Teikoku, Épisode 02

BÊTA PUBLIQUE

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La gardienne trouva cela très drôle et continua ce petit jeu longtemps. De temps en temps, elle frappait l'homme lui arrachant des cris de douleur et de surprise. La gardienne tournoyait donc autour lui, en riant, et en le harcelant de coup aussi douloureux qu'humiliants.

Il fallait dire que Luna avait la réputation d'être sadique à l'encontre de son physique qui paraissait si enfantin et innocent.

Au bout de 10 min de ce petit jeu, Galore était en nage. Il perdit patience et comprit enfin qu'on se jouait de lui. Il bondit alors vers son arme et s'en empara pour la brandir en direction de la jeune femme.

De nouveau ce fut totalement inutile puisqu'il ne pouvait pas la toucher. Luna apparut alors au niveau de son trône et jeta un regard rieur en direction de Galore qui tentait de reprendre mon souffle.

- Je n'ai jamais compris comment des hommes comme toi pouvaient s'imaginer me vaincre, lui lança-t-elle. Armure ou pas amure, tu n'as aucun pouvoir et ton intelligence est tellement limitée que tu ne saurais même pas comment faire avec moi si tu me tenais. »

Elle fit un geste et Galore fut projeté en arrière sous l'effet d'un autre pouvoir de la gardienne.

À ce moment le guerrier fut comme pris d'un malaise. Il se plia en deux et se mit à crier tant la souffrance était trop était importante.

- Oooohhhh!!!. Je suis empoisonné! Comprit-il.

- Tu vois que tu n'es pas si bête que ça, ricana Luna. J'ai versé un petit produit dans la boisson que tu as bue. Tu apprendras que, dans le monde, il faut toujours se méfier de ce qu'on vous donne! »

Galore restait à genoux, son ventre lui faisait horriblement mal et il vomit plusieurs fois. Cependant, le produit que Luna avait versé dans sa boisson n'était pas un poison à proprement parler et il allait en avoir l'étonnante révélation.

- Mais...? Que m'arrive-t-il? Fit-il. »

En plus de la douleur au ventre, il se rendit compte qu'il était pris d'une érection affreusement puissante. Son sexe était tellement raide qu'il lui fit encore plus mal que son ventre.

- J'ai versé un petit aphrodisiaque et un grand stimulant dans la boisson, expliqua la gardienne. Les effets sont plus que redoutables. »

À ce moment, alors que la gardienne retournait à sa place, les deux protectrices s'avancèrent à nouveau. Sauf qu'elles n'étaient plus habillées.

La première s'agenouilla alors au niveau de Galore et le poussa pour le faire tomber sur le dos. Le chevalier était tellement sous l'emprise des drogues qu'il fut incapable de résister ou de se relever.

La protectrice s'allongea sur lui et pris son sexe bien tendu en main.

- En voilà un qui est parfaitement bien équipé, rigola la protectrice en commençant à masturber le sexe.

- NOOONNN!!! non! non! »

Galore était un chevalier à l'ancienne qui respectait des règles très strictes au niveau de la sexualité. En conséquence, il n'avait jamais eu de relation avec des femmes.

Pour les protectrices, c'était tout le contraire. Depuis que Luna était devenue la gardienne de la porte, elle avait totalement transformé ce corps créé par sa prédécesseure, remplaçant certaines anciennes et les officières par des jeunes femmes au physique plus qu'affriolant et dont la libido était sans limite.

Alors que le paladin était toujours immobilisé par les drogues, la protectrice pris son sexe en bouche et commença une fellation bien baveuse.

La seconde la rejoignit et elles commencèrent à alterner prenant l'une après l'autre le pénis en bouche.

Galore poussait autant des gémissements de plaisir que des cris de désespoir.

Les deux jeunes femmes ne faisaient guère attention à tout cela, elles n'étaient concentrées que sur l'action qu'elles menaient.

Les effets de la drogue étaient tels que ces fellations en elles-mêmes n'avaient que très peu d'effets puisque le sexe était déjà parfaitement tendu.

L'une des deux guerrières se plaça alors à califourchon sur l'homme et s'empala totalement sur ce membre si droit. Elle se mit immédiatement à pousser des cris de plaisir et commença à aller et venir de haut en bas tout en se titillant la poitrine.

La seconde guerrière continuait à caresser le chevalier. Elle se montrait particulièrement efficace et obtint de nouveaux cris de plaisir bien involontaires de cet homme totalement innocent des choses à la chair.

Le coït dura ainsi pendant quelques temps puis les deux guerrières échangèrent leur place. L'érection de Galore était telle qu'elle lui faisait mal et pourtant il ne débandait pas. Un autre effet les drogues de Luna puis ce fut le coup de grâce.

Les toxiques se diffusèrent dans le corps de l'homme atteignant jusqu'à son cerveau et il perdit tout contrôle. Il attrapa alors les hanches de la guerrière qui le chevauchait et commença lui-même à donner des coups de reins.

Comprenant que l'homme était désormais totalement sous le contrôle de la drogue, les deux guerrières changèrent de position. Elle se placèrent contre un mur en position de levrette et le chevalier ne mit pas beaucoup de temps pour les rejoindre et pour pénétrer l'une d'entre elles.

Même ignorant de la chose, il savait très bien comment faire et commença à la besogner avec ardeur.

Totalement envahi, il passa alors à de l'une à l'autre, donnant des grands coups de reins et obtenant des cris de plaisir et des encouragements en réponse.

- Heureuse, maîtresse? Fit la voix de Gilchrist dans le dos de Luna. »

Luna se retourna et vit le démon s'approcher d'elle. Cet être centenaire était son conseiller principal et avait déjà été au service de sa prédécesseure. C'était lui qui gérait l'essentiel des activités du palais alors que la gardienne se contentait de faire semblant de régner et de se pavaner devant tous ceux qui avait l'inconscience de venir à sa rencontre.

La fidélité des démons était légendaire même si elle était très difficile à obtenir. La gardienne pouvait donc totalement se reposer sur lui sans risquer d'être trahie en dépit du fait qu'il réprouvait ouvertement tous ses comportements déviants.

- Il faut bien que je m'amuse un peu, ironisa-t-elle. Je n'ai même pas le droit de faire des choses alors je regarde les autres les faire.

- Mais vous n'êtes pas obligée de les forcer pour cela. Que ce soit ce pauvre idiot ou vos guerrières, ils sont tous sous l'effet de drogues diverses. Vous avez totalement perverti le corps d'armée créé par dame Malara.

- Malara était une folle. Elle croyait vraiment pouvoir aider un jour ce pays d'arriérés. Galoria est un dépotoir qui aurait plutôt sa place aux fin-fonds des confins et tous ses habitants sont destinés à l'enfer. Je me contente juste de leur en donner un petit avant-goût. »

Alors que Luna terminait sa phrase, Galore arrivait au bout de ses forces. Il finit par éjaculer dans le ventre d'une des guerrières.

Celle-ci ne fait aucune remarque, les drogues prodiguées par Luna l'avaient rendue stérile.

Le chevalier ne débanda cependant pas. Son énergie semblait inépuisable et il se replanta immédiatement dans l'intimité de l'autre guerrière qui se remit à haleter et à pousser des cris.

Luna se pencha un peu pour assister à la suite des événements. Ce chevalier semblait posséder une force hors du commun et il promettait un spectacle de longue haleine.

Derrière lui derrière elle, Gilchrist suivait tout cela, l'air désespéré.

Galore continua à besogner les deux guerrières pendant presque une heure et jouit encore trois fois. Il était vraiment au bout de ses forces mais, les drogues continuant à agir, il restait toujours en érection et ne pouvait s'arrêter de forniquer.

Ce fut alors qu'il recommençait à prendre l'une des guerrières qu'il se figea posant la main sur sa poitrine et, après un immense cri, s'écroula sur le sol.

- Le spectacle est terminé, observa Luna en se relevant. Visiblement le cœur n'a pas tenu. Ca arrive.

- Ça arrive même deux fois sur trois, confirma Gilchrist. Vous dites que vos drogues ne sont pas des poisons mais elles tuent quand même plus souvent à leur tour.

- Oui mais mon divertissement en vaut le coup, non? »

CHAPITRE 5

Ole Tann était le roi de Manaras. De petite taille, le visage anguleux avec des yeux fins et bleus qui perçaient tels des épées, c'était un homme qui terrorisait même ses plus proches soldats. C'était un homme sans pitié qui savait toujours profiter des avantages qu'on lui laissait. Pour un roi de Manaras, il était plutôt pondéré en réalité.

Alors qu'il entrait dans la grande salle du trône, des dizaines de serviteurs s'affairaient en évitant de croiser son regard.

Le roi s'avança rapidement vers le trône puis s'arrêta, découvrant des nouveautés.

Deux jeunes servantes travaillaient à nettoyer un bronze. Elles étaient visiblement très jeunes, tout juste majeures sans doute, et le roi ne se souvenait pas les avoir déjà vu.

Il fallait dire que les serviteurs allaient et venaient beaucoup dans cet immense château où le travail ne manquait pas.

Les deux étaient des mi-humaines comme tous les habitants du royaume de Manaras. Cependant, elles avaient plus de traits humains que de qu'animaux même si leur lignage restait bien visible.

Ole Tann qui cachait lui-même ton pelage d'ours en le rasant quotidiennement, appréciait les femmes aux atours peu bestiaux et il lui arrivait même souvent de faire venir des prostituées d'autres royaumes.

Ces professionnelles n'avaient cependant pas le goût si sucré des jeunes servantes encore vierges. Car il ne doutait pas une seconde que ces donzelles le fussent.

Il se tourna alors vers son magellan et montra les deux jeunes filles.

- Tout de suite! Dans ma chambre! Ordonna-t-il d'un ton qui n'acceptait pas de réplique. »

L'intendant hocha la tête en silence et partit vers les deux donzelles.

Le roi prit alors le chemin de ses appartements en sachant qu'il n'allait pas y rester longtemps seul.

En effet il y retrouva les deux jeunes femmes seulement une minute après être lui-même arrivé. Il put ainsi les détailler.

L'une d'entre elles avait les cheveux blonds et un teint très clair. Sa longue chevelure cachait cependant les petites branchies situées sous ses oreilles et qui rappelaient son lignage maritime. Le roi eut peur que, sous sa tunique, il trouvât des écailles. Une telle carapace n'était pas très agréable au contact mais il se dit que contrairement au pelage, les écailles ne pouvaient pas se raser et que par conséquence, il en apparaitrait aussi sur les parties visibles de son corps. Il voulait vérifier cependant.

- Toi! Lança-t-il à l'attention de la jeune blonde. Enlève ça! »

La jeune fille hésita quelques secondes mais elle savait à qu'elle avait à faire. Le roi était réputé pour sa libido. Certains disaient même qu'il n'y avait pas le pelage d'un ours mais celui du satyre.

Pour une jeune fille en fleur, travailler au château c'était risquer de finir un jour dans son lit qu'on le qu'on le veuille ou non.

Cependant il était aussi réputé pour être généreux et devenir sa maîtresse ne serait-ce qu'une nuit était l'assurance d'offrir un bel avenir à sa famille. Entre devoir et honneur, une jeune fille comme elle choisissait vite.

Elle s'exécuta donc et retira le petit chemisier qui protégeait sa robe puis la robe elle-même. Elle ne portait bien entendu aucune culotte ni soutien-gorge, c'étaient les atours des femmes de la noblesse ou des filles de joie. Une manante comme elle n'avait pas les moyens de s'en payer.

Le roi fut satisfait par ce qu'il vit. Aucune écaille visible, juste quelques traces au niveau des pieds et des mains mais rien de bien gênant.

Par contre, les formes elles étaient bien présentes avec une poitrine très généreuse et des fesses bien arrondies exactement comme il les aimait.

La jeune fille se tenait toujours nue devant lui les yeux baissés, un peu honteuse. Le roi adorait ce mélange entre innocence juvénile et sensualité naturelle chez ces jeunes femmes en fleur.

Il s'intéressa alors à la seconde fille qui attendait tout aussi droite à côté de sa compagne.

Son animalité était tout aussi cachée mais ressortait de manière un petit peu plus évidente. Avec son petit nez un peu pointu et la forme anguleuse de son visage, on devinait les origines aviaires. Elle avait le comportement tout aussi délicieusement timide que sa camarade mais présentait un physique bien différent.

Elle était plus grande et plus fine avec une silhouette élancée. La noirceur de ses cheveux ressortait bien sur son teint clair et puis surtout le léger duvet de plumes parsemé sur certaines parties de son corps la rendait un petit peu étrange.

Ole Tann n'en fut pas pour autant rebuté et s'approcha des deux jeunes filles. D'un regard, il indiqua à la brune de se déshabiller comme sa compagne et elle s'exécuta sans un mot.

Il caressa les deux visages juvéniles puis descendit doucement vers les poitrines qu'il commença à caresser.

Elles se montraient aussi dociles qu'inactives et il adorait ça. Il aimait avoir toutes les initiatives et préférait de loin profiter de l'innocence un peu gênée de ces jeunes manantes à la sexualité débridée d'une prostituée ou d'une concubine royale.

Il joua avec les petits tétons de ces deux jeunes femmes qui se mirent à pousser des petits cris autant de plaisir que de surprise. Le roi était un homme qui aimait faire réagir ses compagnes. Elles étaient parfois un peu contraintes mais ne regrettaient jamais à la fin.

Il approcha alors son visage de la brune et plaqua sa bouche contre la sienne. Elle se laissa faire mais eut du mal à entrouvrir les lèvres. Il se recula l'air un peu agacé.

- Tu as déjà embrassé un homme? Demanda-t-il. Entrouvre les lèvres! Sors un peu la langue! Ajouta-t-il alors qu'elle secouait la tête. Je vais m'occuper du reste! »

Elle s'exécuta et, doucement, il glissa sa langue entre l'entremise de ses lèvres. Il emprisonna sa langue avec la sienne et commença à la faire tourner. Les salives se mélangèrent et la jeune femme eut donc droit à son premier baiser.

Il fit durer le plaisir une bonne minute puis sortit sa langue avant de se tourner vers l'autre.

À sa réaction, il comprit qu'elle avait déjà embrassé un homme et ne s'embarrassa donc pas d'explications. Il l'embrassa profondément.

Il se doutait que ni l'une ni l'autre n'avait jamais réalisé de fellation et se demanda s'il avait le temps de tout leur expliquer.

Il sentait cependant que son désir était déjà bien prononcé et qu'il n'aurait pas besoin de cela. Elles étaient jeunes et devaient rester quelques temps au château. Il aurait bien le temps de leur apprendre toutes les choses qu'elles devaient connaître.

Il décida donc de passer à des choses plus sérieuses et les entraîna toutes deux. La chambre était immense et parsemée de canapés, sofa et autres bureaux mais le lit occupait la place centrale et il était tellement grand qu'il aurait pu accueillir facilement 5 personnes. Le roi était du genre à aimer l'occuper.

Il fit basculer la petite brune directement sur le lit puis, tout en l'embrassant la blonde, il la caressa pendant longtemps. Il se retourna vers sa collègue toujours sagement allongée sur le dos.

Ses jambes étaient légèrement refermées et, d'un geste calme mais ferme, il les fit s'écarter et plongea sa bouche dans son antre d'amour.

Il fit glisser sa langue au travers de ses petites lèvres et commença à lui exciter les parties intimes.

La jeune femme se redressa sous l'effet de la surprise. Elle était encore vierge il n'avait donc jamais connu ce genre de sensations.

Avec toujours sa douceur qui n'autorisait pas le refus, il la fit se remettre sur le dos et continua à la caresser. Elle se mit alors à pousser de petits gémissements aussi discrets que timides qui montraient à quel point elle était ignorante de tous ces plaisirs.

Le roi ajouta à ce cunnilingus des caresses sur toutes les parties charnelles de son corps. Il excita ses tétons jusqu'à les faire se dresser.

Il se redressa alors, le sexe bien tendu et le présenta à l'entrée de son entrejambe bien humide. Il pressa doucement sur l'hymen encore intact et força.

Cette fois la sensation fut plutôt désagréable pour elle et elle se redressa. Le roi en profita pour l'attraper par les hanches et s'assit sur le lit, la maintenant assise contre lui. Il commença à donner de petits coups de reins de façon à rentrer doucement dans cet antre d'amour inexploré.

Elle affichait une mine presque horrifiée comme le faisait souvent les petites pucelles qui découvraient la chose. Avait-elle imaginé ce moment ou avait-elle toujours vécu dans l'idée qu'elle était une enfant et que ces choses-là ne concernaient que les femmes?

Le roi ne se posait pas ce genre de question. Il était désormais parfaitement concentré sur son plaisir et sur celui de posséder ainsi pour la première fois une jeune pucelle.

Il refit basculer la jeune femme sur le dos et se mit bien droit pour donner cette fois-ci des coups de reins brusques.

Elle se mit à pousser des cris plus intenses, mélange de douleur et de plaisir. Cet acte créait en elle des réactions qu'elle ne comprenait pas et elle ressentait le début d'un plaisir un peu honteux.

Tout en continuant à besogner la brune, il attira la blonde à lui et recommença à l'embrasser. De ses mains agiles il partit visiter son entrejambe.

La jeune fille commença à se dandiner et se mouilla immédiatement ce qui surprit le roi.

- Mais ma petite caille? S'étonna-t-il. Tu n'es pas pucelle?

- C'est que, fit la jeune fille en rougissant de honte. C'est que parfois avec mon frère... »

Le roi eut une mine un peu surprise. Les incestes étaient assez réguliers dans certaines familles paysannes de son royaume mais les rois précédents les avaient interdits pour des raisons évidentes de consanguinité. Sans compter qu'en renforçant l'animalité au sein d'une même famille, on augmentait les risques de voir apparaître des diablos.

Cependant, la donzelle paraissait tout à faire normale et il décida tout de suite qu'elle intégrerait rapidement le personnel permanent du château afin de l'éloigner de la concupiscence contre-nature de ce frère trop entreprenant.

Oubliant cela, le roi enfonça un peu son doigt dans l'intimité de la jeune femme et rencontra quand même une résistance. L'hymen était intact, elle n'avait visiblement joué qu'à des petits jeux avec son frère et cela le rassura.

Il sortit alors de la brune et se plaqua contre la blonde. Soulevant légèrement sa jambe, il s'insinua entre ses cuisses et, d'un coup sec, mit fin à sa virginité.

La jeune fille poussa un cri qui, comme sa prédécesseure, mélangeait plaisir, surprise et douleur.

Comme elle avait déjà une petite habitude, il se montra moins doux qu'avec sa camarade et commence à la besogner avec ardeur.

La jeune fille s'accrocha à son cou alors qu'elle montait et descendait au rythme des coups de reins que donnait le souverain. Il accéléra alors encore le rythme de ses coups de boutoir et les cris de douleur furent remplacés par des râles de plaisir.

Le roi continua le coït pendant plus d'une demi-heure. Il avait l'ardeur des bestiaux de son genre.

Il alterna ainsi entre les deux jeunes filles passant d'un vagin à l'autre sans jamais s'affaiblir.

Ces deux jeunes filles qui n'avaient jamais été prises de leur vie découvrirent ainsi l'amour avec un amants des plus exceptionnels et finalement relativement doux.

Alors qu'il terminait avec la blonde, la prenant en levrette et se sentant au bord de la jouissance, il sentit une présence derrière lui et se figea.

Il lui fallut quelques secondes pour réaliser qu'il s'agissait de Khaled.

- Gardienne! fit-il, énervé, en se retirant brusquement de la jeune fille. Quand arrêteras-tu de me faire ce genre de surprise?

- Veuillez accepter mes excuses, mon roi, répondit la jeune femme en s'inclinant bien bas. Je suis venue vous voir car j'ai eu des nouvelles importantes. »

Ole Tann, toujours nu et le sexe encore tendu se calma.