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BÊTA PUBLIQUE

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"Je n'ai pas eu beaucoup de réussite. J'ai eu des copines, mais pour diverses raisons, je n'ai pas réussi à conclure, tu comprends? Comme si je faisais une boulette ou un truc qui ne leur plaît pas, et elles partent avec un autre gars".

Bérengère prit son visage tendrement entre ses mains et l'embrassa doucement sur les lèvres.

"Je ne suis pas ta petite amie." elle s'allongea sur le lit, levant un genou. "Avec moi, tu ne peux pas faire d'erreur."

Bernard sembla retrouver sa vitalité. Il s'allongea contre la fille, l'embrassant sur la bouche, doucement d'abord puis avec plus d'empressement, caressant sa cuisse, puis sa hanche, et enfin son sein qu'il pressa tendrement, faisant durcir son téton.

Bérengère l'aida à ôter sa chemise et il s'allongea sur elle, appuyant son torse contre sa poitrine. Il couvrait de baisers passionnés son cou, ses épaules, palpait les fesses, pressant son short contre son entrejambe. Bérengère le caressait le long de ses flancs, glissa ses pouces sous l'élastique de son short et le repoussa assez bas pour libérer sa queue, la sentant jaillir entre eux, elle la saisit légèrement entre ses doigts, entourant la base avec son pouce et son index puis remontant lentement le long de sa tige, pour apprendre à la connaître.

La tige palpitait dans sa main, elle gémissait à son oreille en lui mordillant le lobe. Sa queue était longue et fine. Son gland était circonscrit. Elle le massait gentiment, appréciant la fermeté de son érection, le grain de sa peau.

Bernard semblait préoccupé par sa caresse et cessa de l'embrasser quand, tout à coup, il essaya de retirer sa queue palpitante de sa tendre prise et elle reçut dans sa main une giclée de sperme chaud et visqueux. La force du jet éclaboussa son sein et son ventre. Bernard se détourna, honteux, refusant de la regarder.

"Oh mon Dieu, je suis désolé. Tellement désolé!"

Bérengère se mordit la lèvre pour étouffer un rire qui aurait eu un effet catastrophique sur l'ego du gars. Elle le savait gêné d'éjaculer si vite, peut-être aussi parce qu'il avait aspergé sa partenaire. Cela ne la dérangeait pas, mais elle soupçonnait d'autres filles de ne pas être aussi tolérantes. Elle voulut tenter une expérience.

En gémissant doucement pour attirer l'attention de Bernard, elle récolta avec son doigt une partie de son éjaculation aqueuse et le goûta en suçant son doigt. Elle mit tout ce qu'elle avait de séduction dans son regard pour sucer son doigt.

"Hum! J'aime ton goût!"

Bernard la regardait, ne sachant pas comment réagir. La réaction de Bérengère le déconcertait. Elle ne réagissait pas comme les autres filles, promptes à s'énerver ou à se moquer. Ses déboires accumulés l'avaient laissé sincèrement inquiet sur la possibilité de perdre sa virginité. Bérengère se souleva, prenant appui sur les épaules de Bernard, le forçant à s'allonger, pressant sa bouche sur la sienne avec passion, prenant le contrôle, agenouillée contre lui.

Bernard couché à plat dos, elle caressa son torse puis lui prit sa queue dans une main, caressant ses couilles de l'autre. Elle fixa un instant son regard espiègle sur lui en souriant puis posa sa bouche sur son gland. Presque immédiatement, sa queue se gonfla dans sa bouche, son corps frissonnait en sentant son sexe aspiré par une bouche chaude et humide.

Bérengère bougeait doucement la tête, insérant de plus en plus profondément la queue dans sa bouche. Elle prenait son temps, le laissant s'habituer, caressant par de lents mouvements de ses lèvres cette queue maintenant bien rigide.

La regardant œuvrer du coin de l'œil, il voyait son sexe disparaître progressivement dans cette bouche gourmande, ses seins menus et tremblants qui se couvraient de sueur. Elle pouvait le sentir palpiter et se contracter, soulevant ses hanches du lit pour pousser plus profondément son sexe dans sa bouche.

Elle releva la tête, relâcha sa queue, savourant le contrôle qu'elle avait sur lui à ce moment-là en entendant son murmure de frustration et de désapprobation.

"Est-ce que tu as déjà éjaculé dans la bouche d'une fille, Bernard?"

"Non!" Bernard grogna sa réponse, la mâchoire serrée, en regardant le plafond.

"Alors, regarde-moi faire, Bernard, tu ne peux pas manquer ça!" susurra Bérengère en embouchant de nouveau son sexe. Bérengère établit un contact visuel avec Bernard et ne le lâcha plus tout au long de la fellation. Tout son corps se crispait, un gémissement lui échappa pendant qu'il inondait la bouche de Bérengère de sa crème onctueuse.

"Hum" grogna Bérengère en déglutissant le foutre âcre et saumâtre. Elle a maintenu son contact visuel en tenant ses couilles fermement et en les massant avec sa paume pour qu'il soit complètement drainé.

Bernard grimaça un murmure rauque "oh putain" et laissa échapper une dernière gouttelette de sperme. Bérengère se redressa sur ses genoux, souriante, en essuyant d'un revers de main le foutre qui avait coulé autour de sa bouche. Elle massait doucement le pénis qui redevenait flaccide, le laissant lentement se calmer.

"C'était incroyable." marmonna-t-il.

"Hé bien, merci!" ricana Bérengère.

Il y eut un moment de silence et Bérengère commença à se demander si Bernard s'était endormi. Bérengère commença à glisser du lit, sachant qu'elle avait encore un autre colocataire à satisfaire, lorsque Bernard l'interpella.

"Hem"

"Heu, qu'est-ce qu'il y a?"

"La prochaine fois ... il y aura une prochaine fois, non?"

"Beaucoup de fois, Bernard."

"Puis-je ... tu sais ..."

"Non, quoi?"

"Je ne veux pas le dire... c'est un peu cru, un peu brutal."

"Tu es plutôt pudique pour un gars qui vient d'accepter d'avoir une esclave sexuelle pendant un mois et dont j'ai avalé le foutre il y a deux minutes."

"... quand tu le dis de cette façon, c'est un peu merdique!"

"C'est fait, peu importe la façon de le dire, c'est moi qui l'ai proposé. Maintenant, si je ne m'abuse, tu veux savoir si nous pourrons réellement baiser la prochaine fois?

"Ben ouais."

"Bien sûr Bernard, pourquoi pas après tout?"

"C'est un peu incroyable."

"Bien, crois-le. Maintenant, je ne veux pas être impolie, mais je ne dois pas faire attendre Serge."

"Est-ce que toi et Ange ..." Bernard hésitait.

"Niquer?"

"Ouais."

"Bernard, laisse-moi reformuler ta question: aimerais-tu que je raconte à Ange tous les détails de ce que nous avons fait ici?"

"NON!"

"Voilà. Maintenant, je vais y aller."

Bérengère fit un passage rapide à la salle de bain pour essuyer les résidus de Bernard dans divers endroits et se rincer la bouche. Se regardant dans le miroir, elle ne pouvait s'empêcher de se poser quelques questions. Elle s'était offerte à ses colocataires et les deux premiers ne s'étaient pas intéressé à sa chatte. Elle savait les garçons intéressés par l'anal et la fellation, ce qui leur permettait d'asseoir leur domination, mais sa chatte sevrée d'attentions palpitait, dégoulinante de désir. Elle envisagea de se satisfaire dans la salle de bain, mais elle pensa qu'il lui fallait économiser son énergie pour son dernier client, en espérant que celui-ci saurait porter à sa chatte affamée l'attention qu'elle méritait.

De retour dans le salon, elle trouva Serge assis sur le canapé et s'approcha de lui. Bernard était certainement endormi dans son tout premier coma sexuel, et Ange s'était éclipsé. Elle pensa qu'il était peu probable qu'ils soient interrompus et sentit que Serge avait la même idée en éteignant la télévision. Il se leva, prenant son temps, buvant une gorgée, se déshabillant. Bérengère suscitait son intérêt mais il faisait durer le plaisir.

Serge ôta son sweat-shirt en dansant sur place, avec des mouvements lents et délibérés pour faire jouer ses muscles, puis déboutonna son jean et le laissa glisser sur le tapis avec son boxer, debout nu devant elle, qui était nue aussi. Bérengère a bien sûr profité de l'occasion pour mater son équipement. Sa queue était un intermédiaire entre les deux autres qu'elle avait eu aujourd'hui, pas aussi longue que celle de Bernard et pas aussi grosse que celle d'Ange, mais bien quand même.

Serge reprit sa place sur le canapé en se tapotant la cuisse: "Viens t'asseoir!".

Négligemment efficace. Il était amusant, à sa manière. Bérengère le rejoignit et l'enfourcha, posant ses bras sur ses épaules et verrouillant ses mains derrière sa nuque. Sa chatte frôlait la queue frémissante, apparemment enthousiasmée par sa proximité. Elle retenait ses hanches pour le moment, attendant d'autres signaux. Serge profitait d'une vue rapprochée de ses mamelons.

"Contente de ta journée?"

"Ce fut une aventure."

"Je parie. Qu'est-ce qui t'a poussé dans cette voie? Je ne veux pas être trop personnel compte tenu de la nature de notre relation, mais j'imagine que tu avais d'autres options."

Tout en discutant aimablement, Serge s'était saisi de son clitoris et jouait négligemment avec, le trouvant érigé et sensible, puis coula facilement un doigt dans sa chatte affamée et humide.

Bérengère, gémissante, ne pouvait plus retenir le roulis de ses hanches:

"J'ai pris cette décision pour moi. Vous allez profiter de moi, énormément. Soyons francs, Serge, ce que j'offre vaut beaucoup plus que ma part de loyer et de factures. Je donne beaucoup, mais j'espère recevoir beaucoup de vous en retour."

Serge ne répondit pas, concentré maintenant sur le corps de Bérengère, une main sur sa chatte, l'autre palpant son sein.

"Tu es un piège. Je mentirais si je disais que je ne pensais pas à toi la nuit, couché dans la chambre voisine. Mais je suis sûr que tu l'avais envisagé en emménageant dans une colocation avec trois gars célibataires."

Il lui tendait son doigt, prenant plaisir à la regarder sucer pendant qu'il parlait puis le retirant pour lui permettre de répondre.

"Je ne veux pas paraître arrogante, mais je suppose que tous les gars que je rencontre m'envisagent, ne serait-ce qu'un peu."

Elle déplaça son bassin pour que sa chatte soit en contact avec la queue dressée.

"T'es-tu branlé la nuit en pensant à moi? Tu te demandais si j'étais nue sous les draps? Comment j'étais foutue?"

Serge sourit: "Oh, je n'ai pas eu à utiliser mon imagination pour ça."

Bérengère le fixa, l'œil interrogateur: "Qu'est-ce que tu veux dire?"

"Je t'ai déjà vue nue. Avant aujourd'hui!" Il plongea son doigt dans sa chatte en chaleur, le recourbant contre la paroi située derrière le clitoris, la faisant frissonner.

"Sous la douche, une fois. Je suis rentré tôt à la maison et tu avais laissé la porte ouverte. Tes yeux étaient plein de shampoing, tu ne m'as pas vu mais moi, je t'ai vue, nue! Je me suis planqué dans ma chambre et tu es partie au travail, pas plus prudente!"

"C'est vrai?"

"Oh oui. Tu chantais... un truc de gonzesse, je pense."

"Oh, ferme-là!" Elle le rudoyait malicieusement, même si intérieurement elle était légèrement troublée. Elle se sentait gênée par le fait qu'elle se soit exposée à son insu, une précaution raisonnable aurait été de fermer cette foutue porte.

À présent, ça n'avait plus la même importance: "Je suppose qu'on s'en fiche, maintenant."

"C'était seulement une semaine après ton arrivée, et je me suis bien branlé là-dessus." Serge la prit par les hanches en empalant sa chatte trempée sur sa bite entièrement érigée.

Bérengère cria dans un mélange de surprise et de plaisir, sa chatte s'ouvrant facilement pour laisser le passage à la queue palpitante. Relevant ses genoux, elle colla les lèvres de sa chatte contre la base de la bite enfoncée profondément en elle, son vagin s'adaptant parfaitement au pénis qui le remplissait.

Haletante, elle lui demanda: "M'avais-tu imaginée dans cette posture, Serge?"

"Tais-toi!"

Serge cramponnait fermement Bérengère par les hanches et la berçait lentement d'avant en arrière, sur un rythme lent et régulier. Bérengère le sentait bouger en elle, son vagin humide lui permettait de faire glisser la bite facilement, ses terminaisons nerveuses transportaient du feu liquide qui embrasait tout son être.

Les contractions de ses muscles vaginaux faisaient comme un massage autour de sa bite tendue, et Serge commençait à se demander s'il pouvait durer autant qu'il l'espérait. Serge gémissait de plaisir sous la caresse de Bérengère. Avec une urgence dans la voix qui trahissait son émoi, il déclara:

"Putain, comme t'es serrée! T'es vraiment bonne!"

"Je te remercie du compliment!" s'indigna Bérengère.

"Je veux dire ... les autres ... il ne t'ont pas baisée ici ... dans ta chatte?"

Bérengère souleva légèrement son bassin puis s'empala de nouveau sur lui. Quand elle sentit trembler tout son corps et se crisper sous elle, elle le prit comme un signe pour continuer et modifia ainsi son rythme, se délectant de la sensation que lui procurait la pénétration, renouvelant son geste encore et encore.

"Pas aujourd'hui, Serge. Tu es le premier à baiser ma chatte aujourd'hui. C'est assez drôle puisque tu occupais la troisième position!"

Serge gémit, le langage cru de Bérengère qui le chevauchait, augmentait son urgence à chaque instant. Une vague de pensées érotiques se déclencha en l'imaginant ouverte, offerte, disponible, utilisable à son gré, ce qui fit grimper la température de son désir.

"C'est des cons ... tu leur offres le trou qu'ils veulent et ils vont tout droit dans les fesses."

"Pas toi. Tu ne pouvais pas résister à ma petite chatte gourmande."

Bérengère plongea son visage dans le cou de Serge, mordillant, suçant, léchant sa peau tout en augmentant le rythme de ses hanches. Elle pouvait déjà le sentir en train de basculer vers le point de non-retour.

"J'ai fait ... le bon ... choix ..." balbutia Serge, son affirmation se terminant en plainte gutturale.

Incapable de se contenir plus longtemps, il se libéra au plus profond de la chatte en fusion, l'inondant de son jus crémeux, serrant dans ses bras sa conquête tandis que la bouche de Bérengère lui imprimait, au creux de son épaule, la marque de son extase.

Ils restèrent blottis dans les bras l'un de l'autre pendant un moment, bouches soudées dans un long baiser passionné, jusqu'à ce que le sexe redevenu flaccide de Serge glisse hors de sa chatte.

Ils se tenaient face à face, chacun regardant l'autre avec un sentiment de triomphe, détaillant avec émotion le corps de l'autre qu'ils n'avaient pas eu le temps d'explorer avant de passer à l'acte.

Les yeux dans les yeux, Serge déclara: "Je pense que je suis amoureux."

Bérengère éclata de rire: "C'est prématuré. On ne dit pas ça au premier rencard!"

"Normalement, on ne baise pas au premier rencard!"

"Normalement, on ne baise pas trois mecs au premier rencard!"

Une longue pause, avant que Bérengère ajoute: "Je devrais essayer de dormir un peu pendant que je le peux. J'imagine que je vais avoir une journée bien remplie demain, surtout maintenant que vous avez tous l'accès au terrain de jeux!"

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