Si Vous Voulez! Ch. 06

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Tentative de salut. — La signature.
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Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 9 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 04/12/2024
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Deux heures plus tard, Marie a rejoint Solange qui terminait, épuisée, le rangement des vêtements de leur hôte. Elle a refermé la porte.

— Écoute, Olivier, je suis désolée. Je ne sais où pas tout ceci va nous mener.

Bouillant de colère, il a presqu'hurlé.

— À quoi tu joues? Trois jours! Plus peut-être! Et pour ma cage de chasteté? Tu vas me rendre ces foutues clefs, oui?

Elle a ignoré sa question. Le visage de Marie s'est subitement fermé, elle le fixa, ses petits yeux se firent cruels.

— C'est TOI qui t'es mis dans cette situation. TU as voulu être une bonniche et tu t'es laissé coincer.

Olivier ne l'avait jamais vue ainsi. Elle qui d'habitude s'écrasait quand il criait. Il était exaspéré mais ne trouvait rien à répondre à ses arguments. Il savait au fond de lui qu'elle avait raison. Il ne put que bégayer.

— Oui, mais, mais, c'est toi qui l'à encouragé à rester.

Elle était enragée.

— Et bien, pourquoi ne descend-tu pas tout lui dire? Vas-y, explique-lui que tu es une mauviette qui aime s'habiller en bonniche. Vas lui dire que tu as trop peur pour résister quand il commande. Que tu ne peux qu'obéir servilement quand un homme, un vrai, te donne des ordres. J'en ai marre de ta faiblesse. Sois un homme pour une fois!

Olivier ne trouva rien à répondre. D'habitude il trouvait facilement les arguments pour la faire taire, même s'il devait lui crier dessus. Mais cette fois leurs rôles étaient totalement inversés. Il s'est senti complètement dérouté, sous son emprise.

À cet instant, Hervé ouvrit brusquement la porte.

— Que se passe-t-il ici? Elle te dérange encore?

— Oui, dit-elle méchamment.

— Par ici, toi.

Il a saisi fermement Solange par le bras et l'a traînée en bas des escaliers. Marie, alarmée, les suivit.

— Je vous avais averti, espèce de petite salope. Cette fois, je vous mets dehors. Je vais vous conduire à la gare et je vous embarque sur le premier train. Et je chercherai une remplaçante.

Olivier eut vraiment peur. La tête lui tournait. Il savait que l'homme en était bien capable, il était tellement plus fort que lui. Il se retourna pour regarder désespérément son épouse.

— Madame je suis désolé, je vous demande pardon, a-t-il pleurniché.

Marie ne savait trop que dire. Elle ne voulait pas s'attendrir, changer d'attitude envers Olivier parce qu'il l'avait véritablement agacée. Elle a d'abord cru à un jeu d'Hervé, une menace en l'air. Après tout n'était-ce pas son tour de s'amuser? C'était peut-être sa chance. Finalement, devant son air désespéré, elle eut pitié.

— Peut-être pourrions nous lui donner une chance de s'améliorer, tenta-t-elle.

— Pas question.

C'était trop tard. M. Rouland a traîné la bonniche sans résistance jusqu'à sa Mercedes, ouvert la porte passager, l'a forcée à s'asseoir et lui a bouclé la ceinture.

Marie a rejoint la voiture où Solange pleurait doucement. Il l'a implorée en silence. « Sauve-moi » lit-elle dans ses yeux.

M. Rouland a allumé le moteur et abaissé la fenêtre électrique.

— Marie, vous êtes trop faible. Dans une maison où je vis, une servante doit être obéissante. D'ailleurs, c'est aussi pour son bien, elle apprendra ainsi à se tenir à sa place.

Sur ce, il démarra. Marie porta les mains à sa bouche. « Oh mon dieu, que va-t-il arriver? »

« Oh mon Dieu! » Olivier, le cerveau gelé, n'imaginait pas comment s'échapper de ce piège. Il se voyait déjà à la gare dans cette tenue infâmante.

— Monsieur Rouland, par pitié, je promets...

— Ferme ta petite gueule, salope de bonniche, hurla Hervé.

En plein brouillard, il perdait le sens de la réalité. il revint à lui lorsque la voiture entra dans le parking. C'était l'heure de midi et il y avait des gens. Quand M. Rouland ouvrit sa portière, il lui agrippa le bras.

— Monsieur, je vous jure que j'ai compris la leçon et je vous promets avec tout mon cœur d'être parfaitement soumise dorénavant.

Hervé a fait une pause comme s'il entendait la plaidoirie de sa victime.

— D'accord. Peut-être que vous pensez ça maintenant. Mais demain, hein? Demain? Vous retomberez dans vos mauvaises habitudes, pauvre idiote.

Olivier pivota pour faire face à son tourmenteur, ses jambes gainées de nylon coincées dans le petit espace entre les sièges.

— S'il vous plaît monsieur Rouland, je reconnais que j'ai été vilaine mais je sais que je peux améliorer mon comportement. Je ferai n'importe quoi pour vous. Monsieur, s'il vous plaît!

Hervé savourait ce sentiment de pouvoir total. On sait que la puissance est un puissant aphrodisiaque et c'était ce qu'il ressentait à ce moment. Il a bandé. Cette créature, si féminine dans son uniforme de sissy, sans défense, minaudant de façon charmante! Il imagina sa bite engloutie dans la jolie bouche rose. Après tout, pourquoi pas? La pensée de rester avec Marie tandis que son mari était parti en Europe pour ses affaires l'a excité encore plus. Il adorait déjà cocufier l'épouse. Mais l'idée lui vint de posséder les deux salopes dans la maison. Il aurait la femme et la bonniche!

Olivier sentait les premières lueurs de l'espoir depuis qu'il avait été éjecté de sa propre maison. Il voyait que M. Rouland la regardait avec un sourire carnassier. Était-ce bon signe, ou peut-être pas? Hervé évalua mentalement les réactions de la bonniche et se tourna vers elle.

— Je pourrais former une petite chienne incompétente comme vous. Naturellement ça va prendre du temps.

— Oui monsieur, dit Solange avec enthousiasme.

— Ce sera une dure épreuve pour vous. Vous le savez?

— Oui monsieur, je comprends, répondit la bonniche, essuyant le mascara avec le dos de sa main.

— Ça pourrait signifier des fessées chaque jour.

Olivier a repris son souffle. Ce serait merveilleux si ça venait de sa Maîtresse, mais terrifiant dans le cas où... Tant pis.

— Oui monsieur, répondit-elle doucement.

— Peut-être un ou deux coups de cane?

Des coups de cane? Solange aimait ça, et même le fouet de Marie ; elle pourrait peut-être le supporter d'Hervé puisqu'elle devait se montrer obéissante si elle voulait se sauver d'ici.

— Oui monsieur, si je le mérite.

M. Rouland a pris sa décision. Il a pris sa serviette de la banquette arrière et en a sorti son PC. Puis a passé la jambe par-dessus le changement de vitesse et dans le dos de Solange.

— Je vais vous écrire un contrat.

— Heu, oui monsieur.

Un contrat? Que va-t-il inventer, pensa Solange.

— Tandis que vous me sucez.

L'instruction a été faite si calmement, avec tant d'autorité que Solange a compris qu'elle n'avait pas le choix. Mais enfin? Il ne pouvait pas faire quelque chose comme ça pour un homme! Avec horreur, elle a vu M. Rouland ouvrir sa braguette et sortir son membre à moitié dressé. Il faisait déjà quinze cm, et grandissait encore.

— Nous dirons que c'est un bon essai de votre obéissance. Mon PC vous couvrira la tête et personne ne pourra rien voir. Ainsi je peux écrire votre contrat tandis que vous me prouvez que vous méritez de le signer.

Solange a reçu le lourd PC en équilibre sur sa tête, le poids poussant son visage vers le membre turgescent et humide dans la pénombre. En pleurant elle a ouvert les lèvres et, dégoûtée de l'odeur, a laissé la verge forcer l'entrée de la bouche,

Voilà où j'en suis réduite : aux genoux d'un homme, suçant son gourdin, tandis que ce monstre écrit un contrat qui me mettra à sa merci. Pourtant il n'y a pas d'alternative. C'est ça ou mourir de honte en public.

Hervé était au septième ciel! Tandis que la bonniche faisait sa salope et qu'il allait jouir, il écrivait des clauses plus humiliantes, plus obscènes les unes que les autres, emporté par son imagination. « Et si cette idiote ne signe pas, je la fourre dans le premier train! »

Pendant que l'imprimante sortait le document, il sentit qu'il ne pouvait se retenir plus longtemps. Alors, fermant les yeux, en extase, il appuya fermement la tête de sa putain pour qu'elle ne perde pas une goutte de son foutre et la maintint ainsi jusqu'à ce qu'elle ait tout avalé.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 jours

Le point de non retour est atteint.

Rudy

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