Soumission et Séduction 04

BÊTA PUBLIQUE

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Daniel était maintenant tout contre elle, la dominant d'une tête, raffermissant son emprise physique sur Maude. Sans en avoir l'air, il l'avait lentement amenée à se serrer contre lui. Son visage était légèrement appuyé sur le côté de son torse et lui en profitait pour respirer son odeur dans le creux de son épaule. Ils ne parlaient plus, seuls leurs corps s'exprimaient à travers quelques légers mouvements.

Une main raffermissait sa prise contre un torse, une autre reprenait confiance sur une hanche, ces multiples effleurements participaient d'une hausse évidente de la tension érotique entre eux.

Daniel effleura la peau de Maude avec ses lèvres tout en laissant descendre sa main droite vers le bas de son dos. Maude ne dit rien, mais Daniel entendit clairement son souffle se crisper un peu.

- Maude, vous êtes une femme superbe, lui dit-il

Maude avait fermé les yeux et se laissait porter par le rythme du morceau, abandonnant son corps aux sollicitations de son cavalier.

- Maude, j'ai envie de vous embrasser. Me le permettez-vous?

Maude, si elle ne s'attendait pas à cette demande à cet instant précis, n'était nullement surprise. Toute la soirée avait semblé l'amener à ce délicieux moment d'indécision et de séduction.

Elle n'était pas bête, elle se savait belle et désirable et depuis « sa première fois », elle n'avait jamais renoncé à faire ce qu'elle voulait de son corps, avec qui elle le souhaitait. Jusqu'à son mariage avec Pierre évidemment. Les efforts de séduction réalisés par Daniel, la valorisaient alors que Pierre l'avait énormément déçue ses derniers jours.

Sa réponse fut à l'image de son caractère franc et direct. Elle tourna légèrement la tête, entrouvrit ses lèvres. Celles de Daniel touchèrent les siennes. Elle sentit une langue s'insinuer. La sienne vint saluer ce visiteur exquis. Les deux langues se mêlèrent, reproduisant la danse de plus en plus lascive que leurs corps offraient déjà. Leur baiser s'éternisa. Pierre embrassait aussi bien qu'il dansait, Maude se sentit fondre.

Clairement pressés l'un contre l'autre, leurs mains s'activaient discrètement aussi. Daniel sentait la montée violente du désir de Maude et il la pressait de ses bras. Maude avait pris son visage à deux mains et ne le lâchait plus. Elle se liquéfiait sous ses caresses. Son statut de femme mariée n'existait plus. Daniel était la seule présence tangible en cet instant, sa volonté de se livrer à lui emportait tout sur son passage en ces minutes exquises.

Tous les autres couples avaient rejoint leurs alcôves et les observaient. Certains connaissaient un peu Daniel, d'autres avaient entendu parler de lui et de sa réputation de séducteur hors pair. Les hommes enviaient sa capacité à séduire en quelques danses la femme qui l'accompagnait, la plupart des femmes, et quelques hommes aussi, rêvaient d'être dans ses bras et de subir sa loi.

D'un signe autoritaire dans le dos de Maude, Daniel intima l'ordre aux musiciens de finir le morceau. La musique s'interrompit donc. Leurs bouches se séparèrent, leurs deux corps furent moins proches de quelques millimètres. La tension sexuelle entre eux était pourtant maintenant à son comble.

Daniel regarda Maude dans le fond des yeux et lui demanda :

- Acceptez-vous de m'accompagner en un lieu où nous ne serons que tous les deux?

Maude acquiesça immédiatement d'un « oui » murmuré mais vibrant.

À la grande surprise de Maude, ils ne quittèrent pas le club, mais Daniel l'entraîna sûrement à travers un dédale de circulations et couloirs obscurs par une porte qu'elle n'avait pas remarquée. Elle ne se demanda même pas comment Daniel pouvait savoir où aller s'il ne connaissait pas les lieux avant leur rencontre... Maude avait perdu tout esprit d'analyse. Il lui sembla entendre des gémissements de plaisir assez intenses en traversant un long couloir, mais elle se persuada que dans son état presque second, elle anticipait ce qui allait arriver entre eux. Ils finirent par entrer dans une pièce de belle taille. Un lit trônait en son centre.

Maude eut vraiment à cet instant l'intuition fugitive que rien n'était dû au hasard, que Daniel avait sans doute tout calculé depuis qu'il lui avait imposé ce rendez-vous. Elle lui fut reconnaissante cependant d'avoir entièrement respecté sa parole et ses choix. C'était elle qui décidait d'être là entre ses bras. Aucune contrainte ou force extérieure ne l'avait obligée à rien.

Quand Daniel fit glisser d'emblée les deux bretelles de sa belle robe rouge et que le tissu quitta ses épaules et tomba au sol à ses pieds, Maude ne dit rien mais l'enjamba simplement, se rapprochant de Daniel pour se serrer contre lui et l'embrasser encore. Ses mains partirent à nouveau à la découverte de son visage puis descendirent rapidement vers son pantalon et s'attaquèrent à sa braguette avant de plonger, curieuses, vers l'intérieur de son pantalon.

Quand elles saisirent l'objet recherché, la circonférence du membre, sa longueur et la rigidité que les mains rencontrèrent crispèrent le corps de Maude. Mon Dieu, elle n'avait croisé que très rarement un sexe de cette taille! Maude savait reconnaître un membre imposant quand elle en rencontrait un.

Elle espérait, mais ne doutait pas vraiment, que Daniel serait bien à la hauteur de ses espoirs et des attributs que la nature lui avait donné. Les mains de cet homme qui naviguaient avec dextérité sur son corps, la délestant maintenant de son soutien-gorge, caressant ses hanches et faisant glisser son string sans aucun effort, attestaient de son expérience. Maude n'était pas en reste. Elle avait déjà fait tomber la veste de Daniel, déboutonnée sa chemise et elle embrassait son torse légèrement poilu, passant d'un téton à l'autre, tout en attaquant la ceinture de son pantalon.

En quelque minutes, ils étaient nus tous les deux, fiévreux de leur envie mutuelle de faire l'amour. Légèrement de côtés, les mains de Maude enserraient tour à tour le sexe de Daniel, activant un léger et doux va et vient. Lui la caressant de sa main droite, touchant l'humidité de son sexe qui imprégnait la paume de sa main. Daniel flattait également le dos de Maude de son autre main. De ses épaules à la naissance de ses fesses en allers et retours constants. Leurs baisers étaient torrides et leurs langues partageaient leurs flots de salives qu'ils échangeaient avec passion.

Ce fut Maude qui choisit d'elle-même d'interrompre ce ballet pour se mettre à genou et approcher sa bouche du sexe tendu qu'elle voulait absolument voir, sentir et goûter. Depuis qu'elle avait touché ce sexe de ses mains, elle avait envie de le caresser avec ses lèvres. Du bout de la langue elle titilla la peau ultra-sensible de ce gland volumineux, puis elle darda sa langue et la fit glisser de haut en bas le long de cette hampe presque sans fin. Dessus, dessous, de côtés, Maude se délectait de chaque centimètre exploré. Elle l'entourait de se lèvres, le mouillait avec sa langue.

Elle se repositionna face à Daniel et ouvrit sa bouche au maximum et sans l'aide de ses mains, elle fit entrer sa queue dans sa bouche avec délectation, d'abord entre ses lèvres, puis sur sa langue et plus profondément encore.

Le sexe de Daniel sentait bon, aucun goût désagréable ne venait titiller ses papilles. Elle l'enserrait de ses lèvres de bas en haut, salivait dessus, léchait sa salive, l'énervait, le mordillait doucement et décidait de l'abandonner avant de revenir vers lui. Après de longues minutes, elle se mit de biais, s'accroupissant sous Daniel et passa entre ses deux jambes car elle voulait pouvoir lécher ses bourses et caresser ce qu'elles contenaient. Maude devenait de plus en plus chatte et les deux beaux testicules de Daniel l'excitait au plus haut point. Elle décida de les lécher et même de les prendre dans sa bouche alternativement.

Daniel n'était pas épilé et gardait une toison importante sur son corps. Cela ne gênait pas Maude qui aimait ressentir aussi la virilité poilue d'un homme. Elle avait toujours interdit à Pierre de se raser le corps car elle n'avait aucun goût pour cette fausse douceur du contact direct de la peau rasée ou épilée chez un homme. Elle n'avait plus douze ans et depuis qu'elle avait perdu sa virginité, elle appréciait de perdre sa main dans la toison abondante des hommes qu'elle avait fréquenté.

Daniel n'en revenait pas d'une telle audace à laquelle il ne s'attendait pas. Cette Maude lui réservait des surprises très agréables sans nul doute. Plus expérimentée qu'il ne le pensait, plus sensuelle qu'il ne pouvait la rêver.

- Ta bouche est si chaude et douce, Maude, ne t'arrête pas s'il te plaît, c'est très bon.

Pierre souhaitait l'encourager sans la choquer. Il avait posé ses mains sur sa tête, caressant ses cheveux et ses tempes, mais sans rien imposer ou forcer.

Maude apprécia le compliment et l'intention et à moins que Daniel soit un gros menteur, elle avait bien vu d'en bas son visage extatique quand elle s'occupait ainsi de lui. Il fermait les yeux et savourait ses caresses buccales ou la regardait avec un petit air vicieux qui l'excitait énormément. Maude avait décidé de lui faire l'amour et elle comptait bien en profiter à fond sans pudeur particulière. Si ce Daniel voulait vraiment coucher avec elle, il avait intérêt d'être à la hauteur, endurant et d'avoir de la réserve.

Maude continua à lécher et sucer cette belle queue, promenant ses mains tantôt sur les jambes de Daniel, enserrant ses fesses quand elle le prenait au plus profond de sa bouche ou les posant simplement en appui sur les hanches solides ou le ventre plat qu'elle découvrait avec plaisir. Elle se comportait en petite salope dévergondée et alors! C'était son choix!

Sa queue! Oui, c'était bien de ça dont elle avait envie de jouir. Maude se répétait ce mot dans sa tête plutôt que bite qu'elle n'aimait pas trop. Elle trouvait le mot « queue » beau et érotique alors que « bite » sonnait vulgaire à son esprit. Faire l'amour à une belle queue lui parlait. À une belle bite, moins, aussi étrange que cela puisse paraître.

À la rigueur, dans le cadre d'un rapport un peu brutal, se faire enculer (et pas sodomiser) par une bite bien dure, lui semblait plus convenir et être propre à l'exciter. Caresser une belle queue, la lécher, lui faire l'amour, oui, c'était cela! Sucer une belle queue et se faire enculer par une grosse bite!

Les pensées qui nous passent par la tête quand on fait l'amour sont bizarres se dit-elle sans aucune honte en se focalisant totalement sur la « belle queue » offerte à sa bouche. Oui, décidément Daniel avait une très belle et grosse queue et elle prenait beaucoup de plaisir à s'en occuper.

Enthousiasmé par le dévouement de Maude à son instrument, Daniel n'avait plus qu'une envie maintenant. Aller au plus profond de sa gorge et voir jusqu'où Maude pourrait le supporter physiquement. Il se cambra légèrement et se pencha un peu vers l'arrière. Les cheveux de Maude étaient doux et il les rejeta vers sa nuque, plaquant les paumes de ses mains sur ses tempes d'une manière beaucoup plus ferme. Il profita d'un mouvement de Maude pour pousser franchement son sexe plus avant.

Un petit gargouillis se fit entendre lors de cette intrusion plus poussée de sa part et Maude décida de le garder très profondément dans sa bouche, le serrant légèrement avec ses dents, en le fixant sans ciller avec ses yeux de biche. Elle le défiait clairement! Maude coulissa à nouveau sur son sexe jusqu'à son gland et attendit à nouveau sans bouger. Daniel pouvait clairement observer ses belles lèvres charnues autour de son sexe. Ces lèvres superbes en annonçaient d'autres à pénétrer tout aussi superbes!

Les deux amants se comprenant parfaitement en cet instant. Daniel commença à pousser doucement son bas ventre vers l'avant. Son sexe entra à nouveau lentement dans la bouche de Maude. Ils répétèrent ces allers et retours tranquillement en se défiant toujours du regard. À chaque fois, le sexe de Daniel allait de plus en plus loin.

Le niveau d'excitation de Daniel et Maude était à son comble. Maude accepta totalement ce membre en elle lors d'une dernière poussée. Une gorge profonde dès le premier rendez-vous! Toutes les femmes qu'il avait fréquenté, et elles étaient nombreuses, n'y étaient pas arrivées du premier coup! Daniel était conquis. Ce Pierre était vraiment un imbécile pour ne pas avoir partagé son goût pour le sexe avec son épouse. Si ce Pierre n'avait pas pensé qu'à lui, il aurait pu vivre de sacrés moments depuis longtemps avec Maude! Mais maintenant, c'était fini pour lui! Daniel avait pris sa décision.

Maude lui rappelait par bien des aspects sa Marthe qu'il aimait profondément. Leur plus de vingt ans et de plaisirs communs étaient le choix accepté d'une vie partagée dans les plaisirs. Si ce Pierre voulait juste une femme à la maison pour tirer un coup de temps en temps alors qu'il sautait tout sur son passage, il ne méritait clairement pas de la garder!

Daniel poussa une dernière fois le plus loin qu'il pouvait. Le test ultime allait arriver. Sa jouissance, son éjaculation était en marche. Maude avait senti les contractions du corps de Daniel et se vissa contre lui, les lèvres écrasées sur son bas ventre à la racine de sa queue. Elle sentit le sperme arriver en elle aux vibrations ressenties sur sa lèvre inférieure, sur sa langue et contracta sa gorge comme si elle allait boire. Plusieurs jets puissants descendirent en elle sans provoquer aucun haut le cœur. Durant ces instants, elle continua à fixer Daniel dans sa jouissance. Maude décida ensuite de faire coulisser ce membre vers l'arrière et de goûter les dernières gouttes de ce sperme sur sa langue et dans sa bouche.

Elle le mélangea à sa salive et s'activa sur le sexe qui mollissait légèrement, petit à petit. Toujours le fixant des yeux, elle lui montra ce qu'elle faisait de son sperme autour de sa queue, l'étalant parfois, le récupérant avec sa langue, l'avalant ensuite. Puis Maude plongea sa main droite sous elle et l'appuya fortement sur son clitoris en frottant de plus en plus vite. Elle n'avait pas mouillé comme cela depuis longtemps et son plaisir fut immédiat et fulgurant.

Daniel fut obligé de sortir son sexe de sa bouche, sinon elle l'aurait mordu fortement dans sa jouissance. Plusieurs râles de plaisir déferlèrent de Maude. Elle s'affala vers l'avant, accrochée à la jambe de Daniel d'une main au début, mais lui se reculant volontairement, elle fut obligée de le lâcher et se retrouva quasiment en position de prosternation devant lui au sol.

Un bras allongé sur le parquet devant elle, l'autre plongé sous son corps, sa main cherchant son vagin pour y enfoncer deux doigts. Quand son orgasme se termina, elle était totalement allongée sur le plancher et Daniel pouvait la voir dans toute sa splendeur et son abandon.

Il se pencha vers elle, se mit à genoux, lui caressa les cheveux et le visage. Maude leva les yeux vers lui et tendit ses lèvres. Leur baiser fut nouveau passionné. Daniel l'aida à se relever et ils s'allongèrent sur le lit, nus, l'un contre l'autre. Ils n'échangeaient pas un mot, juste des regards gourmands et des soupirs. D'autorité, alors qu'elle avait les refermé les yeux, Maude positionna sa main droite sur le sexe de Daniel, le malaxant langoureusement pour lui indiquer que...

Daniel qui avait prévu de ne pas s'arrêter à cette délicieuse et surprenante entrée en matière, ne tarda pas en quelques minutes à retrouver toute sa vigueur, se raidissant sous les doigts experts de Maude.

Toujours allongée sur le dos, Maude pencha sa tête et regarda Daniel. Elle ouvrit ostensiblement ses jambes en même temps et lui dit :

- Venez en moi, Daniel, faites-moi l'amour!

Daniel acquiesça à cette demande. Son membre était à nouveau dressé par le désir. Il tendit sa main vers le sol, récupéra opportunément un bout de son pantalon et tira dessus. Il avait trouvé et sorti un préservatif d'une de ses poches. Il savait qu'il y en avait autant qu'il en voulait dans cette pièce, et pas que des préservatifs d'ailleurs, mais il ne voyait pas l'intérêt de montrer tout ce matériel à Maude lors d'une première fois.

Une fois la capote enfilée, il se positionna à genou au-dessus de Maude qui appréciait les précautions de Daniel. Même sans préservatif, elle aurait accepté qu'il la pénètre, mais elle aurait sans doute regretté sa décision après, se dit-elle.

Toujours à genoux, il l'entoura de ses jambes au niveau de ses cuisses les resserrant par la pression qu'il exerçait. Daniel prit le temps de l'observer nue, de constater que son corps de rêve dépassait ses espérances. Maude était belle ET bandante. Tout chez elle l'incitait au sexe. On avait envie de lui faire l'amour longuement, de la sentir se tendre et jouir. Daniel la voyait très bien accepter plusieurs hommes et femmes en même temps et se livrer totalement. Pas tout de suite, mais cela viendrait.

Une toison brune et bouclée surplombait son Mont de Vénus. Il eut envie de passer ses mains entre ses poils et insinua très lentement deux doigts plus bas entre ses grandes lèvres dans un mouvement de va et vient qu'il voulait le plus sensuel possible, sans aucune rudesse. Pas de doute, Maude était prête et toujours excitée.

Maude voyait Daniel agir et aimer ces longs moments où il la regardait en la caressant légèrement. Elle voyait sa queue bien tendue, droite, fière, surplombé de son préservatif et elle rit intérieurement à la vision du réservoir pendouillant.

Daniel se pencha vers elle et l'embrassa à nouveau. Torse contre torse, il sentait les pointes de ses seins d'homme contre les mamelons des seins de Maude et ses tétons qui durcissaient également. Sa poitrine n'était pas gigantesque, mais parfaitement en proportion avec son corps. Les mains de Daniel, comme douées d'un esprit propre à elles, ne purent s'empêcher de partir à l'aventure et d'empaumer doucement cette chair tendre qui appelait la caresse, les baisers, la morsure de ses dents.

Daniel se détacha à contre cœur de la bouche de Maude et partit joyeusement à l'assaut de sa poitrine. Il nota que Maude semblait aimer qu'il enfouisse son visage dans le sillon central séparant les deux monticules dressés par l'action de ses mains qui les pressaient tendrement. Il insista, mordilla tendrement au passage, les suça un peu, l'entendit soupirer et descendit petit à petit, après quelques circonvolutions vers son sexe.

Des senteurs qu'il connaissait bien, parfums excitants au possible, l'attendaient. Il inspira profondément s'imprégnant de cette alchimie olfactive du plaisir. Il ne fut pas surpris, Maude soupirait d'aise et n'était pas femme à feindre les choses, c'était évident.

Daniel n'était pas non plus un anti-poil à condition que ce ne fut pas la jungle absolue. Il voyait bien que Maude s'entretenait et que le buisson des délices avait sa jardinière en visites régulières. Sa langue continua sa course et trouva plus bas le clitoris lui aussi bien gonflé et durci. Daniel le noya sous sa salive et le suça légèrement sachant à quel point cet organe si sensible méritait que l'on s'y attarde avec soin et pas comme un barbare, sauf si Madame vous le demandait évidemment!

Le sexe odorant et humide de Maude l'appelait. Il plongea sa langue plus rudement entre ses petites lèvres et se fraya un passage vers la grotte noyé de sécrétions. Son nez appuyait sur le clitoris de Maude à chaque coup de langue qu'il lui infligeait. Il lécha et but à cette source infiltrant sa langue dans son vagin jusqu'à ce que Maude jouisse à nouveau, troublée par l'activité de cette langue et ce nez inquisiteur qui venait frotter le bon endroit. En jouissant, elle sera ses jambes et Daniel connu la délicieuse sensation d'étouffement qui récompense les mâles adroits de leur bouche.

Quelques minutes plus tard, il revint vers son visage pour l'embrasser et lui faire goûter les preuves de son plaisir à elle. Ce mouvement amena son sexe au contact de celui de Maude qui glissa sa main pour l'attraper et le diriger vers la pénétration qu'elle souhaiter maintenant ardemment.