Secrétaire Très Particulière (06)

BÊTA PUBLIQUE

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_Je trouve qu'elle a de beaux nichons, mais ses tétons sont un peu maigrichons, je vais les mettre en valeur. Jacques met la sur tes genoux et qu'elle bombe le torse.

En quelques minutes, je me retrouve saucissonnée , les seins entourés, séparés par une corde qui les projettent en avant. Avec le manque de sang , ils gonflent et s' engourdissent . Jean me jette sur le lit sur le dos. Ils se mettent nus, et je vois deux sexes aux dimensions très honorables et déjà en érections. Le traitement que je viens de subir les fait bander.

Jacques me met sa main sur ma chatte et enfonce deux doigts, bien malgré moi, je réagi , il me soulève comme un fétu de paille s'assoit au bord du lit et enfile sa queue dans ma chatte, mon dos contre sa poitrine. Jean est debout et tiens une badine dans sa main droite et tapote sur sa paume gauche. La douleur est fulgurante, la badine a atteint le mamelon droit, je hurle, mais aucun son ne sort de ma bouche entravée, juste un grognement, Jacques eclate de rire

_Va y, fait lui grossir les bouts, elle saute sur ma queue a chaque fois!

Les coups s'abattent, la douleur est intense, mais le sexe qui monte en moi me porte au comble de la jouissance.

J'essaie de me concentrer sur la douleur, car si je jouis, ils vont allez encore plus loin dans leurs perversions. Heureusement, Jean est tellement excité par la couleur de mes seins et la manière dont j'essaie de me soustraire ,les faisant sauter dans tout les sens, qu'il éjacule de longs jets de sperme chaud sur mon ventre et mes seins. Jacques me dégage de lui, je tombe sur le sol, il me donne un coup de pied dans les côtes et me couvre d'injures me reprochant d'avoir fait venir son frère trop vite, et que je mérite une punition. La peur me tenaille le ventre, je suis sûre qu'ils sont capable de tous.

Il me relève, il détache mes seins, qui sont rouges sang, virant au bleu, des petites stries de sang entourent les tétons qui sont tumefiés, je ne ressens que la douleur. Il attrape les extrémités des mamelons et les tords violement, j'essaie de crier, mais toujours cette boule empêche les sons audibles de sortir. La tête me tourne et je perds conscience.

Quand je reprends connaissance, je suis sur le dos, libre de toutes entraves, une serviette éponge chaude sur la poitrine, j'ouvre la bouche, mais une main s'applique dessus, c'est Jean :

_On a été un peu fort, mais on a payé le prix fort, et Paul nous a certifié qu'en tant que soumise tu accepterais tous, mais l'après midi n'est pas terminée, et on va te baisser, si tu crie, on remet le baillon, ce serait dommage, je voudrais profiter de ta jolie bouche, tu comprends?

Je fais oui de la tête, mais j'ai peur. Il enlève sa main doucement.

_Voila qui est fait, mais tu nous dois une punition!

Je vais me coucher sur le dos au bord du lit, suffisant loin pour que tes fesses soient au bord bien offertes et tu vas me faire une bonne pipe. Il se met en place et etant vaincu je m'installe comprenant qu'ils vont me prendre un par la bouche et l'autre choisira quel orifice lui plaira, pour moi, c'est un moindre mal. Je le prends en bouche pour lui redonner de la vigueur. Je soupèse ses bourses et sa bite commence a prendre du volume, j'y prends du plaisir, cette queue chaude et palpitante commence a entrer profondément dans ma gorge. J'en oublie presque Jacques, et suis surprise qu'il ne soit pas déjà en moi. Quand je sens ses deux mains sur mes fesses, il les palpe, vérifie l'élasticité de la peau, me déplace légèrement me faisant bomber le cul et l'offrir d'avantage. J'aime etre offerte de la sorte et je m'active d'avantage sur la bite qui maintenant a pris toute sa vigueur, mais a cet instant je ressens une brûlure sur mes fesses a même tant qu'un sifflement, je tourne la tête et vois Jacques qui tient un petit fouet avec plusieurs lanières.Il me dit :

_Tu nous doit une correction , reprend ton travail, il reste neuf coups, et avant de te baiser, je vais te les donner et tu vas l'accepter.

Les larmes pleins les yeux , je reprend Jean en bouche, il me met les deux mains sur la tête pour m'empêcher de me relever. Le deuxième coup s'abat, je me crispe, attendant le suivant, mais je sens une main qui me caresse les fesses, sous la caresse je me détends , mais le troisième coup arrive et m'arrache un cris étouffé par la bite de Jean.

Au sixième coup, j'ai les fesses en feux, mais a mon grand étonnement je sens ma chatte s'humidifier et involontairement je remonte imperceptiblement mon cul au contact de la main de Jacques qui s'en aperçoit et jubile

__Et petit frère, je crois qu'elle aime ça la vieille pute, elle va jouir!

Tout en parlant, et caressant mon cul, il passe ses doigts dans mon sillon fessier, entre dans ma vulve et remonte directement contre mon clitoris. Le septième coup, et la même caresse. Il doit avoir l'habitude, se technique est bien rodée. Huit, neuf, je perds pied , et un orgasme inouï me parcour le ventre et le cul. Malgré la bite en bâillon, je hurle de plaisir, je ne sens même plus la douleur. Je ne sais pas s'il y a eu un dixième ou plus, Jacques a lâché le fouet, et m'à planté sa queue dans mon con, il me prend avec une force incroyable, me projette contre le bord du lit , la bite de Jean sous l'effet me rentre au fond de la gorge, son gland dépasse les amygdales.

Le coït est tellement sauvage, que Jacques vient très rapidement, me replie la chatte d'une quantité impressionnante de foutre chaud, il reste au fond de moi sans bouger, je ne sens que les contractions de sa bite et les jets de sperme entrant dans mon utérus. Comme il me tient bloquée contre le lit, j'ai la bite de Jean coincée dans l'oesophage, qui décharge ça liqueur dans mon estomac. Je vais m'étouffer, je ne peux respirer, Jean est crispé sur ma tête, me tenant plaquée contre son ventre.

Heureusement qu'il débande rapidement et je peux enfin respirer . Je me dégage, mais mon repi est de courte durée. Jacques me présente sa queue luisante de sperme et de ma mouille devant la bouche, et je suis bien obligée de le satisfaire. Sous l'effet de ma langue, il recommence à bander, son frère s'approche et me demande de le branler. Les deux queues ne mettent pas longtemps à avoir de la consistance.

Jean parle a l'oreille de son frère, ils éclatent de rire. Jean se lève et me fait signe de faire de même, il me met en face de Jacques qui est assis au bord du lit avec un braquemard bien dressé. Ce dernier tend la main et me tripote la chatte, j'écarte légèrement les jambes, il entre deux doigts, et frotte son pousse sur mon clito. Je savoure la caresse. Mais mon plaisir ne fait pas partie de leurs jeux, si j'en ai c'est bien, mais leurs plaisirs a eux, c'est m'entendre crier, de plaisir où de douleur, qu'importe. Jacques me fait le chevaucher de face, je me laisse glisser, ma chatte happe avidement sa queue. Je suis envahie de toute sa longueur. Brusquement il se lève me tenant sous les aisselles, je suis plantée sur sa bite, je lui passe mes jambes autour de la taille,et mes mains autour de de cou. c'est inouï la sensation que j'éprouve, son frère est derrière moi, je saisis très vite son intention. Il me passe un doigt sur le cul, il est humide, il y a mis de la salive , il le met dans mon fondement et le fait tourner en massant les parois internes, puis il le remplace par sa queue. Il est brutal et s'enfonce en entier sans ménagement. Je crie de douleur, et je laisse tomber mes jambes, mais elles ne touchent pas le sol, ils sont trop grands et je suis pendue sur leurs sexes. Jean me defait les mains de derrière le cou de Jacques, et me les flanque le long du corp. Je suis vraiment embrochée par deux queues vigoureuses, mais j'ai l'impression que je vais être fendue en deux, et j'ai vraiment mal, je pense que ma chatte va se dechirer. Jean m'agripe par les seins et me les tord violemment, il les tire vers le haut puis vers le bas tout en donnant des coup de bassin, Jacques lui aussi me soulève sur sa bitte, je fais le<< Yo yo>> entre les deux hommes, ballottée comme une poupée de chiffon.

Jean est le premier à venir et remplir mon acul de son sperme épais. devant ses grognement, Jacques le suit a peine une minute après son jus me remplit ma chatte, mais je n'ai aucun plaisir seul la délivrance. Ils se dégagent et me laisse tomber au sol, je touche ma chatte et suis soulagée de ne pas avoir de sang sur les doigts. Je vais encore subir leurs assauts plusieurs fois, ils me prennent dans toutes les positions bestiales qu'ils peuvent imaginer, ils ont une endurance hors du commun, ils ont jouit plusieurs fois, en moi, sur moi, dans ma bouche mon cul et ma chatte, j'ai du sperme de partout.

A 17 h, ils ont pris une douche et sans même me regarder, ils sont partis. Je ferme les yeux, mon corps me fait souffrir, j'ai la bouche pâteuse, malgré tout, j'ai bien dû avoir six ou sept orgasmes .

Je suis secouée et embrassée tendrement, j'ouvre les yeux, c'est Paul .

_Tu t'es endormie? Je vois qu'ils t'ont fouettée, et tu es bien amochée, je suis désolé, je leurs ferai savoir, c'est la dernière fois que je traite avec eux.

Je me mets à pleurer.

_Que vais je dire a mon mari, il va me poser des questions, il va découvrir..,.,.!

_Chut!!! Marc à téléphoné cette après midi, il a dit a Brigitte qu'il devait s'absenter pour quelques jours, une affaire très compliquée, je n'en sais pas plus.

Il m'aide a me laver, puis m'habiller et nous partons, il me dépose chez moi et me dit de ne pas venir travailler demain. Au moment de partir, il me prend dans ses bras et m'embrasse voluptueusement, nos langues s'enroulent , se cherchent, se mélangent, je suis calme,apaisée, mon rythme cardiaque est lent, j'ai l'impression d'être dans une bulle. Nos lèvres se séparent, je me penche vers son oreille.

_Paul , je,,,,,,,, j'aimerai...........

_Que désire tu?, si je peux te faire plaisir,!!!!!!!

_Je....... J'aimerai....heu ... avoir , comme Brigitte avoir des bijoux aux seins.

_Et bien, je suis étonné, sais tu ce que cela signifie, et ton mari, que lui dira tu???

_Mon mari, je sais pas, il ne me touche plus, il ne me regarde pas, et j'ignore le sens que vous donnez à ces bijoux, mais a l'auberge, plusieurs femmes en ont, et Sur Brigitte je les trouve très sexys.

_Les femmes qui portent ces bijoux, sont nos esclaves quand nous nous réunissons pour des soirées ou des weekends spéciaux, elles appartient à la communauté, souvent ce sont des réunions BDSM, tu pourrais être attachée, fouettée, mais pas de brutalité excessive, tout est dans le plaisir, de donner et de recevoir , tout reste sexuel, il y a même quelques hommes qui portent ces bijoux. Il est bien évident que tu ne peux repousser aucune pratique ou position sexuelle. Mais je serai heureux de demander ton intronisation si vraiment tu es volontaire.

_Tu sais, cette après midi quand ce salaud m'a fouettée, j'ai eu un orgasme incroyable, mais j'ai également eu très mal, mais je suis prête à recommencer pour toi, je sais que toi tu m'aimes et j'aime te faire plaisir.

__Tres bien, je vois mes amis ce week end et j'organise ça, tu as jusqu'à samedi pour annuler, après ce sera plus possible.

Il m'embrasse a nouveau et s'en vat.

La semaine se termine, et pas un jour ne passe sans que mes pensées soient pour ce qui va se passer . J'en ai parlé avec Brigitte qui m'a prise dans ses bras et nous avons fait l'amour comme deux amantes. Le dimanche soir, mon mari est entré, tout joyeux, il m'a dit qu'il avait fait une bonne semaine très rentable pour son bureau. Je n'avais pratiquement plus de trace sur la peau et il n'a pas posé de questions. Nous avons soupés, puis après avoir pris une douche, je l'ai rejoins sur le canapé ou nous avons regardés un film. J'étais nue sous mon peignoir, et je me demandais ce qu'il dira quand il deécouvrira mes mamelons percés. A t il remarqué que je n'avais plus de toison pubienne? Je ne sais que penser.

Voilà trois semaines que j'ai demandée , à Paul mon maître et patron de me permettre d'être intronisée pour les servir lui et ses amis. Je suis au bureau en ce lundi matin, Brigitte est passée nous voir Paul est moi, puis est retournée travailler. La journée se passe a travailler, vers 15 h Paul s'absente une petite demie heure, puis a son retour, il m'annonce que ce soir , je dois faire des heures supplémentaires. Je connais très bien la teneur du travail supplémentaire . J'en suis heureuse, j'aime me retrouver seule avec Paul, et subir ses volontées. Pourquoi ne suis je pas étonnée quant à 17 h apparaît Max, Paul le salut, et tout les deux s'installent sur le canapé, je leurs serre deux Whisky et reprend ma tâche.

La sonnerie retentit, signifiant la fin de la journée. J'attends un petit quart d'heure, puis je me lève, enlève mon chemisier et ma jupe et nue les mains derrière le dos je me présente devant les deux hommes.

Paul me demande de les déshabiller et de leurs faire une fellation. Je suis a genoux savourant ces deux queues qui remplissent a tour de rôle ma bouche. Paul se lève, me fait étendre sur le dos, Max se positionne entre mes jambes, en les écartant, et entreprend de manger ma moule, sa langue fait des ravages, je jouis très vite, en poussant de petits cris etouffés par la queue de Paul. Ils vont me prendre a tour de rôle et je vais avoir plusieurs orgasmes, là, je suis le dos contre le dossier du canapé, mais j'ai la tête en bas, les épaules sur le siège, le cul en haut du dossier, les jambes retomnt sur ma poitrine. Paul me Labour la bouche, s'enfonçant très profond dans ma gorge, Max est debout sur le canapé, je suis entre ses jambes, et il me défonce le cul dans cette position acrobatique. Je suis prise comme une catin, mais j'aime ça.

Paul décharge son foutre au plus profond de ma gorge, j'avale avec plaisir n'en laissant pas tomber une goute. grùtal. S'adressant à Max, il le presse de me remplir rapidement, car il doit nous annoncer une bonne nouvelle.

Paul me tire les tétons, allonge mes seins, me faisant crier, Max s'appuie de tout son poids s'enfonce plus profond, ses bourses s'appuyant sur mes fesses, je ressens les giclés de sperme chaud dans mon cul, je jouis encore une fois, la sueur dégouline sur mon ventre et sur les seins.

On est maintenant assis tous les trois récupérant lentement, ils boivent un verre. Je commence à me revêtir, quand Paul me dit.

_Tu va être comblée, c'est pour mercredi!

_Mercredi! Quoi?

_Tu va être la reine de la fête, fouettée et percée et intronisée, mais en plus tu auras une surprise!!!!.

Mercredi matin, je suis sous la douche, les mains appuyées contre le carrelage .Je suis songeuse, comment va se dérouler ma journée? Mon mari entre dans la salle de bain, nu, et va se raser, comme tout les matins, mais aujourd'hui, il me jette un regard. Il s'approche et me caresse les fesses, je sursaute.

_ J'aime ton petit cul, et ta chatte est magnifique sans ses poils!

Je suis abasourdie, depuis quand a t il remarqué ma chatte lisse. Mais je n'ai pas le temps de réfléchir, il est sorti et je dois me préparer. Quand je sors a mon tour de la douche, je vais préparer le petit déjeuner, juste avec mon peignoir. Marc bois son café, me dit de passer une bonne journée et a ce soir. Il part au travail.

Arrivée à mon bureau, j'ai un mot de Paul, a 11h, je dois mettre la robe qu'il a déposé dans mon casier et le chauffeur va m'emmener à l'auberge. La matinée est incroyablement longue, je suis fébrile, je n'arrive pas à me concentrer. Curieusement, j'ai les seins gonflés, les tétons pointent sous mon corsage, et ma chatte est humide. Je redoute ce qui va se passer, mais a même temps je le désire, c'est contradictoire. Il est l'heure, j'enfile la robe blanche, elle est très courte, pas très échancrée, mais tres légère et on voit très bien mes mamelons, mon ventre et même le nombril, on dirait une seconde peau.

La voiture me dépose devant l'auberge ou Paul m'attend. Il me prend la main, m'attire a lui, et me prend la bouche, je lui rends son baiser.

_Tu sais, a partir d'aujourd'hui, rien ne sera plus pareil entre nous, mais j'ai eu beaucoup de plaisir à te former et t'amener ici, je t'aime vraiment, mais a ma manière.

Il me dirige dans un couloir que je ne connais pas, on arrive dans une pièce pleine de décors et d'accessoires de théâtre. Deux hommes sont présents devant une table et un grand miroir, ils sont torse nu et ne porte qu'un pagne devant leurs sexes, les fesses nues.

Paul me dirige vers eux.

_Ils vont te préparer, fait leurs confiance, ils ont l'habitude.

Il m'embrasse a nouveau puis disparaît.

Un ordre tombe,

_Enleve ta robe!!!

Je m'exécute. Je suis nue et je le sens bien vulnérable, mais je ne comprends pas cette sensation de peur et de désir, ma chatte suinte et mes tétons sont trugessant. L'un des hommes me prend par le coude.

_Regarde, elle est sous tension, elle pue la luxure, il faut la calmer.

Ils éclatent de rire, ils défont leurs pagnes et deux sexes plus qu'honorables se dressent entre leurs jambes. Sans réfléchir je tombe a genoux, je prends un sexe dans ma bouche et l'autre dans ma main, je les suce et branle à tour de rôle. Ils râlent de plaisir, ils me mettent debout, ils me doigtent devant et derrière, me malaxent les seins, l'un passe derrière moi, fléchit les genoux, et sans grande résistance m'empale par le cul, aussi tot suivit par son compère qui l'enfile devant. Je sens leurs engins palpiter , ils poussent tres fort, je saute a chaque coup, mes pieds ne touchent le sol que quand je redescends. Je suis hors de moi, et les invite a me baiser plus vite et plus fort, la tête me tourne, l'orgasme m'emporte, je ne sens même pas leurs sperme m'envahir. Celui de devant m'embrasse à pleine bouche, je ne réagit pas, je voudrais que cela dur . Mais a réalité revient vite, ils se sont retirés, reprit leurs pagnes.

_Il nous faut te préparer, vient.

Je me laisse guider. Ils me font une toilette rapide, sous une douche dans un coin de la pièce, profitant pour palper tout mon corps, et j'aime ça. L'un d'eux prend une petite boite, et quand l'autre m'a bien séchée, il m'enduit les seins de crème, insistant sur les tétons, il fait pénétrer la pommade.

_Tu as été gentille avec nous, je te met un anesthésiant, tu souffriras moins, je vais t'enduire les fesses et le bas du dos, car on doit te mettre dans une position spéciale, et je crains pour toi.

Comme il a fini de me tartiner, son copain arrive zvec une barre de bois, il me la posse sur le coup, puis chacun me prend un bras et me le passe sur la barre,puis m'attachent les mains et les bras en croix sous la barre . je suis pour ainsi dire crucifiée. La peur m'envahit, je tremble sur mes jambes, ils me portent plus que je ne marche , ils ouvrent une grande porte, et je reconnais la salle avec laq scène centrale et les boxes, il n'y a personne. Ils me font monter sur l'estrade, ils me mettent entre les deux poteaux , les extrémités de la barre posée sur des supports , puis ils me font écarter les jambes, mettent des colliers de cuir remboursés aux chevilles .Ils passent une corde dans chaques anneaux fixés aux colliers.

D'un seul coup, je me sens tirée vres le haut, un dispositif dans les poteaux coulisse et me tire vres le plafond. La barre me fait mal aux épaules, l'ascension se stoppe , j'ai les pieds a environ un mètre du sol. Je suis penchée en avant, par le poid de mon corps. Els deux hommes tirent sur les cordes, me retablissant dans la verticale, puis ils font un tour avec la corde sur chaque poteaux, ils tirent maintenant, rapprochant mes pieds des poteaux, mais comme ils sont très encartés, je suis écartelée, ils me font faire un grand écart, se sui est assez douloureux. Après avoir attaché les cordes , dans un mots, ils ferment le rideau pourpre tout autour de moi. Les lumières sont éteintes, je suis dans le noir, je ne comprends pas pourquoi cette position, qui n'a rien à voir avec celle de Brigitte, et pourquoi je ne porte pas de cagoule, je ne comprends pas, j'ai mal et je ne sais pas combien de temps cela va durer. Mes membres s'engourdissent, je commence à avoir froid, je ne sais pas si je me suis endormie ou évanouie, mais je sursaute quand une main me prend un seins et frotte le téton. Il me dit :