Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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J'avais supposé que Rémi était l'invité de mon beau-fils mais je fus surprise d'ouvrir la porte pour un autre copain que Théo présenta comme étant Ralf un élève de sa classe. Le garçon visiblement timide était grand et maigre. Ils s'installèrent au salon et Théo dit :

- 'çoise, voici Ralf, mon nouveau copain. Il est balèze en maths.

Il poursuivit à l'attention de son copain :

- Je te présente "'çoise", la meuf de mon père. Elle est là pour nous servir. 'çoise, commence donc par l'apéro tout de suite!

Mon rythme cardiaque augmenta quand je pris conscience que mon beau-fils voulait m'humilier devant un autre garçon comme il l'avait fait devant Théo. Mais combien seront-ils à jouir de ma faute?

Après quelques mots de bienvenue, en essayant de faire bonne figure, je déposai les apéritifs sur la table basse. Puis j'allai à la cuisine préparer le repas. Je les entendais parler :

- Elle est bien roulée ta belle-mère!

- Ouais, c'est vrai, mon père l'a prise pour son cul! Elle m'obéit au doigt et à l'œil! Regarde bien, on va rire.

Il m'appela :

- 'çoise... Viens remettre mon lacet immédiatement!

Je retins ma rage envers ce sale gamin de 18 ans et m'approchai des deux garçons dans les fauteuils. Aux pieds de Théo, je refis son lacet comme s'il était un petit enfant.

- Bonne chienne, dit-il en riant!

Rouge de honte, je repartis en cuisine après avoir vu une énorme surprise sur le visage de Ralf. Théo parlait volontairement fort pour que j'entende ses propos.

- Putain, dit Ralf, c'est vrai qu'elle t'obéit! T'es balèze!

- Et oui mec! Un de ces jours, j'la présenterai aux potes à la sortie du lycée.

Un frisson d'horreur me parcourut le corps.

Cinq minutes plus tard alors que je mettais la table, l'ordre maudit arriva :

- 'çoise, t'as un tablier de boniche, non? Pourquoi tu ne le mets pas?

Mortifiée, je suis allée chercher mon tablier. Je ne le portais que pour cuisiner. Il était rose, long jusqu'aux genoux. Il tenait au cou avec une cordelette, couvrait la poitrine et le devant du corps. Il se nouait au dos mais le laissait ouvert. Heureusement, j'avais un pull et une jupe plus longue que le tablier.

- 'çoise présente-toi à mon copain. Merde c'est un minimum! Quelle pouffe!

La petite ordure en rajoutait. Je vins devant eux sans regarder le Ralf que je devinais souriant.

- Est-ce que ma tenue vous convient?

- mon chien, s'exclame Théo, Recommence.

- Est-ce que ma tenue vous convient, Ralf?

Gêné, il répondit par un petit "oui".

Alors qu'ils étaient en train de manger, je restai dans la cuisine jusqu'à ce que le maître des lieux m'appelle.

- Qu'est ce que tu fous LaBoniche! Viens-ici! Si t'as rien à foutre dans la cuisine, tu restes là, debout devant nous, prête à servir. T'as compris?

J'obéis donc, profondément vexée. Théo jouait au seigneur, au chef, devant son copain. Il voulait devenir le leader de son groupe alors il devait prouver qu'il était le meilleur. Il quitta la table, sans doute pour les toilettes et je restais bêtement devant l'autre garçon, sans le regarder. Lui ne s'en privait pas. Nul ne parlait. Ca semblait durer une éternité, une éternité humiliante. Finalement, Théo revint, souriant.

- Allez 'çoise, bouge ton cul, prépare un dessert. Fais-nous une glace.

Je les quittai, soulagée de ne plus rester debout devant eux. Dans la cuisine, je sortis deux coupes et allai chercher le bloc de glace. Je l'ouvris et très surprise, y trouvai une feuille. L'encre coulait sous l'effet de l'eau glacée. Je pus lire :

Dégage-moi ta jupe et tout ce qu'il y a en dessous. Je veux ton gros cul à poil.

Sinon j'dis à mon père que tu mets des mini-jupes quand il n'est pas là, des bas de salope, que tu te promènes à poils devant le lycée.

Je dus m'assoir, effondrée, affolée! J'allais devenir folle. Je décidai de ne pas obéir. Trop c'est trop. « Qu'il aille se faire voir ce petit con! Jamais, je ne ferai ça! ». Je retournai à leur table poser la glace, les coupes et les cuillères, en montrant ma colère.

Théo comprit que je n'avais pas obéi et prit aussitôt son téléphone.

- Allo, papa? Tu vas bien? J'ai un truc à te dire... tu sais quand je suis rentré du lycée... eh... J'ai trouvé Françoise en train de...

- Attends, dis-je aussitôt, d'accord, d'accord, je recommence!

Il ne fallait pas que mon mari sache, je ne voulais pas me retrouver à la rue. Immédiatement, je repris le bloc de glace de la table.

Il me regarda, souriant. Ralf prit un air des plus surpris.

- Ouais 'pa, elle était en train de... en train de... nettoyer ma chambre!

Je soufflai, j'eus presque envie de le remercier alors qu'il venait de m'obliger à l'impensable.

- Je lui avais demandé ce matin et elle l'a fait. Je voulais te le dire. Je l'aime beaucoup. Tu rentres quand?... Si tard. Bon, alors à demain. Tu sais Ralf, poursuivi-il après avoir raccroché, Je suis sûr que Françoise va nous servir un dessert d'enfer!

Je filai dans ma chambre, y enlevai ma jupe, mes collants et finalement, avec un pincement au cœur, ma culotte. Je mis des mules à talons compensés assorties au tablier. Vue de face, ça allait encore, on ne voyait rien sauf que je n'avais plus de jupe puisqu'elle ne dépassait plus au bas du tablier. Vue de côté, l'arrondi des fesses non couvertes se voyait nettement. Vue de dos, c'était très obscène : mon dos et mes fesses étaient entièrement nus. Même dans l'intimité avec mon mari je n'avais jamais porté une telle tenue. Il aurait trouvé ça bien trop pervers. Je repartis à la cuisine.

Je pris à deux mains, mon courage et le bloc de glace. Je marchai vers eux. Théo sourit salement. Ralf fronça les yeux en voyant que je n'avais plus de jupe mais il ne pouvait pas savoir que je n'avais plus rien en dessous. Pour ne pas me montrer au rouquin, je me plaçai à côté de Théo, en face de Ralf. J'ouvris la boite de glace et commençai le service.

Je vis Théo se pencher en arrière sur sa chaise et regarder mes fesses. Il devint rouge. Même si internet avait nourri sa libido, il n'avait sans doute jamais vu ça d'aussi près. Je leur tendis les coupes. La main de Théo tremblait. Ils commencèrent à manger dans un lourd silence. Je me retirai de quelques pas sans tourner le dos. J'attendais debout comme j'en avais l'ordre.

Je vis la main gauche de Théo frotter son entrejambe, de plus en plus vite. Trop vite certainement car ses contractions et sa tête me firent comprendre qu'il venait d'éjaculer dans son pantalon. Ralf, surpris, interrogatif et rouge aussi, passa ses regards de Théo à moi.

- Range la glace dit Théo avec peine.

Je repris le pot de glace et repartis à la cuisine en marchant 5 à 6 pas à reculons. J'aurais bien voulu rester à la cuisine mais je risquai plus encore en m'y cachant. Lorsque je repris ma place, au garde-à-vous devant la table, je vis que mon beau-fils n'y était plus. J'attendis, tout aussi bêtement que tout à l'heure, mais les fesses nues en plus. Le silence s'installa.

Enfin l'enfant prodige revint depuis la cuisine. Il eut tout loisir d'admirer mon cul. Il n'était pas trop gros mais bien rond et j'étais très cambrée. Il reprit sa place à table, avec son autorité, sa suffisance.

- Alors Ralf, LaBoniche s'est bien occupée de toi? Demande-lui de la glace! Ne sois pas timide.

- Eh... oui... Est-ce que j'peux avoir de la glace, mdame, s'il vous plaît?

- Qu'il est con ce Ralf! T'es qu'un puceau mon pote, dit Théo. Elle, c'est pas mdame, c'est LaBoniche, tu comprends, la-bo-ni-che! Et tes "s'il vous plaît", tu te les mets au cul! Recommence.

- Eh... LaBoniche... sers-moi de la glace tout de suite, osa Ralf en bafouillant.

Se tournant vers moi, Théo dit :

- Désormais ton nom est LaBoniche. Si quelqu'un t'appelle LaBoniche, tu lui obéis immédiatement. File chercher la glace maintenant.

Toujours en marche arrière, je repartis à la cuisine, plus mortifiée que jamais. Je repris le bloc de glace au congélateur avec, hélas, une nouvelle feuille humide. Mes mains tremblèrent lorsque je lus.

Vire ton pull et ton sous-tif. Faut que tes gros nichons balancent. A poil "'çoise"! Complètement à poil sous ton tablier! Et magne-toi le cul sinon je te vire aussi ton putain de tablier.

Très vite, j'ôtai mon pull et mon soutien-gorge. Mes seins d'un bon 85C prirent une belle ampleur. Je remis le haut du tablier et m'engageai dans le séjour. Cette fois, Ralf constata que je n'avais plus de pull. Il comprit immédiatement que seul le tablier me couvrait. Ses yeux s'agrandirent. Théo dit alors :

- Quelle tenue la pouffe! Tu n'as pas honte devant mon copain?

- Eh... c'est à dire... je... j'avais trop chaud... excuse-moi. Eh... Monsieur Ralf, voulez-vous de la glace?

Comme il acquiesça, en marchant tantôt en arrière, tantôt sur le côté, je me déplaçai pour venir à la gauche de Ralf qui suivait mon déplacement avec stupeur. Quand je me penchai pour remplir sa coupe, le haut du tablier bâilla largement et Ralf découvrit mes seins. Il se pencha en arrière sur son siège et découvrit mon cul. Après que Théo fut servi à son tour, je fis quelques pas en arrière pour reprendre ma position de service debout.

Les garçons semblèrent m'ignorer pendant quelques minutes de silence. Finalement, Théo dit :

- Mon père va bientôt rentrer. Ralf, faut que tu te casses, moi je vais au pieu sinon le pater va râler. Dis-toi bien que maintenant, tu as LaBoniche à ton service, quand tu veux et comme tu veux.

A moi, il ordonna :

- Reste dans cette tenue en attendant mon père. Interdiction de te saper.

Philippe me trouva dans le canapé, emmitouflée dans une couverture protectrice qui lui cacha l'ignominie de ce que je venais de subir.

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Anonymous
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5 Commentaires
altair_1769altair_1769il y a plus de 4 ans
Bonne 1ere partie

.. même si je trouve que madame baisse pavillon un peu rapidement, le contexte et le style sont de bonne facture. Espérons que la suite soit dans la même lignée et que cette histoire continue à se tenir et développer crescendo.

Bravo

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
Superbe histoire

Très bonne histoire, excitante et bien écrite.

J’aime bien les intrigues graduelles, qui commencent de façon anodine, et vont crescendo dans l’humiliation et la dégradation.

Je fais confiance à l’auteur pour nous donner une suite qui va soumettre l’héroïne aux pires déchéances devant ses tourmenteurs.

Encore bravo et merci

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
OUIIIIII

J'aime beaucoup => merci

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
Felicitation

Récit très intéressant.

Juste pervers comme il faut.

Attention de ne pas tomber dans la facilite et avoir un maximum d’imagination pour la suite, attendue avec impatiente.

Vivement la suite….

trouchardtrouchardil y a plus de 4 ans

Comme la série "contrainte", une histoire bien écrite et très imaginative. On en redemande.

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