Samantha de l'agence d'escorte Isa

BÊTA PUBLIQUE

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Premièrement, je ne me pacte jamais et deuxièmement, je croyais que le sexe de groupe, ça n'existait seulement que dans les films pornos.

Tu sais de nos jours, ça existe aussi dans la vraie vie surtout lors d'un stag pour enterrement de vie de garçon.

Mais, dans ces cas-là, les hommes sont tellement excités et ils sont si fiers de montrer à leurs copains qu'ils sont bien virils qu'ils ne durent jamais aussi longtemps que dans les films pornos.

Ce n'est jamais quinze ou vingt minutes de pistonnage comme tu as sûrement dû en voir dans les films de cul.

Disons, en moyenne moins de cinq minutes et ton client est tout heureux de décharger en toi. Le reste du temps, tes clients seront tous fiers d'être voyeurs.

Encore le visage tout rouge de honte, elle me regarde droit dans les yeux tout le temps que je lui parle et comme je constate qu'elle est pas mal déstabilisée par ce que je viens de lui dire et que malgré tout, elle semble en même temps curieuse, j'enchaîne.

Aimes-tu ça, toi Samantha, te caresser.

Elle soutient mon regard avant de me répondre.

Oui.

Quoi, juste un petit oui.

Racontes-moi tout Samantha, dis-moi comment tu fais pour te faire jouir.

Cela la fait rougir encore plus et elle baisse son regard à la hauteur de sa poitrine avant de me dire.

Ben, je me caresse avec un doigt.

Je dois lui dire d'enchaîner. Elle n'ose toujours pas me regarder et après quelques secondes où je la vois se mordiller les lèvres et prendre de profondes respirations, elle fini par me dire.

Depuis mon deuxième accouchement, je me caresse plus souvent qu'avant.

C'est vrai que mon mari m'a négligé pas mal ces derniers temps.

Racontes-moi la dernière fois que tu t'es mouillée le doigt en te caressant intimement.

Elle rougit de plus bel avant de me dire en prenant pour la première fois une voix de petite fille.

C'est ce matin après avoir fait déjeuner les enfants et jeter encore un regard à l'annonce que tu as dans le journal. Je me suis imaginée dans une chambre de motel où j'avais rendez-vous avec un client et il m'a demandé de me déshabiller.

Je filai toute drôle et j'avais des picotements dans le bas du ventre pendant que je pensais à ce qui se passerait après.

Tu veux dire que ça t'excitait parce que tu avais envie de faire l'amour avec un client et tes pensées t'ont amené à te fouiller intimement en te caressant la chatte avec tes doigts.

Elle rougit encore, mais cette fois, elle soutient mon regard pendant qu'avec mes mains et en lui faisant un clin d'œil, je lui fais signe de continuer.

J'ai fermé ma porte de chambre et j'ai laissé tomber ma robe de chambre par terre. Je me suis regardée dans le miroir et j'aimais bien la femme que je voyais. J'ai de beaux seins, pas trop gros mais bien fermes et j'aime bien les regards des hommes sur ma poitrine. Et, je suis toujours surprise lorsque une femme me regarde la poitrine. Je suis une femme génée, mais, j'ai toujours aimé les regards tant des hommes que des femmes sur mon ventre. Ils ou elles sont toujours fascinés lorsque je leurs dévoilent mon nombril encore plus depuis que j'ai un piercing. J'aime tous ces regards sur mes hanches et mes cuisses. Je devine aussi que lorsque je marche devant eux, que les hommes et je me doute qu'il y a aussi quelques femmes qui aiment bien regarder mon cul parce que j'ai un beau petit cul.

Pour revenir à ce matin, je me suis mouillée deux doigts et je les ai descendu lentement sur mon corps en les frôlant de la basse de mon cou jusqu'à mes seins. J'ai même agacé et pincé mes mamelons avant d'amener mes mains sur mon bas ventre. Je me suis remouillée les doigts de la main droite et je les ai frotté sur ma touffe de poils et à la grandeur de ma chatte avant d'entrer un doigt en elle. Je me suis masturbée de plus en plus vite, car, j'avais vraiment besoin de me faire venir et je voulais aussi que se soit le plus tôt possible, car, en plus, il arrive souvent que ma petite fille vienne voir dans ma chambre ce que je fais si elle trouve que je prend trop de temps. Ça fait que j'ai bougé mon doigt de plus en plus vite dans ma chatte en frottant en même temps toute ma main sur mon mont de Vénus.

J'étais toute excitée, car, plus que je mouillais, plus que mon doigt faisait un drôle de bruit de succion comme lorsque mon mari me pistonne en profondeur lorsque nous faisons l'amour en me fourrant de plus en plus vite pendant qu'il aime me soulever le derrière et me soutenir sous les deux fesses pour pouvoir me fourrer à fond comme il aime tant à me dire.

Je lui envoie un baiser du bout des doigts et la laisse reprendre un peu son souffle avant de la surprendre à nouveau lorsque je lui demande.

Dis-moi, Samantha, avec quel doigt aimes-tu le plus te caresser la chatte.

Elle rougie, me sourie et elle se lèche les lèvres tout en s'empressant de me monter lequel.

Je commence toujours avec celui où j'ai ma bague de mariée, car, je prends toujours plus de plaisir avec lui en regardant souvent vers ma bague et à chaque fois, je me dis que je me donne du plaisir défendu. Je frotte mon jonc contre mes lèvres pendant qu'avec un doigt j'agace mon clitoris. D'une fois a l'autre, je me sens plus salope et ça me fait jouir toujours plus intensément et plus vite ainsi.

Maintenant que je sais que tu es exhibitionniste, qu'est ce que tu attends, ma belle, pour enlever ton imperméable.

J'attendais juste que tu me le demandes, mais, je ne suis pas pressée et je voulais te connaître un peu plus avant d'aller plus loin.

Et, maintenant, dis-moi si ça te gêne si je te demande d'être nue devant moi.

Je baisse la tête et je n'ose pas le regarder.

Je n'ai jamais été nue devant un étranger.

Alors dis-moi, comment penses-tu que tu vas réagir devant des clients.

Ils vont me payer eux.

Il rajoute.

En parlant d'argent, la première chose que tu dois savoir Samantha en faisant ce métier c'est de ramasser le cash.

Envoie, décides-toi et viens ramasser les deux billets de cinquante qui traînent sur le bureau et enlève ton imperméable, car, je sais que tu es nue sous ta robe.

Comment as-tu deviné.

C'est facile, car, tu viens de me dire que tu es ici pour l'argent.

Monnaie, monnaie, monnaie.

Tu vois, moi aussi, je commence à te connaître.

Je lui souris et je me lève en prenant tout mon temps avant de faire glisser mon imperméable par terre. Et, je crois que je surprends vraiment Nico, car, il siffle avant de me dire.

J'aime.

Tu me surprends vraiment, tu sais Samantha que tu es sautable et j'aime te savoir nue sous cette chemise.

À ces mots d'encouragements, ma respiration devient plus rapide. Je regarde ma poitrine se soulever à chacun de mes battements de cœur et je suis fière que mes mamelons se pointent fiers comme des soldats au garde à vous comme à toutes les fois qu'ils le font lorsque je porte ce peignoir en satin. J'ose enfin regarder Nico qui s'en lèche les lèvres pour me laisser savoir son appréciation et ses yeux ne quittent pas ma poitrine d'une seule seconde.

Moi, qui en partant de chez moi, je ne voulais pas faire aucune séduction, je réagis comme une chatte en chaleur en voyant ce mâle qui me désire et je le provoque davantage en glissant ma main gauche à l'intérieur de mes cuisses.

Tournes-toi Samantha et penches-toi le plus possible en prenant tout ton temps pour ramasser ton imperméable.

Il veut jouer un jeu avec moi, mais, je vais le jouer à ma façon. J'ouvre les cuisses, j'entre encore un doigt dans ma bouche et je lui dis en prenant ma voix de petite fille.

Tu sais que je ne suis pas une pute. Tu dois te douter que ça me gêne, mais, tu veux quand même que je te montre mon petit cul, sans aucun autre préliminaire.

Je rajoute.

Puis, combien que ça va me payer, si tu es un vrai client.

Pour un cent, attends toi à ce que le client désire au moins te voir faire l'exhibitionniste et que ce sois toi qui prenne l'initiative en te dépêchant d'être toute nue devant lui. Puis, pour le même service, tu connais les hommes, ton client va vouloir toucher tout de suite à la marchandise tout en espérant que tu vas lui faire une bonne pipe et il va souhaiter pour le prix qu'il te paye comme escorte que tu oses avaler son sperme en le regardant dans les yeux. Et, il s'attend aussi à ce que ce soit toi qui l'invites à te manger la chatte.

Le client s'attend aussi à ce que ce soit toi qui prennes l'initiative de lui installer le condom que tu dois toujours lui mettre s'il y a pénétration.

Et, lorsqu'il va venir et s'il insiste pour te décharger dans la face ou sur la poitrine, c'est un autre cinquante de plus. Mais, n'oublies jamais Samantha que tu négocies tous tes services et tu te fais payer avant de commencer, sinon, tu prends de gros risques de juste t'être fait fourrer pour rien, car, un client une fois débandé ne pense plus qu'à s'en retourner au plus vite, surtout, s'il a déjà eu le service et que tu as été trop nounoune pour lui avoir fait cracher le cash.

Bon astheure que tu connais les tarifs, la ramasses-tu ton imperméable.

Seulement si tu es mon client et que tu me craches le cash.

Tu apprends vite, toi, Samantha.

Si je te dis o.k., dis-moi, c'est quoi tes services.

Elle rougit et elle hésite quelques secondes avant de me dire d'une voix presque inaudible.

Pour trois cents dollars, tu as le service complet et tu pourras même me rentrer un doigt dans le cul si ça te tente.

Aimes-tu le sexe anal.

Je ne peux pas dire, je n'ai jamais été pénétrée dans l'anus.

Mais, tu n'es pas contre d'essayer.

Peut-être, mais, faudrait que ça paye pas mal plus qu'une simple pénétration.

Tu coûtes cher, Samantha, mais, si je te dis o.k., prends-tu un chèque.

Seulement s'il est bon.

Là, je vais te donner un conseil d'ami.

Tu ne prends jamais de chèque, jamais, jamais, jamais, même si ton client est ministre, juge ou la plus grosse vedette de télévision, puis, encore moins, si c'est le réceptionniste d'une agence de rencontre.

Elle ri pendant que je rajoute.

Retiens bien ça, ça te prend toujours du cash, juste du cash.

Nico ouvre un tiroir de son bureau, Je le regarde sortir des billets de vingt dollars. Il compte trois cent dollars à haute voix et il vient pour me les donner, mais, il les dépose sur le bureau en me disant.

Ce matin, ça me tente de te magasiner à la carte.

Comment ça.

Moi, de cette façon, je m'assure que tu vas bien te forcer pour gagner tout cet argent.

Et, pour commencer, je veux t'entendre m'offrir tes services.

À ces mots, son visage devient encore plus rouge tellement elle semble gênée.

Je baise la tête et je regarde ma poitrine se soulever à un rythme accéléré et même sans le voir, je sens son regarder sur mes seins. Je me lève lentement. Je détache les cordons de mon peignoir avant de me décider à lui dire.

C'est quoi tes préférences.

Je sais que tu es gênée et ce sera plus facile pour toi si tu te tournes dos à moi, mais, j'aimerais bien que tu te penches pour que je puisse te voir les fesses et je veux te voir te caresser la chatte, mais, j'aimerais que tu gardes encore ta chemise.

Je suis voyeur et je vais te regarder ainsi jusqu'à temps que tu vas te faire jouir.

Et, comme client, ce serait gentil d'entendre le bruit de succion de tes doigts qui vont barbottés dans ton jus de plotte et de voir couler ta mouille sur tes cuisses pendant que tu vas te masturber comme une salope en mal de sexe.

Après Samantha, tu vas te tourner pour être face à moi et tu vas te lécher les doigts un par un en prenant tout ton temps.

Relèves la tête et dépêches-toi à venir ramasser les cash en me regardant dans les yeux les yeux.

Je suis une femme gênée, mais, j'aime bien ça que tu me dises quoi faire et tu vas voir que je suis une femme qui apprend vite.

Je le sais que tu es gênée, mais, je n'aurai pas besoin de te dire quoi faire, car, je sais par expérience que les femmes gênées sont les plus cochonnes.

Quoi, tu me trouves cochonne.

Oui et j'aime. Et, jusqu'à date, j'aime bien toutes tes réactions de jeune femme gênée, car, je me doute que tu en trembles autant parce que ça te gêne que parce que tu en as envie de te masturber devant moi, sans ça tu ne serais pas rendue ici.

Continues à me regarder et glisses tes mains sous ta chemise, car, j'aime savoir que tu te caresser les seins.

Après, si tu veux, ouvres un peu les cuisses et dis-toi que je suis prêt à te regarder entrer un doigt dans ta chatte.

Je me lève de la chaise et m'avance vers lui. Je me penche le haut du corps et j'ouvre un peu mon imperméable et du même geste je glisse ma main sous le peignoir pour lui donner une vue en gros plan sur ma poitrine. L'instant d'après, je remonte les deux mains sur mon peignoir et les glisse lentement de mon ventre à mes seins. Je veux lui en mettre un peu , car, je veux le décrocher cet emploi très payant. J'entre mes deux mains sous le peignoir et en le regardant droit dans les yeux, chacune d'elles soulève la basse de mes seins. Je les serre fort l'un contre l'autre en les pointant dans sa direction tandis que je lui cache encore une bonne partie de mes seins, car, mes doigts couvrent partiellement mes mamelons que je pince avant de les lui dévoiler l'espace d'un clin d'œil. Nico en bave déjà pour moi, car, ces deux mains ne sont plus sur son bureau et je me doute qu'il se pogne la verge avec.

Après avoir refermer chastement mon peignoir sur ma poitrine, je mets un doigt dans la bouche et avec un doigt de mon autre main, je lui fais signe de rester sage, puis, je me retourne pour être dos à lui et je commence lentement à me caresser les fesses en remontant à chaque fois un peu plus le tissu de mon peignoir sur le haut de mes cuisses.

Maintenant avec mes deux mains, je les frotte à l'intérieur de mes cuisses en les rapprochant toujours un peu plus de la chaleur de ma chatte. Et, lorsque j'entre un premier doigt dans ma chatte, j'oublie tout pour me donner du plaisir. C'est Nico qui me ramène à la réalité de ce petit studio, lorsqu'il me dit.

Je me doute, ma belle, que tu as commencée pénétrer ton doigt dans ta chatte, car, ta respiration devient de plus en plus saccagée.

Je veux lui faire plaisir, j'ouvre les cuisses, je me penche et je relève mon peignoir sur mes hanches, car, je veux qu'il puisse bien me voir les fesses et qu'il puisse ne rien manqué de mon doigt qui pénètre ma chatte à un rythme de plus en plus accéléré.

Dis, tu aimes mon cul et tu aimes me voir me masturber.

Oui, j'adore et j'avais raison, car, comme je l'avais deviné, tu aimes faire ta salope.

Tu as un maudit beau cul, Samantha, j'en bande.

Et, ton mari est un homme gâté.

J'entre un deuxième doigt dans ma chatte et je les bouge tous les deux de plus en plus vite avant d'y entrer un troisième doigt et le plaisir que je me donne me fait haleter de plus en plus fort.

C'est ça ne te retiens pas.

Si tu savais comme j'aimerais ça Samantha t'entendre te faire jouir.

Les bruits de succion, sont bandants.

Samantha, tu es de plus en plus sautable.

Et, j'ai hâte de te voir toute nue et de te regarder la chatte d'encore plus proche.

Si tu savais, ma salope, comme j'ai hâte de la sentir ta belle chatte de femme en chaleur, de te la manger et de m'enivrer à tes odeurs et de me barbouiller toute la face de ton jus de plotte.

Les clients aussi vont aimer et tu vas avoir plus de pourboire si tu fais ta salope devant eux.

Tous ces mots m'amène à l'orgasme. Nico le sait lui aussi et il me dit.

Tu aimes ça lorsque je te parle de cul.

Dis-moi que ça te fait jouir.

Et, je veux t'entendre crier que tu viens lorsque tu seras rendue à l'orgasme.

Envoies, fouilles-toi et laisses-toi aller en criant si tu veux, jusqu'à la délivrance.

Je ne peux plus me retenir et de me faire parler cochon ainsi, c'est plus fort que moi et même si ma première intention était de simuler l'orgasme, le délire de Nico me font jouir et je crie.

Je jouie.

Je vis un orgasme et il est tellement fort, surtout de me masturber ça devant cet homme qui était voilà encore moins de vingt minutes un pur étranger pour moi que je continue à crier ma folie.

Je jouie, je jouie.

Et, ça m'excite tant que pour la première fois de ma vie, je me mets à bégayer. Je la veux cette job et je sais que je dois lui en mettre plein la vue si bien que je fais encore plus ma cochonne et je me lèche les doigts un à un. Je les retourne une deuxième fois à ma chatte pour les tremper à nouveau dans ma mouille en faisant exprès pour faire tout un bruit de succion avec mes doigts que je trempe dans ma mouille avant de les lécher à nouveau en le regardant dans les yeux en ayant mon air de petite fille pris en défaut.

Samantha, tu sais qu tu t'en viens pas mal salope.

J'aime.

Après m'être fouillée ainsi au moins une couple d'autres fois ou peut-être plus, car, j'ai vécu des orgasmes torrides à chaque fois, si bien que lorsque je reprends une respiration un peu plus normal, je lui demande de ma voix la plus sensuelle en m'assoyant et en faisant exprès pour relever une jambe pour avoir le pied sur la chaise pendant que je me retiens quasiment couchée sur cette chaise pour qu'il puisse me voir l'intérieur des cuisses et ma chatte que je lui dévoile avec mes grandes lèvres bien ouvertes. Mes grandes lèvres sont tellement bandées et rendues d'une couleur plus rouge que rose qu'elles dépassent de ma chatte comme à chacune des fois que me masturbe. Nico les regarde comme s'il serait hypnotisé par elles pendant que du jus de ma mouille me coule encore sur le haut des cuisses et il m'en entre même dans la raie des fesses. J'ose enfin lui demander.

Nico, est ce que je mérite un bon pourboire.

Oui, Samantha, mais, ce sera une surprise.

De ma voix de petite fille, je lui demande.

Nico, dis-moi, c'est quoi.

Aurais-tu le temps de magasiner avec moi, cet après-midi.

Pourquoi.

Pour t'acheter toutes sortes de belles choses.

En faisant ma gênée, je lui dis.

J'aimerais bien mais je ne suis pas du doute habillé pour aller magasiner.

Au contraire, tu es sexée et très provocante nue sous cette chemise qui met ton corps en valeur.

Et, ça va faire plaisir à mon égo de mâle de pouvoir m'afficher en ville avec une belle plotte provocante comme toi à mon bras.

Je l'interromps en le laissant rêver son fantasme de mâle pour lui dire.

Il me reste un autre deux cents à gagner et moi, je n'ai pas moyen de perdre tout cet argent.

Je n'ai pas dis qu'on irait en ville tout de suite.

Après le show que tu viens de me faire, tu dois te douter que pour le moment, j'ai bien plus envie de te sauter que d'aller magasiner.

Avance jusqu'ici et viens voir par toi-même comme tu me fais bandé.

Je sens que je rougie encore et je n'ose pas bouger de ma chaise en sachant très bien que lorsque je fais ainsi ma petite fille gênée, c'est ma meilleur carte avec Nico.

Je n'ai jamais osé toucher à aucun autre pénis que celui de mon mari.

Je m'en doutais, mais, tu aimes le cash et j'aime bien croire qu'au fond de toi, tu désires faire ta cochonne.

Et, pour me le prouver, tu vas commencer tout de suite par te lever et venir jusqu'à mon bureau qu'il me dit en faisant encore bouger la série de billets de vingt dollars au bout de ses doigts. Et, il continue en me disant.

Puis, c'est toi qui vas détacher la ceinture de mon pantalon.

Tu vas descendre le zipper et tu vas me demander de me lever pour que tu puisses retirer mon pantalon et mon caleçon.

C'est à moi de jouer. Je veux lui faire plaisir et je l'aurais fait de toute façon. Pour le moment je ne pense plus au cash, car, c'est du sexe dont j'ai besoin. Je lui dis en ayant du troubles pour bien articuler, car, je recommencer à bégayer tellement que je suis excitée en espérant qu'il va enfin se lever pour venir me sauter d'une minute à l'autre.

Moi aussi Nico, j'ai très envie de me faire caresser partout sur le corps. Mais, avant je veux te regarder dans les yeux le temps que je vais te sucer et j'espère que ça ne te prendras pas trop de temps avant de me venir dans ma bouche, car, j'ai de plus en plus envie de me faire fourrer par ta queue et de me faire bourrer la chatte par ton sperme que tu vas décharger en moi.