Self Domination Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Je le sens faiblir, alors que je suis dans un nuage, ne voyant plus rien depuis longtemps, luttant pour ne pas m'évanouir tant je crains de m'arracher les épaules. Et puis d'un coup je réalise qu'elle n'en peut plus, et qu'elle veut absolument me briser. Aussi je lui offre son répit en hurlant Jaune à toute force, à son grand contentement. Elle est satisfaite de m'avoir brisée enfin, je suis une coriace mais elle les brise toutes. Cela pourrait me flatter, me faire rire, mais rien de tout cela, je suis heureuse qu'elle soit contente.

Elle me détache, je m'effondre à terre, je suis une masse informe. Madame ne semble pas en meilleure forme! C'est amusant. Elle rampe vers moi, reprend sa petite baguette, me fait écarter les cuisses et fouette ainsi mon pubis, mon sexe et mon clitoris. Je fais un bond et je crie à chaque fois, mais je ne ferme pas les jambes, à sa grande satisfaction. Elle se concentre sur mon clitoris déjà bien meurtri, et m'ordonne de jouir sous les coups. C'est un ordre qui ravage mon ventre et il ne me faut que quelques secondes pour jouir, sous son regard effaré. Elle ne pensait pas que j'y arriverais.

Elle ne dit pas un mot, se redresse au-dessus de moi et se met à m'uriner dessus abondamment, sur la moquette magnifique de l'hôtel. J'ouvre la bouche en signe de soumission, et je suis complètement aspergée. Elle m'ordonne de mettre ma robe et mes chaussures puis, les jambes écartées, d'uriner devant elle. J'ai tellement envie que je ne me retiens pas, ma robe est souillée, mes jambes dégoulinent et mes chaussures sont vite remplies. Je me sens complètement humiliée et souillée, comment vais-je faire? Je reprends mon corset et mon gode à la main, elle me fait un signe pour partir, m'indiquant qu'il y aune enveloppe pour moi dans l'entrée. Je me sens tellement vite, sale, brisée. Une enveloppe?

Elle est bourrée de billets de deux cents euros. C'est rigolo, je n'en avais jamais vu. Peut-être ce que me donnait mes parents pour une année entière! Elle m'aurait mis dix euros, j'aurais trouvé cela tellement humiliant et excitant, mais là je trouve cela bizarrement décevant. Elle vit sans doute dans un drôle de monde. Je la remets en place, je suis venue me faire punir, pas me prostituer.

Dans le couloir, le garçon d'étage ne fait aucune remarque et me conduit à l'ascenseur. Une fois en-bas, je suis livrée à moi-même et tout le monde me regarde de travers. Je dois avoir une tête de folle couverte de pisse! Je me précipite dehors, et n'ayant rien sur moi, je rentre à pied au café. C'est bientôt l'heure de la fermeture, je suis restée bien plus longtemps que je ne pensais. Je suis faible, je marche doucement. Mon cul me lance, mais à cette idée, je sens une excitation profonde de ce que j'ai vécu.

J'ai eu le temps de sécher avant de pousser la porte de chez Charlotte, le café est presque vide, quand je croise tout près de l'entrée, le regard, le sourire, l'aura de ma Déesse. Louise me regarde avec une telle bienveillance, je comprends qu'elle est revenue me chercher. Je m'effondre par terre, en larmes, comme je n'ai jamais pleuré. Toutes ces souffrances des jours passés s'expriment dans mon effondrement. Louise vient me relever, nous nous embrassons comme au premier jour sous le clin d'œil de Charlotte.

De retour chez nous, Louise me comble de tendresse, elle examine mon corps avec des bleus et des marques partout, m'embrasse, me câline, je ne cesse de pleurer tant l'émotion est forte. Je crains qu'elle m'en veuille d'être allée voir cette dame, mais elle m'explique comprendre et que c'est très bien ainsi, j'ai été punie comme il le fallait! Elle soigne mon anus effectivement déchiré et c'est avec une gratitude émerveillée que je m'endors enfin à la place sur le parquet de la chambre, aux pieds de ma Propriétaire. Je suis comblée qu'elle m'ai pardonné, et je me jure de ne plus jamais hésiter lorsqu'elle me donnera le moindre ordre, c'est toujours elle qui a raison!

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AnonymousAnonymeil y a 12 mois

Il va lui falloir plusieurs jours pour cicatriser !

Sauf si Louise continue à la détruire.

Rudy

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