Si Vous Voulez! Ch. 07

Informations sur Récit
Hervé met les choses au point. Première punition.
900 mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 9 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 04/12/2024
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Très inquiète, Marie attendait impatiemment le retour de la Mercedes. Elle se rongeait les ongles quand elle la vit finalement réapparaître. Elle fut immédiatement soulagée de voir Solange et se précipita pour ouvrir la porte passagère.

M. Rouland, pressé par un urgent besoin, partit se soulager au fond du jardin.

— Olivier, tu vas bien chuchota-t-elle?

Il ne voulait pas la regarder dans les yeux, elle vit qu'il avait pleuré. Elle lui tapota doucement le bras.

— Il a été cruel avec toi?

Il lui a renvoyé un regard où elle lut la détresse de son abjection et n'osa plus poser de questions.

À ce moment de ses réflexions, elle fut surprise quand M. Rouland lui saisit le bras assez sèchement pour la ramener à la maison.

— Il va y avoir du changement ici, Marie.

Avec quelques sandwichs, M. Rouland s'était fait servir des bières et siestait au jardin. Près de lui, Marie réfléchissait. Elle se remémorait la veille au soir, quand Hervé l'avait renversée sur ses genoux et lui avait donné une fessée parce qu'elle ne se montrait pas assez passionnée à son goût. Elle avait toujours rêvé de recevoir la fessée d'un homme. Mais quand c'est arrivé ce fut une surprise qui l'a choquée. L'avait-elle appréciée? Était-ce une douleur ou un plaisir? Avec un peu de honte, elle se souvint que ça l'avait excitée et même fait mouiller de subir son autorité. C'est ainsi que le matin suivant l'avait trouvée éperdument amoureuse de son Maître quand elle avait ouvert à Solange.

Le soir venu, après le repas, Hervé expédia d'abord Solange au jardin pour chercher un des grands tuteurs en bambou des plants de tomate. Puis les convoqua toutes deux. Marie s'assit à la table du salon, Solange était revenue avec la cane de bambou et gardait les yeux baissés.

— Écoutez-moi toutes les deux. Comme je t'ai dit, Marie, ça va changer ici. Tiens, lis d'abord ça.

Marie parcourut le contrat, éberluée.

— Elle a signé ça?

— Oui, et c'est tout à fait suffisant pour être légal devant un juge de paix. Comme tu peux voir, Marie, elle s'est engagée pour six mois de service. Je crois que je devrais rester ici pour diriger le ménage durant la période du contrat, ou jusqu'au retour de ton mari.

— Oh! Elle a suffoqué quand elle a lu la liste de conditions sur lesquelles son mari avait marqué son accord.

— Tu verras, ce contrat va te faciliter la vie, Marie.

— Vous avez vraiment signé ça? Vous l'avez lu au moins?

Solange a regardé M. Rouland pour voir si elle devait répondre.

— Vous pouvez parler, Solange.

— Oui Madame, je l'ai signé.

Ce n'est d'ailleurs qu'après l'avoir signé qu'elle avait pu le lire au retour, la bouche engluée du foutre infect. Mais elle aurait signé n'importe quoi pour éviter d'être mise sur un train dans son uniforme de bonniche...

— Chaque jour débutera par douze coups de cane pour lui rappeler d'être obéissante. Un comportement exemplaire pourra peut-être lui valoir une réduction À sentir brûler ses fesses elle saura mieux se tenir à sa place.

— Oui Hervé. Mais douze par jour n'est-ce pas beaucoup?

— Tu es trop sensible, Marie. Douze c'est une base quotidienne. Mais qui pourra être augmentée pour chaque faute dont nous la jugerons coupable. Je crains bien que certains soirs elle ait du mal à s'asseoir! D'ailleurs nous allons commencer de suite. Baissez votre culotte et penchez-vous sur la table.

— Bien Monsieur Rouland, dit-elle avec une petite révérence.

— Vas-y, Marie. Douze coups de canne avant qu'elle aille au lit.

— Je ne pense pas que je pourrai.

— Mais si. Mais si je vois que tes coups sont trop faibles, je donnerai moi-même douze autres coups. À toi maintenant.

Avec une petite révérence, Solange a tendu la canne à Marie. Elle savait qu'elle devrait battre son mari assez fermement sinon Hervé le frapperait et ce serait pire.

— S'il le faut!

Solange pleurait sur son lit. Elle ne portait que la légère nuisette que Marie lui avait donné la soirée précédente. La culotte était sur une chaise près du lit. Ses fesses trop endolories pour rien supporter sur sa peau. Craignant le regard d'Hervé, Marie n'y avait pas été avec dos de la cuillère et avait frappé fort. D'entrée de jeu Monsieur Rouland avait d'ailleurs montré l'exemple avec quelques coups pour lui apprendre comment utiliser la canne, pour un effet maximum avec le minimum d'effort, en faisant siffler le bambou pour zébrer la peau. Montrant l'importance de frapper à l'endroit plus fragile où les fesses joignaient les jambes. Et rit beaucoup en entendant couiner la malheureuse.

Et elle avait frappé avec un enthousiasme dont il n'eut jamais cru que son épouse fut capable.

— Tu ne pourras pas t'asseoir de sitôt, ma petite, dit Hervé en voyant le derrière rougi. Maintenant, une petite révérence pour remercier ta Maîtresse, et au lit.

« Au lit » comme si j'étais un enfant, rageait-elle, profondément humiliée.

Une heure plus tard, il a vérifié sa perruque par précaution avant d'aller à la salle de bains, s'asseoir pour faire pipi (maudite cage de chasteté) et s'appliquer une crème pour les brûlures. Au passage, il les entendit rire dans leur chambre.

Pendant une seconde de folie, il a pensé ouvrir leur porte. Mais imaginant les conséquences, il s'est remis au lit, sanglotant en silence.

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1 Commentaires
Ann6938Ann6938il y a 8 jours

Excellente histoire de cuckholdisme, originale et bien construite. Je craignais un peu un manque de rythme, mais on est rentré dans le vif du sujet et l’évolution de l’histoire est très réussie et prenante.

Bravo à l’auteur ! Une belle réussite !

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