Si Vous Voulez! Ch. 09

Informations sur Récit
Un soulagement espéré.
1.3k mots
4.6
1.2k
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Récit n'a pas de balises

Partie 9 de la série de 11 pièces

Actualisé 05/09/2024
Créé 04/12/2024
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C'était un cauchemar. Solange réfléchissait tout en repassant le linge de sa femme et du sale type. Elle ruminait, incrédule, cette façon extraordinaire qu'avait adoptée son épouse pour lui parler. Sa femme habituellement si docile. Qui discutait rarement, et lui donnait toujours raison.

Il devrait attendre pour récupérer son pantalon et être un homme. Sans compter que ses talons étaient au massacre. Pire encore, c'était l'état de son petit oiseau à l'intérieur de la cage. Il avait intensément besoin de se branler.

Solange a entendu la cloche. Sa Maîtresse l'appelait. Elle avait pris un livre et quelques revues.

— Je descends au jardin maintenant Solange. Apportez-moi une boisson fraîche. Rien d'alcoolisé. J'ai toujours la gueule de bois.

— Oui Maîtresse, fit-elle avec la petite révérence, en signe de respect.

Satisfaite d'être obéie, Marie sortait quand il l'a interpellée.

— Heu Maîtresse...

— Quoi encore? dit-elle en levant les yeux au ciel.

Il a fait une révérence.

— Je me demandais si vous pourriez, heu...

Il a montré l'avant de sa jupe en gardant les yeux baissés, éperdu d'avoir à s'abaisser jusqu'à mendier.

— S'il vous plaît, libérez-moi pour un moment, j'ai tant besoin de me soulager depuis trois jours.

— Je vois que je n'aurai pas la paix jusqu'à ce que vous ayez ce que vous voulez. Montez, minable!

Il l'a regardée pour s'assurer qu'il 'avait bien entendu. Mais elle souriait.

— Couchez-vous sur le lit.

Elle a fait mine de regarder dans les tiroirs de sa coiffeuse.

— Où sont passées les clefs?

— Les menottes sont ici, Maîtresse.

Il a glissé les mains par les barres à la tête du lit et elle les a menottées l'empêchant de bouger. Le sentiment d'abandon avec ses vêtements soyeux l'a envoyé dans l'hyper-espace.

Elle est sortie. Il était tellement dans son monde qu'il n'avait pas prêté attention à voir où elle était allée. En bas? La chambre à coucher? Elle pouvait même être sortie. Mais un instant plus tard elle revenait avec les clefs.

Elle a soulevé la jupe et a ri nerveusement. Une jupe trop courte et un porte-jarretelles.

— Quelle pute!

— Monsieur Rouland veut que j'en sois une, dit-il à son épouse.

— Bon s'il le faut! dit-elle, riant sous cape en utilisant son expression consacrée.

Les yeux fermés, Olivier entendait le tintement des clefs. Comme il aurait aimé garder celle de rechange dans un endroit sûr. Il a senti qu'elle ouvrait la serrure. Bientôt ce seraient ses doigts qu'il sentirait autour de sa queue. Celle-ci s'est dressée immédiatement.

Mm, allons, pas si mal pour une lopette, songea-t-elle. Elle a commencé à jouer avec et Olivier a senti qu'il allait éjaculer comme un canon.

— Oui! Oh oui gémit-il. Elle a relevé les doigts et il a arqué son bassin jusqu'à elle.

Soudainement il a senti qu'elle se levait. Il a ouvert les yeux. Elle se tenait à la fenêtre, la bouche grande ouverte.

— Oh mon dieu! Il est de retour!

Elle l'a regardé, paniquée.

— Débande de suite, par pitié.

— Je ne peux pas! Il haletait. Finis-moi.

Il a alors hurlé avec plus de douleur qu'il ne pourrait jamais se rappeler. Elle l'avait giflé à toute force sur son membre. Il se roulait sur le lit.

Il l'a sentie serrer son membre, essayant de le repousser dans sa cage de chasteté.

— Non, non! Par pitié! S'il vous plaît maîtresse."

Il était en larmes. Il tentait de libérer ses mains mais les menottes étaient fermées. Elle parvint enfin à les libérer. Il était libre mais elle s'était précipitée dans les escaliers, à tenter de retenir l'homme. Mais pourquoi était-il revenu si rapidement?

Olivier avait entendu que la porte avant s'était ouverte et refermée.

Il s'est levé, se sentant toujours secoué du coup qu'elle lui avait donné. Comment avait-elle pu le frapper si fort? Jamais avant elle n'aurait osé. Il s'est assis sur le bord du lit, les jambes croisées, sentant le poids de ses faux seins.

Il savait que s'il partait maintenant il ne la reverrait jamais. Il la perdrait, elle serait à cet autre homme. À la manière dont les choses allaient, Monsieur Rouland prendrait définitivement sa place ici.

La cloche a tinté. Solange, s'est levée en soupirant, a tapoté sa jupe et est descendue au salon. Monsieur Rouland était assis dans le sofa, avec Marie reposant sa tête sur son épaule.

Elle a fait une révérence.

— Vous avez sonné, Monsieur?

Monsieur Rouland l'a dévisagée d'un air glacial.

— Vous pourriez frapper avant d'entrer. Et j'ai dû attendre. Cela fera douze coups de plus ce soir.

Douze de plus que les douze qu'il devait recevoir de toute façon. C'était trop!

— Apportez-moi un whisky, et un vin blanc pour Madame.

Solange sortit après une révérence. Elle n'avalait pas sa punition. Six coups supplémentaires à ajouter à celles qu'il méritait normalement. Jésus! Ses fesses étaient toujours rouges de la nuit précédente. Il a préparé les boissons et est retourné avec un plateau.

Cette fois il a frappé. Il a attendu. Il n'y avait pas de réponse. Elle s'est demandé s'ils étaient sortis. Elle a ouvert la porte. Marie se démêla des bras de son amant.

Monsieur Rouland s'est tourné pour voir la bonniche, choquée, se tenir à la porte. Il a hurlé.

— Qui vous a permis d'entrer sans qu'on vous y autorise?

Solange, apeurée, les genoux tremblant, a senti des larmes lui monter aux yeux.

— Pardon Monsieur, j'ai frappé et...

— Oui? Et est-ce que vous a donné la permission d'entrer? Je n'ai pas entendu. Est-ce que je suis sourd? Ou stupide? Vous pensez que je suis stupide?

Solange n'avait jamais vu quelqu'un aussi fâché.

— Pardon Monsieur, je suis désolée. J'ai juste pensé...

Monsieur Rouland a bondi, à quelques centimètres de son visage.

— Vous avez fait quoi? Vous avez pensé? Vous ne pensez pas. Vous faites juste ce qu'on vous dit. Cela n'implique pas de penser!

— Certainement Monsieur.

Il était si grand. Solange s'est sentie si faible à côté de lui.

— Bon, vous méritez douze fessées immédiatement!

Oh non! Solange a laissé tomber son plateau en se jetant à genoux et s'est mise à pleurer

— Monsieur, j'essaye de tout mon cœur d'être obéissante.

Elle s'est alors tournée vers Marie qui a levé les mains.

— Mon dieu, Solange, mais vous n'avez donc aucun respect de vous-même?

Monsieur Rouland s'est retourné vers elle.

— Naturellement qu'elle n'en 'a pas! Ce n'est qu'une bonniche. Si elle était capable de faire autre chose elle le ferait.

Toujours à genoux, Solange a éclaté en sanglots. Mais Monsieur Rouland avait tourné sa colère vers Marie.

— Et si une autre jeune dame ne fait pas attention, elle finira elle aussi par aller au lit bientôt avec une fessée!

Marie s'est levée à son tour, les mains sur ses hanches.

— Vous disiez que je suis la maîtresse dans cette maison!

Il a fait un pas vers elle qui s'est visiblement recroquevillée. Il a rétorqué fermement.

— Ah, vous êtes la maîtresse de ce ménage? Et bien, on va voir ça. Allez au coin!

Bouche bée, s'est penchée près de lui et a chuchoté, quoique Solange pouvait entendre ses supplications.

— Pas devant la bonne s'il vous plaît.

Il l'a prise par le bras et l'a traînée dans le coin, lui claquant les fesses pour faire bonne mesure.

— Vous avez fait la vilaine devant la bonne, alors je dis : devant la bonne.

Il a hoché la tête, incrédule.

— Je ne sais pas ce qui se passe ici. Il est clair que votre mari n'a pas eu assez d'autorité avec vous deux.

— Marie, je m'occuperai de vous plus tard, vous ne perdez rien pour attendre,

Il s'est de nouveau adressé à la bonne qui était toujours à trembler sur ses genoux.

— À votre tour, ma petite. Nous allons vous aider à vous rappeler quelle est votre place ici.

Il a souri cruellement et Solange s'est soudainement sentie très malade.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 11 jours

Hervé va - t il devenir le Maître de Marie et de Solange ?

Il en a déjà l'apparence...

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