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Cliquez iciMa culotte venait d'arriver sous mes fesses, descendue par le type assis. Mon voisin eut le chemin libre pour venir fourrer un doigt dans mon cul. Je me retrouvais pénétrée devant et derrière, sous ma robe, par deux mains cruelles sans oublier une autre qui pétrissait mon sein par-dessus la robe. La chose dura un moment, le temps de deux arrêts. Je ne pus empêcher de mouiller car mon clitoris était frictionné sans cesse et la pénétration anale, une fois l'intromission passée, contribuait à un plaisir honteux. Je n'eus pas la force de les repousser.
Par chance, mon voisin retira son doigt et disparut dans ce monde compressé. L'homme assis se leva sans me regarder et quitta son siège en se faufilant au mieux entre les voyageurs. Je pus m'assoir tout en couvrant ma culotte baissée avec ma robe. Ce n'est qu'au terminus que je descendis en laissant sortir les autres personnes avant moi. Quand ma culotte eut repris sa place, je repris un bus pour faire le voyage en sens inverse.
J'avais raté mon rendez-vous avec mon coiffeur.
Horrible bilan
Le truc qui excitait Théo était de me dévaloriser aux yeux de son père pour me faire quitter le domicile.
Le truc qui excitait RALF était de m'humilier de façon inattendue, dans des circonstances inappropriées comme devant le jardinier.
Le truc qui excitait Rémi touchait aux humiliations de groupe comme il en avait usé devant le lycée.
Quant à mon voisin, pas moins vicieux que les autres, m'avait mise dans deux conditions désespérantes dans un autobus de la ville.
Je n'avais qu'une issue : fuir ce monde.