Rose Rouge

BÊTA PUBLIQUE

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Jenna avait dit ça en souriant, tout en branlant doucement le sexe du docteur. Je n'en croyais pas mes oreilles. Moi, j'étais une privilégiée? Je n'étais pas tout à fait sure de ce que cela signifiait. Je pensais être en train d'expérimenter le pire de ce que cette thérapie avait à m'offrir. Le docteur avait précisé que le début était difficile. Et voila que Jenna expliquait qu'il avait eu la main légère avec moi?

« Elle est paralysée Jenna, regardez là. Je ne veux pas la terrifier. Enfin pas complètement. Mais ne vous en faites pas, quand elle sortira d'ici, j'aurai fait d'elle une parfaite petite catin et sa honte ne sera qu'un mauvais souvenir. »

Je réalisais que j'étais parvenu tant bien que mal à relever la tête et que mes yeux restaient rivés sur la bouche de Jenna. Bien sur j'avais déjà vu ce genre de chose, mais jamais en vrai, jamais d'aussi prés. Avec surprise, je découvrais que je l'enviais. Jenna était belle, une femme forte à la poitrine opulente qui débordait de son corsage. Elle suçait comme si c'était la chose la plus banale sur terre, elle semblait si sure d'elle, maîtresse de ses émotions. J'aurais voulu être elle à cet instant, et j'aurais moi aussi voulu sucer avidement la queue du docteur comme elle le faisait.

« D'ailleurs elle vous plaît aussi, Jenna. J'ai compris votre manège, vous avez l'œil sur elle depuis le début. »

Jenna eut un bref rire, et concéda sa défaite.

« C'est vrai. »

« Eh bien puisqu'elle vous intéresse tant, je vous autorise à jouer avec elle. »

Jenna ne se le fit pas répéter et se leva.

J'entendis à nouveau le son de ses talons sur le sol alors qu'elle se positionnait derrière moi, face à mon intimité que j'exposais toujours. Je sentis ses mains, bien plus douce et manucurées que celles d'Edimond me caresser lentement.

« Elle est trempée Edimond. Vous lui faites de l'effet. »

Elle commença alors à frapper mon sexe du plat de sa main, de rapides claques légères mais répétées. La douleur n'était pas particulièrement vive, mais une sensation de chaleur et de légère brûlure s'empara alors de mon bas ventre.

« C'est une patiente encourageante, oui. Elle est enthousiaste, déterminée et prête à tout. Ce sont les qualités dont tu auras besoin si tu veux suivre ma thérapie, Sophie. Mais je suis sur que tu ne me décevras pas. »

Edimond prenait son temps et observait avec attention Jenna s'occuper de mon sexe et de mon cul. Celle ci alternait les caresses avec les fessées, avec une régularité qui me rendait folle. Je perdais peu à peu l'esprit et tout se melangeait dans un tourbillon de plaisir, de douleur et de honte. Je gémissais faiblement lorsque les mains de Jenna m'amenaient proche de l'orgasme, mais celle ci prenait un malin plaisir à me stopper avant que celui ci ne vienne franchement. Elle me gardait sur la brèche, brûlante et enfiévrée.

« Oh d'ailleurs, Sophie j'ai oublié de te préciser quelque chose. Je suis prêt à te suivre et à m'occuper de toi pour te transformer en une petite salope éhontée. Mais je suis un professionnel comme tu le sais. Ce qui signifie que cela ne sera pas gratuit. Tu devras payer pour tes séances. Est ce que tu comprends? Est ce que tu l'acceptes? Je veux entendre une réponse claire. »

C'était trop pour moi. Payer? Je devais payer pour que deux heures par semaine, le docteur fasse de moi sa chose, son jouet sexuel pour lui et son assistante? Je savais que c'était inacceptable. Je savais que n'importe qui se serait immédiatement levé, aurait pris ses affaires et serait parti. Mais j'étais désespérée, et je ne savais plus à qui me vouer pour guerir mes problèmes. Il affirmait pouvoir m'aider? J'entendais bien vérifier par moi même. Si Edimond était un charlatan qui abusait de ma crédulité et de ma condition pour faire de moi son jouet, je m'en rendrais compte bien vite. Et alors je lui ferais payer. Je relevais la tête et fixais le docteur droit dans les yeux, un air de défi sur mon visage.

« Oui. »

J'entendis Jenna partir d'un grand rire derrière moi. Confuse, je tentais de tourner la tête vers elle pour voir son visage, mais Edimond reposa son pied et me plaqua contre le sol. J'entendis en revanche le son de sa voix.

« Aha elle est prête à payer Edimond. Je crois que c'est la première fois que je vois ça. »

Sa main frappa mon cul avec force et je sursautais.

« Croyez vous qu'elle soit en train de prendre goût à son traitement? Le dernier patient s'était braqué quand vous aviez proposé cela. » reprit la voix de Jenna. Edimond répondit calmement, s'adressant à moi.

« Ton enthousiasme est un plaisir, Sophie. Mais je ne compte pas te faire débourser un centime. Comme je le te disais, je te trouve à mon goût. Je vais donc t'offrir une remise sur le prix. »

Edimond releva ses pieds et ses yeux trouvèrent les miens, alors que je tentais de relever la tête.

« Chaque fois que tu viendras ici, tu me laissera ta petite culotte en guise de paiement. Tu rentreras chez toi à pied, sans sous vêtements. Considère cela comme un exercice pratique. Est ce que tu comprends? »

J'approuvais de la tête, estomaquée. Mes sentiments étaient confus. Jenna, que j'avais prise dans un premier temps pour un modèle de bienveillance, était bien plus cruelle que ce que j'imaginais. Edimond pouvait de son coté faire preuve de pitié. Et moi, coincée entre ces deux pervers, je rougissais à n'en plus finir.

L'assistante revint se placer auprès du docteur et reprit son sexe en bouche, cette fois avec bien plus de vigueur. Je restais face au couple, à genoux, incapable de parler mais les yeux rivés sur les lèvres de Jenna qui embrassaient le sexe du docteur. Je sentais l'eau me monter à la bouche, mon cœur qui frappait dans ma poitrine et je réalisais alors que je frottais inconsciemment mon sexe contre le tapis du docteur, comme un animal en rut. Celui ci ne se formalisait pas de ce détail : Jenna avait pris son sexe en entier dans sa bouche et Edimond l'avait attrapée par les cheveux. Il lui baisait la bouche comme si elle n'était qu'un vulgaire jouet, sans la ménager. Et elle tenait son rythme. Je restai bouche bée, fascinée par ce spectacle obscène, partagée entre la honte et l'envie.

Au bout de quelques minutes de ce spectacle, Jenna attrapa le sexe d'Edimond et entreprit de le branler vigoureusement. Je pouvais lire dans les yeux du docteur que celui ci était proche de l'orgasme. Il s'adressa à nouveau à moi.

« Alors Sophie. Maintenant tu sais à quoi t'attendre. Qu'as tu appris aujourd'hui? »

Surprise, je tentais vainement de revenir sur la séance mais mes pensées étaient trop confuses pour que je sois en mesure de prononcer une réponse intelligible. Edimond s'en chargea.

« Tu as appris que lorsque tu pousseras cette porte vendredi prochain, tu devras mettre ta dignité de coté. Elle ne t'est d'aucune utilité ici. Tant que tu ne seras pas parvenue à t'offrir complètement à moi, ton traitement se poursuivra. Et crois moi, tu n'es pas au bout de tes peines. »

En prononçant ces mots, Edimond eut un râle de plaisir. Le bras de Jenna s'était accéléré et le docteur éjacula soudainement. L'assistante plaça sa main en coupe en face du sexe du docteur et s'assura de collecter le sperme de le creux de sa paume, qu'elle me tendit immédiatement.

« Lèche ça. Nettoie ma main bien proprement. La prochaine fois, ça sera sur le sol. »

Je m'exécutais, vaincue. Sous le regard amusé d'Edimond, je léchais le sperme collant dans la main de Jenna, comme un animal à qui on tend une friandise. Le goût était horrible, mais cela n'avait plus aucune importance. La honte n'avait plus aucune importance, ma colère envers la cruauté de Jenna n'avait plus aucune importance. Je voulais jouir, moi aussi, plus que tout. J'étais brûlante, fiévreuse et je savais pertinemment que mon corps était maintenant couvert de plaques rouges, mais cela n'avait aucune importance.

Je levais vers le docteur des yeux suppliants et il comprit tout de suite. Mais la sentence fut d'autant plus terrible.

« La séance est terminée Sophie. Tu peux prendre tes affaires et rentrer chez toi. N'oublie pas le paiement et je te retrouve vendredi prochain, à la même heure. » Edimond avait dit cela en retournant s'asseoir derrière son bureau. Jenna m'aida à me relever et à me rhabiller. Je laissais ma petite culotte sur le bureau du docteur et sortit sans que celui ci ne m'accorde un regard.

Dans le couloir du cabinet, je levai les yeux vers Jenna. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir se jeter sur moi pour me prendre dans ses bras, comme un enfant que l'on rassure après un cauchemar.

« Tu as été parfaite, Sophie, absolument parfaite. Si tu continues comme cela, tu vas faire des progrès incroyable tu vas voir » me susurra-t-elle à l'oreille en me caressant doucement. Je fondis en larme contre ses seins. C'était rassurant, après ce déchainement de cruauté, de la voir redevenir en un instant cette figure maternelle et bienveillante qui m'avait guidée dans le cabinet. Son murmure reprit, à mon oreille.

« Si tu as le moindre problème, tu peux compter sur moi. J'ai été rude avec toi, je le serai encore, mais cela fait partie du traitement. Tu es entre de bonnes mains ici, je veux que tu le comprennes, d'accord? »

Je bégayais des remerciements, sans vraiment comprendre ce qu'il se passait. Jenna me proposa de boire un thé, mais je déclinai. J'avais besoin de respirer l'air frais, dehors, de faire le point sur ce qu'il venait de se passer. Elle m'accompagna et resta à mes cotés, silencieuse, en fumant une cigarette. Dans la grande paroi vitrée qui ornait le bâtiment, je voyais mon reflet. Une jeune fille emmitouflée dans une énorme écharpe, aux joues rouges. Mais curieusement, cette fois ci, je réalisais que c'était sans importance. Je voulais rentrer chez moi, et je voulais me faire jouir comme si j'allais mourir demain. Je lançai un regard étrange à Jenna qui m'observait en silence. Elle s'assurait que je redescendais bien sur terre en douceur, et je lui en étais reconnaissante. Nous echangeames un sourire, puis elle me tendit un petit papier, plié en quatre.

« Des instructions. Pour la séance de vendredi prochain. » me lança-t-elle avec un sourire en coin.

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Anonymous
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3 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a environ 7 ans
Top Qualitty

Magnifique entrée en matière, très bon scénario, belle écriture et belle description.

A consommer sans modération.

AnonymousAnonymeil y a environ 7 ans
Génial !

Une approche plus qu'originale du BDSM… en faire un traitement médical est une idée de génie !

C'est bien écrit et ça se lait aisément, bravo !

trouchardtrouchardil y a environ 7 ans
Merci

Merci pour ce texte original. J'ai bien aimé.

Et bienvenue dans la partie française de "Literotica". J'espère que tu continueras de nous nourrir d'histoires.

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