Tapineuse Des Recoins Sombres

BÊTA PUBLIQUE

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Nous inversons.

Mes fesses sont tendues dans sa direction. Ouvertes. Offertes. Largement. Pourtant, les mains autoritaires de Tapineuse empoignent mes fesses et les écartèlent brutalement. Elle se les approprie. Je sens sa langue explorer mon recoin sombre. La pointe se fait taquine sur le pourtour de la rondelle ; elle humecte, elle abreuve avant de plonger dans les méandres au plus profond qu'elle peut, annonçant un futur bien plus envahissant, bien plus abusif.

Son gland cogne à ma porte. Il fait semblant d'hésiter devant la timidité feinte de mon cul savamment préparé à l'intrusion. Mon esprit est prêt, mon anneau est un cercle dilaté et qu'importe si le géant de latex doit forcer le passage, je veux cette énorme puissance entièrement en moi. Je n'en peux plus d'attendre, mon corps s'exaspère, mon clito enrage, ma vulve s'horripile. Je me cambre, je rue, mes reins cherchent la queue, sa consistance, sa chaleur, que la Tapineuse me dénie. Elle me la fait languir, elle me fait goûter le bout de son dard qui rentre à peine et se refuse immédiatement. Elle veut que je la veuille, mais plus que cela, bien plus que cela. Que je la désire au-delà de tout ce qu'il est raisonnable. Que mon cul l'appelle. Que mon cul la supplie ! Que mon cul se soumette...

Je n'en peux plus. Je m'empale sans réfléchir, un coup sec et douloureux. Jouissif. Tellement jouissif qu'il est un soulagement... Mais Tapineuse n'en est qu'aux prémisses. Ses mains enserrent mes hanches, me préparent à l'assaut en m'interdisant toute velléité de fuite. L'intromission est inexorable. Elle me fait ressentir toute la puissance de l'objet qui m'écartèle et réduit à néant toute volonté de résistance, comme s'il pouvait m'en rester quelque absurde idée. Je ne résiste pas. Je m'abandonne. Elle me modèle à son gré. Ses mains, ses hanches, son ventre, sa bite travaillent mon corps et sculptent mon envie d'elle, mon impatience de jouissance.

Enfin !

Enfin, mes entrailles sont pleines d'elle. Enfin, son mont de Vénus claque mes fesses, la chaleur de sa verge pleine de ce foutre dont je souhaite qu'il m'inonde, me pourfend le cul. Vite ! Vite ! Plus fort ! Défonce-moi le fion ! Fesse ce pétard à lui donner l'éclat d'une rougeur de fête, à me faire perdre la raison ! Déchaine la passion... Elle s'avachit sur mon dos, ses énormes miches écrasent ses anneaux de métal froid contre ma peau striée par le fouet. Douleur. Cris. Jouissance. C'est le but. Elle branle ma queue, cette fausse queue arrogante de bandaison, qui ne se rendra jamais même si je hurle mon enthousiasme, si chiennasse crache son liquide blanchâtre dans mes entrailles. La Tapineuse la malaxe, la triture, la torture et en échos, son double agit, il me sonde, il me creuse. Chaque parcelle de mes désirs inconscients s'accroche à cette peau de latex. Ses deux mains de chienne au désir d'homme et à la chair de femme ne sont pas de trop pour tenter d'insuffler un semblant de vie à ces vingt-cinq centimètres d'ersatz de chair et me pilonner la chatte pour me faire avouer mes turpitudes secrètes, exhiber mes indiscibles chienneries. Tandis qu'elle s'acharne à pulvériser mes résistances, elle rue contre mes fesses telle une furie frénétique chevauchant un étalon indompté. Mon cul goûte la volupté rougeoyante de ce supplice désiré.

Je ne veux pas que cela cesse. Pourtant je ne peux pas me retenir, l'orgasme est là. J'imagine les faux spermatozoïdes s'entasser dans le gland qui me fouille. Ils s'enfuient et gouttent doucement. Maitresse a dû le sentir, qui appuie sur un bouton de la télécommande avec un sourire sardonique devant mon regard suppliant. Un flot m'asperge le cul, une ruée m'inonde les entrailles. Comme bousculé par ce tsunami, le foutre de substitution jaillit comme une résurgence avec une violence inouïe. Le déluge qui m'envahit les tripes semble ne jamais devoir cesser et finir par me noyer de l'intérieur. Tapineuse est atteinte par la folie de cette grande marée. Des sons rauques dépourvus de signification mais non de sens, sortent de sa gorge et soufflent grand vent à mes oreilles. Ses gestes sont désordonnés. Ils tordent mes nichons, les arrachent, les réduisent en bouillie. Pourtant ses réserves liquides crachent encore, encore et toujours, et encore. Mon cul va exploser, il ne pourra plus retenir autant de lavement. Et Tapineuse continue à me pistonner. Impitoyable. Sauvage. Les coups qu'elle m'assène me projettent vers l'avant. Chacun d'eux est ponctué d'une éjaculation de son organe factice. Et je jouis. Je jouis encore. Je ne sais plus ce qui provoque cet orgasme, je m'en fous. Quelque part dans mon cerveau, une connexion se crée. Ce sperme illusoire projeté avec force contre mes parois intimes par les impacts de la possession que je subis, génère une secousse électrique qui entretient ma folie. Tout mon corps réagit à cet envahissement implacable, à cette domination irrésistible. Il s'érige, il se dresse, il bande. Oh, oui, je bande. Et puis j'explose. Je me désintègre.

Et Je Jouis.

Enfin, je m'écroule face contre terre. Chiennasse reste plantée dans mon cul, elle s'agite encore un peu. Elle a encore envie, la garce. Elle va me rallumer, la chienne.

Soudain Maitresse est là, au-dessus de nous. Une femme, allure et maintien bourgeois, est plantée à ses côtés. Sous le regard égrillard du sexe-choppeur, les deux femmes discutent de moi comme d'un objet de braderie sur un marché. Vaguement, il me semble comprendre à travers les vapes qui m'enveloppent, que la bourge voudrait bien m'embarquer : « Mon fantasme est de promener un homme nu en laisse, et le traiter comme un véritable chien, dit-elle. » Maitresse accepte de me prêter ou de me louer pour le week-end, mais il y a un mais...

Chienne de vie

Le sexe-choppeur frappe à la porte et pénètre dans la cabine.

— Bon, c'est terminé, mon gars ! C'est dans la boite ! Tu peux sortir !

Tout d'abord, je ne comprends rien.

Puis la mémoire prend le dessus sur la compréhension immédiate. Je me souviens plus de ce que j'ai déjà vu que je ne comprends ce que je vois. Je suis allongé sur une sorte de brancard. Nu, bardé de nombreux trucs collés sur le corps. Un casque à travers lequel je perçois de mieux en mieux l'environnement, me recouvre presque entièrement la tronche.

Le casque de réalité virtuelle s'est éteint. Les capteurs et simulateurs stoppent leur fonctionnement. Le sexe-choppeur arrête l'enregistrement. De mon expérience de virtualité avancée, un joli nom que donnent les clients à l'entrée de la chope lorsqu'ils veulent participer. Je me resynchronise peu à peu avec mon environnement.

— Le "record" de ta fantaisie reste la propriété exclusive de la boutique, comme convenu, me dit le bonhomme en m'observant reprendre pied lentement après avoir ôté le casque.

J'entends des portes de cabines claquer. Probablement des clients (et possiblement au moins une cliente) déconnectés de la projection de ma réalité subjective s'apprêtent-ils à quitter discrètement la Sexe-Chope.

— Tu sais que tu as de drôles de fantasmes, toi ! Les images... celles que tu balances. On sait que c'est faux, mais on s'y croit ! Vraiment, c'est...pfff ! commente le sexe-choppeur en me débarrassant de l'encombrant casque d'interfaçage neuronal et visuel.

Le type finit de débrancher tous les capteurs et simulateurs de mon crâne et de mon corps à l'exception de ceux situés sur mes parties intimes.

— Fais attention à ceux situés sur la peau de tes bourses, précise-t-il. Pour les décoller, procède délicatement sinon tu risques de souffrir. Pareil pour les autres parties sensibles. Pour l'anus, c'est plus simple, c'est une sonde. Vas-y franchement, je nettoierai s'il y a à le faire.

Je fais comme il dit, mais j'ai déjà l'expérience de tout ça. Il est nouveau parce qu'il aurait dû s'apercevoir ou il devrait savoir que les parties de mon corps recevant les capteurs et simulateurs sont glabres. Seules des marques ressemblant à des brulures et des zébrures trahissent la fréquence de la connexion des simulateurs, les traces des capteurs disparaissent rapidement. Pour le reste, je m'épile de temps à autre pour une question d'homogénéité esthétique.

Je n'ai plus qu'à me rhabiller. Et toucher le peu de fric promis pour l'interprétation et la vente de mon fantasme à la Sexe-Chope. Je n'ai jamais compris pourquoi toutes expériences virtuelles doivent se terminer ici, dans la chope. Le premier sexe-choppeur prétendait que c'était pour une question de sécurité.

La prochaine fois, je choisirai l'expérience « Vécu dans la peau d'une Domina ». Je ne peux pas incarner « Expérience d'un Homme-Chien » comme une femme semblait désirer en passer la commande à travers la connexion. Pas maintenant, pas tout de suite. Il me faudra au moins deux semaines pour me remettre de tous les vestiges laissés par l'expérience « Rencontre avec une Tapineuse ». Et encore, les marques sur mon corps risquent de persister douloureusement bien plus longtemps...

Il me devient bien difficile de survivre à cette vie de travailleur du sexe. Les dernières paroles du sexe-choppeur ne cessent de me hanter : « Tu as de drôles de fantasmes quand même ! Pour nous c'est tout bénef, ça va alimenter notre fonds d'expériences de réalité virtuelle pour celles et ceux qui sont en manque d'imagination ! Ils vont se mater ce fantasme en boucle ! Au final, ta chance, c'est la ribambelle de mots choquants interdits de publication et à l'IA... tout comme les films pornos aux acteurs ! Tu remplaces tout ça... et même les putes ! »

En sortant du magasin, je me sens las. La Sexe-Chope n'est pas une vraie boutique, mais un cloaque aménagé au fond de l'arrière-cour d'un vieux dépôt désaffecté. Elle finira par être repérée par les Mœurs bien qu'inaccessible aux non-initiés. Je débouche sur une ruelle glauque mal éclairée à l'orangé faiblard, pleine de coins obscurs. Un mec rondouillard et ventripotent, le genre que la Police des Mœurs embauche comme rabatteur pour le faire passer pour un mec solitaire en manque d'affection, me propose de l'accompagner chez lui. Il a une Nitendo et une PlayStation dernière génération, dernier cri, largement bidouillées avec interfaces neuronales de compèt', tout ce qu'il y a de plus "évoluées" et... tolérantes, insiste-t-il. Je lui réponds que je n'aime pas les jeux, et qu'il me laisse tranquille. Les Mœurs pourraient trouver mieux comme fausses putes. En plus, il est probablement pas doué pour créer des fantasmes sur Nitendo et PS. Mais faut bien qu'il gagne sa vie...

Je remonte mon col élimé, la pluie dégouline directement de mon crâne chauve dans mon cou, transportant avec elle toute la froideur de cette ville et la dureté de cette vie.

Un instant, j'ai failli accepter la proposition du gros ventru auxiliaire de la Police des Mœurs, qui m'aurait envoyé je ne sais où, probablement dans un autre cloaque, clôturé celui-là. Avant, je me serais perdu à tapiner le temps d'un fantasme sur demande, pour me replonger dans ma véritable existence, celle où je suis esclave nue, chienne, chiennasse, Maitresse et Domina. Tout à la fois, dans mes propres recoins obscurs. Pour quitter cette vie, quitte à en crever.

J'ouvre la porte de mon taudis. L'écran TV est encore allumé sur des séries guimauves insipides. Le frigo est désespérément vide. Je soupire, il va falloir que je m'astreigne à éviter de bouffer des saloperies sucrées pour rester convaincant(e) en interprète de persos féminins de virtual porn...

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Alors on peut dire que Google a tapiné pour toi. Deux mots dans la recherche et le deuxième résultat est ce texte au titre illustré. J'ai l'impression d'être ton premier client, tu fait une réduc'? Je paie 5 étoiles, ça le vaut bien.

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