Solange, Mon Esclavage Pt. 04

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Ça commence mal!
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Partie 4 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 08/11/2022
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C'est Marthe, la bonne, qui m'ouvrit.

C'était une maîtresse femme, plantureuse, imposante. Entre sa jupe et sa blouse, elle portait un serre-taille qui lui comprimait le ventre et lui remontait les seins. Son visage exprimait l'autorité, une ironie teintée de mépris.

— Ah c'est vous? Mais qu'est-ce que c'est que cette tenue? Où vous croyez-vous? Suivez-moi.

Dans la buanderie, elle me tendit un short en jeans, un vieux tee-shirt, un foulard et un tablier chasuble.

— Changez-vous. Et enlevez-moi ces bas, ce n'est pas pratique pour travailler.

Sans plus s'occuper de moi, elle sortit. C'est peu de dire que je déchantais.

Je me déshabillai pour enfiler ces vêtements sans charme. Le short était d'une taille trop petite et me gênait l'entrejambes. Que dirait Madame en me voyant ainsi? Heureusement il restait mon maquillage pour la touche féminine Je rejoignis Marthe assise à la cuisine.

— Servez mon café.

J'obéis puis restai debout, ne sachant que dire.

— Madame m'a donné des instructions. Vous êtes ici sous mon autorité, pour que je vous apprenne votre travail. Je vous supervise. Je veux un service impeccable, sinon vous êtes renvoyée. Et c'est moi qui décide. Compris?

— Oui Madame.

— Pour commencer, vous lancez une lessive. Suivez-moi.

— Oui Madame.

Elle me désigna la manne.

— Vous allez trier le linge, le blanc d'abord, puis les couleurs. Les tissus délicats se lavent à la main.

Je lançai une machine de blanc avec les draps, des serviettes, des chaussettes et sous-vêtements d'homme.

— Pendant que ça tourne, vous préparez un bassin d'eau tiède. Trempez-y la lingerie fine et lavez-la.

Ciel, un string de dentelle! Je m'apprêtai à le sentir quand je reçus une forte gifle. Enfin une première gifle, depuis si longtemps que j'en étais privée!

— Qu'est-ce que c'est que ces manières? Madame m'avait prévenu, dévergondée.

Je me résignai à tremper toutes les petites culottes et les soutiens-gorge, à tout laver, déplorant le gaspillage de cette délicieuse cyprine séchée. Je les mis pendre sur un séchoir pliant.

— À la cuisine.

Les reliefs du repas traînaient sur la table.

— Vous éliminez les déchets et videz les poubelles. Puis vous lavez et séchez la vaisselle.

Elle me surveillait en regardant sa montre.

— Plus vite, allons. Essuyez la table et les plans de travail. Nettoyez l'évier. Préparez les petits déjeuners pour trois, jus d'oranges, café, thé, etc. Quand vous avez fini, vous lancez le programme pour les couleurs et vous filez mettre sécher la lessive au jardin, il fait beau. Vous m'attendrez à la buanderie. Allez.

Je m'activai de mon mieux. En rentrant du jardin, j'aperçus enfin Madame qui fumait, une tasse à la main. À peine me jeta-t-elle une seconde un regard froid, indifférent avant de détourner la tête. Que se passait-il? Je ne pouvais croire qu'elle ne m'ait pas reconnu, même dans cette tenue.

À la buanderie, Marthe me fit l'inventaire des produits d'entretien, m'en expliqua l'usage. Puis détailla mon emploi du temps. Elle me prescrirait les tâches du jour, en superviserait la bonne exécution. À la cuisine par exemple, j'aurais aussi à nettoyer le four et le réfrigérateur et à m'occuper des poubelles. Je devrais entretenir aussi à fond le reste de la maison, la salle de bain, le salon, les chambres, les caves, le grenier, le jardin, tout y passerait. J'aurais aussi à faire le repassage et de la couture si besoin.

Elle me signifia enfin que j'aurais à lui payer ses leçons.

— Sachez enfin que j'ai des comptes à rendre à Madame sur vos progrès. Aussi je serai intransigeante sur la qualité du travail, n'hésiterai pas à faire recommencer et à punir. Oui, Madame m'a recommandé de vous corriger sévèrement. D'ailleurs vous en méritez déjà une pour avoir voulu sentir le string de Madame. Baissez votre culotte et penchez-vous.

Elle cingla mes fesses d'une dizaine de coups de cravache avec force.

— Et ce n'est qu'un échantillon de ce qui vous attend, au besoin.

Bon, je savais que je pourrais provoquer son châtiment. Les gifles, la cravache, c'était déjà ça, même si ça ne valait pas une bonne séance de fouet toute nue. Je la testerais pour voir jusqu'où elle était prête à aller. Finalement, Marthe ne me convenait pas trop mal pour un dressage aux tâches ménagères et à l'obéissance.

L'occasion de la tester se présenta à la salle de bain. Du linge traînait par terre. Je ramassai une petite culotte et la portai délibérément à mes lèvres. Sa fureur!

— Suivez-moi.

À la cave, elle me fit déshabiller toute nue. Il n'y avait qu'une loupiotte pour éclairer un vieux meuble. Le reste était dans l'ombre. Traînaient-là divers instruments. J'en reconnus la plupart à moi. Sans doute Madame étai-elle venue les prendre pendant mon travail ce matin. Et devait avoir instruit sa bonne de leur usage.

— Jambes écartées, mains à la nuque. Je vais vous apprendre ce qu'il en coûte de me provoquer.

Elle m'emprisonna les chevilles à la barre d'écartement. Enfin, j'allais être fouettée, depuis que j'en étais privée.

Puis elle me fixa un collier de chien, prit une paire de menottes dont elle emprisonna mes poignets qu'elle clipsa au collier. Elle me fourra ma culotte en bouche, me banda les yeux de mon foulard. Enfin elle me fixa les pinces dentées aux tétons.

— Vous voyez, Solange, Madame m'a tout bien expliqué et m'a laissé carte blanche. Et croyez-moi, j'ai de l'expérience.

Les coups se mirent à pleuvoir. Je reconnus mon fouet « single tail ».

Au début, ce fut un immense plaisir. Et elle avait de la poigne, les coups étaient vraiment très durs, comme j'aimais. Mais ma dose c'était 15 coups. Il me fallut en endurer bien plus, sans trop de plaisir cette fois.

Elle me laissa liée et sortit.

Au bout de ce qui me parut une heure ou deux, elle revint me délivrer. Mais ce fut pour m'enchaîner au mur, les mains toujours au collier. Elle ôta les pinces. J'avais peur que mes tétons soient nécrosés. La douleur de l'afflux de sang me rassura. Elle me mit la pompe aux seins, tenue par une bretelle, Quand elle ôta mon bandeau, je pus voir que j'étais toujours à la cave. Il y avait une paillasse avec une vieille couverture, une gamelle et une cuvette de WC à laquelle j'avais accès.

— C'est là que vous pouvez chier et boire.

Je passai l'après-midi à attendre. Vivement le soir que je puisse rentrer me reposer!

Enfin vint le soir, j'allais pouvoir récupérer.

Ah ouiche!

Quand elle revint, je demandai humblement :

— Pardon Madame, je voudrais rentrer chez moi, maintenant.

Elle ricana.

— Rentrer chez vous? Mais qu'est-ce que vous croyez, pauvre idiote.

— Mais Madame m'avait dit...

— Et à moi, Madame a dit que vous êtes sous mes ordres pour tout un mois. C'est moi et moi seule qui décide de tout. Compris?

Ben merde alors! Ce n'était pas du tout ce que j'avais imaginé. J'étais à la merci de cette salope sadique. Je me rendis compte que j'avais construit moi-même le piège en m'abandonnant aveuglément à la volonté et aux caprices de Madame, en fondant mes espoirs sur des délices qui ne viendraient plus.

Bon gré, mal gré, il me faudrait subir toutes les avanies qui se profilaient à mon horizon.

Elle ouvrit alors une boîte de pâtée pour chien. M'en mit la moitié dans ma gamelle. Puis diminua la dépression de la pompe et sortit sans un mot ni un regard.

Il me fallut manger cette pâtée avec les doigts, ce n'était pas bon. Puis je me lavai et, bien forcée, bus dans la cuvette du WC.

Le lendemain matin, elle me réveilla d'une paire de gifles. Vida la boîte de pâtée dans ma gamelle. J'allais devoir m'habituer à cette nourriture.

Quand j'eus mangé, toujours avec les mains, elle me fit boire un grand verre.

— C'est ma pisse, il paraît que vous aimez ça? N'en perdez pas une goutte sinon vous restez ici.

Elle ôta ma pompe, quel soulagement. Puis me fit reprendre la position de la veille.

— À cause de vous, j'ai dû me taper tout le boulot. Vous allez me payer ça.

Nouvelle séance de fouet, intense, comme hier.

— J'espère que vous avez compris la leçon. Vous avez chié?

— Oui Madame.

Elle vérifia que j'aie remis mon gode et me délivra enfin.

— Madame veut faire de vous une fille, paraît-il. Pour commencer, vous allez perdre ce ventre.

Elle libéra mon sexe de la guiche, mais ce fut pour me serrer les testicules dans un humbler sous les fesses. Puis me fit faire une demi-heure d'exercices intensifs. Ce fut atroce, les couilles étirées à chaque mouvement. Et sa cravache qui me cinglait si je faiblissais. À la fin, elle m'ôta l'appareil pour me clipser le sexe à nouveau. J'étais épuisée, les couilles et les abdos douloureux. Ce serait mon régime quotidien.

— Rhabillez-vous, le travail vous attend.

Je m'apprêtai. Sous mon teeshirt, elle fixa à nouveau les pompes à seins par une bretelle et régla le vide au maximum. Sous l'afflux de sang, mes pectoraux étaient bien gonflés. Peut-être aurai-je finalement une jolie poitrine?

La journée passa, grand nettoyage, récurage de la salle de bain à fond, rangement du grenier. Je vis qu'il était aménagé en donjon. J'étais très gênée dans mes mouvements par cette foutue pompe. Je dus récurer les carrelages à quatre pattes, puis l'allée dallée sur le devant, à la vue de qui pouvait passer. Le kiné sortit.

— Bonjour Marthe, comment va la petite nouvelle? dit-il en me désignant du menton.

— Oh, elle fait ses exercices.

Je transpirais à grosses gouttes. L'après-midi, avant de travailler dans le jardin, elle m'arrosa de sa pisse.

Le soir. Je dus laver mes vêtements.

— Vous puez, me dit-elle.

Elle me lava au jet, pleine puissance, insistant bien entendu sur mon sexe.

Pour la nuit, elle réduisit enfin le vide au minimum.

Le second matin, elle me fit rester sur ma paillasse.

— Je dois vous donner à boire, paraît-il. N'en perdez surtout pas une goutte.

Elle remonta sa jupe et baissa sa culotte, m'offrant un gros plan de sa moule de vieille entre ses jarretelles, s'accroupit collée sur ma bouche et urina, un long jet, amer, chargé, infect.

— Ce sera votre boisson au petit déjeuner chaque jour.

— Merci beaucoup, Madame.

— Mais ce n'est pas tout.

Elle s'assit sur la cuvette et chia devant moi.

Elle revint sur ma bouche.

— Nettoyez mon cul. Et entrez bien votre langue.

— Madame, il reste plein de merde.

— Et bien, vous avalez. Obéissez, j'ai des instructions, moi. Et des comptes à rendre. Si vous croyez que ça me plaît! Désormais votre langue me servira de papier-toilette.

Elle me menotta dans le dos, me fit agenouiller, la tête dans la cuvette, le nez sur l'étron.

— Vous allez méditer une heure là dessus.

Dans quel enfer étais-je tombé?

Le mois se passa dans ces contraintes de plus en plus sévères. J'y trouvais cependant une jouissance imprévue. J'étais fouettée chaque jour, souvent matin et soir, pour une faute ou son caprice.

Je devais parfois travailler toute la journée demi-nue avec un gros gode, ou pire, le humbler.

Et je devais poursuivre quotidiennement mon maquillage pour me perfectionner. Sans compter mes abdos.

Un matin, Marthe apporta dans ma cave une potence à laquelle étais pendu un réservoir.

— Madame m'a prescrit de vous ouvrir la chatte.

Qu'st-ce qui m'attendait encore?

— Vous allez vous faire un lavement chaque jour. Exécution.

Je m'introduisis la canule, me remplis d'eau puis me vidai au WC.

— Nettoyez-vous l'intérieur, entrez-moi ça. Allons.

Ça, c'était une brosse à WC. Celle-ci était en nylon souple. Plus tard elle m'en imposa une en chiendent, particulièrement pénible. Et désormais, toutes mes journées j'étais obligée de porter un gode de belle dimension. Ça semblait l'amuser de me voir me tortiller des hanches pour travailler.

J'étais devenue très soumise, acceptant passivement les pires souffrances, les plus infectes humiliations.

Quand ça lui prenait (trop rarement) Marthe se faisait lécher. Je devais la faire jouir. Je me doutais que c'était sur ordre de Madame car son plaisir mettait longtemps à venir.

À la fin, je mangeai sans protester un caca de ma bourrelle.

Ce qui continuait à me manquer le plus, c'était d'être privée des petites culottes de Madame. Mais je finis par recevoir l'une ou l'autre fois celles de Marthe, quand elles étaient par trop souillées. Ça me consolait un peu de les sucer.

Mais le plus étrange, c'est que je ne vis jamais personne, ni Madame, ni sa fille, ni son mari.

Parfois Marthe m'avait emmenée chez une autre voisine ou chez la femme du kiné, faire là aussi leur ménage. C'était sans doute une sorte de test pour vérifier que je m'étais adaptée à ma fonction.

J'avais perdu la notion du temps. Aussi fus-je surprise lorsqu'un matin, Marthe me remit les vêtements sexys que je portais le premier jour.

— Votre stage est terminé, Solange.

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