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Rainett
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Assise en face des trois gars sur le canapé, Bérengère s'agitait, anxieuse, pendant qu'ils digéraient l'information.

Bernard, le mince, grand et sombre sur la gauche, roula des épaules et la regarda en secouant la tête:

"Nous ne voulons pas être pénibles, mais comprend-nous! Tu as perdu ton boulot depuis trois semaines et c'est maintenant que tu viens nous le dire? Juste au moment où il faut payer le loyer?"

Bérengère sentit sa bouche s'assécher, se forçant à se lécher les lèvres avant de répondre d'une voix douce:

"Je suis vraiment désolée, je ne pensais pas que ça prendrait autant de temps et je ne voulais pas que vous me viriez."

"Alors, maintenant que c'est devenu inéluctable, on fait quoi?" Celui qui parle, c'est Ange. Un mec carré, la mâchoire carrée, les épaules carrées, pas gros mais trapu, musculeux et sûr de lui.

Bérengère concéda : "Ouais ... Je n'en ai aucune idée!"

Ange et Bernard levèrent les mains, celui qui se trouvait au milieu, Serge, rangea délicatement la paperasse et la lui rendit. Serge avait des mains rugueuses et bronzées du gars qui travaille en plein air, ce qui contrastait fortement avec Ange, rouquin à la peau laiteuse susceptible de brûler au soleil, et Bernard qui était du genre geek, qui passe son temps devant l'ordinateur.

"Ta part, un quart du loyer, c'est deux cents par semaine, plus les frais. Je sais que c'est raide, mais c'est comme ça! Désolé, nous ne sommes pas un organisme de bienfaisance, et nous avons besoin d'une colocataire qui paye sa part!"

Son visage s'adoucit alors qu'il voyait le visage de Bérengère s'assombrir. "Je suis désolé, mais nous devons trouver un ou une colocataire de remplacement immédiatement."

Bérengère releva le menton. Elle était longiligne, la peau laiteuse couverte de taches de rousseur, les cheveux roux, ses traits étaient fins et délicats : "Et si je vous proposais autre chose que de l'argent?"

Serge lui rendit ses papiers en rigolant : "Comme quoi, de la drogue? Tu deales de la merde, maintenant? Même si nous voulions ce genre de chose, tu penses que nous pouvons dépenser plus de deux cent par semaine pour faire la fête?"

Bernard, qui ne buvait même pas, secoua négativement la tête, amusé par l'idée que quelqu'un soit aussi audacieux. Il espérait que la jolie fille ne parlait que de drogues de fête, et surtout pas de merdes dures, sinon il l'aurait mal jugée.

Ange prit part à la conversation: "La mauvaise herbe et les pilules qui font rire ne paient pas le loyer!"

Bérengère attendit qu'ils aient terminé leurs élucubrations avant de poursuivre son idée : "Je ne parle pas de drogue. Je parle d'autre chose. Et ce sera plus que le loyer et les frais. Il faudra me payer aussi ma facture d'épicerie, afin que je puisse vivre ici sans dépenser."

Ils ont ri à sa demande : "Ça suffit" commenta Ange "trouve-toi un mari si tu as l'intention de vivre comme une femme entretenue!"

Bernard ajouta : "Écoute, nous sommes devenus amis, mais si tu ne restes pas en tant que coloc, tu proposes quoi?"

"Sexe!" répondit Bérengère clairement. Le moment de vérité. Elle n'avait nulle part où aller, sa voiture n'avait plus de carburant, et elle était trop petite pour y vivre. Si cette manœuvre échouait, elle serait à la rue.

"Sexe avec moi!" elle a clarifié.

Ange a cessé de rigoler : "Tu ...proposes ... quoi?"

Bernard restait muet. Serge pencha la tête, signe chez lui d'une intense réflexion.

"Un échange? D'un seul coup? Payer le loyer avec une pipe? Je ne pense pas ..."

"Bien sûr que non. Vous n'aurez plus à sortir d'argent, à draguer des filles, aller à des rendez-vous. Je sais que vous êtes tous célibataires en ce moment, alors je propose ..."

Elle se leva, laissant glisser les bretelles de sa robe de ses fines épaules, la robe tomba en corolle sur le sol : "avec moi ici, vous n'aurez plus besoin de ..."

Elle ne portait aucun sous-vêtement sous sa légère robe d'été. À la vision de son corps nu, les trois garçons se rejetèrent en arrière contre le dossier du canapé. Avec un bel ensemble, ils croisèrent leurs jambes pour dissimuler leur embarras. Ensuite, ils s'absorbèrent dans la contemplation de la fille.

Fine mais bien faite, tonique, pas maigre avec les os saillants, et pas dodue non plus. Le galbe de ses hanches, le bombé de son pubis au buisson bien taillé, ses jambes musclées, sa poitrine menue mais haut perchée, tout cela captivait leur attention et leurs regards avides parlaient pour eux.

Bérengère se sentait à la fois gênée et excitée d'être ainsi exposée à la concupiscence des trois jeunes mâles. Ses tétons roses s'assombrirent et se raidirent comme sous l'effet du froid.

Pour briser le silence devenu assourdissant, Bérengère se lança dans le discours qu'elle avait préparé dans sa tête :

"En échange de votre accord de vous partager ma part de loyer, plus les frais, plus les achats d'épicerie et autres petites dépenses accessoires, vous m'aurez à votre disposition. À n'importe quel moment de la journée ou de la nuit, aussi souvent que vous le souhaiterez. Je vous servirai de poupée sexuelle. Je continuerai d'honorer ma part de tâches ménagères, même un peu plus, car je ne travaillerai pas. Vous serez libre de m'utiliser à votre guise. Vous voulez que je me déguise? Achetez-moi la tenue. Si vous préférez me voir nue, dites-le-moi. Pas besoin d'arguments. Séparément ou tous ensemble, à votre convenance. Je ne demande que quelques jours une fois par mois pour... des raisons évidentes... et que cet arrangement soit gardé confidentiel au sein de notre assemblée."

Les trois garçons l'écoutaient en silence, incapables de réagir. Ils calculaient, soupesaient, envisageaient ... Après une minute de silence pesant, Bérengère pensa qu'elle ne pouvait rester debout nue jusqu'à la fin du monde. Elle soupira et ramassa sa robe pour se couvrir. "Je suis désolée, je vous fais perdre votre temps!"

Les trois garçons agitèrent les mains en même temps: "NON!"

Après moult palabres, il a été convenu d'un essai d'un mois. Les garçons paieraient la part de Bérengère pour le mois en cours, plus le mois à venir en échange du marché proposé par Bérengère. Après ce délai, ils discuteraient pour savoir s'ils pouvaient se permettre de continuer comme ça en attendant que Bérengère trouve un travail. Bérengère se rhabilla et s'assit dans le fauteuil en buvant un verre d'eau pour essayer de calmer ses nerfs et les battements de son cœur. Après un bref conciliabule dans la cuisine entre les trois compères, ils ont acceptés la proposition de Bérengère.

Le véritable test pour Bérengère était de savoir si elle pouvait tenir sa promesse et combien de temps elle pourrait la tenir. Elle pensait que c'était de gentils garçons, pas des dépravés sexuels. Et qu'une fois passée l'excitation des premiers jours, il allait s'installer une sorte de routine qui lui laisserait un peu de tranquillité.

La possibilité qu'ils l'utilisent cette nuit, puis qu'ils repoussent son offre le lendemain matin lui a traversé l'esprit, mais elle jugeait cette éventualité peu probable. Tant qu'elle respectait ses engagements, ils respecteraient les leurs. Elle tenait ses mains jointes sur ses cuisses pour dissimuler son anxiété.

Ange attira l'attention en tapant dans ses mains : "Alors, dans la pratique, comment s'organise-t-on?"

Il semblait que Bérengère représentait une sorte de buffet, et que tout le monde était trop timide pour se servir en premier. Comme personne ne répondait, Ange prit Bérengère par la main pour l'obliger à se lever. Elle le suivit docilement en posant son verre sur la table.

"Ça fait un petit moment que je suis en cale sèche, je pense en avoir besoin plus que vous!" dit Ange à ses colocataires, tout en repoussant les bretelles de la robe pour la faire choir sur le sol.

Bérengère en était consciente, aucun des garçons n'avait eu de partenaire depuis quelques temps. Occasionnellement, elle avait surpris quelques bribes de conversation, indiquant qu'ils avaient eu peu de conquêtes. Quand à Bernard, elle pensait qu'il était tout simplement puceau.

Le fait qu'elle partage la colocation avec trois hommes jeunes, en bonne santé, célibataires et probablement sexuellement frustrés l'avait intriguée. Peut-être sa propre curiosité l'avait-elle amenée à faire cette offre. Et elle pensait qu'au moins les premiers jours, son emploi du temps allait être chargé.

Nue devant eux pour la deuxième fois en quelques minutes, elle se tenait les mains sur les hanches, jambes légèrement écartées, les laissant se rassasier. Elle attendait patiemment leur bon vouloir. Elle voulait faire le nécessaire pour que les garçons soient satisfaits.

Ange se tenait derrière elle pendant que les deux autres détaillaient son corps élancé. Il caressait ses flancs, savourant le contact de sa peau douce. Petit à petit, il est devenu plus audacieux, caressant son cul joufflu et soupesant ses seins d'albâtre de ses mains puissantes, pinçant doucement les tétons.

"Alors dis-moi, fillette, est-ce que tu sais à quoi tu t'engages? T'as compris qu'on voudra tous te baiser tous les jours?"

Bérengère hocha la tête : "Bien évidemment".

"Tu aimes le sexe rugueux?"

"Ça ne me dérange pas, même si ce n'est pas ma préférence." Bérengère n'avait pas eu beaucoup d'expériences, de brèves relations, mais elle était prête à découvrir de nouvelles choses. Les caresses la rendait impatiente de commencer, et elle se sentait de plus en plus audacieuse sous le regard des deux autres plus timides.

"Oh, alors tu acceptes le sexe brutal? Tu prends par le cul?" il ponctua cette dernière question d'une claque sèche sur son cul ferme, la faisant sursauter.

"Je peux le faire, si tu le souhaites. Mais je n'ai pas l'habitude, alors sois doux et gentil au début."

"Oh, je serai doux, t'inquiètes, je ne veux pas casser mon nouveau jouet." Il se pressait contre elle, dans son dos, l'enlaçant, caressant son ventre, jouant du bout des doigts avec ses boucles rousses, descendant jusqu'à son entrejambe. Il écarta la fente de sa chatte du bout des doigts pour sentir son humidité grandissante.

"Bon, hé bien, la récréation est terminée. S'il n'y a pas d'objections, je pense que je vais m'octroyer le premier tour dans un endroit privé. J'en rêve depuis des mois de cette petite. Ne vous inquiétez pas les gars, il en restera suffisamment quand j'en aurais fini!"

Ange entraîna Bérengère jusqu'à sa chambre en la guidant fermement. Il la força à s'agenouiller près du lit en appuyant sur ses épaules. Il lui tournait autour en se déshabillant, examinant sa proie.

"Bien, bien. Tu es vraiment jolie! Un petit peu inconsciente pour venir ici et t'offrir en échange d'un loyer."

Une fois nu, il s'assit sur le lit devant elle et s'allongea à demi, en appui sur les coudes, avec un sourire suffisant, désigna son sexe flaccide et dit, avec un plaisir évident de maître à soumise:

"Eh bien, ça ne va pas se sucer tout seul!"

De ses longs doigts effilés, elle saisit le pénis qui se tendait tout seul dans sa main, et elle le soupesa, contente qu'il soit d'une épaisseur appréciable. Ange continuait de parler, la regardant caresser son équipement :

"Je suppose que nous aurons besoin de définir tes limites, fillette, quand nous les aurons atteintes. As-tu pensé à un mot de passe qui nous éviterait un malentendu malheureux?"

Bérengère acquiesça, caressant la queue devenue rapidement rigide, preuve de son désir pour elle. Elle jouait avec son prépuce, décapuchonnant le gland, puis le ramenant, jouant avec le liquide clair qui suintait déjà du méat.

"Que penses-tu de VERT pour continue et ROUGE pour stop?"

"Ça me va. OK! Maintenant, suce!"

Bérengère n'avait plus besoin d'encouragements, elle aussi était désireuse de commencer. Elle posa ses lèvres entrouvertes et introduisit lentement le gland dans sa bouche, savourant son goût, elle laissa échapper un léger gémissement pour motiver le garçon.

Elle pompait maintenant la hampe, bouche grande ouverte pour introduire le pénis épais plus profondément, langue tourbillonnante autour du gland à chaque retrait, suçant, aspirant, créant un vide dans sa bouche, puis replongeant profondément dans sa gorge. Il tendit ses mains pour pétrir les seins qui se balançaient, grognant doucement alors que ses bourses durcissaient, annonçant sa débâcle s'il la laissait continuer à ce rythme. Brusquement, il la repoussa en arrière, sa queue sortant de sa bouche affamée avec un pop, et elle le regarda un peu perplexe.

"Hum, beau boulot, mais j'ai envie de ton cul!"

Il sortit du tiroir un tube de lubrifiant à moitié vide.

"Allonge-toi en travers du lit, en gardant les genoux au sol. Bonne fille!"

Il posa le lubrifiant à côté et pétrit son cul fermement, écartant les fesses pour exposer sa chatte et sa rosette.

"Charmant, ravissant" apprécia-t-il en plongeant sa langue dans la fente, de sa chatte humide jusqu'à son trou du cul, humidifiant le petit trou. Bérengère réprima son envie de rire quand la langue pâteuse la chatouillait là où personne ne l'avait jamais léchée auparavant. Ange appuya sa langue contre le petit trou, testant sa résistance.

"Hum, très serré. Ça ne t'a pas beaucoup servi, fillette? Bien, il va falloir défricher le chemin!"

Il attrapa le tube de lubrifiant pour en mettre une petite quantité sur son anus, l'étalant avec son doigt, poussant une phalange à l'intérieur. Bérengère se tortillait en frissonnant à cause de la sensation et de l'excitation. Imaginant sa queue épaisse, elle était troublée en pensant qu'il voulait s'introduire en elle, elle espérait qu'il ne lui ferait pas de mal, et qu'elle pourrait s'adapter.

Ange répandit un peu de lubrifiant sur son gland puis commença à pousser contre le petit trou. Bérengère agrippa les couvertures et inspira lentement et profondément, cambrant ses reins, ressentant la pression et la douleur pendant que son orifice s'ouvrait pour l'accepter. Le processus lui semblait durer une éternité, elle avait l'impression qu'il n'arrêterait jamais de l'étirer. Elle laissa échapper un gémissement guttural puis tout à coup elle le sentit bondir en elle de quelques centimètres. Elle gémit à nouveau, sur le mode aigu, se mordant la lèvre pour amortir son cri, sentant le membre l'envahir.

"Ah, ça y est. Pas d'inquiétude, ma puce, la partie difficile est finie. Je serai doux!"

Il enfonça son membre visqueux plus profond dans son orifice étroit, enterrant progressivement sa trique dans les entrailles de la fille, tremblante sous lui. Le gland avait dépassé la zone étroite où la résistance était la plus forte, mais loger la tige épaisse dans le conduit étroit n'était pas beaucoup plus facile. Son trou du cul lui semblait en fusion, ce qui contrastait fortement avec le froid gluant de son doigt lubrifié. Elle serra les dents et les poings, se forçant à rester docile tandis qu'il continuait à écarter son anus, puis elle le sentit coller son bassin contre elle.

"Bonne fille, bonne fille. Tu vois? Ce n'est pas si difficile? Tu aimes me sentir dans ton cul? Maintenant, accordons-nous un moment de répit pour que tu t'habitues."

Il glissa ses mains sous elle pour empoigner ses seins, pinçant ses tétons du bout des doigts. Elle pouvait sentir sa queue frémir dans son cul, puis aller et venir lentement, se concentrer sur le rythme imposé, se relâcher, son esprit s'éloignant de l'étrange agonie pour se concentrer davantage sur le sentiment qu'il devenait partie intégrante d'elle.

Ange ôta ses mains de sa poitrine pour agripper ses hanches. "Tu te sens bien, maintenant?"

Il retira presque entièrement sa bite de son cul, ne laissant que le gland à l'intérieur, puis replongea dans ses profondeurs. Il sortait lentement, mais la pénétrait plus fortement, et elle se concentra de nouveau sur la sensation de son conduit étiré, poussé, tiré, et qui s'accrochait fermement à la queue envahissante.

Son sursis fut de courte durée car il ne perdit pas de temps pour accélérer le rythme, et elle gémissait à chaque coup qu'il pénétrait ses fesses. Bérengère faisait tout ce qu'elle pouvait pour étouffer ses propres gémissements, et Ange prit cela pour un encouragement. Bérengère se demandait que pourrait-elle faire pour le décourager, et le faire cesser cette torture.

Il a continué ses allers et retours puissants, un mouvement de piston rectiligne qui semblait ne jamais se terminer. Les larmes lui montèrent aux yeux et elle les referma, déterminée à ne pas craquer devant son tortionnaire. La sensation d'être bourrée et baisée comme une salope lui était désagréable, mais c'était trop tôt pour se plaindre et elle dut le subir, ne pouvant qu'attendre qu'il ait fini.

Puis le rythme d'Ange a changé. De régulier, il est devenu plus saccadé. Elle pouvait sentir sa bite gonfler, ses bourses durcir, elle comprit qu'il était près d'aboutir. Il frappait son sphincter de toutes ses forces pendant qu'il s'approchait de plus en plus de son orgasme. Bérengère haletait et gémissait en s'agrippant à la couverture, cambrant ses reins sous la violence de l'assaut.

Ange s'arc-bouta contre elle en grognant de satisfaction pendant que Bérengère laissait échapper un cri de douleur. Elle pouvait sentir la bite pulser en elle de longs jets de foutre chaud. Sa chaleur se répandait en elle pendant qu'il s'effondrait sur elle, haletant, épuisé.

Ange resta allongé sur elle quelques instant puis, sentant sa queue ramollir, il se retira lentement. Bérengère pouvait sentir le filet de sperme s'écouler de son anus dévasté et ruisseler le long de sa chatte. Ange prit un moment pour inspecter son travail, écartant les fesses avec ses mains pour admirer l'anus dévasté, puis gifla doucement son cul.

"Je recommencerai plus tard, mais tu ferais mieux de te nettoyer avant de t'occuper des autres mécènes."

Après un rapide passage par la salle de bain pour se nettoyer et pour que Bérengère retrouve son calme après une session brutale et sauvage avec Ange, il ramena Bérengère, toujours nue, dans le salon où Bernard et Serge discutaient tranquillement. À leur arrivée, Bernard se leva brusquement, sous l'effet d'un mélange d'appréhension et de politesse, puis sembla extrêmement gêné par son comportement. Serge resta assis dans son fauteuil, croisant le bout des doigts d'un air amusé.

Ange attrapa une canette de bière et s'effondra dans le canapé : "Vas-y, mec, elle va pas te mordre!"

Rompant le silence pesant, Bérengère tendit le bras vers Bernard en lui faisant signe d'approcher, manifestement trop timide pour faire quoi que ce soit : "Montre-moi ta chambre. Je suis curieuse de voir l'endroit où tu vis!"

Empoté, guindé, Bernard se décida à se mettre en mouvement pour guider Bérengère en direction de sa chambre. Dans le couloir, il suivait la jeune fille nue, le regard braqué sur ce petit cul ferme qui valsait devant lui, tandis qu'elle marchait, légère et aguichante, vers son deuxième contrat de la soirée.

La chambre de Bernard était un triste désordre. Bérengère eut tout le temps de regarder les affiches de films sur les murs, le système audio surdimensionné avec le bouton du volume au maximum, la lumière noire vissée au mur au-dessus du lit et les accessoires éparpillés que Bernard tentait d'escamoter en les jetant dans les tiroirs ou sous le lit.

Bernard, peu habitué à avoir de la visite, était visiblement inquiet à propos du foutoir qui régnait dans sa chambre. Bérengère attrapa le gars par le poignet, le fixant les yeux dans les yeux:

"Assieds-toi, tu me donnes le tournis. Je voudrais te parler."

À contrecœur, Bernard s'assit à côté d'elle sur le lit en regardant ses pieds. Elle l'obligea à pivoter ses épaules pour lui faire face.

"OK! Ça va! Je ... écoute, je sais c'est pas évident, mais je ne l'ai jamais fait auparavant. Avec n'importe qui. Je suis puceau!"

Il lui jeta cet aveu à la face, soulagé d'être débarrassé de son secret trop lourd à porter. Bérengère le rassura, tentant de paraître la plus compréhensive possible pour permettre à Bernard de continuer.

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