait pas imaginer qu'on le fasse exprès. Pour lui, on était deux types qui l'avaient emmené dans une partouze. Le fait que sa femme était justement celle qu'il devait partager avec les autres, c'était la faute à pas de chance.

Mais il était fait. Il était en pleine détresse et sa femme en a profité. Dans un couple, il y a toujours un dominant et un dominé. C'était comme si l'un et l'autre s'étaient répartis les rôles tacitement. Clairement Sylvie avait pris le dessus.

Alors, elle l'a aplati et j'ai tout immortalisé sur mon portable. Il a dû la regarder se faire mettre alors qu'elle était sur lui. Il a vu qu'elle aimait ça, même en sa présence, qu'elle avait pas honte, que ça l'excitait même. Elle l'a obligé à pomper le type qui venait de l'enculer. Il a été forcé d'avaler son foutre et de lui nettoyer la queue.

Elle ne s'est pas arrêtée après ça. Elle aurait continué à se faire tous les types présents si Serge n'avait pas mis un terme à la séance. Mari ou pas mari, elle s'est encore fait baiser par un type. Elle a voulu qu'il la fasse jouir, dans sa position préférée. Patrick a dû aussi subir ça. Le plus beau c'est qu'il s'est branlé et qu'il a déchargé en regardant sa femme monter au fade.

On est reparti et on les a ramenés chez eux.

*

Patrick

Jacques est passé me prendre vers minuit. Je ne savais pas comment ça allait se passer. Sylvie allait tout de suite me reconnaître, c'était inévitable. Mais je ne pouvais de toute façon plus reculer.

J'ai reconnu le parking où Sylvie avait déjà branlé un paquet de types. Il y avait trois voitures et une trentaine d'hommes qui attendaient. Nous nous sommes garés. J'ai tout de suite remarqué que Sylvie avait les yeux bandés. C'était parfait : je ne serais pas découvert et ma femme et moi, nous pourrions peut-être continuer à jouer à ce jeu pervers.

Jacques m'a conseillé de prendre mon tour dans la file. Ça ne m'empêchait pas de voir tout ce qui se passait et de constater que Sylvie était tout à fait consentante. Elle cherchait à se faire baiser, elle voulait même exciter les mâles en disant tout haut des mots qu'elle-même jugeait grossiers, vulgaires. Elle voulait qu'on l'encule, qu'on la remplisse de foutre, qu'on la fasse jouir. Les types ne devaient pas rester insensibles à ces invitations. Ça devait bien les préparer avant que leur tour arrive. Même moi, j'en bandais dans mon pantalon. Je me pétrissais discrètement le sexe à travers ma poche.

Serge et Jacques devaient être très surpris de ma passivité. Ils avaient dû parier sur un esclandre, que je m'insurge, m'oppose, me batte. Ils ne devaient pas comprendre que je me mette à la file pour attendre mon tour. Je les décevais certainement.

Elle s'est fait prendre par une bonne dizaine d'hommes avant moi. Ils l'ont baisée par tous les trous. Quand mon tour est venu, elle m'a fait mettre nu. Je me suis demandé si elle ne m'avait pas reconnu malgré son bandeau. Mais apparemment, c'était seulement le hasard. Elle a voulu me sucer. J'ai dû m'allonger sur le capot de la voiture et Sylvie s'est mise à me branler. Je bandais comme un âne avant même qu'elle me manipule. Je ne pouvais pas cacher que j'étais excité. Évidemment, personne ne savait qu'il s'agissait de ma femme sauf ses deux amants. Ça devait les faire jouir de me voir bander, moi le cocu.

C'est à ce moment que tout a basculé. Serge s'est approché et m'a donné l'ordre de défaire le bandeau. Ce n'était pas une suggestion. Son regard était impitoyable. Ça n'aurait servi à rien que j'esquive. J'étais terrorisé par ce qui allait se passer mais j'ai défait le nœud. Sylvie a levé les yeux et elle m'a vu. Je me sentais minable.