Sandra, Chienne De Direction (01)

BÊTA PUBLIQUE

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je ressens un sentiment d'impuissance et de soumission quand il me parle de cette manière... et pourtant, je ne peux m'empêcher de me sentir excitée par cela... i ajoute alors : "Je veux que tu fasses quelque chose pour moi. Enlève ton string et donne-le-moi. Après tout, comme tu le sais, tu m'as déjà montré un de tes strings, et j'ai donc déjà eu le plaisir de voir la perfection de ton cul rebondi et si appétissant."

...mes yeux s'écarquillent de surprise et je ressens un mélange d'embarras et d'excitation... initialement je voulais lui parler de vendredi soir, mais il m'a surprise par son approche, et je n'arrive pas à croire qu'il vient de dire ça de cette façon, ici au bureau... mais alors que je le regarde comme hypnotisée, ses yeux deviennent encore plus intenses et impressionnants, et je ne peux nier le désir qu'ils contiennent et instillent aussi en moi... je commence à haleter, mon cœur bat trop fort, je suis incapable de protester ou de dire quoi que ce soit... je réalise que je me sens humide de partout... de la transpiration sur ma peau... de la salive dans la bouche... des larmes naissantes dans les yeux... et pire que tout, ma cyprine qui coule le long de ma fente légèrement couverte par mon string de dentelle noire...

je ne sais pas quoi faire... je suis figée sur place, incapable de bouger ou de parler... mon esprit s'emballe avec un million de pensées et d'émotions, mais mon corps est paralysé par l'intensité du moment... "Viens ici", dit-il d'une voix grave et autoritaire...

je ne peux pas résister à l'envie d'obéir... je marche lentement vers lui, avec des instables... à mesure que je me rapproche, je sens ses yeux dévorant mon corps, et brûlant mon âme... et il m'ordonne d'un ton de pur dominant : "Donne-moi ton string, petite Sandra."

...je ne sais pas ce qui me prend, mais je commence à lui obéir, ici, dans son bureau, sur mes heures de travail... avec quelques difficultés, je remonte lentement ma jupe moulante sur mes larges hanches, où elle se maintient, puis je saisis les côtés de mon string et le fais glisser lentement le long de mes jambes... alors qu'il tombe sur le sol, toujours autour de mes chevilles et de mes talons hauts comme les restes de liens obscènes, je ressens un sentiment de vulnérabilité et d'exposition à la fois terrifiant et exaltant, et soudain l'étrange pensée d'un esclavage consensuel s'insinue dans mon esprit...

"Bonne fille", dit-il alors que je me tiens là, dans ma chemise à moitié ouverte montrant la partie supérieure de mon soutien-gorge, ma jupe relevée collée autour de mes hanches et mon string mouillé autour de mes chevilles... "Maintenant, voyons ce que tu portes sous ce chemisier." ...toujours incapable de répondre, je fais de mon mieux avec mes petites mains tremblantes pour déboutonner les boutons restants de mon chemisier...

j'ai l'impression de jouer à une partie de strip poker, où les enjeux sont bien plus élevés que de simples vêtements... finalement, alors qu'il ne reste plus que deux boutons en bas, j'ouvre presque complètement mon chemisier, révélant les larges bonnets en dentelle de mon soutien-gorge noir... "C'est un magnifique soutien-gorge", dit-il, ses yeux s'attardant sur mes seins volumineux...

je respire fort, je ferme les yeux... "Bonne fille", dit-il encore en me tapotant le sein gauche, alors que je me tiens là, exposée, dans mon chemisier à moitié ouvert montrant mon soutien-gorge, ma jupe relevée fermement serrée autour de mes hanches, et mes chevilles encore enlacées par mon string mouillé par ma propre humidité...

soudain, après quelques coups à la porte et sans attendre de réponse, les cinq collègues qui nous accompagnaient vendredi dernier entrent dans la salle pour un rendez-vous avec mon Boss, un rendez-vous que j'avais moi-même programmé mais que j'avais désormais oublié... et là, à mon grand désarroi, ils s'arrêtent et me dévisagent en me découvrant à moitié déshabillée, toujours exposée face à mon Boss...

"Oh mon dieu, que se passe-t-il?" demande l'un d'eux, d'un air qui me semble faussement surpris... mon Boss répond : "Elle a été une mauvaise fille, et je dois la punir." ...c'est comme s'il venait de me gifler... je me sens tellement humiliée par ses paroles... mon visage rougit de honte et d'indignation... les cinq hommes me regardent avec une joyeuse incrédulité devant ce qu'ils voient...

"Oh, désolé", dit l'un d'eux, "Nous ne voulions pas vous déranger." ...mais mon Boss les interrompt : "Ne vous inquiétez pas. Elle a juste été une mauvaise fille et elle doit recevoir une leçon." ...oh mon dieu, exposée comme je le suis, incapable de gérer mon esprit et de trouver quelque chose à dire, je veux juste me cacher dans le sol... mon Boss leur explique alors sommairement que j'ai été surprise en train de voler l'entreprise, et qu'il doit me punir... bien sûr, c'est un non-sens total, comme le scénario d'un mauvais film, et je ne peux pas croire ce que j'entends, mais mes mots sont comme incapables de prendre forme pendant qu'il évoque ma soi-disant fraude...

...je n'arrive vraiment pas à croire à quel point il m'humilie devant eux... surtout après que j'aie pensé que nous allions peut-être débuter une liaison secrète...

"Alors, qu'allez-vous faire d'elle?" demande un de mes collègues... mon Boss sourit et leur répond : "Je vais la punir, bien sûr." ...maintenant, tous les cinq ont l'air plus audacieux et même lubrique, et tout en me regardant intensément comme des tigres affamés, ils lui demandent s'ils peuvent regarder la punition...

mon Boss leur répond : "Non. Vous ne pouvez pas simplement assister à la punition. Vous travaillez tous pour moi, n'est-ce pas? Alors je veux que vous participiez activement à sa punition." ...et juste à ce moment-là, comme si je me retrouvais plongée dans l'un de mes cauchemars érotiques les plus fous, mon Boss m'ordonne de me pencher au-dessous de son bureau et d'en aggriper le rebord opposé... et étrangement, je commence à le faire comme dans un état second, à moitié consciente mais obéissante...

à cause de ma faible taille, et bien que rehaussée par mes talons hauts, je m'étale lourdement dès que j'étire mon petit corps sur son grand bureau... et alors que je sens mes seins comprimés comme des oreillers contre le plateau en bois, je sens mes collègues prendre en charge mes bras et mes jambes... avec leur aide, mon Boss attache mes mains aux pieds opposés de son bureau, avec de longues cordes rouges que bizarrement il conservait dans son tiroir... je ressens une excitation extrême, affreuse, non souhaitée mais incontrôlable... puis, pendant que je demande grâce, mon Boss commence à me caresser les fesses, ce qui me fait gémir malgré moi entre mes vaines supplications... mais soudain il entreprend de me donner une fessée, ses mains puissantes claquant fort sur ma chair nue... je commence à crier de douleur mais il continue à me donner cette fessée de plus en plus fort, jusqu'à ce que mon derrière soit tout rouge à cause de la punition... mes collègues apprécient clairement ce spectacle qu'ils encouragent, et commencent même à me tenir les membres pour me maintenir en place, malgré les mouvements sauvages de mes hanches pour tenter d'échapper aux fortes claques de mon Boss... je me sens encore plus humiliée lorsque je les entends vanter mes "talents naturels de twerkeuse", et déclarer leur envie de "bouffer le gros cul de cette salope"...

me trouvant sans doute trop bruyante à son goût, mon Boss ramasse mon string par terre, et après l'avoir reniflé, il le fourre dans ma bouche pour étouffer mes cris... puis il écarte mes fesses rebondies, m'exposant plus complètement à son regard et à celui des cinq autres...

..me sentant à la fois horrifiée et pourtant excitée de manière incontrôlable par ses actes, je me fige alors lorsque je l'entends leur dire : "Regardez bien sa chatte! Elle apprécie beaucoup trop ce traitement, elle est totalement trempée!"

mon Boss ordonne alors à mes collègues d'écarter encore plus mes jambes, exposant ainsi de manière plus obscène encore ma chatte et ma raie des fesses... je me sens affreusement humiliée, et pourtant, je ne peux m'empêcher de me sentir excitée... alors que mes collègues continuent d'écarter mes jambes, ma flexibilité de yoga leur permettant de poser mes genoux sur le bureau, presque écartelée, mon Boss commence à stimuler mon clitoris et me doigter la chatte, me faisant bouger les hanches et gémir bruyamment malgré moi... cet épouvantable traitement à base de plaisir forcé m'inonde bientôt le vagin, qui devient dégoulinant de cyprine... j'écrase de plus en plus mes seins contre le bureau en m'agitant vainement pour fuir l'extrême stimulation qu'on m'inflige, et mes mamelons commencent eux aussi à suinter les épaisses premières gouttes de ma montée de lait...

je n'ai jamais ressenti une telle humiliation, et pourtant je ne peux m'empêcher de me sentir excitée... finalement, mon Boss ordonne à mes collègues de vérifier, de leurs propres mains, à quel point ma chatte est devenue trempée, tout en continuant à maintenir mon corps sur le bureau... toujours allongée sur le ventre, mes seins compressés par mon propre poids et toute tremblante, je sens ces six paires de mains qui me contrôlent fermement tout en me caressant, en me pelotant et en m'explorant... ma jupe toujours relevée sur mes hanches, laisse mes fesses et ma chatte dégoulinante exposées à tous leurs regards, remplis d'envie et de luxure...

j'ai honte en réalisant à nouveau que je ne peux m'empêcher de me sentir incroyablement excitée, et que mes tétons durcissent encore plus à cause de tous leurs attouchements pervers... mon Boss retire alors mon string de ma bouche, et le remplace par ses grands doigts qu'il m'enfonce jusqu'à la gorge... ça me provoque immédiatement un violent spasme, qui me fait déverser dessus un flot de salive... il les retire alors, et tandis qu'il frotte sa main toute visqueuse sur mon visage pour y étaler ma bave, il continue à jouer avec mon clitoris de son autre main, me faisant gémir trop fort malgré moi, maintenant que ma bouche n'est plus étouffée... il dit alors à mes collègues d'insérer chacun un doigt dans ma chatte, et à me "doigter en douceur pour commencer"... incapable de voir mon entrejambe et totalement à leur merci, je sens leurs doigts tripoter et écarter les lèvres déjà suintantes et gonflées de ma chatte, profitant de ma mouille pour stimuler mon clitoris avec des caresses humides et insistantes... leurs cinq doigts associés en un épais faisceau me dilatent progressivement jusqu'à pouvoir s'insérer et se glisser lentement et de plus en plus profondément dans ma fente trempée... ils commencent alors des va-et-vient qui m'arrachent des grognements... et parfois, ajoutant à ma honte extrême, les obscènes sons d'éclaboussures de ma chatte inondée sont entrecoupés d'appels d'air qui ressemblent horriblement à des pets...

je me mords les lèvres pour ne pas gémir trop fort, essayant de cacher mon plaisir volé à leurs oreilles, quand j'entends mon Boss me dire : "Parce que c'est une punition, je ne peux pas te permettre d'en profiter autant, ma petite Sandra. Alors, je vais commencer à ajouter un peu plus d'inconfort de cette façon. " ... toujours dans l'incapacité de voir ce qu'il se passe dans mon dos, j'entends un crachat et ressens soudain l'impact du jet de salive sur ma raie des fesses, puis la pression terrible et assez douloureuse d'un doigt épais qui s'enfonce dans ma cavité anale...

je ne peux m'empêcher de gémir plus fort que jamais et de me tordre violemment, essayant inutilement d'échapper aux liens de mes poignets et aux mains qui tiennent les jambes... mais malgré mes efforts, je ne peux pas empêcher mon corps de trembler et mes hanches de s'agiter comme des vagues déchaînées... les doigts de mes collègues pénètrent encore plus profondément et vigoureusement dans ma chatte de plus en plus élargie, dégoulinante et bruyante... en même temps, j'essaie en vain de résister à l'intrusion anale que m'inflige mon Boss... je contracte fortement mes fesses, mais bêtement et inutilement, car ça ne fait qu'aggraver mes sensations douloureuses...

bien qu'initiée à la sodomie dès le lycée, et presque trop souvent prise ainsi par mon mari qui adore me "refaire le cul", comme il dit crument, j'ai toujours du mal à décontracter mon sphincter... si mon périnée s'est tonifié grâce au yoga, ça n'a pas que des avantages pour le relâchement... même bien lubrifiée, la sodomie me provoque systématiquement une certaine douleur anale, que bizarrement j'ai appris à apprécier, surtout pour le sentiment d'abandon, de perte de contrôle et de soumission où elle me plonge...

mais là, dans ces circonstances, totalement soumise au contrôle de mon Boss... je crains vraiment le pire...

...."ohhhh, noooon...... noooooon!" ...je crie alors que je suis soudain submergée par un orgasme intense qui est monté si vite qu'il m'a surprise... je sens mon jus couler librement alors que ma chatte se convulse autour de tous les doigts qui la baisent, et mon cul serre encore plus le doigt épais de mon Boss... mon corps tremble de manière incontrôlable tandis que des vagues de plaisir me submergent... c'est une sensation qui ne ressemble à rien d'autre au monde, et elle me laisse abasourdie et pantelante...

tournant la tête à m'en tordre la nuque, je vois à travers mes larmes d'humiliation et de plaisir le beau visage dur de mon Boss... il exprime un mélange de fierté et de satisfaction alors qu'il me regarde jouir... je pense bêtement, comme si j'étais conditionnée par mon rôle d'assistante, qu'il a toujours été très doué pour faire ressortir le meilleur de moi, et cela ne fait pas exception... j'ai l'impression que je pourrais exploser sous l'intensité de ce traitement atrocement jouissif s'il ne cesse pas, mais il dit à mes cinq collègues de continuer à me doigter la chatte sans retenue maintenant, pendant que lui-même continue à s'occuper de mon anus encore plus intensément, crachant à nouveau sur mon trou étroit pour y ajouter un deuxième doigt... bizarrement, le mélange insupportable de toutes ces sensations m'entraîne encore plus loin, au-delà de mes limites physiques et morales, vers de nouveaux sommets de plaisir que je n'aurais jamais crus possibles...

mon Boss me dit alors : "Maintenant, voyons comment tu réagis si je te punis encore plus." ...je l'entends ordonner à mes collègues de me maintenir encore plus fermement, ce qu'ils font tout en continuant inlassablement à torturer mon clitoris et ma chatte de leurs doigts, de plus en plus nombreux il me semble... puis je sens soudain une substance grasse et fraîche être étalée autour des deux doigts que mon Boss a gardé enfouis dans mon anus... dans mon cul qu'il est en train de s'approprier...

angoissée par la terrible attente de la suite, je me rends compte que mes collègues ont vraiment ajouté davantage de doigts dans ma chatte... je les sens étirer sauvagement les lèvres de ma chatte déjà dilatée, tout en stimulant diaboliquement mon clitoris hyper sensibilisé par ces caresses excessives... cet horrible traitement génère des vagues d'un plaisir insupportable à travers mon corps, me faisant gémir comme la pire des salopes... et maintenant mon Boss m'enfonce un troisième doigt dans le cul! Et à ma grande honte, au moment où je me sens dilatée par ces trois doigts complètement enfoncés dans mon sphincter encore trop serré, je me sens gicler de manière incontrôlable comme si je commençais à pisser... et dans la foulée, je sens monter puis exploser un nouvelle orgasme, encore plus fort... je jouis intensément malgré moi, et cette insupportable trahison de mon propre corps ajoute encore plus d'humiliation à mon tourment! ...devenue comme folle, je ne peux m'empêcher lâcher un bruyant gémissement, qui se prolonge en un long cri tandis que mon corps est secoué d'un plaisir extrême...

je m'évanouis presque après cette première giclée insensée de mon "jus d'amour" et cet orgasme puissant, sonnée et haletante dans mon chemisier ouvert et mon soutien-gorge, devenus trempés par ma sueur et mon lait qui s'écoule de plus en plus sous la pression...

...avec une main appuyant fermement sur le bas de mon dos, mon Boss m'ordonne sévèrement de rester immobile pendant qu'il enfin enfonce en force un quatrième doigt dans mon trou du cul, me faisant subir une pression insupportable... mes collègues, me forçant à obéir à mon Boss en m'appuyant contre le bureau, s'acharnent toujours plus sur mon clitoris et ma chatte, en y enfonçant tellement de doigts que je me sens écartelée... après d'autres vaines tentatives de coups de rein pour échapper à ces atroces intrusions, et après avoir entendu et senti plusieurs crachats de salive sur ma raie, je sens le bout d'un cinquième doigt commencer à forcer mon cul... et maintenant je pleure et je gémis en sentant les cinq doigts de mon Boss s'y enfoncer encore plus profondément, dans de lents et puissants mouvements rotatifs, comme s'il voulait me démonter avec une sorte de tournis géant... et tout à coup, dans un spasme monstrueux qui me retourne le ventre, je ressens avec stupeur mon sphincter avaler la main de mon Boss!

je m'évanouis presque sur un hurlement de douleur et de plaisir... je me sens incroyablement écartée, dilatée jusqu'à mes limites absolues... je suis totalement trempée de transpiration, de salive, de larmes, de lait et mes fluides sexuels... à part dans mon cauchemar d'orgie en discothèque, jamais je ne me suis sentie aussi abusée, humiliée, dégradée... soumise...

toujours tenue avec mes jambes grandes ouvertes, ma chatte et mon cul béants mais remplis par de trop nombreux doigts et par la grande main de mon Boss, mon corps tremble de manière incontrôlable et je hurle à nouveau, tandis que je gicle à nouveau comme une fontaine, et que mon nouvel orgasme submerge tous mes sens et me rend hystérique...

mon Boss retire enfin sa main d'entre mes fesses, ce qui provoque un bruit immonde qui me couvre encore de honte malgré mon point de non-retour...

il se place devant mon corps épuisé, et m'attrapant par les cheveux d'une main, il relève ma tête pour m'embrasser à pleine bouche, sa langue explorant chaque partie de ma bouche...

pendant qu'il continue de m'embrasser profondément, sa main droite passe ensuite entre mon corps et son bureau... alternant entre mes seins, il me les tripote fortement, me faisant gémir contre sa bouche toujours collée à la sienne... massant et pressant intensément ma poitrine, il fait couler de plus en plus de lait de mes mamelons engorgés.... il continue à me "traire" comme si j'étais sa vache à lait, en tirant et en pinçant brutalement mes tétons, parvenant à drainer de plus en plus de lait de mes seins lourds et pleins, créant des flaques visqueuses sur son bureau... et pendant ce temps, il m'embrasse toujours passionnément, fouillant ma bouche avec sa langue puissante, laissant sa salive envahir la mienne... la façon dont il m'embrasse, me touche et me traite, pendant que mes collègues continuent à délicieusement ravager mon clito et ma chatte, me fait me sentir bizarrement et extrêmement vivante... et je ne peux m'empêcher de répondre à toute cette attention, et à tous ces abus, en gémissant sauvagement tandis que ces six hommes continuent d'explorer et d'exploiter mon corps...

mon Boss finit par lâcher mes cheveux et fait descendre sa main gauche sur mes épaules et dans mon dos... il la glisse par-dessus ma jupe retroussée, attrapant fermement mes fesses... il remue ensuite sa main de haut en bas, de gauche à droite, tripotant et malaxant fermement mes fesses qu'il agite en tous sens... son autre main continue de presser, de masser et de traire mes seins pendant qu'il m'embrasse encore goulûment, mon visage maintenu en l'air par la seule pression de nos lèvres soudées...

je gémis dans sa bouche alors qu'il me malaxe le cul sans relâche, ne cessant parfois que pour le claquer très fort... mes collègues me font toujours gicler et jouir avec leurs doigts qui me ravagent inlassablement... et je sens son autre main remonter jusqu'à mon cou... il resserre sa prise sur moi, m'étouffant doucement... "Tu aimes ça, ma petite Sandra, être à la fois mon assistante, ma petite vache à lait, et ma chienne favorite?" demande-t-il, toujours en me tripotant et en me claquant les fesses...