Sa Cible: Les Femmes Mariées P 01

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Les débuts du jeune séducteur.
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Sa cible : les femmes mariées 1

Target: Beautiful Married Women- I

Coulybaca / Black Demon

Comme sa première année de fac se terminait, Tad Skipper Harmon pensait retourner chez lui pour l'été.

Cela avait été une bonne expérience en attendant de rejoindre l'universi-té d'état que de vivre cette année de sport étude, mais cette fac était située dans une petite ville universitaire où on faisait tout pour supporter l'équipe locale.

C'était très différent de l'importante communauté dans laquelle il avait grandi, une banlieue d'une grande ville.

Bien sur le fait d'être une vedette de l'équipe lui valait un maximum d'at-tention de la part des filles du coin dont nombre tombaient amoureuses de lui.

Mais pour Skipper rien ne pouvait remplacer la vie sociale qu'il envisa-geait de mener de retour chez lui, une vie sociale qu'il entendait orienter nettement vers le sexe.

Bien sur, il avait copulé avec nombre de ses coreligionnaires féminines, mais il ne parvenait pas à satisfaire ses appétits de luxure, il avait surtout envie de se faire des femmes mariées fidèles et sophistiquées.

C'est l'été précédent que tout avait commencé, juste avant de quitter la maison pour gagner l'université, une opportunité qui l'avait follement excitée et stimulée comme jamais il ne l'avait été auparavant.

Comme il allait fréquenter une classe de sport étude, Skipper ne voulait pas que ses parents aient à lui envoyer de l'argent, d'autant plus qu'ils avaient déjà ses trois cadets qui fréquentaient le lycée et qu'il avait obte-nu une bourse scolaire.

Sa sœur aînée avait déjà suivi les courts d'une haute école de com-merce sans le concours financier de leurs parents.

Skipper n'avait rien contre le fait de travailler durement, en fait, il aimait tous les types de travail en plein air sous le soleil qui lui permettaient en outre d'entretenir sa forme.

Il avait déjà tondu des pelouses lorsque plus jeune il cherchait à se faire un peu d'argent de poche, il avait décidé de reprendre cette activité fruc-tueuse.

Comme il était la vedette locale d'une équipe de football briguant le titre universitaire, beaucoup de gens le connaissaient et encore plus depuis qu'il avait été élu joueur de l'année.

Chacun avait lu dans les journaux qu'il attendait de rejoindre l'université d'état et tout le monde ne cherchait qu'à l'aider en lui confiant des petit travaux comme la tonte des pelouses.

Lorsqu'il suivait les cours de troisième du collège, il avait développé un gros penchant amoureux pour la nouvelle prof qui, en milieu d'année madame Harris qui prenait sa retraite.

L'adorable mademoiselle Terri Collins sortait tout juste de la fac munie de sa maîtrise d'enseignement.

Skipper aurait bien voulu passer ses journées en classe pour la voir et l'admirer.

La nuit il rêvait d'elle, il bandait alors comme un âne et avait appris du coup à se masturber.

Dès lors, après cette année de classe Skipper faisait toujours le détour pour passer devant sa classe pour lui faire un bonjour amical et la saluer amicalement.

En quelques années, Skipper était devenu un féministe très pratiquant, un vrai tombeur comme le surnommait ses copains.

Etant donné sa popularité et son bagout de nombreuses filles étaient impatientes d'enlever leurs petites culottes pour se donner à lui.

Comme Skipper n'était pas particulièrement timide, il couchait avec cha-que jolie fille qui en manifestait l'envie.

Chaque fille qui obtenait de lui un rendez-vous savait à quoi s'en tenir, elle allait ôter sa petite culotte et écarter les cuisses en grand sans lui demander d'enfiler un préservatif.

Lors de ces années lycées, de charmantes jeunes filles durent prendre du recul avec le lycée pour des raisons familiales...

Les familles cherchaient à tenir les choses secrètes envoyant leurs filles prendre soin de leurs vielles grands-mères où aider leurs tantes.

Mais bien entendu, c'était pour cacher le fait que leurs petites filles s'étaient fait engrosser alors qu'elles fréquentaient encore le lycée.

Pour certaines raisons inexplicables, elles refusaient toutes de livrer le nom de leur suborneur dans le but de protéger Skipper.

- Bonjour madame Wallace... Cria Skipper pour couvrir le son de la ton-deuse en souriant à la jeune femme de ses rêves.

Son cœur battit la chamade lorsqu'elle lui répliqua gentiment :

- Bonjour Skipper...

En la voyant poser des plats sur la table il remarqua sa nervosité, il se demanda tout de suite pourquoi elle était si nerveuse...

S'étant tapé bien des nénettes ces dernières années, c'était le type de réaction qu'il voyait de temps à autre lorsqu'une fille était stressée en le voyant.

Comme elle l'invitait à faire une pause et se joindre à elle pour siroter une boisson fraîche, il arrêta le moteur de la tondeuse empoigna sa chemise qui pendouillait sur son pantalon et s'en servit pour essuyer ra-pidement sa sueur.

Il remarqua alors qu'elle était vêtue fort élégamment et l'en complimenta :

- Waow... Vous êtes vraiment ravissante madame Wallace!

Il remarqua alors qu'elle rougissait comme une jouvencelle alors qu'elle balbutiait en retour :

- Oh... Je... Je.. Je dois me rendre à un repas de la ligue féminine un peu plus tard!

Il se rappela alors qu'effectivement monsieur Wallace lui avait demandé de venir tondre assez tôt car sa femme devait organiser un repas de la ligue féminine le lendemain, c'est ainsi qu'il comprit qu'elle s'était habillée ainsi pour le recevoir, se donnant l'excuse de devoir se rendre à un re-pas.

Une fois qu'elle se fut assis sur une des chaises du patio, il empoigna une chaise et s'assit tout près de son ex maîtresse d'école.

Il savait qu'il s'était assis un peu trop près d'elle pour une relation nor-male d'ex élève à ex prof, d'ailleurs un long frisson nerveux la parcourut toute entière.

Sachant maintenant l'effet qu'il lui faisait délibérément Skipper avait lais-sé sa chemise ouverte sur son torse alors qu'il se tenait tout proche de sa ravissante ex prof.

Alors qu'ils discutaient de son départ pour l'université d'état Skipper l'avisa qu'il devait reporter la date de son départ à l'issue de son camp d'entraînement d'août, lui rappelant combien lors de ces camps ses amis et sa ville lui manquaient.

Lorsque que madame Wallace posa sa petite main manucurée de frais sur sa main droite pour le réconforter, un frisson nerveux courut le long de sa colonne vertébrale.

Récupérant rapidement de ce frémissement il en profita pour capturer son autre main dans sa main gauche.

Ce qui avait débuté comme un geste tout à fait innocent de sa part faisait maintenant battre le cœur de Terri.

Son ancien élève, maintenant un séduisant jeune étudiant retenait sa main entre les siennes.

Les yeux baissés, respirant avec peine elle sentit Skipper jouer avec son alliance.

Elle voulait désespérément libérer sa main mais n'en trouvait pas la force, perdant toutes forces alors qu'il caressait lascivement sa main et son bras.

Elle ne savait pas quoi penser lorsqu'il lui confia :

- Depuis cette époque ou vous évoluiez dans la classe, je rêve de vus chaque nuit... Si vous saviez... A quel point j'ai été déçu et dé-pressif lorsque j'ai appris vos épousailles avec monsieur Wallace!

Son ancien élève se tenait près d'elle lui avouant qu'il pensait à elle, rê-vait d'elle toutes les nuits alors que justement elle s'était vêtue ainsi pour retenir son attention.

- Oh mon Dieu... Qu'ai-je fait en m'habillant ainsi pour lui? Pour quoi ai-je enfilé une tenue sexy pour lui plaire? Frémissait Terri en regroupant ses esprits, en enlevant sa main de son tendre piège.

Elle repoussa sa chaise en arrière, elle voulut se lever, sa chaise faillit tomber dans son dos alors qu'elle balbutiait :

- Je... Skipper... Je... Je dois partir rapidement... Pour arriver à temps à mon déjeuner avec mes amies...

Skipper observait attentivement la femme de ses rêves qui se préparait à se ruer dans sa maison pour lui échapper.

Il remarqua que dans sa hâte, elle avait mal refermé la porte coulissante qui était restée entrouverte.

Il ne voulait pas laisser passer cette occasion en or qu'elle lui offrait invo-lontairement, il se glissa discrètement dans la maison et verrouilla la porte coulissante dans son dos.

Regardant autour de lui il remonta le long vestibule s'approchant de son but... Leur chambre conjugale!

Jetant un oeil discret il vit l'adorable madame Wallace, lui tournant le dos, penchée sur une commode, cherchant visiblement à reprendre une attitude normale elle haletait sourdement.

- Bordel, ce qu'elle est bandante! Pensait Skipper alors qu'il s'ap-prochait, il tendit la main qu'il posa gentiment sur sa taille, à ce contact inattendu elle haleta :

- Ahhhhhhhhhhh... Non... Skipper... Nonnnnnnn... S'il te plait... Je t'en prie... Tu... Tu n'as rien à faire dans ma chambre! Va-t'en! Je dois me rendre à mon déjeuner!

Se rapprochant encore d'elle, son corps venant au contact du sien, il lui murmura à l'oreille :

- Vous êtes si bien habillée... Si sexy juste pour me plaire, n'est ce pas madame Wallace? Vous mentez au sujet de ce repas à la li-gue féminine, n'est ce pas? Monsieur Wallace a consulté votre agenda, il mentionnait ce repas à la date de demain... Vous vous êtes habillée ainsi juste pour moi, n'est ce pas madame Wallace?

La sentant frissonner, entendant son sourd halètement, il écarta large-ment ses doigts posés sur sa taille, l'encerclant quasiment.

Terri ne parvenait pas à regrouper ses esprits, pas avec ce séduisant jeune homme si près d'elle, la touchant intimement.

Elle frémit et grinça des dents en sentant les doigts de son jeune élève ouvrirent les boutons de son corsage pour se couler sur la chair de son estomac pour la caresser encore plus intimement

- Skipper... Non... Je t'en prie... C'est... C'est mal... Je... Je suis mariée... Et tu es... Tu es un ancien élève... frissonna-t-elle en priant pour que ses supplications l'amènent à cesser ses caresses si enivrantes, lui permettant de préserver sa fidélité envers son ma-ri!

Se pressant contre elle, il lui grignota le lobe de l'oreille avant de titiller l'intérieur de son oreille.

- Je vous aime madame Wallace! Je vous ai toujours aimée... Et maintenant je vous veux... Je veux vous faire l'amour... Et vous aussi, vous voulez qu'on s'aime, n'est ce pas? Vous brûlez d'en-vie que je vous fasse l'amour? N'est ce pas madame Wallace? Lui soupirait-il tendrement.

- Ohhhhhh... Ohhhhhhhhh Skipperrrrrrrrrrrr... Ahhhhhh... vagit-elle alors que sa main empaumait un de ses nibards au travers de son soutien-gorge de dentelle.

Sentant ses tétons s'ériger entre ses doigts, Skipper continuait à l'allu-mer alors que son autre main commençait à déboutonner son corsage.

Une fois son chemisier ôté de sa jupe il s'attaqua à deux mains à son soutien-gorge le repoussant au-dessus de ses tendres mamelles.

Skipper commença alors à malaxer et triturer ses nichons, les amenant à se raidir sous l'indéniable l'excitation, ses tétons étaient dressés comme des petites gommes, il adorait entendre son ex-prof si sexy gémir alors qu'il la caressait intimement.

Totalement sous l'emprise du plaisir qui lui octroyait les caresses de son jeune ex-élève, elle ne put qu'agripper le rebord de la commode pour s'éviter de défaillir.

- Ohhhhhhhhh... Oooooooohhhhhhhhhh... Frissonnait-elle, yeux fermés alors qu'il lui mignotait lascivement les nichons, une ca-resse que jamais personne, à part son mari ne lui avait décerné, et surtout pas des étudiants en mal d'amour...

A cet instant, défaillant sous caresses, Terri oubliait totalement son che-misier qu'il lui ôtait tendrement le laissant choir au sol.

Il en advint de même lorsqu'il lui dégrafa son soutien-gorge, descendit les bretelles sur ses bras, la jolie pièce de dentelle tomba à son tour sur le sol de la chambre.

La robe déboutonnée, la fermeture éclair descendue, son léger vêtement tomba sur ses chevilles?

Quelques secondes plus tard il roulait sa petite culotte de dentelle sur ses hanches puis sur ses mollets avant de rejoindre sa robe tirebou-chonnée sur ses hauts talons.

Stupéfiée par la force de Skipper qui l'enlevait comme une plume dans ses bras, Terri drapa son bras autour de son cou pour ne pas tomber, les lèvres de son ancien élève prirent alors goulûment possession des siennes.

Lèvres entrouvertes, elle frissonna alors que l'épaisse langue de Skipper dardait dans sa bouche qu'elle inspectait alors minutieusement, en ré-ponse elle l'entoura de la sienne.

Bien que confiant en lui-même Skipper ne parvenait pas encore à croire en sa bonne fortune alors qu'il tenait sa ravissante ex prof entre ses bras l'embrassant passionnément.

C'était un rêve que d'avoir la somptueuse madame Wallace entièrement nue dans ses bras à l'exception de ses hauts talons et de sa petite culotte pendant à sa cheville droite.

C'était d'autant plus émouvant que c'était la première fois qu'il allait par-tager le lit d'une femme mariée, une jeune femme mariée aussi ravissante que sophistiquée, et de plus sur le lit conjugal du couple.

- Ooooooooooo... Oh, mon Dieuuuuuuu... Skipper... Skipper... Que me fais-tu? Frémit Terry alors qu'il l'allongeait sur son lit.

Elle frissonnait de plaisir, son corps était parcouru d'ondes lubriques, qui émanait de son sexe avidement léché par son jeune amant.

- Ohhh... Oh... Oh, mon Dieuuuuuuuuuu... Ahhhhhhhhhhhh... Gé-missait-elle le corps secoué de sursauts convulsifs alors qu'un intense orgasme la terrassait sous les lèvres de Skipper qui dégus-tait son petit clito érigé.

Jamais Terry n'avait expérimenté des sensations aussi fantastiques!

De fait jamais un homme n'avait enfoui son visage entre ses cuisses, même pas son petit mari.

Elle avait juste lu dans des magazines ce que voulait dire "se faire brou-ter le minou".

Il était évident que les rôles de prof et d'étudiant étaient inversés, l'inno-cente petite prof apprenait les joies du sexe par son ancien élève qui s'avérait un excellent professeur.

Terry sentait des flashs électriques escalader ses flancs alors qu'elle s'arquait pour lui permettre de mieux savourer sa foufoune engorgée de sang et de cyprine.

Et maintenant, cuisses grandes écartées elle sentait le sang s'accumuler dans ses babines charnues, un éclair traversa soudain la tête de Terry en réalisant sa faiblesse.

Elle avait fait don de sa virginité à son mari lors de leur nuit de noce et voilà qu'elle se préparait à lui être infidèle.

Elle était sur le point de commettre un adultère, et de plus sur leur lit conjugal... Et pire encore, avec un de ses anciens élèves.

Elle ne pouvait dénier le fait qu'elle voulait que Skipper lui fasse l'amour, qu'elle n'avait aucunement l'intention d'arrêter en si bon chemin... Mais Terry réalisa soudain que Skipper était prêt à la posséder sans prendre aucune précaution.

- Skipper... Ohhh, Je ne veux pas que tu t'arrêtes... Mais... S'il te plait... Je t'en prie, enfile une capote... S'il te plait... Je t'en prie, Skipper... Tu... Tu risques de m'engrosser... " le suppliait-elle mi-sérablement.

Il n'était pas question pour Skipper d'arrêter pour enfiler un préservatif.

De fait ça rendait sa conquête encore plus excitante.

Il tenait dans ses bras sa charmante maîtresse d'école, elle tremblait sous ses caresses alors qu'il pressait son gland turgescent contre sa fentine juteuse.

Il avança un peu son pubis en entendant la somptueuse madame Wallace gémir de plaisir, il frissonnait follement en l'entendant vagir :

- Skipper... Oh, Skipperrrrrrrrrr... S'il te plait... Sois gentil... Ohh-hhhhh, mon Dieuuuu... Ton pénis est si groooooosssss... Pleurnichait-elle misérablement en sentant son épieux de chaire s'engouffrer profondément dans ses profondeurs, elle gémissait comme jamais elle n'avait gémi tant son plaisir et sa douleur étaient grands.

Et encore n'était-ce que le début alors que son amant se retirait de quel-ques centimètres pour se mettre à la labourer énergiquement.

Elle avait orgasme sur orgasme, elle nouait ses jambes dans le dos de son jeune amant, alors qu'il l'entraînait vers de nouveaux orgasmes.

Lèvres collaient à celles de son jeune amant, langue visitant sa bouche, bras et jambes verrouillées dans on dos Terry succomba à un nouvel orgasme alors que son ancien élève explosait profondément en elle.

Un flot de foutre jaillit dans son intimité, un torrent de foutre qui lui emplit la cramouille, c'était encore une sensation nouvelle pour elle, son mari utilisait toujours des préservatifs quand ils faisaient l'amour.

- Ohhhhhh... Skipper... Skipppeeeeeeeeerrrrrr... Pantela-t-elle lon-guement.

Ils dormirent dans les bras de l'un l'autre, imbriqués l'un dans l'autre comme seuls des époux devraient l'être, ils s'éveillèrent en même temps.

Ils s'étreignirent fiévreusement s'embrassant passionnément avant de se livrer à une nouvelle séance de baise, la grosse bite de Skipper coulis-sait toute à son aise dans sa foufoune inondée.

Jamais le lit des Wallace n'avait subi une séance amoureuse aussi vigoureuse à ce jour, il couinait et craquait de toutes ses membrures, la tête de lit frappant en mesure le mur sur lequel elle s'appuyait.

Tard dans l'après-midi, alors que Skipper emplissait les derniers sacs à ordure d'herbe coupée, il releva les yeux et vit arriver la voiture de mon-sieur Wallace.

Skipper savait que dans la chambre, la ravissante femme du proprio cherchait actuellement à aérer les lieux après avoir frénétiquement changé les draps souillés de sperme avant que son mari n'arrive.

Comme monsieur Wallace pénétrait dans l'arrière cour pour le saluer et lui serrer la main, Skipper se marrait intérieurement de serrer amicale-ment la main de cet homme dont il venait de séduire et baiser la femme pendant toute la journée.

Ayant suborné une jeune femme heureusement mariée pour la première fois, Skipper ne parvenait pas à croire ce sentiment de plénitude qui l'emplissait, lui rendant sa conquête encore plus savoureuse.

- Bordel quel bon coup! Bientôt madame Wallace se relèvera la nuit pour lui donner le biberon afin d'arrêter ses pleurs! Gloussait-il en son fort intérieur.

Puis la pensée d'un challenge lui vint en tête :

- Combien de paisibles et fidèles femmes mariées n'attendent qu'un jeune comme moi pour se vautrer dans leur lit?

Il ne lui restait que six semaines avant de rejoindre l'université, il était conscient que cela risquait de prendre un certain temps pour se glisser dans la petite culotte d'une autre jeune femme mariée.

L'épisode avec madame Wallace était très différent, il s'agissait de son ancienne maîtresse d'école et il la connaissait depuis des années.

Il était déterminé à ne traiter les pelouses que des maisons où il savait pertinemment que de ravissantes jeunes femmes demeuraient en com-pagnie de leur mari et de leur famille.

Comme la banlieue était relativement petite, Skipper connaissait presque tout le monde et s'il se posait des questions sur le lieu de résidence de certaines beautés, il pourrait se servir de l'annuaire téléphonique.

La chance semblait lui sourire, Greg Foster, un de ses coéquipiers l'invi-ta à venir vider une bière en sa compagnie un vendredi soir.

Comme ils n'avaient ni l'un ni l'autre l'âge de consommer des boissons alcoolisées, son copain l'informa que ses parents ne faisaient pas trop attention à cela.

Ses parents seraient là, mais ils ne les gêneraient pas, ils voulaient juste que pas un de ses copains n'aient d'accident au sortir de chez après avoir bu quelques bières.

Skipper savait que madame Eileen Foster était ravissante, car il l'avait déjà admiré à plusieurs reprises, il se demandait s'il parviendrait à se glisser dans sa petite culotte maintenant qu'il avait une certaine expé-rience des femmes mariées.

Autour de la piscine des Foster, garçons et filles faisaient la fête, Greg avait invité ses parents à participer à leur petite fête.

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