Sa Cible: Les Femmes Mariées P 01

BÊTA PUBLIQUE

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Monsieur Foster était un bon vivant qui aimait boire le coup avec des jeunes gens faisant la fête avec eux.

Madame Foster n'aimait pas la bière, Skipper gardait l'œil sur la ravis-sante rouquine qui portait une jolie robe verte et jouait correctement son rôle d'hôtesse et de chaperon.

Ayant discuté auparavant avec Greg, Skipper avait appris que madame Foster venait de fêter ses 48 ans, qu'elle avait épousé son mari alors qu'ils étaient encore en fac, et que Greg était né dès l'obtention des diplômes de ses parents.

Voulant en apprendre autant que possible son éventuelle proie, Il avait continué d'interroger discrètement Greg, il apprit alors que la ravissante mère de son coéquipier était une décoratrice d'intérieure renommée et qu'elle travaillait dans une entreprise de la ville.

En détaillant les charmes de leur hôtesse Skipper estimait qu'elle devait mesurer environ 1,70 pour 60 kg, elle avait de longues jambes et une petite poitrine qui ne devait pas excéder un 90 B, il pensait d'ailleurs hi-lare :

- Il n'y a pas 25 moyens de le vérifier! Je suis impatient de voir ses mignons tétons, de les mignoter tendrement, de refermer mes lè-vres sur eux.

Vers une heure du matin, Skipper observa monsieur Foster souhaitant une bonne nuit à tous puis e prendre la direction de sa chambre tandis que madame Foster préparait les dernières pizzas pour ses jeunes af-famés.

Skipper décida que c'était le bon moment de tenter une approche avant qu'elle ne rejoigne son mari.

Se détachant du groupe des jeunes fêtards, il se dirigea vers la cuisine où madame Foster s'appliquait à réchauffer les pizzas.

Eileen Foster ne pouvait s'empêcher d'observer la transformation de Skipper ce jeune adolescent efflanqué qui jouait avec son fils s'était mué en un magnifique athlète.

Bien qu'heureuse avec son mari, Eileen se demandait ce qu'elle ferait si elle était une de ses condisciples de fac et qu'il s'intéresse à elle.

Elle frissonna longuement à cette idée érotique qui venait de lui traverser l'esprit, se chapitrant elle-même :

- Honte sur toi Eileen d'avoir de telles pensées!

Mais tout au fond de son esprit elle savait très bien que, si elle était en-core minette de la fac elle mouillerait sa petite culotte s'il daignait faire attention à elle.

Elle se penchait sur le four pour vérifier la cuisson des pizzas, lorsque une voix familière l'interpella soudainement :

- Hey madame Foster, puis-je vous aider? Se redressant vivement elle se retourna et sourit à Skipper en lui répondant :

- Bien, encore... Encore une minute et les pizzas seront prêtes... Tu... Tu pourras alors m'aider à les sortir du four...

Son cœur battait la chamade alors qu'une onde de chaleur lui parcourait le corps.

Se penchant à nouveau sur le four, elle échangea poliment quelques mots avec le jeune homme s'enquérant des nouvelles orientations de sa carrière universitaire. Elle lui confia :

- Je suis sure que vous nous manquerez...

Elle se demandait comment elle le prendrait si Skipper lui faisait véritablement des approches, il lui répondit alors :

- Certaines choses me manqueront aussi beaucoup, c'est sur... Je regretterais sûrement de ne plus vous rencontrer, de ne plus vous voir!

Le cœur battant à tout rompre elle avala sa salive alors que ses sphinc-ters vaginaux se crispaient violemment.

C'est alors que le minuteur du four se déclencha signalant que les pizzas étaient prêtes, soulagée Eileen pensa alors :

- Merci mon Dieu... Sauvée par le gong!

Une fois la dernière des pizzas sortie du four, madame Foster les infor-ma :

- Bon appétit les enfants, le temps de laver les derniers plats et je vais me coucher!

Skipper vit alors que la plupart des jeunes avaient trouvé chaussures à leurs pieds se réfugiant dans les coins obscurs de la pièce.

Sachant qu'il ne manquerait à personne, que tous penseraient que lui aussi s'était réfugié dans un coin obscur pour flirter avec une mignonne jeunette, Skipper se glissa discrètement dans la maison alors que ma-dame Foster lavait sa petite vaisselle.

Il remonta silencieusement le vestibule qui menait aux chambres et pé-nétra dans une chambre d'ami, pour y attendre que la ravissante femme et mère de famille remonte à son tour le vestibule.

Sa vaisselle terminée, Eileen jeta un oeil sur le pourtour de la piscine où s'embrassaient tendrement les jeunes gens, elle secoua sa tête en pen-sant :

- Oh, avoir leur âge et profiter des caresses d'un athlétique jeune étudiant qui peloterait mes charmes... Elle rit à cette pensée per-verse se disant en elle-même :

- Ouais, c'est bien bon... Mais lorsque j'avais leur âge les choses étaient bien différentes... Pas une fille honnête n'aurait voulu pas-ser pour une fille facile! On devait se marier vierge à la sortie du lycée... Je parie que toutes jeunes filles qui flirtent avec des gar-çons on déjà des années d'expérience des rapports sexuels!

- Je suis vraiment heureuse que cette petite fête se soit aussi bien déroulée... Pensait-elle en traçant son chemin dans le noir remontant le familier vestibule qui menait à leur chambre conjugale.

- Haaaaaaaaaaaaa..." Grommela Eileen traumatisée alors que quel-qu'un l'attirait dans la chambre d'ami.

Apeurée, elle sentit une main ferme lui couvrir la bouche, le cœur battant la chamade Eileen frémit de peur.

C'est alors qu'elle entendit la voix familière de Skipper lui susurrer :

- N'ayez pas peur madame Foster... Ce n'est que moi Skipper! Et la porte de la chambre d'ami se referma dans son dos les plon-geant dans une totale obscurité.

Eileen tremblait de tous ses membres en l'entendant tourner le bouton de porte,

Sachant qu'elle était enfermée dans cette chambre seule avec cet étudiant aussi entreprenant.

Haletant nerveusement elle sentit la pression sur sa bouche se relâcher, puis il l'enleva, elle balbutia alors :

- Skipper... Tu... Comment... Comment peux-tu oser? Je... Je pensais... Je pensais que tu me respectais! A son grand désap-pointement il lui répliqua :

- Bien sur que je vous respecte madame Foster... Mais vous êtes si belle... Je veux, au moins une fois, vous serrer dans mes bras... Et vous embrasser tendrement!

Elle frissonna en sentant les lèvres de Skipper effleurer les siennes, il les pressait intentionnellement contre les siennes.

Elle savait qu'elle devrait se débattre de toutes ses forces et ne pas lui laisser tirer avantage de sa faiblesse momentanée.

- Non... Dis-lui non... Tu ne dois pas te montrer aussi perverse... Infidèle à ton mari... Ton mari qui dort dans la chambre contiguë... Se disait-elle en son fort intérieur.

Mais déjà les lèvres de Skipper dévorait son rouge à lèvres cherchant à s'infiltrer entre ses dents serrées.

Comme il la serrait contre son corps athlétique, Elle défaillit, écartant suf-fisamment les dents pour lui permettre d'infiltrer sa langue dans sa bou-che affamée.

Elle se sentait faible et chancelante alors qu'il lui mignotait le lobe de l'oreille, elle sentit soudain tâtonner dans son dos à la recherche de l'agrafe fermant sa robe.

Sa main descendit sur la chaire tendre de son dos, la caressant lascivement, Eileen sentit alors ses mains expertes dégrafer son soutien-gorge.

Haletante, cherchant sa respiration, le copain de son fils l'embrassait à nouveau avec passion alors qu'il repoussait sa robe et les bretelles de son soutien-gorge sur ses épaules.

Comme leur deuxième baiser prenait fin, un éclair de bon sens traversa l'esprit d'Eileen, elle le supplia alors :

- Skipper... Skipper... S'il te plait, ce n'est pas bien... Je t'en prie... Tu dois cesser... Sur le champ!

Haletante elle pantela :

- Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh! Alors que Skipper se penchait sur ses nibards et prenait un de ses tétons entre ses dents.

Eileen tendit les bras les posant sur sa nuque alors qu'il mordillait la chair tendre de son mamelon.

Il s'était immédiatement érigé sous ses caresses expertes, il bandait en-tre ses dents.

Alors qu'il s'occupait de son autre téton, Eileen pantela :

- S'il te plait Skipper... Tu... Tu es assez jeune pour être mon fils!

Sur ces mots Skipper se redressa et lui roula un nouveau patin, Eileen sentit qu'il empoignait ses bras et les tirait vers le bas entre leurs deux corps.

A sa grande surprise, Eileen choquée se retrouva au contact direct de son épieu de chair bandé, le jeune homme lui soupira alors à l'oreille :

- Est-ce que sa taille vous suffit madame Foster?

- Oh mon Dieuuuuuuuu... Put seulement gémir Eileen alors que ses doigts enserraient sa hampe rigide qui battait dans la paume de sa main.

Eileen ne parvenait pas à refréner ses instincts féminins, elle serra la co-lonne de chaire entre ses mains réalisant à quel cette bite dont il voulait lui faire goûter, elle était épaisse et longue.

Alors que Skipper titillait son lobe d'oreille, caressant lascivement son corps à demi-nu; Eileen se sentait perdue alors qu'il lui susurrait :

- Je veux te faire l'amour madame Foster!

Ayant inspecté la disposition de la chambre un peu plus tôt, Skipper prit facilement la fragile beauté entre ses bras et la transporta dans l'obscuri-té.

Il l'allongea sur le lit dont il avait plus tôt rabattu le couvre-lit et les draps, puis il la débarrassa de ses chaussures, la dépouilla de sa robe, puis roula sa petite culotte de satin sur ses chevilles.

Quelques secondes plus tard, il frottait son corps musculeux contre sa tendre carnation, puis il empoigna sa main gauche et la tira jusqu'à tou-cher sa virilité exacerbée.

Se blottissant contre elle, Skipper prenait un grand plaisir à employer son de femme mariée, il lui demanda :

- Dis-moi ce que tu veux le plus ma petite madame Foster... Prend ma bite en main madame Foster... Guide là dans ta fentine engor-gée de cyprine!

Incapable d'objecter quoi que ce soit, encore moins de lui résister, en fait priant pour que ce jeune étudiant la possède, Eileen empoigna sa bite tressautante la promenant lascivement tout le long de sa foufoune suin-tante.

- Ohhhhhhh... Ohhhhhhh, Skipperrrrrrrrrrrr... Grommelait-elle alors que l'épaisse colonne de chair lui distendait la cramouille pour la pénétrer puissamment.

N'ayant fait l'amour qu'avec son mari auparavant, elle réalisa combien la bite de ce jeune homme était plus épaisse que celle de son mari, elle ne tarderait d'ailleurs pas à comprendre qu'elle était aussi bien plus longue.

- Oh Skipper... Oh, oui... Prends-moi... Baise-moooooooiiiiiiiiiii... Pantelait-elle éperdue.

Les deux amants s'aimaient avec passion, répondant l'un à l'autre à chaque poussée de leurs corps imbriqués.

Elle était d'autant plus désarmée qu'il l'appelait toujours par son nom d'épouse, la labourant profondément sachant qu'elle n'oublierait jamais cette séance enivrante :

- Oh madame Foster t'es si douce et si sexy... Ta chatte est si étroite... Veux-tu que je te fasse un bébé madame Foster? Veux-tu que je t'engrosse? Je vais jouir dans tes profondeurs madame Foster...

Jamais elle n'oublierait lui avoir ré^pondu :

- Oui.. Oh, oui... Engrosse-moi mon chéri... fais-moi un petit bébé, mon Skipper chéri!

Tôt le lendemain matin, clignant des yeux alors que le soleil dardait au travers de la fenêtre, Eileen jetait un coup d'œil circulaire pour réaliser où elle se trouvait.

En sentant la caresse des draps posés sur elle, un frémissement rétrospectif la parcourut en entier lorsqu'elle réalisa qu'elle n'avait pas rêvé.

Elle se trouvait dans la chambre d'ami de leur maison et sa robe et son soutien-gorge jonchaient le sol prés de la porte.

Tirant les draps sur elle, elle contracta les muscles de ses cuisses en sentant la moiteur qui baignait son entrecuisse.

Bougeant légèrement ses cuisses, Eileen frémit en sentant le cloaque marécageux qui couvrait son entrejambe, elle tendit la main pour toucher les boucles poisseuses de sa chatoune.

Yeux fermés Eileen chercha à se rappeler tous les détails de son aventure, cette fantastique séance de baise qui lui avait offert le séduisant jeune homme.

Elle se souvenait s'être réveillée peu après leur premier coït, sa bite était toujours imbriquée en elle et se déployait à nouveau reprenant une vi-gueur certaine, alors ils s'étaient aimés à nouveau.

Avec l'intervalle de temps passé elle savait qu'il était maintenant trop tard pour qu'une douche vaginale la protège d'un éventuel enfantement.

- Mon Dieu... L'ai-je vraiment supplié de m'engrosser? Se deman-dait-elle horrifiée.

Skipper avait tracé une seconde encoche sur sa ceinture en témoignage de sa bonne fortune, une nouvelle semaine d'été s'ouvrait devant lui et il comptait bien en profiter largement.

Il se trouvait chez monsieur et madame Rob Hinton une autre ravissante jeune femme qu'il escomptait bien voir succomber dans ses bras.

L'adorable madame Cathie Hinton en tarderait plus à trahir ses vœux de fidélité envers son époux.

Agée de 27 ans, mariée depuis 5 ans, mère d'une jeune enfant de 3 ans Cathie travaillait dans une entreprise de vente de biens immobiliers et se débrouillait pour engager une baby-sitter lorsqu'elle devait faire visiter une maison.

Rob Hinton qui travaillait tard chaque nuit, essayant désespérément de monter en grade dans la grande entreprise de comptabilité se mit à né-gliger son adorable femme et leur fils.

A tel point que Cathie sentait ses jambes s'affaiblir à la vue du séduisant jeune homme qui venait tondre leur pelouse C'était un des travaux qu'il avait programmé ce week-end.

Son mari était continuellement fatigué et pas assez forme pour lui faire l'amour, elle était dangereusement en manque d'autant plus que Rob était vraiment bien trop fatigué pour se montrer performant et que celà risquait de durer.

La pelouse fauchée de frais, Skipper vidait les herbes dans des grands sacs ordures lorsqu'il entendit s'ouvrir la porte coulissante et la ravis-sante madame Hinton commença à disposer le parc de son fils.

En arrivant pour tondre la pelouse, il avait aperçu la somptueuse jeune femme vêtue d'une élégante robe bleue alors qu'elle liait son fils dans son siège de voiture.

Il apprit désappointé que des clients biens immobiliers s'étaient manifes-tés inopinément et qu'elle se pressait de prendre l'affaire en main.

Comme elle fouillait dans son porte-monnaie pour lui donner une avance Skipper lui dit de ne pas se tracasser, que cela pouvait attendre la se-maine suivante.

Son fils dans son parc, Cathie ne pouvait s'empêcher de mater le torse en sueur du fascinant jeune homme qui avait enlevé son tee-shirt qui pendouillait maintenant de la poche arrière de son short.

Cathie sentait ses jambes s'affaiblir, les muscles de ses cuisses se cris-per alors que sa cyprine inondait l'entrejambe de sa petite culotte.

Haletante, elle se retourna et rentra rapidement dans la maison, pour y préparer une carafe d'orangeade.

Elle ne pouvait cependant s'empêcher de le mater au travers de la fenê-tre.

Elle servit deux grands verres d'orangeade et retourna à l'extérieur juste au moment ou Skipper rangeait la tondeuse dans un appentis.

Son fils était paisiblement occupé à jouer avec ses jouets bien en sécuri-té dans son parc, elle sortit marchant sur l'herbe coupée de frais se diri-geant vers l'appentis.

Toute proche de la remise elle appela Skipper :

- Skipper... Voulez-vous un verre d'orangeade fraîche?

- Entendant des bruits confus dans le petit hangar, elle se pencha en avant pour voir l'aguichant jeune gaillard lui sourire en la remerciant, tendant la main pour prendre le verre, puis sa main libre saisit sa main maintenant libérée pour l'attirer dans la remise.

Ayant constaté l'extrême nervosité de Madame Hinton alors qu'elle traînait dans sa cuisine, sachant que la blonde beauté avait passé pas mal de temps à le mater, Skipper pouvait prédire ses réactions à venir.

Prenant l'autre verre dans on autre main, il les posa tous deux sur une étagère proche puis il attira la tremblante beauté entre ses bras pour lui rouler une pelle passionnée.

Il l'étendit sur les sacs à ordures pleins d'herbe qu'il venait de déposer dans la remise, sans vergogne il lui écarta les cuisses et lui caressa lascivement les jambes, roulant sa petite culotte sur ses chevilles.

En constatant qu'elle ne lui opposait aucune résistance et qu'elle haletait éperdue il comprit qu'elle avait une folle envie de faire l'amour.

- Oh Madame Hinton... Votre chatte est si trempée... Si étroite... Marmonnait Skipper en la pénétrant séance tenante de son épaisse bite turgescente, elle encercla son torse de ses jambes alors qu'il s'enfouissait au plus profond de sa foufoune.

Alors que son jeune fils jetait son hochet à l'extérieur de son parc, la ra-vissante mère de famille tortillait du cul sur les sacs à ordure peine d'herbes et de rameaux.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Ahhhhhhhhhhhhh... " Couinait la jeune mère en succombant à un intense orgasme qui la submergeait toute, alors que Skipper continuait à la labourer énergiquement lui disant :

- Ne penses-tu pas que Tommy a besoin d'une camarade de jeu madame Hinton? Ahhhh... Ouiiii... Je jouisssssssss... Ah ma petite chérie... Ma chère madame Hinton... Tommy aura bientôt une compagne de jeu!

- Un peu plus tard, alors que le petit Tommy jouait avec ses hochets dans le parc, ne requérant donc pas l'attention de sa jolie mère, elle pouvait tranquillement poursuivre la séance entamée.

- Agenouillée sur le sol de terre battu elle branlait la bite épaisse du jeune et séduisant gaillard qu'elle suçait allégrement, c'était un acte auquel elle ne s'était jamais livré auparavant, mais elle voulait tant plaire à son jeune amant!

Tandis que le petit Tommy roulait sur le dos tenant fermement le biberon de lait que sa gentille mère avait déposé à son coté dans le parc, suçant avidement le liquide nourricier, pas très loin de là, dans l'appentis son adorable mère suçait aussi avidement déterminée à savourer pleinement le liquide nourricier qui l'attendait.

Le petit Tommy se tourna vers la remise, en vidant son biberon, des couinements et des bruits de sucion ainsi que la voix du jeune homme qui grommelait avaient attiré son attention :

- Ahhhh, madame Hinton... Ah, ouiiiiiii... Oh, mon DIeu... Je jouis... Ahhhhhhhh, oui... Avale... Avale mon foutre... Bois tout madame Hinton!

Allongé sur le dos dans son dortoir, tout en mangeant un sandwich Skipper se remémorait la ravissante petite brunette qu'il s'était débrouillé pour séduire quelques semaines avant son départ pour l'université d'état.

Il visualisait les longs cheveux noirs de la somptueuse madame Lori Wesson, la femme d'un des conseillers municipaux âgée de 33 ans.

L'ensorcelante jeune femme avait décidé de fonder une famille, et il était très heureux de l'y avoir aidé.

En trois occasions il avait déjà tondu la pelouse des Wesson, puis ils lui avaient demandé de nettoyer la grande piscine située dans l'arrière cour. En ces occasions il n'avait pas pu s'empêcher de reluquer les longues jambes de la jeune épouse du conseiller municipal.

Alors que madame Wesson était allongée sur un transat se faisant dorer au soleil, Skipper savait pertinemment que ses yeux cachés par ses lu-nettes de soleil étaient braqués sur lui.

S'essuyant le front, feignant crever de chaleur il sollicita poliment :

- Cela vous dérangerait-il, madame Wesson que j'ôte mon tee-shirt? Il fait vraiment très chaud!

Comme prévu, madame Wesson lui répondit :

- Bien sur Skipper... Si ça peut te soulager!

Puis elle ajouta :

- Tu peux piquer une tête dans la piscine Skipper, si tu veux te ra-fraîchir!

Le rusé Skipper jouant les timides répliqua :

- Merci madame Wesson, mais ce ne serait peut-être pas bien...

En fait il avait choisi la bonne approche, madame Wesson l'exhorta alors :

- Allons Skipper, ne sois pas aussi timide! En fait, moi aussi j'ai envie de me rafraîchir... J'insiste pour que tu me rejoignes dans l'eau! Sur le champ!

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