Sandra, Chienne De Direction (01)

Informations sur Récit
je m'éveille, sonnée et souillée, dans le bureau de mon Boss.
6.8k mots
4.47
7.9k
4

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 04/06/2024
Créé 02/26/2024
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sandradruuna
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...tout à coup, je me réveille d'un cauchemar intense et terrible, haletante et toute en sueur... j'ai la sensation d'être couverte de fluides visqueux, ce qui me rend à la fois mal à l'aise et perplexe...

je vois par les fenêtres qu'il fait jour, mais dans mon esprit brumeux et pas encore clair, j'ai du mal à comprendre où je suis, et pourquoi... puis je réalise petit à petit que je suis dans le bureau de mon Boss, allongée sur le sofa où sont habituellement reçus nos clients...

je suis sous une couverture, sous laquelle je sens mes vêtements humides sur ma peau...

j'ai du mal à rassembler mes souvenirs, je dois admettre que je ne me rappelle pas de ce qui s'est passé la nuit précédente, à part avoir bu et dansé dans une discothèque avec mon Boss et quelques collègues... je me souviens seulement que j'ai partagé une très bonne soirée avec eux, à discuter de manière très détendue, presque à flirter, et aussi à danser, même si je suis sûre que j'ai bu trop de verres, beaucoup trop...

mais en contraste avec ce souvenir agréable, je ressens aussi curieusement des sensations plus ou moins douloureuses en plusieurs endroits de ma chair, notamment mes parties intimes, mes seins, mes mâchoires et ma gorge... alors quelques réminiscences de mon cauchemar commencent à atteindre la surface de ma conscience... je perçois, à travers ma brume mentale, des regards lubriques, des paroles grossières, des gémissements bestiaux et des respirations lourdes tout autour de moi... je commence à ressentir les sensations fantomatiques mais intenses de nombreuses bouches, mains et queues utilisant tout mon corps... oh... mon dieu...... de toutes les pires manières possibles...

...et malgré ces horribles flashbacks, je ressens encore les restes humides d'un orgasme nocturne, et je suis aussi surprise par les sensations profondes et persistantes de plusieurs énormes orgasmes, incontrôlables, tels ceux qui suivent mes jaillissements de fontaine... je les ressens comme si je les avais vraiment endurés lors de mon cauchemar en discothèque... mon dieu, à que point suis-je dérangée pour ressentir des sensations aussi charnelles à cause d'un tel cauchemar porno... car tout cela, dans ses grossiers excès orgiaques, ne peut bien sûr être qu'un cauchemar insensé... oui?

...mais au fur et à mesure que la réalité me revient à l'esprit, je sais que j'ai des choses urgentes à régler... tout d'abord, je dois appeler mon mari pour essayer de m'en sortir du mieux que je peux, car nous avons eu cette dispute stupide hier soir... j'espère qu'il ne sera pas trop en colère après moi, et qu'il acceptera sincèrement mes plus profondes excuses pour cette soirée "corporate"...

en attrapant mon sac à main sur la table basse juste à côté de moi, je prends mon téléphone toujours en mode muet, découvrant deux horribles réalités en même temps...

...d'abord, il est déjà 11h33, et bêtement je culpabilise déjà de ne pas être à la maison pour mes tâches habituelles du samedi, comme faire le ménage, faire les courses au supermarché, préparer le repas... et en plus ces tâches caricaturales de femme au foyer, coucher avec mon mari dans nos trop rares moments de "prenons notre temps"...

...deuxièmement, et le pire : j'ai 13 SMS non lus et 9 messages vocaux... cela me frappe d'une grande anxiété, comme de gros nuages noirs annonçant un énorme orage...

...j'essaie de me relever mais je dois rester assise assez longtemps sur le canapé, la couverture encore sur mes jambes, trop étourdie, la tête qui tourne, incapable de me tenir debout... je suis aussi assaillie par ma propre odeur... une odeur à la fois sauve et âcre, une odeur presque animale, sauvage et sexuelle... et pendant que je regarde vers le sol, cherchant mes talons, je réalise que mon chemisier froissé est à moitié ouvert sur mon ample poitrine, mon soutien-gorge moite et collant ne la couvrant que maladroitement, comme enfilé à la hâte... je suis étonnée de la quantité de sueur que j'ai l'impression d'avoir répandue pendant mes heures de danse... pendant mon sommeil, j'ai dû encore beaucoup suer et apparemment perdre pas mal de lait, tellement j'ai de restes de taches plus ou moins séchées sur la peau...

mais soudain, mon regard s'arrête sur une note écrite à la main sur la table, près de mon sac... j'y reconnais immédiatement l'écriture déterminée, presque agressive de mon Boss, et je la saisis avec empressement avant d'être comme paralysée, étourdie et vidée de mon sang à la fois, en lisant : "Chère petite Sandra, j'ai passé un très bon moment avec toi cette nuit, et tu as vraiment semblé l'apprécier autant que moi, à en juger par la façon dont tu m'as gratifié. J'ai préféré te laisser un peu de temps pour récupérer de cette très chaude nuit, et j'ai laissé ici un ensemble et des dessous de rechange (à ta taille, je m'en suis assuré), afin que tu puisses rentrer chez toi reposée et présentable. Rendez-vous lundi, une autre dure semaine de travail attend notre équipe."

...ces mots... les mots de mon Boss... qui semblent presque sympathiques, et qui pourtant induisent de terribles conclusions...

donc, ça veut très certainement dire que dans mon état d'ivresse, j'ai eu une liaison hier soir avec lui (seulement avec lui, espérons-le), comme je l'espérais honteusement dans mes fantasmes secrets... et qu'il m'a sans doute baisée de toutes les manières possibles, durement et sauvagement, comme en témoignent mes parties douloureuses... oh mon dieu... qu'est-ce qu'on a fait?!? ...est-ce que cela signifie que ma peau, mon chemisier et mon soutien-gorge sont souillés avec plus que ma sueur et mon lait? est-ce qu'il a réellement joui sur moi, déversant son sperme sur mes seins et ailleurs sur ma peau, comme mon mari et la plupart de mes ex?

puis, alors que mon cauchemar me revient par bribes confuses seulement, je constate avec stupeur et effroi que mon chemisier n'a pratiquement plus de boutons, que mes bas sont complètement déchirés, que ma jupe hyper froissée est humide, poisseuse et tachée... la peau de mes cuisses est elle aussi maculée de traînées et taches à demi séchées... et entre elles, en passant les doigts sous ma jupe, je ne rencontre à la place de mon string que ma vulve elle aussi toute poisseuse...

je réalise alors avec horreur que mon cauchemar n'en peut-être pas véritablement un après tout, et qu'il est peut-être un souvenir partiel, déformé et confus des événements réels de cette nuit... qui certainement, espérons-le, n'impliquaient que mon Boss et moi-même, ou peut-être, au pire, mes collègues également... ce serait en soit terrible, et les implications seraient épouvantables à gérer... mais j'ai si souvent fantasmé d'être prise par un groupe d'hommes que je me résigne presque à l'idée que, complètement saoule et desinhibée, j'aurais pu les laisser profiter de mon corps... et cette pensée, qui me fait honte, me fait aussi sentir presque excitée, pour être sincère... en revanche, j'ose à peine espérer que je n'ai pas réellement subi les assauts de toute une horde d'hommes lubriques, musclés et extrêmement bien membrés, en plus de ceux de mon Boss et de mes collègues...

si c'est le cas, je réalise par mon état ravagé, mes sensations restantes et mes souvenirs orgasmiques flous que mon Boss est probablement l'amant le plus spécial, le plus exceptionnel que j'ai jamais eu... et plus j'y pense, plus je me sens vraiment coupable d'admettre qu'au fonds de moi je suis presque fière et satisfaite des implications des événements mystérieux de cette nuit... finalement, alors que j'osais à peine en rêver, mon superbe Boss est devenu mon amant! et je réalise que cette idée me bouleverse au point que je me sens quasiment prête à en payer le prix... quoiqu'il en coûte...

...mais mon émoi est bientôt suivi d'un profond abattement, car je me demande comment je pourrais gérer cette situation vis-à-vis de mon mari après cela... car je l'aime toujours, profondément et sincèrement...

...enfin, ne voyant absolument personne d'autre dans tout l'étage, ce qui est tout à fait normal pour un samedi matin, je quitte lentement le bureau de mon Boss, trébuchant comme encore ivre, et pleurant sur mon sort... en me regardant dans le miroir des toilettes, je suis prise d'un violent sanglot alors que je découvre mon maquillage dévasté, la peau de mon visage, de mon cou et de ma poitrine maculée de grosses et longues taches claires don't certaines n'ont pas encore séché, mes cheveux emmêlés et poisseux, et mes cils encollés... le fait est que, même si je dois admettre que je rêvais d'une relation aussi érotique que romantique avec mon Boss, je ressemble maintenant à une pute low-cost qui se serait faite passer dessus par toute une équipe de rugby... oh mon dieu... une... équipe???

... percutée par cette pensée et ce qu'elle implique, un autre énorme sanglot accompagné d'un haut-le-cœur me fait vomir dans le lavabo... je n'avais rien mangé hier soir... ce que je vomis ressemble à un mélange épais et visqueux... je n'ose pas trop penser à ce qui s'est mêlé à l'alcool en si grande quantité...

après presque une heure de plus passée à réfléchir à tout cela, à pleurer sur ma faiblesse, à m'apitoyer sur ma naïveté, et à me maudire pour mon hypocrisie, sans avoir appelé ni envoyé de SMS à mon mari, je décide enfin d'un plan...

...premièrement, je dois me nettoyer et enfiler les vêtements de rechange que mon Boss a prévu avant de rentrer à la maison, étant presque certaine que mon mari ne remarquera même pas les changements de ma tenue...

...deuxièmement, j'ai besoin de parler et d'agir de manière très astucieuse avec lui... je ne peux pas laisser mon mari soupçonner autre chose qu'une nuit de travail exceptionnelle et nécessaire jusqu'à ce matin... je pourrais même lui dire que j'ai dormi à mon bureau pour récupérer un peu avant de rentrer, cette partie n'étant finalement pas un mensonge...

...troisièmement, je devrai vraiment demander des explications à mon Boss... je ne me souviens plus de ce qui s'est passé, ni comment, ni avec qui... mais plus la mémoire de mon corps atteint presque mon esprit, plus j'ai l'impression, étrangement, d'être incroyablement et inexorablement excitée par cette affaire à la fois étrange et complètement folle...

...et là, je me dis que j'ai peut-être franchi les portes de l'enfer...

_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

...une fois de retour à la maison, tout mon week-end ressemble à un véritable cauchemar mêlé de phases d'intenses clashs sexuels...

je continue de répéter les faux détails de ma version de cette dure nuit de travail "corporate", et il continue de me mettre la pression en me reprochant d'avoir passé une nuit entière et un samedi matin au bureau, "même pour le boulot", tout en alternant ces reproches avec des insinuations clairement suspicieuses comme quoi je pourrais l'avoir trompé avec un autre homme... mon dieu, quelle ironie, s'il savait ce que je crains...

alors mon mari et moi passons tout notre temps entre regards colériques, dédain silencieux, disputes bruyantes et hurlements encore plus forts lors de rapports sexuels de "représailles", où il s'assure que je tiens mes promesses de m'offrir à son désir vengeur, par tous les moyens et orifices nécessaires...

ne pouvant lui révéler que je suis encore endolorie partout où il veut me pénétrer et me tripoter, j'essaie de subir ses assauts avec le même enthousiasme et la même énergie que d'habitude, malgré les sensations plus extrêmes qu'il m'inflige... en particulier quand il me prend la gorge profondément tout en me trayant les seins intensément, alors que je suis attachée sur la table à manger, allongée sur le dos et la tête bloquée contre ses cuisses... ou alors quand il me sodomise férocement, en claquant violemment mes fesses maintenues en l'air, tandis que je suis menottée dans le dos, mon visage et mes seins écrasés sur le sol de la chambre... mais je dois bien tenir mes promesses, et il me fait jouir comme une folle malgré le sentiment de malaise que je ressens... car paradoxalement et depuis longtemps, je me sens d'autant plus libre que je suis obligée d'abandonner tout contrôle, y compris sur moi-même... et plus je suis baisée comme une esclave, plus je me sens libérée de mes tensions...

lorsque je quitte la maison, ce lundi matin, alors qu'il dort encore profondément, je me sens soulagée d'une part, et d'autre part extrêmement anxieuse à l'idée de mon retour au bureau, et de ma première entrevue avec mon Boss...

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arrivée au bureau, attendant nerveusement ma première occasion de parler à mon Boss et espérant ne pas croiser mes collègues de vendredi entretemps, j'essaie de clarifier certains points sur moi-même, et de savoir pourquoi je me sens si partagée entre malaise et... espoirs...

...bon, je suis une employée de bureau qui adore son travail... je suis mariée avec un homme que j'aime malgré ses défauts, et j'ai théoriquement tout pour être heureuse... mais à déjà quarante ans, j'avoue que j'ai peur de vieillir, même si je sais que beaucoup d'hommes trouvent sexy mon physique d'Italienne pulpeuse, surtout avec ma grosse poitrine et mes fesses charnues, plutôt remarquables sur ma petite taille...

mon Boss est un bel homme d'une cinquantaine d'années... il est marié, mais ça ne l'empêche pas de flirter avec moi... cela fait des semaines que ça dure maintenant, et je dois bien admettre que j'apprécie, car c'est rassurant de se sentir encore désirable à quarante ans... mais ces derniers temps, les choses sont devenues un peu plus sérieuses...

...d'abord, il a commencé à systématiquement me féliciter quand il me trouvait vêtue de manière plus "attrayante" au travail, car il pense que cela contribue à donner une meilleure "image" de sa société aux clients et, d'une manière ou d'une autre, à "gratifier" nos collègues, tous étant des hommes à part les autres assistantes féminines... et bizarrement, trouvant cela à la fois troublant et flatteur, je suis devenue très sensible à ses appréciations...

...et puis il y a eu cette réunion, où je me suis sentie tellement humiliée par mes écoulements de lait et de cyprine... avec sa grande main chaude sur ma cuisse, me touchant devant mes collègues et nos clients... et moi rougissant sans protester, pendant qu'ils dévoraient tous, avec leurs regards lubriques, mes gros seins à moitié dévoilés et mes jambes seulement gainées de bas, visibles sous le plateau en verre de la table de réunion...

...et enfin, vendredi soir dernier, il y a eu cette mystérieuse et incroyable nuit en sa compagnie, dont hélas j'ai perdu presque tout souvenir cohérent à partir d'un moment, suivie d'un cauchemar terriblement extrême, qui s'est peut-être en partie réalisé, et dont les intenses sensations rémanentes restent encore gravées dans ma chair...

...et ce lundi matin, me voilà donc à nouveau dans une tenue que je n'aurais jamais osé porter au travail, du moins pas jusqu'à présent, mais qui fait désormais partie de la garde-robe que j'ai essayé de rassembler pour être à la fois plus "attrayante" et "corporate", selon l'avis de mon Boss...

je me souviens d'une de mes tentatives pour lui plaire, il y a des semaines... ma jupe était noire, assez courte, montrant bien mes jambes... elle était serrée aux hanches, et quand je m'asseyais, elle galbait encore plus mes fesses et pressait mes cuisses l'une contre l'autre, donnant à mon derrière l'air encore plus rebondi que d'habitude... mais mon Boss, ne semblant même pas conscient de mes efforts pour le satisfaire et suivre ses instructions malgré mon malaise, l'avait juste trouvée "plutôt sympa"... je me suis sentie tellement vexée que j'ai rougi jusqu'aux oreilles, et il a ri en voyant mon visage déçu, ajoutant qu'il savait que je pourrai faire encore mieux les prochaines fois...

alors, parce que je voulais lui prouver que je peux effectivement faire mieux pour lui donner satisfaction, j'ai commencé à m'habiller de plus en plus à son goût, tout en essayant de le cacher à mon mari...

du coup, aujourd'hui, convaincue que je devrais "pousser mon avantage" si je veux vraiment poursuivre cette liaison débutée si étrangement et je ne sais exactement comment avec mon Boss, je porte une autre de mes jupes noires serrées, mais cette fois j'ai retourné la ceinture sur elle-même pour la raccourcir aussi haut que possible sans avoir l'air d'une pute sur le trottoir, c'est à dire jusqu'à la limite des bandes de mes bas dim-up... bien sûr, je l'ai customisée ainsi après avoir quitté notre appartement, pour que mon mari ne me voie pas sortir comme ça, surtout après notre dispute de ce week-end et ses suspicions... avec cette jupe raccourcie je porte un chemisier noir en satin, avec des manches longues et un décolleté que j'ai rendu plus plongeant en défaisant le dernier bouton du haut... il met un peu trop bien mon décolleté en valeur, et il est très serré... j'ai presque l'impression que je ne dois pas inspirer trop fort si je ne veux pas voir sauter les boutons de mon chemisier... au moins ma petite veste cache les formes du satin, là où mes mamelons lui donnent des reliefs malgré mon soutien-gorge en dentelle... mais l'air conditionné étant déréglé aujourd'hui, je commence à transpirer sous cette veste...

mes pensées sur moi-même et ma garde-robe sont soudain interrompues lorsque j'entends mon Boss m'appeler bruyamment pour le rejoindre... le moment de vérité est arrivé...

en entrant dans son bureau, j'essaie de le regarder sans baisser la tête en lui disant timidement "Bonjour, Boss...", mais il ne me répond pas et se contente de me regarder, ses yeux parcourant tout mon corps... je n'ose plus parler, et j'attends juste ses ordres... finalement, il prend la parole en me disant "Tu es superbe aujourd'hui. Mais il fait trop chaud pour garder ta veste, enlève-la. " ...pas même un "s'il te plaît", comme toujours avec lui... et comme toujours avec lui justement, tout en devenant toute rouge, j'obéis et j'enlève ma veste, mes mouvements tendant encore plus mon chemisier en satin sur mon ample et lourde poitrine...

il marche autour de moi et je sens ses yeux me lécher le corps... puis il s'arrête devant moi et me dit : "Je te trouve splendide aujourd'hui. Ton chemisier montre ton magnifique décolleté et une partie de ton soutien-gorge, c'est plutôt sexy." ...je rougis encore plus à ce commentaire, réalisant que la dentelle de mon soutien-gorge est effectivement en partie visible, mais je n'ose toujours pas parler... et bien sûr, je ne peux m'empêcher de penser qu'il a abondamment maculé un de mes autres soutien-gorge avec sa semence, il y a à peine deux jours...

mon Boss poursuit : "J'aime ton apparence dans cette tenue. J'aime la façon dont elle souligne tes courbes, comment elle épouse ton corps, et comment ton excitation transparaît à travers ce tissu très ajusté sur tes seins." ...il tend ensuite la main et trace de ses doigts une courbe descendant le long de la bretelle gauche de mon soutien-gorge jusqu'à mon mamelon érigé, m'envoyant ainsi des frissons dans le dos, de drôles de sensations dans le ventre, et une coulée de cyprine entre les cuisses... "Tu as beau être toute petite, tu as une silhouette qui me plaît vraiment, et je suis content que tu portes enfin une tenue qui la met véritablement en valeur."

il se penche alors au-dessus de moi et me murmure à l'oreille : "Je vais apprécier de te voir dans cette tenue toute la journée, et à partir de maintenant je veux que tu sois toujours habillée comme ça. Non, finalement, je veux que tu sois habillée encore plus sexy que ça. " ...je ressens un mélange d'excitation et de nervosité lorsque j'écoute ses paroles... la façon dont il parle de mon corps me fait me sentir désirable et désirée... mais en tant que femme mariée, j'en ai honte...

ses paroles et son ton me donnent l'impression qu'il me veut en ce moment même, et cette pensée m'excite d'une manière horrible et honteuse... alors qu'il continue de parler, je peux sentir mon corps me trahir et répondre à ses paroles... mon cœur bat plus vite, et je sens mes tétons se durcir contre mon soutien-gorge, et contre ma volonté...

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