Soirée au Club

BÊTA PUBLIQUE

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Et bien qu'aucune d'entre elles ne soit réellement bisexuelle, elles avaient toutes les trois eu des relations avec des filles. Plus ou moins... Mais là, ce n'était pas la même chose. Ce n'était pas fortuit. C'était prévu, organisé, planifié.

C'était un piège. Olivia et Patricia n'étaient pas des gamines, mais des femmes mûres qui savaient exactement ce qu'elles voulaient. Elles étaient là pour ça. Des prédatrices à la recherche de leur proie. Et leurs proies, c'était des jeunes femmes blanches délurées.

Des petites salopes qui n'avaient pas froid aux yeux et prêtes à tenter l'expérience. Et c'était exactement le cas des trois amies... Pourquoi Vanessa trouvait-elle cette pensée à la fois si répugnante et si excitante? Son ventre bruissait en évoquant les évènements de la nuit et elle avait honte de sa réaction. Mais elle était tellement mouillée...

Elle quitta son lit pour la salle de bain. Une douche fraîche allait sûrement calmer ce feu qui coulait dans ses veines... Elle laissa l'eau froide s'écouler sur son corps, longtemps. L'eau nettoyait sa peau, mais pas son esprit. Des images lubriques défilaient derrière ses paupières closes. Olivia et Cindy, Patricia et Sandra. Et dans ses rêves, elle s'insérait.

Sa main glissa sur son petit ventre bombé, jusqu'à la fourche de ses cuisses.Lorsque ses doigts effleurèrent son clitoris gonflé, la secousse fut forte, la prenant au dépourvu. Elle s'appuya contre le mur et saisi le pommeau de la douche de son perchoir. Vanessa a dirigé le jet directement sur son sexe, et elle a joui presque instantanément.

Elle creusa ses reins en écartant les cuisses pour mieux sentir l'intensité de la décharge qui traversait son corps. Elle se laissa glisser contre le mur carrelé lentement, jusqu'au sol, recroquevillée, attendant le retour au calme. C'était tellement malsain, si bestial, si monstrueux. Si elles l'avaient vu faire, elle était sûre que Patricia et Olivia l'auraient approuvée et encouragée. Oh, mon Dieu ! Avait-elle vraiment pensé cela?

Elle se traîna hors de la douche. Le contact doux de la serviette moelleuse la fit haleter. Son désir sexuel était en éveil et n'allait pas disparaître facilement. Assise au bord de son lit, elle pensait qu'un orgasme ne suffirait pas à la calmer. Elle ouvrit le tiroir de sa table de chevet et remit des piles neuves dans son vibromasseur rose. La journée de Vanessa s'écoula, rythmée par les douches froides et les branlettes vibrantes.

Vingt-quatre heures plus tard, Vanessa était allongée sur son lit. Elle ne parvenait pas à trouver le sommeil. Toujours pas de nouvelles de Cindy ou de Sandra. Elles ne répondaient pas à ses appels, ni à ses messages ou ses textos. Quelque chose ne tournait pas rond... Vanessa n'arrivait pas à se décider. Quoi faire? Signaler leur disparition à la police? Contacter leurs familles? Solution extrême.

Et puis elle devra expliquer ce qui s'est passé. Leur comportement à toutes les trois... Si Cindy et Sandra sont en sécurité, elles seront furieuses contre elle. Elle préférait éviter les aveux difficiles, peut-être qu'elle devrait... La sonnerie de son portable interrompit ses pensées. Lorsqu'elle a vérifié l'identité de l'appelant, son cœur a raté un battement.

"Cindy" elle a crié, un mélange de colère et de soulagement. "T'étais où?"

"Bonjour, fillette."

Cette voix... Ce n'était pas Cindy... Cette voix chaude aux intonations africaines... Elle remonta le drap jusqu'à son cou, ressentant le besoin irrationnel de couvrir ses seins nus. Ses mamelons étaient déjà tout durs... Simplement d'entendre la voix d'Olivia?

"Où est Cindy?" Elle haletait d'une voix trop aiguë. "Et Sandra?"

"Ne t'inquiète pas pour elles, chérie. Tes amies sont entre de bonnes mains..." Olivia émit un petit rire de gorge.

La voix de la femme était calme et envoûtante, comme elle l'avait été au club. Le même ton prédateur, l'éloquence persuasive. Vanessa frissonna.

"Elles s'amusent tellement ici... Qu'elles ont décidé de rester un peu plus longtemps..."

Elle laissait traîner sa voix, elle semblait s'amuser du désarroi de Vanessa.

"Beaucoup plus longtemps, en fait... De petites créatures précieuses mais insatiables, n'est-ce pas?"

Le ventre de Vanessa devenait douloureux à force de se contracter. Sa respiration s'accélérait. Elle avait envie de se caresser.

"Je leur ai parlé de toi" poursuivit Olivia. "Tu as si brusquement disparu au club. J'espérais te retrouver, t'emmener avec moi..."

Elles la cherchaient aussi? Vanessa n'y avait jamais pensé. Machinalement, ses cuisses s'écartaient et ses doigts s'infiltraient...

"Tes deux copines étaient plus favorables, plus ouvertes, évidentes..." continuait la voix chaude. "Mais je n'ai pas été dupe. J'ai pu voir cette flamme dans tes yeux, ce désir tordre ton ventre..."

Elle pouvait la voir? Maintenant? Vanessa arrêta de se masturber, sa lèvre inférieure tremblait d'émotion.

"Tu as pensé à nous, tu t'es masturbée en pensant à moi, n'est-ce pas?"

Bon sang, comment a-t-elle su? Olivia ne pouvait pas savoir que Vanessa s'était cachée dans les toilettes, écoutant et observant ce qui se passait. Ses doigts ont recommencé à taquiner son clitoris érigé pendant que des images explicites se formaient dans sa tête. C'était trop sordide pour résister. Elle haletait en frictionnant son clitoris ardent de désir.

"Alors, je pensais..." continua Olivia sans attendre une réponse. La respiration lourde à l'autre bout de la ligne indiquait à la matrone noire tout ce qu'elle avait besoin de savoir. "Pourquoi ne viendrais-tu pas ici, voir ce que nous faisons... Participer à nos jeux... Petite coquine ..."

La suggestion percuta Vanessa qui, pour réfléchir calmement, fit une pause dans sa masturbation. Elle ne pouvait pas. Impossible. Elle n'était pas ce genre de pouffiasse. D'ailleurs, qui sait dans quoi les autres s'étaient fourrées?

Et pourtant... Elle revoyait toujours les mêmes images. La façon dont Olivia jouait avec le corps de son amie. Comme un musicien virtuose joue de son instrument pour en tirer ses plus belles notes. Impossible de penser à autre chose. Elle s'était tellement masturbée au souvenir d'Olivia poussant Cindy entre ses cuisses, l'obligeant à la lécher.

Dans ses fantasmes masturbatoires, c'était elle, Vanessa, que Olivia soumettait à ses désirs saphiques. Son imagination l'a poussée à haleter plus vite. Ses doigts avaient repris leur danse folle sur son clitoris si sensible. Cela devenait de plus en plus difficile de penser clairement. Une fièvre sexuelle embrouillait ses idées.

"J'ai envoyé un taxi chez toi" lui dit la voix fascinante. "Il sera là bientôt. Prépare-toi. Je sais que tu voudras porter quelque chose de sexy pour moi, pour me plaire..."

En sortant du taxi, le cœur de Vanessa battait si fort qu'elle pensa qu'il pourrait exploser. Quand Olivia lui a ouvert la porte, elle a failli défaillir. Elle s'était habillée sexy comme l'avait exigé Olivia. En haut, un simple bandeau noir lui couvrait la poitrine. En bas, son leggins la moulait comme une seconde peau. Une large ceinture turquoise donnait une touche de couleur à sa tenue. Des escarpins à talons hauts complétaient l'ensemble.

Le regard perçant de la matrone prit le temps d'examiner le corps jeune et souple, puis elle sourit de contentement. Elle se retourna silencieusement et se dirigea vers les escaliers, sachant que la fille la suivrait, docile. Elle était venue jusqu'ici de son plein gré, après tout, n'est-ce pas?

Vanessa n'hésita qu'une fraction de seconde avant de la suivre, se demandant si le balancement sexy de ses hanches était naturel, ou si Olivia en accentuait l'effet. Olivia devait savoir que Vanessa était impuissante à ignorer le tangage de son cul de déesse. Hypnotisée, elle continua de suivre le roulis de ce cul lascif le long d'un couloir jusqu'à une porte.

Olivia se tenait de côté, lui désignant la poignée de porte, hochant la tête dans sa direction et lui souriant avec confiance. Vanessa avait l'impression qu'elle lui lançait un défi, comme si elle l'invitait à entrer dans un endroit dont elle ne pourrait plus sortir. La main tremblotante, elle tourna la poignée et ouvrit la porte.

Elle ressentit une faiblesse dans ses jambes devant le spectacle auquel elle était confrontée. Même dans ses pires cauchemars, elle n'aurait pas pu imaginer cela. Les deux femmes noires lui étaient inconnues. Mais il était clair que la jeune femme blanche dont elles s'occupaient était Cindy. Toutes les trois étaient entièrement nues.

Cindy était blottie sur le lit, la tête entre les cuisses d'une matrone voluptueuse, lapant sa chatte. Elle paraissait si lumineuse, si désireuse, mais si différente. Comme si quelque chose avait changé en elle. L'autre femme était agenouillée derrière Cindy, la baisant tranquillement avec un énorme gode ceinture noir.

Vanessa avait entendu parler de telles pratiques, mais elle n'en avait jamais vu ailleurs que sur des sites pornographiques. Elle fit un pas involontaire en arrière, mais elle heurta le corps pulpeux d'Olivia qui s'était rapprochée.

"Regarde ta copine, comme elle est heureuse, petite fille" murmura-t-elle.

Son souffle chaud dans le cou de Vanessa la fit frissonner. Vanessa n'avait pas besoin d'encouragement. Ses yeux étaient attirés par le spectacle sur le lit comme un papillon de nuit par la lumière. Vanessa ne pouvait plus détourner son regard.

Les mains de Cindy tenaient les jambes de la femme écartées pendant qu'elle la suçait. Elle était méthodique, léchant de bas en haut tandis que la femme équipée du gode la baisait en levrette. Elle sortait presque entièrement son gode, puis replongeait au plus profond de son vagin, la martelant avec une aisance rythmique, s'accordant au rythme de Cindy pour que la langue de la fille s'enfonce profondément dans la chatte de la matrone.

Vanessa avait l'impression d'assister au tournage d'un film porno. Le regard de la matrone noire équipée d'un gode-ceinture effleura Vanessa lorsqu'elle tourna la tête. Immédiatement, ses yeux se sont élargis, son regard s'est fixé sur la jeune fille, détaillant son corps de liane. Son regard brûlant observait chaque centimètre du corps svelte de Vanessa, tandis que sa langue rose parcourait ses lèvres charnues.

Vanessa frissonna sous le regard concupiscent de cette prédatrice qui la convoitait. La femme ralentit légèrement son mouvement, donnant à Vanessa une vision plus nette de l'effrayant phallus noir qui s'enfonçait profondément dans Cindy puis se retirait presque totalement. Ses yeux semblaient braver Vanessa:

"Viens-tu jouer avec moi, petite fille?"

"Cindy est très douée" murmura Olivia tout contre son oreille. "Dans très peu de temps, son entraînement sera terminé !"

"Entraînement?" Vanessa a presque réussi à croasser.

Elle aurait voulu regarder Olivia, mais il lui était impossible de détourner ses yeux du spectacle auquel elle était confrontée. La femme au gode la défiait du regard en baisant Cindy. Ses yeux la narguaient, lui envoyaient un message. Serait-elle la prochaine? Brusquement, la matrone accéléra son rythme, frappant durement Cindy qui gémit.

"Oui, nous la formons pour son nouveau job" murmura Olivia à l'oreille de Vanessa. Son ton ferme, sans discussion possible, suggérait qu'elle n'avait pas le choix. C'était sa destinée.

"J'ai une clientèle, des africaines matures qui sont disposées à payer cher pour jouer avec de jolies petites fillettes blanches. Des hommes aussi, noirs et riches... Que penses-tu de tout cela, ma jolie petite fille?"

Elle aurait dû être révoltée. Vanessa savait qu'elle devrait se rebeller. Mais la fièvre qui brûlait dans son ventre rendait difficile la formation d'une pensée cohérente. Dressée pour servir des femmes noires matures? Était-ce ce que lui proposait Olivia? Non, c'était impossible de nos jours. La traite des blanches. L'esclavage sexuel. Une telle horreur n'était plus possible. Vraiment?

"Allons voir Sandra" murmura soudain Olivia. "Nous devons surveiller ses progrès, à elle aussi..."

Sans lui laisser le moindre choix, Olivia enlaça Vanessa et l'entraîna dans le couloir vers une autre pièce. Cette fois, c'est la matrone qui a ouvert la porte et a ordonné à Vanessa d'entrer en la poussant d'une main sur son petit cul serré. Vanessa a obtempéré lentement, timidement, à petits pas hésitants.

Il lui était impossible de reconnaître avec certitude Sandra sur le lit. Même si son instinct lui dictait que c'était bien elle. Elle était étendue sur le dos, ses blanches mains agrippées autour des grosses cuisses noires d'une matrone qui chevauchait son visage en frottant sa chatte d'avant en arrière sur la bouche de la jeune fille. Le contraste de couleur était troublant.

Une autre femme noire plus âgée était agenouillée entre les cuisses écartées de Sandra, elle léchait lentement la chatte rasée de la fille. La vieille lui introduisait un gode vibrant et le corps de Sandra tressaillait sous les savantes caresses.

Vanessa sentit à nouveau le souffle d'Olivia sur sa nuque. Seulement cette fois, les lèvres charnues effleuraient sa peau.

C'était plus possessif et impérieux. Elle se coula contre le corps d'Olivia quand la main posée sur sa taille remonta le long de son flanc pour découvrir son sein à travers le mince tissu. Son mamelon se tendait dans la paume caressante de la matrone lorsque le contact devint plus pressant.

L'autre main d'Olivia quittait son cul pour glisser sur son ventre nu en retenant Vanessa blottie contre elle. Elle aurait dû s'opposer. Se défendre. Lui dire d'arrêter. Mais elle ne le pouvait pas. Elles savaient toutes les deux qu'elle ne pouvait pas résister, qu'elle désirait...

Les doigts possessifs se glissèrent dans son leggins. Ils ont facilement trouvé leur chemin à l'intérieur de son string. Lorsque les doigts agiles écartèrent ses grandes lèvres, le contact persuasif fit frémir Vanessa de plaisir et elle poussa un long gémissement rauque.

"Si mouillée et si affamée" murmura Olivia à son oreille. "Je savais que tu serais compréhensive ..."

Quand elle tordit le téton de Vanessa et travailla avec un seul doigt à l'intérieur de son vagin, le gémissement de la fille se transforma en râle. Un long râle rauque qui montait du fond de son ventre. Olivia sourit. Un sourire de fauve qui dépouille sa victime. C'était le bon moment.

Jusque là, elle avait étudié les réactions de la jeune femme comme un entomologiste étudie les réactions de l'insecte qu'il vient d'épingler sur une planchette. Sa proie ne pouvait plus lui échapper, il ne lui restait plus qu'à porter le coup fatal.

"Tu vas t'habituer assez vite" Sa voix était basse et persuasive. "Tu es faite pour ça. Je suis sûre que mes amies et clientes vont adorer ton petit corps blanc et svelte. Pourquoi ne pas commencer maintenant, toutes les deux? Tu aimeras, je suis sûre que tu vas aimer, oui? Tu en as besoin, bébé. C'est à ton tour de servir ma chatte noire... comme tes amies, à présent !"

La pièce était semblable aux autres. Impersonnelle, quelques rares meubles en chêne massif étaient éparpillés au hasard, un grand lit contre le mur avec un grand miroir juste au-dessus. Olivia et Vanessa se faisaient face.

Vanessa ne s'est pas reconnue dans le miroir. Ses yeux scintillaient d'avidité. Ses joues étaient encore plus rouges que d'habitude. Ses longs cheveux noirs étaient décoiffés et emmêlés. Mais surtout, c'était cette expression lascive et exaltée qui lui était inconnue.

C'était surréaliste, comme dans un rêve. Elle sera façonnée. Formée, éduquée, entraînée. Comme ses amies. C'est ce qu'avait dit Olivia, n'est-ce pas? Elle avait une clientèle, de femmes noires plus âgées et de riches hommes noirs, disposée à payer cher pour pouvoir jouer avec de "mignonnes petites filles blanches".

Sa pensée rebondissait à l'intérieur de son cerveau troublé. Quelque chose n'allait pas. Cela aurait dû carillonner, une alerte...Mais c'était tout le contraire. L'idée de servir d'esclave sexuelle pour de vieilles personnes noires envoyait des flashes d'excitation à travers son corps ardent et avide et tout ce qu'elle pouvait faire, c'était se trémousser contre Olivia.

Son regard revint à leurs reflets dans le miroir. Elles étaient nues toutes deux. Que s'était-il passé? Elle ne se souvenait pas de s'être déshabillée, ni ce que lui avait fait subir la matrone noire.

Les seins d'Olivia étaient fabuleux, lourds et ronds avec des tétons dardés. Ils étaient longs et raides comme une phalange du petit doigt. Quand Olivia se plaqua contre le dos de Vanessa, la fille émit un long cri rauque de gorge qui montait de ses entrailles.

Lorsque Olivia a hardiment glissé ses doigts entre ses jeunes fesses, palpant et pressant les chairs fermes, le gémissement rauque de Vanessa devint plus aigu, comme si elle réclamait. Les doigts étaient habiles. La fille était affamée. Vanessa eut le souffle coupé quand les doigts d'Olivia explorèrent son intimité.

"Putain, ma fille, ce cul...!" murmura Olivia d'une voix basse dans son oreille."Mon clitoris a tellement envie de baiser ce petit cul serré ..."

Lorsqu'elle sentit le pubis de la femme noire se presser, Vanessa se mordit la lèvre et poussa ses fesses en arrière.

Un des bras d'Olivia passa autour de son corps, couvrant ses seins. Elle serrait Vanessa contre elle en frottant doucement son ventre contre le cul de la fille.

Le gémissement de Vanessa se transforma en une série de petits cris aigus qui rythmaient la cadence. Elle tourna la tête à moitié pour regarder Olivia quand celle-ci recouvrit la bouche entrouverte de Vanessa avec la sienne. Son baiser était humide, lascif et profond.

Sans interrompre ce baiser langoureux, la main libre d'Olivia glissa le long de son ventre. Cette fois, elle enfonça deux doigts à l'intérieur de la fille, faisant tressaillir d'envie la jeune écervelée. Son pubis continuait de broyer le cul de la gamine, une main caressant la jeune poitrine, deux doigts dans la chatte, tout se refermait autour d'elle et la chaleur s'intensifiait à l'intérieur du corps émerveillé de Vanessa.

Olivia dévorait sa bouche impérieusement. Ses doigts habiles pompaient comme une machine à l'intérieur d'elle. Son pubis frottait de plus en plus fort et Vanessa pouvait réellement sentir le clitoris saillant de la mature lui gratter les fesses.

Pourquoi se sentait-elle si bien? Jamais un homme ne lui avait procuré un tel sentiment d'extase. Cette envie de lui appartenir, d'être sa poupée sexuelle, d'où cela venait-il? Le son de leur respiration lourde et gémissante emplissait la pièce. Quelqu'un geignait à haute voix. C'était peut-être elle.

Elle s'offrait, donnait tout ce qu'elle avait en elle, en se fichant de savoir où cela la mènerait. La sensation était grisante.

Ses yeux mi-clos suivirent leurs reflets dans le miroir. La vue était captivante.

Cette femme la subjuguait, la soumettait à son contrôle, la prenait comme une gouine. Oh, putain... elle allait jouir... Le bras d'Olivia se resserra autour de ses seins. C'était comme si elle sentait sa reddition imminente. Il n'y avait pas d'échappatoire. Elle devait se soumettre. La chatte noire de la matrone était en train de baiser son petit cul blanc. Elle accéléra le mouvement de ses doigts plongeants et, tout à coup, Vanessa se sentit partir.

"Jouis, ma fille" gronda la voix chaude dans son oreille. "Laisse-toi aller... donne-toi à ta maîtresse..."

Vanessa s'est déchaînée, tremblante de tous ses membres, hurlant son bonheur en s'effondrant comme une possédée.

L'instant suivant, Olivia se tenait devant la fille comblée, avec un épais collier de cuir entre ses doigts. Elle avait presque une cinquantaine d'années, mais ce corps merveilleusement plantureux faisait saliver Vanessa. Elle ne savait pas depuis quand, mais ce sentiment croissant de soumission et d'abandon était grisant.

Elle ne fit aucune objection lorsque la femme referma le collier autour de son cou, et elle la suivit, comme une chienne, en laisse, pour aller jusqu'au lit. Olivia la fit asseoir sur le bord du matelas puis se pencha pour lui donner son mamelon à téter.