Samantha de l'agence d'escorte Isa

Escorte Isabelle

R. Klock

Ce récit est seulement le fruit de mon imaginaire

Escorte Isabelle

au téléphone

Escorte Isabelle, Bonjour.

Hello, Nico de l'agence d'escorte Isabelle, êtes-vous encore là.

Il se passe encore une bonne vingtaine de secondes durant lesquelles j'entends respirer au bout du fil et juste comme je viens pour fermer mon cellulaire, une voix de femme me dit.

Puis-je parler à Isabelle.

Isabelle m'a vendue son agence d'escorte et je suis en pleine période de recrutement pour de nouvelles escortes, te recherches-tu de l'ouvrage, ma belle.

Je sens la femme hésiter et je sais que je dois me dépêcher de lui parler si je ne veux pas qu'elle me coupe la ligne au nez.

As-tu de l'expérience comme escorte.

Ma question l'a déstabilise, car, je l'entends respirer fort et je me doute qu'elle n'a jamais fait cela. Je m'empresse de lui dire.

Mon agence paye le gros prix même pour celles qui n'ont aucune expérience.

Comment ça.

C'est simple, c'est moi qui vais te donner tout l'entraînement dont tu auras besoin et ainsi, je vais savoir jusqu'à quoi tu seras prête à aller.

Tu peux même venir me rencontrer cet avant midi pour l'entrevue.

Combien ça paye.

Ça va dépendre de toi, de ton attitude et pas mal de ton physique aussi et surtout de tout ce à quoi tu es prête à faire comme escorte.

Serais-tu prête à commencer aujourd'hui, j'ai des contrats pour la soirée.

O.K., je ne travaille pas présentement, car, je suis une femme au foyer.

Tu es mariée. As-tu des enfants.

Oui, deux.

Ton mari est-il au courant de ton appel.

Elle commence à m'intéresser lorsqu'elle me répond.

Pas encore.

Je lui dis.

Tout d'abord avant d'aller plus loin, je vais te poser quelques questions pas mal directes qui vont peut-être te choquer.

C'est quoi tes questions.

Premièrement, je me doute que c'est la première fois que tu oses appeler une agence pour un emploi d'escorte.

Tu as deviné juste, mais, je suis très intéressée.

Le mieux serait que tu viennes discuter de ça en personne.

As-tu quelqu'un pour garder tes enfants, car, à part du transport, prévoies au moins deux heures.

Je la sens hésiter, car, elle ne dit rien pour quelques secondes. Je devine que si je lui offre un montant d'argent, elle va mordre à l'hameçon.

Est-ce que ça paye ton dérangement, ta gardienne et le taxi, si je te donne un cent.

Es-tu sérieux pour ce montant.

L'argent est déjà sur mon bureau et il n'attend que toi.

Je vais avoir ce montant juste pour aller passer une entrevue.

Je suis toujours sérieux lorsque je parle d'affaire et j'aime bien regarder mes nouvelles recrues dans le blanc des yeux et voir toutes leurs réactions pendant qu'on discute affaire.

Autrement dit, tu veux me voir toute nue et je me doute que tu veux me sauter avant de m'offrir la job.

Je ne peux rien te cacher, c'est sur que si tu acceptes, je bien l'intention de te sauter, puis, directement sur mon bureau.

Au moins, toi, tu es franc.

Ce matin, j'ai vraiment de besoin de cash et le cent que tu m'as offert, ce n'est pas une pogne.

Ma belle, je suis en affaire pour faire de l'argent et aussi pour me payer du bon temps, si je veux que mes modèles continuent à travailler pour moi, il ne faut pas que je les fourre à la première occasion. Sans ça, ce ne sera pas long qu'elles vont ficher le camp pour une autre agence.

Et, pour la première fois, je l'entends rire au bout du fil.

Ce n'est pas de même que j'interprète ça, tu es pas mal vite, car, tu me dis que tu vas me sauter avant même de m'avoir demander mon prénom.

Si tu veux te faire sauter, n'importe quel prénom peut faire l'affaire.

Pendant que je l'entends rire à nouveau, j'enchaîne.

Je vais te parler un peu de moi.

Je suis marié, dans la soixantaine et présentement, je suis seul à la maison.

À ces mots, elle me dit.

Qu'est-ce qui me garanti que tu ne vas pas abuser de moi et me sauter aussitôt que je vais être rendue chez toi en oubliant de me payer pour mes services.

Je suis en charge d'une agence d'escorte et toi-même, tu as trouvé mon numéro de cellulaire dans le journal régional.

Penses-tu ma belle, que je payerais des annonces si c'était pour abuser de mes escortes même si la plupart d'entres elles n'hésitent pas à faire la pute pour se ramasser encore plus d'argent.

Si tu viens pour l'entrevue, tu peux même faire attendre le taxi, comme ça, une fois que tu m'auras vu, si tu sens que tu n'auras pas confiance en moi, tu t'en retournes avec lui.

Je sais que premièrement, ça te tentes et que deuxièmement, je me doute que tu n'as aucune expérience.

C'est vrai, mais, comme ton annonce était dans la rubrique "agence d'escorte", je savais déjà que si je t'appelais, j'étais pour travailler dans un milieu de prostitution.

Elle hésite quelques secondes avant de rajouter.

C'est o.k., j'y vais pour l'entrevue, car, j'ai surtout besoin d'argent et tout de suite.

Si tu sens que tu n'as pas confiance en moi, tu ramasses le cash puis tu te sauves et on oublie tout.

C'est à toi de décider.

Astheure que je t'ai dis o.k., je dois te faire confiance.

Sais-tu au moins à quoi t'attendre comme job d'escorte.

Un peu, je me doute que le client paie pour du sexe.

C'est toujours toi qui décides, si tu vois que ça ne marchera pas avec un client, tu le flush, mais, si tu restes avec lui, c'est sur qu'il s'attend à en avoir pour son argent.

O.K., toi, tu me trouves le cash, mais, moi, c'est à mon cul qu'on demande de faire la job.

Après lui avoir donner mon adresse, je lui demande.

Dans combien de temps crois-tu être au bureau.

Laisse-moi le temps de placer les jeunes chez la gardienne, de me maquiller un peu et d'appeler un taxi.

Disons, une heure, une heure et demie.

O.k., je t'attends, mais, à brûle-pourpoint, c'est quoi la scène la plus sexée qui te reviens en mémoire.

Elle hésite quelques secondes avant de me dire.

J'en ai beaucoup, mais, celle que j'ai en mémoire présentement, c'est sûrement Sharon Stone, tu sais dans le film Basic Instinct, la scène dans le bureau pour l'interview.

Dis moi, ma belle, es-tu le genre de femme à te promener nue sous ta robe en public.

Non, jamais.

Mais, tu en as toujours rêvé.

O.K., je double le montant et il est à toi, si tu oses venir me voir sans ta petite culotte.

Et, je lui ferme la ligne au nez sans même lui avoir demander son prénom et son âge.

chez la petite dame

Mon bébé de sept mois et ma fille de trois ans pleurent tous les deux et j'en fais tout autant. Si ce n'était de mes deux anges, je mettrais fin à mes misères, aujourd'hui même. Parce qu'en plus, ça fait dix jours aujourd'hui que j'ai sacré mon mari à la porte le jour même que j'ai su qu'il me trompait depuis au moins six mois avec une de mes cousines qui venait juste d'avoir dix-huit ans. Et, lorsque Marc est revenu cherché ses affaires dimanche matin, je l'ai engueulé et j'ai encore crié après pour me vider le cœur. Il m'a simplement dit.

Elle, au moins, elle prend le temps de s'intéresser à moi.

Et, avant qu'il ne parte, je lui ai demandé un peu d'argent. Il m'a répondu.

Je n'en n'ai pas, puis, c'est toi qui m'a fichu à la porte, ça fait que arranges-toi avec tes troubles.

Ta petite pute te coûte donc cher pour se faire aller le cul.

Mon maudit maquereau, tu bandes pour une petite jeune en chaleur parce que Maryse a des gros seins et un beau cul.

Puis toi, maudit salaud, pour une jeune plotte en chaleur, tu christes ta femme et tes enfants dans la misère.

J'en suis-tu rendue à devoir me servir de mon cul pour survivre. Mes deux anges voient ma détresse et ils pleurent de plus bel. Il n'y a pas de doute, il faut que je fasse de quoi et vite. Je peux même me ramasser deux cents dollars vite fait et m'en revenir aussitôt à la maison, car, le gars de l'agence ne m'a même pas demandé mon nom, mais, je sais que la semaine prochaine, tout sera à encore recommencer.

C'est peut-être juste un vieux maniaque qui veut me sauter. Et, rendu chez lui pour avoir la job, s'il veut une petite vite, je vais bien être obligée de dire oui, mais, il va sentir que je vais sentir la sueur parce que je n'ai même pas pris une douche depuis les trois jours que Marc m'a christsé-là et je n'ai même pas envie d'en prendre une, point. Et, de toute façon, le bonhomme dit qu'il aime ça cochon, mais, s'il pense que je vais être à poil sous ma robe, il peut continuer à rêver et à se passer le poignet tant qu'à moi. En tous les cas, lui, il a les moyens de se payer ses caprices, mon petit vieux. Deux heures. Ça lui prend donc bien du temps à venir le bonhomme. Quand je pense que Marc, avec lui, c'était toujours rapide. En dedans de dix minutes, il avait déchargé et je n'avais pas le temps de me virer de bord qu'il ronflait déjà.

O.K., j'appelle le taxi, puis le maudit, il est mieux de ne pas me poser de questions. Mais, avant, il faut que j'appelle Marie qui me doit une semaine complète de gardiennage et elle va m'en remettre une partie aujourd'hui même.

Le bonhomme me veut en robe, mais, pour aller chez Marie, je vais garder ma blouse et mes jeans, car, je ne veux pas qu'elle se doute de quelque chose. Marie me sait déprimer et elle a été bien fine de m'avoir consoler pendant que je pleurais sur son épaule depuis que Marc est parti. C'est elle et mes copines de filles qui m'ont ouvert les yeux, car, je n'avais pas vu venir cela. O.K., j'avais viré Marc de bord pas mal sec les derniers mois que j'étais enceinte et même après l'accouchement, j'étais contente que Marc n'insiste pas trop lorsque je disais non. J'aurais bien dû me douter de quelque chose.

Le maudit salaud, comme m'a dit Marie hier.

Marc, s'en fichait pas mal de ne pas avoir de sexe avec toi, parce qu'il prenait son lunch ailleurs.

Maudit que j'ai été innocente, mais, là, ça va changer. À partir d'aujourd'hui, je vais me faire du cash et je suis assez intelligente pour en profiter pour me faire un peu de fun, moi aussi.

Bon, les enfants sont chez Marie et le taxi sera ici dans une dizaine de minutes. Comme m'a dit Marie tout à l'heure parce que encore une fois, je n'ai pas pu garder un secret.

Mets, ta petite robe bleue. De toute manière, c'est la seule dans laquelle tu seras présentable pour ce genre d'entrevue. Elle est si courte que le monde voit ta petite culotte lorsque tu te penches, puis avec le profond décolleté on voit bien la chair pulpeuse de tes seins et avec les bretelles spaghetti, c'est juste si elle te couvre les mamelons, même que pour l'avoir remarqué moi-même, lorsque tu bouges tes épaules, l'on voit le brun plus foncé de tes auréoles. Et, ton petit vieux, lui, qui te veut toute nue en dessous. C'est franchement scandaleux, mais, je pense que si un jour j'ose être bi, tu serais mon genre sans aucune hésitation.

Nous sommes crampées de rire suite à son commentaire pas mal coquin, avant que je lui dise.

Nue sous cette robe, je n'aurais même pas osée la porter ainsi dans ma chambre à coucher.

D'un autre côté, comme je connais Marc, il me l'aurait enlevé tout de suite pour me sauter, mais, j'aurais peut-être encore un mari.

Je me souris en me regardant dans le miroir de la chambre pendant que j'essaie la robe sur mon corps nu lorsque j'entends le maudit taxi qui est un bon cinq minutes en avance.

Je ne suis pas à l'aise dans cette robe même si je la trouve très sexée, mais, il me semble que si je la porte, je vais trop ressembler à une pute de luxe. Et, ce matin, je n'ai même pas envie d'être provocante, je veux juste être habillée pour qu'il sache que je veux et que je ferai tout pour enfin décrocher un emploi très lucratif. Je me dépêche d'enlever ma robe et je cours jusqu'à ma garde-robe, où, je décroche mon peignoir en satin blanc. Je n'ai même plus le temps de mettre du maquillage que je ramasse mes clefs de maison avant d'ouvrir un tiroir pour me chercher au moins un string, mais, le taxi klaxonne en même temps et je me dis. Pourquoi pas et en plus ça me fera plus de cash. Mais, avant de sortir de la maison, je me camoufle sous mon imperméable en suivant à la lettre le conseil de Marie et je cours jusqu'au taxi avant de changer d'idées.

dans mon bureau.

Je fais les cent pas dans mon bureau en regardant à toutes les deux minutes l'horloge murale égrener le temps. Je viens de finir mon deuxième café lorsque je vois une jeune femme d'une vingtaine d'année qui sort d'un taxi.

Elle prend un profond respire avant de marcher très lentement vers ma demeure pendant que je remarque que le chauffeur du taxi prend le temps de la regarder de la tête aux pieds, lui aussi.

Elle est beaucoup plus jolie et plus sexée que je croyais. Elle me fait patienter encore une bonne minute avant qu'elle n'ose ouvrir la porte du bureau.

La jeune femme me regarde au travers des ses lunettes de soleil sans que je ne vois aucune expression sur son visage, mais, je remarque que ces mains tremblent nerveusement et elle regarde le plancher comme un enfant pris en défaut avant de s'avancer lentement jusqu'au bureau. Je lui dis.

Tu es vraiment très jolie et j'aime, tu es très sexée sans aucun maquillage.

La jeune femme se mord les lèvres et elle semble scruter mes pensées sans que nous osions dire un seul mot tous les deux. Le taxi klaxonne ce qui nous fait sursauter, elle se retourne la tête pour regarder en direction de la porte une fraction de secondes avant de m'envisager à nouveau en se mordant les lèvres. La jeune femme semble indécise. C'est le taxi qui met fin au suspense en klaxonnant de nouveau et mon fantasme prend fin brusquement lorsqu'elle s'avance jusqu'à mon bureau pour ramasser un seul billet de cent et aussitôt, elle marche vite en direction de la porte d'entrée sans même me dire au revoir. L'instant d'après, elle est déjà ressorti de mon bureau. Mon cœur bat la chamade et le temps c'est comme arrêté.

Ouf que je suis soulagé lorsque je vois le taxi s'en retourné sans elle. Presque en même temps cette belle jeune femme entre à nouveau dans le bureau et pour la première fois, elle me sourit.

Je lâche un profond soupir en me passant la main sur le front ce qui nous fait sourire tous les deux.

Veux-tu boire quelque chose, moi, ça me prends un bon verre de fort. Toi, aimerais-tu mieux du café ou du jus. Non. Je n'ai de besoin que d'un verre d'eau, car, le cœur me bat à tout rompre. J'ai eu trop d'émotions depuis la fin de semaine, mais, lorsque je serais calme, un petit coup de fort ne me fera pas de tort. C'est des grosses décisions à prendre. En tous les cas, c'est trop pour moi en même temps.

Nous parlons ainsi trois-quatre minutes. Elle se mord les lèvres et elle retient son imperméable sur le haut de son corps ou sur ses genoux à toutes les fois qu'elle remarque que mes yeux louchent vers son corsage ou à la hauteur de ses cuisses, car, son imperméable lui vient au-dessus des genoux.

Son visage devient tout rouge et elle se mordille un doigt lorsque je lui dis.

On parles-tu affaire.

Je sais que tu es nerveuse, mais, certainement pas autant que moi, car, moi aussi, c'est ma première entrevue pour employer une escorte.

Quoi, tu ne connais pas la job.

Depuis que Samantha m'a appelé pour la première fois, ce matin, à toutes les fois que je dois parler de l'agence Isabelle avec elle, je dois lui raconter un nouveau mensonge. Je n'ose pas lui dire que l'agence Isabelle n'a existée que dans ma tête, car, je crois encore que c'est plus facile de me recruter des escortes si je leur laisse accroire que c'est à une femme qu'elles auront à faire. Ça fait que je continue mes petits mensonges.

Bien sur que oui, mais, jusqu'à date, je la connaissais comme client et depuis les trois derniers mois comme réceptionniste pour l'agence. C'est ma toute première semaine en tant que gérant d'escortes et je veux travailler qu'avec de nouvelles recrues, car, je veux changer un peu l'orientation de l'agence pour devenir une agence beaucoup plus haute classe. Et, à l'avenir, je veux que des escortes distinguées comme toi.

Toi, ma belle, si tu me dis o.k., tu seras la toute première que je vais engagée.

As-tu des clients, au moins.

Les clients, c'est la chose la plus facile à trouver et avec une belle femme aussi sexée que toi, je suis convaincu que tu peux demander le gros prix pour chacun de tes services

Je me suis préparé une bonne série de questions à te poser. Es-tu prête à commencer à me parler de toi. Moi, c'est Nico. C'est quoi ton prénom.

Elle hésite avant de me dire en cherchant ces mots.

Sand...r......a, Samantha

Tu vois, c'est facile, mais je sais que ce n'est pas ton vrai prénom.

Samantha entre la tête dans ses épaules comme pour me faire signe, devine. Je lui fais un autre clin d'œil pendant qu'elle me sourit en entrant un doigt dans la bouche. Elle rougit un peu, mais, me fait une moue qui me séduit.

Question numéro deux, celle qui vaut beaucoup d'argent.

Qu'elle âge as-tu.

Elle ri de ma question avant de me dire.

Vingt trois ans.

Tu es sur que tu n'en mets pas un peu trop.

Cette fois, elle amène sa main droite à la hauteur de sa tête, elle enlève ces lunettes à soleil et c'est elle qui me fait un clin d'œil avant de rajouter.

O.K., je suis adulte et vaccinée.

C'est toujours ton attitude qui compte si tu veux avoir des clients sur la ligne d'attente. La plupart des clients reviennent vers une escorte qui lui adonnée du bon service et surtout si elle lui a souri et qu'elle a ri avec lui.

Mais, ce sera à toi de gérer ça.

Ce n'est pas un métier compliqué, tu peux même le faire à ton rythme, puis, tu n'as pas à avoir un horaire rigide.

C'est toujours toi qui décides quand et avec quel genre de client que tu veux travailler.

Ça dépend toujours de ta disponibilité et surtout de combien tu veux te faire par semaine.

C'est quoi un salaire normal.

Beaucoup, beaucoup d'argent.

Et, plus que tu as de clients par jour, plus, tu te fais d'argent.

Moi, durant mes trois mois comme réceptionniste à l'agence, je sais par expérience que les escortes qui ont trois clients par jour, trois-quatre jours semaine se font facilement, cinq cents, mille et même quinze cents tout dépendant de ce qu'elles offrent comme service.

Moi, je n'ai jamais gagnée ça, cinq cents par semaine.

Tu m'as mal comprise, Samantha, c'est cinq cents par jour, puis, pour tes trois clients différents ou tes trois heures de services, ce n'est pas juste trois heures de couchette, car, la plupart de mes clients potentiels me disent tous qu'ils aimeraient se pavaner en ville avec à leur bras une femme sexée, car, ces hommes vont être fiers de laisser deviner à leurs connaissances qu'ils vont te sauter.

Ça flatte beaucoup leur égo d'hommes d'affaire.

Pour mille ou quinze cents, c'est quoi la job.

Ça dépend de toi.

As-tu déjà eu du sexe devant une ou plusieurs personnes.

Oui, une fois avec mon mari, nous avons fait l'amour au motel pendant qu'un couple de nos amis le faisait eux aussi dans l'autre lit.

Tu m'as mal compris, je voulais dire toi toute seule, Samantha, avec deux homme pour te gâter.

Elle devient toute rouge de honte et elle me dit en me regardant dans les yeux.

J'ai tu bien comprise, tu veux dire me faire fourrer par deux hommes à la fois.

Je lui fais signe qu'elle a bien compris.

Elle se pogne la tête à deux mains et elle se dit plus à elle-même qu'à moi.

Maman vient chercher ta fille.

Avant qu'elle ne panique et qu'elle décide de tout laisser tomber, je rajoute.

Plus que tu as de partenaires, plus que ça paye, mas, tu as besoin plus souvent de break parce que si tu es comme la plupart des filles, tu vas te pacter pas mal plus, surtout lorsque tu sais à l'avance que tu vas faire ça avec trois hommes ou plus.

Elle se mordille encore une fois les doigts avant de me dire toute d'une traite.