Tout Ce Qu'il Voulait

BÊTA PUBLIQUE

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meo75
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- Je t'avais dit que je voulais continuer notre conversation d'hier, et finalement je pense que c'est une bonne chose qu'Alain soit là, c'est à la fois plus humiliant et engageant pour toi. Tu me voulais cruelle et distante, je pense qu'hier soir tu as pu voir ce que cela donnait?

- Oui ma Déesse

- Et c'es ainsi que tu veux vivre? Vraiment?

- Oui ma Déesse, je suis comblée, encore plus en dévotion si cela est possible.

- C'est ce que je vois. Donc tu veux être mon esclave pour la vie, sans aucune limite, quoi que je fasse ou demande?

- Oh oui je n'aspire qu'à cela ma Déesse

- Bien. Alors voilà ce que nous allons faire. Je te demande ton accord formel devant Alain, ce sera le dernier accord que je te demande.

- Oui ma Reine, je suis d'accord.

- Tu ne m'as pas écoutée

- Oui mais je Vous ai dit que je Vous obéissais pour tout ma Déesse

- Apparemment pas car je veux que tu m'écoutes et me donne ton accord après m'avoir écouté. Tu vas voir, c'est intéressant. Même Alain n'est pas au courant.

- Bien ma Reine

- C'est de deux choses dont je veux te parler. La première c'est que je veux que tu sois totalement dépendant, sans retour possible, que je sois assurée de cela. Ainsi je veux que tu me fasses don de l'intégralité de ta fortune, jusqu'au dernier centime, tu n'auras plus rien.

- Mais, mais...

- Cela te pose un souci?

- Je, non. Vous avez raison cela me permet d'être à Votre totale Mercie. Mais fiscalement...

- J'ai regardé, le taux d'imposition est de 45% mais déductible du don, donc en fait c'est 30% sur toute ta fortune, il en reste assez pour une vie ultra luxueuse. Et de toute façon c'est à prendre ou à laisser.

- Je... Oui Déesse

- Oui quoi?

- Oui je suis d'accord

- Bien, j'ai réalisé pour toi tous tes investissements, il ne reste que cette maison à racheter, mais là aussi cela fait partie du don, le notaire a préparé les documents, il faut juste les signer devant lui. Nous ferons cela demain tous les deux.

- Oh, merci ma Déesse d'avoir pensé à tout.

- Ça c'était la première chose. La seconde c'est que je n'ai ni l'expérience, ni l'envie de te dresser parfaitement. Tu es déjà un très bon esclave, mais je te veux parfait, sans limite, sans hésitation. Regarde là sur le premier point comme tu as hésité, minaudé.

- Oui ma Reine

- Aussi la seconde condition est de t'envoyer en stage dans un centre spécialisé en république Tchèque pour y être formé et transformé suivant l'ensemble des instructions que je vais leur fournir. Tu seras totalement dressé comme tu en rêves, avec moi en permanence dans tes oreilles, sous tes yeux, dans ton esprit. Si tu crois être en dévotion, ce n'est rien par rapport à ce que tu deviendras, d'autant que tu seras alors exactement conforme à ce que je souhaite de toi.

- Oui ma Déesse

- Je sais bien que tu voudrais que ce soit moi qui fasse tout, mais justement, c'est ma volonté qui compte et non ton désir. Mon désir deviendra pleinement ton désir après ce stage. Et s'il faut je t'y renverrai régulièrement, mais normalement c'est inutile.

- Bien ma Déesse

- Aussi je veux que tu formules clairement ton accord en sachant ce qui t'attend.

- Bien ma Déesse. Je suis d'accord pour Vous faire une donation de tous les avoirs sans exception, et je suis d'accord pour aller suivre ce stage de dressage à votre convenance pour Vous être rendu en esclave parfait.

- Alain?

- Euh oui?

- Tu as bien entendu ce qu'il vient de dire?

- Oui je confirme et j'ai enregistré l'audio, comme cela il n'y a pas de doute.

- Bien alors dorénavant nous ne t'appellerons que par chienne, et tu seras à mon service nuit et jour en attendant ton départ pour la République tchèque, soit dans samedi prochain. Tu vois je m'occupe de toi. Maintenant tu ranges tout, tu nettoies la maison, et quand tu as fini tu vas dans ton placard. Nous allons fêter avec Alain ma nouvelle richesse.

Si j'avais tout préparé à l'avance, j'avoue que j'étais surprise et un peu déçue. Je ne croyais pas que Louis allait ainsi laisser tomber tout son argent, tout ce pourquoi il avait vécu jusqu'alors. J'étais même plutôt triste, ce n'est pas la vie que je voulais, celle que nous projetions. Il m'avait entraîné dans son délire, j'aurais pu partir, mais je ne l'ai pas fait. L'amour d'Alain m'aidait beaucoup à voir l'avenir de façon différente. J'avais mûrement réfléchi, mais quand même j'avais espéré un sursaut de la part de mon mari. Car je n'étais pas dupe une seconde de sa dévotion, il avait jeté sur moi une projection de Déesse, mais ce n'était évidemment pas moi. J'étais sexy, et jolie, intelligente, mais rien de plus. Alea jacta est.

Les papiers de la donation ainsi que du règlement, astronomique, des droits fut expédié rapidement et j'avais les fonds 3 jour après. Ses comptes furent tous fermés, l'ensemble des documents mis à mon nom. Pour l'immobilier ce serait un peu plus long mais notre notaire avait une procuration, ce n'était plus qu'une histoire de formalité. J'étais devenue une ultra riche, sans culpabilité, au contraire. Pas question d'arrêter mon travail, mais je le ferai dorénavant différemment. La tristesse s'est vite dissipée, d'autant que chienne est partie très vite pour son centre de dressage. Deux hommes sont venus le chercher, sans qu'il prenne la moindre affaire sinon son passeport. Le centre coûtait une fortune, en particulier pour toutes les options que j'avais prises.

La seule chose que je n'avais pas explicité à chienne, c'était la durée de sa formation. Nous étions convenus de 9 mois, éventuellement 12 en fonction de l'avancement de certaines transformations. Je fus enivrée de son départ, du calme dans la maison, de ma liberté totalement retrouvée. Quelle joie de retrouver une vie normale et saine, enfin pas trop, du moins du point de vue sexuel. Je n'avais pas à me soucier de chienne, je recevrai un point hebdomadaire, sachant que je leur avais fourni pas mal de matériel pour qu'ils puissent complètement l'hypnotiser avec ma voix, mes images ou mes vidéos. Au bout de quelques semaines, je me suis rendue compte que quelque chose me manquait. Pas mon mari spécifiquement, sa dévotion, son service, son attention, ses yeux brûlants à ma regarder.

Je retournais dans les clubs de domination pour vérifier, sachant que les apprentis soumis pullulaient. Peu engageants et comme Louis à ses débuts, tournés seulement vers leur plaisir. Mais j'en repérai un discret, ne se jetant pas aux pieds des Maîtresses, aussi je décidais de l'approcher. Une pulsion étrange en moi, je voulais le posséder, le faire crier, le faire supplier. Finalement un homme qui me baise cela commençait à m'ennuyer, mais un homme qui souffre pour moi, que je frustre de ma beauté et de son plaisir m'excite bien plus. Louis m'a intoxiqué!

Il était jeune, s'appelait Mathis. Je le pris entre mes cuisses dénudées, il était affolé d'une telle proximité. Son recul était dû à une timidité et inexpérience abyssales. Il était puceau à 25 ans, ne rêvait que de ramper aux pieds d'une femme et n'osait pas faire le premier pas, surtout devant moi qui lui semblait la plus inaccessible. Il tremblait comme une feuille. Je lui demandait alors s'il était prêt à s'offrir pour moi et jamais je n'ai vu un tel regard de bonheur. Savait-il ce que je voulais vraiment? Attaché à la croix, dos au mur, nu le ventre, les cuisses et le sexe offert, je l'ai amené à souffrir encore plus chaque seconde, l'obligeant à ne pas quitter mon regard. Son sexe était si dur avant que je ne le coupe en plusieurs endroit avec la badine, le faisant même saigner.

Devant ses yeux exorbités, je suis allongée sur le canapé, j'ai relevé ma jupe et je me suis caressé longuement avant de jouir de façon incroyable et profonde. J'avais eu l'image et l'envie que jamais ce garçon n'utilise sa queue et ne soit vierge ainsi toute sa vie. Je lui glissais à l'oreille que je le voulais comme soumis chaste et eunuque, qu'il n'aurait jamais droit au plaisir mais qu'il devrait se nourrir du mien.

Nous sommes rentrés ensemble, je lui ai installé une des cages de mon mari, la réglant bien serrée. Il m'a remercié, en pleurs. Vraiment déglingué ce garçon. Je l'ai couché dans la cage de chienne, ne désirant plus partager mon lit! La vie est belle.

Mathis a accueilli les livreurs qui ont déposé deux grandes malles dans l'entrée. Cela fait 9 mois qu'il est à la maison et j'apprécie beaucoup sa discrétion, son sens du service, sa disponibilité. Je reste incroyablement excitée par la perspective qu'il ne sorte jamais de sa petite cage et ne connaisse jamais le plaisir de pénétrer une femme. Curieusement j'ai basculé dans ma sexualité, j'ai beaucoup moins envie de me faire prendre, d'être utilisée pour le plaisir d'un homme. J'étais presque dégoutée d'aller dans un club échangiste, même si j'utilisais autant que j'étais utilisée. En dehors d'Alain, je n'avais pas d'autres amants que mes jouets et la bouche experte de Mathis. J'avais grandi peut-être? Je me sentais, en tous cas, très apaisée.

La première malle était remplie de vêtements, d'accessoires et divers objets. Tout était bien préparé, très féminin et sans doute très couteux. J'étais curieuse de la seconde malle, même si j'avais été tenue au courant, je m'étais gardée de visionner les photos qui m'étaient envoyées, j'avais envie d'un grand choc plutôt que des découvertes successives. Je me souvenais très bien de la longue liste des options que j'avais cochées, 6 pages, et avide du résultat maintenant. Mathis nous servit à tous les deux un verre de vin avant que je n'enlève les sangles. J'avais une complicité avec lui très agréable, sa soumission était moins folle et excentrique que ma chienne, plus sensuelle, féminine même je dirais. J'étais très heureuse et pas certaine que le retour de chienne à la maison soit un succès. Mais là aussi j'avais un plan B le cas où.

Une véritable poupée était ligotée dans la malle, enfermée là que depuis moins de 24 heures, mais cela devait être éprouvant. L'entreprise m'avait rassurée me disant qu'après les 10 mois de traitement, c'était un confort inconnu pour ma chienne. J'avais opté pour qu'elle soit livrée nue afin de mieux la contempler.

Personne n'aurait reconnu mon mari disparu en mer il y a presque un an. J'avais décidé de le faire ainsi disparaître et l'entreprise s'était chargée de tout et aucune enquête n'avait été menée. Dois-je préciser que cela m'avait coûté un bras? J'avais devant moi une très charmante jeune femme, timide, les yeux rivés au sol, les mains nerveusement serrées dans le dos, les jambes légèrement écartées. Mathis ignorant le schéma de départ la trouvait absolument sexy et touchante. Pour mieux l'admirer je lui intimais l'ordre de monter sur une paire d'escarpins prise dans l'autre malle. L'effet était encore plus saisissant. Sa peau était d'une douceur nacrée, ses muscles à peine dessinés, un peu de chair au niveau des hanches, tandis que la taille était marquée comme le sont de moins en moins les femmes. Le corps était parfaitement et définitivement lisse, intégralement. Les sourcils étaient tatoués de façon claire, tandis que les cheveux avaient été collé sous forme de scalp et impossible à enlever. Une coupe au carré, blonde couleur foin, des cheveux denses et raide, passer une main dans la chevelure était un vrai plaisir.

Chaque point était une option que j'avais cochée. Pas les plus spectaculaires bien entendu. Son visage avait été subtilement remodelé, un nez affiné, des yeux étirés et tatoués en noir pour mieux ressortir, une bouche adoucie et épaissie, tatouée elle aussi, tandis que les joues étaient subtilement rougies. Ainsi elle aurait en permanence la même expression, celle d'une poupée de porcelaine. Car une autre option que j'avais choisie, était que ma chienne n'exprime plus aucune émotion, y compris en me voyant. Le résultat était réussi car elle ne s'était pas jetée à mes pieds, alors que je savais pertinent que c'était son unique désir et ce depuis qu'elle savait qu'elle revenait à la maison. Quel soulagement pour moi! Le collagène avait été utilisé sur son visage, bloquant ses expressions, et d'après les études scientifiques, cette absence d'expression du visage se répercuterait sur le cerveau, les émotions s'effaçant progressivement. Il faudra simplement faire un rappel annuel, une sorte de révision complète.

Le cou était une réussite que je jugeai plus spectaculaire encore. Il était étroit et lisse, la glotte ayant été supprimée, ainsi que toutes les cordes vocales, et les muscles affinés pour donner cette impression de fragilité et de vulnérabilité très attirante. Cette option était une des plus terribles, pourtant je n'avais guère hésité. Ne plus entendre les désirs et jérémiades de ma chienne était une des conditions de pouvoir la garder. J'avais quand même vu avec l'entreprise la possibilité de m'en débarrasser si nécessaire, et l'option était toujours offerte. Plus qu'offerte puisqu'au vu du résultat ils étaient prêts à me faire un rabais de 45% sur tous les frais engagés! La réussite était-il est vrai totale.

Au-dessus de sa taille affinée par la suppression de ses cotes flottantes, la chienne portait une paire de seins à faire jalouser n'importe quelle femme. A la vue comme au toucher, il était difficile de savoir à quel point ils étaient augmentés. Car il avait d'abord subi une cure hormonale extrêmement intense pour développer les glandes présentes chez lui, puis un renforcement avec une opération tous les deux mois, avant d'arriver à ce bonnet F magnifique. La cicatrice avait été rendue indétectable par un tatouage. Les seins étaient lourds, pendants et bien resserrés. Impossible de résister à les toucher, les malaxer, les gifler doucement. La chienne s'offrait sans résistance.

Ses tétons déjà bien développés par les anneaux que je lui avais fait poser, avait été légèrement tatoués pour ressortir des petites auréoles tatouées elles de couleur foncé. Les anneaux en place avaient une épaisseur de 10 mm, très imposant et tirait le téton vers le bas. Promener ma femelle par là serait un grand bonheur. Mathis était impressionné et intéressé. Peut être que pour les 1 an de notre rencontre, je le ferai percer.

Et pourtant, la prouesse était en dessous. Sur son pubis glabre était marqué son statut d'esclave et le nom de sa propriétaire. Et en dessous, une magnifique vulve, rebondie, appétissante, surmontée d'un petit clitoris, reste de ce qui avait pu faire sa fierté et qui ne lui procurait plus qu'excitation sans jamais de délivrance. Le vagin avait nécessité six mois d'entraînement pour l'étirer et le façonner, des heures sur la fuck machine, avant qu'il ne soit pleinement fonctionnel. Les grandes lèvres avaient été créées en réutilisant la peau de ses défuntes couilles, tandis que son méat avait été laissé à la place que toutes les femmes ont. Sans une échographie, impossible de déceler son origine masculine. Son sexe était vraiment magnifique, réussi, orné lui aussi de quelques anneaux dorés, mais plus pour le magnifier, et finalement un peu le banaliser. Je sentis comme chienne tressaillait en touchant son clitoris, j'adorais qu'elle ne puisse en aucune façon prendre du plaisir dorénavant.

Parfaitement éduquée et dressée, son insertion dans la maison fut très facile. Impossible pour elle d'émettre la moindre remarque, son obéissance était parfaite et permanente. Je chargeais Mathis de lui fournir ses hormones quotidiennes, en particulier la testostérone, faut de quoi sa libido serait nulle, ce qui serait dommage pour sa frustration. Je sentais derrière son masque immobile comme tout cela lui provoquant des émotions totalement réprimées, d'excitation de frustration et de désir. Alain la trouve très à son goût et il fut le premier à la tester, avoua qu'il n'avait jamais pris tant de plaisir. La chienne avait été formée à cela, et n'était tournée que vers le plaisir de son partenaire! J'imaginais quelques gangs bang au club échangiste, en souvenir du bon vieux temps!

Finalement je décidais de la garder.

Ce soir-là nous fêtions nos 5 ans de rencontre et surtout la vente de l'entreprise qu'il avait créé et qui nous octroyait une vie luxueuse à jamais. Je n'ai guère le tempérament à ne rien faire, et je n'imaginais pas ne plus travailler. Peut être différemment. Louis était intenable, comme souvent. Il devrait passer encore six ou neuf mois pour accompagner la nouvelle direction, mais rien à voir comme intensité de travail. Je m'étais mise très sexy comme j'adore, une veste marquant nettement ma taille et mettant en valeur ma poitrine toujours très ferme. Mes chaussures de luxe au talon effilé rallongeaient considérable mes jambes, gainées de soie dont le lisière des bas apparaissait sous ma jupe. Avec mes cheveux noirs libres sur mes épaules, ma chute de rein accentuée par les talons, rares étaient les hommes ne se détournant pas sur mon passage. Ce que j'adore. Je ne suis pas nymphomane, mais j'aime intensément baiser et dans toutes les positions. C'est quelque chose qui fait partie de mon équilibre psychique.

Louis ne voulait que moi, mais depuis quelques semaines s'était mis dans la tête que j'étais une Déesse et qu'il devait me mériter. Nous avions de nombreux jeux sexuels divers et variés, mais celui-ci lui plaisir plus que de raison, et j'étais furieuse d'être sevrée de lui. C'est de lui dont j'avais le plus envie, même si je prenais plaisir à me faire prendre dans la boîte échangiste où nous allions souvent, comme ce soir. Plein de beaux jeunes hommes, plutôt respectueux et polis. Louis s'interdisait toutes les femmes, et même de se caresser, se nourrissant de ma vue et de sa frustration. Ce soir j'avais envie de fêter cela avec lui, une longue et violente sodomie comme je les aimais. Au lieu de quoi je choisis deux beaux noirs et m'enfermait dans une pièce, pour le frustrer de ma vue. Bonne pioche, car ils étaient vraiment doués et m'ont fait oublier ma propre frustration pour me laisser les orifices béants, irrités comme il faut.

Je pensais le retrouver furieux au bar, il était au contraire extatique et encore plus en dévotion. Je noyais mon énervement dans un flot de champagne, avant de repartir me faire butiner violemment. Je voulais de la bite, et plein de bite.

C'est à partir de ce soir-là, précisément, que notre couple s'est mis à dérailler, sans que je ne puisse rien faire. Louis a une puissance d'action, une rigueur d'exécution infernale et je me suis laissée faire. Il est vrai que ce n'était ni désagréable, ni difficile. En rentrant le soir, il sort un pot de crème et me masse longuement le corps et plus particulièrement les pieds, les embrassant avec ferveur. C'est franchement divin et je m'endors ainsi au nirvana. Au matin, je le trouve allongé à même le parquet à mes pieds tandis que je veux me lever pour me soulager. Il se redresse aussitôt et m'implore de se soulager en moi pour pas que j'ai besoin de descendre l'escalier. J'aurais dû dire non, mais je me suis laisser aller sachant que je lui avais déjà uriné dessus dans de précédents jeux. Mais l'urine du matin, à boire c'est tout autre chose. Il me lèche le sexe, c'est doux et agréable, du coup je me recouche et lui demande de me laisser me rendormir.

A mon second réveil il se tient à genoux à mes pieds avec un grand plateau de petit déjeuner qu'il me pose, restant là à me regarder.

- Tu fais quoi mon amour?

- Je veux te servir tout le reste de ma vie, être ton esclave et te rendre la vie la plus belle possible

- Mais Louis, la vie est très belle ainsi avec toi, je ne te reconnais pas

- Pourtant jamais je ne me suis senti autant moi-même, à tes pieds. Je t'aime tellement, tu es tellement incroyable pour moi. Te regarder me semble un privilège.

- Louis, moi ce que j'aime c'est l'homme fort, mon alter ego.

- Je ne suis pas digne de toi Béatrice, laisse moi te montrer qui tu es vraiment, laisse moi te servir. Je ne peux plus vivre comme je le faisais, un personnage qui n'est pas moi.

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