René et ses Proies 07

BÊTA PUBLIQUE

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-Tu vois, ton ami Leila qui se croit plus maline que les autres, n'aurait jamais dû accepter ma bague. Elle va s'en apercevoir assez vite, crois-moi. Pour fêter cette excellente journée, tu vas accélérer le rythme de ta main et bien ouvrir ta bouche. Je n'en veux pas une goutte par terre, tu m'entends!

Pippa suivit les ordres, saisit fortement la queue de Monsieur René et commença à accélérer son rythme comme demandé, plaçant sa bouche grande ouverte juste devant l'orifice par lequel arriverait les premières giclées du sperme de son maître.

Son attente ne fut pas très longue. Il sentit les vibrations annonciatrices de l'éjaculation à venir.

-Pippa tu es vraiment très douée, ma petite salope! Ouvre bien ta bouche et avale tout lui intima Monsieur René avant de gémir franchement.

Une première giclée atteignit Kevin pile dans sa bouche, la seconde suivit immédiatement et il faillit la rater. Kevin décida de poser ses lèvres autour du gland afin de ne rien perdre du précieux liquide.

Monsieur René sentit distinctement le doux fourreau de la bouche de Kevin l'enserrer. Il grogna et plongea ses deux mains sous le comptoir, attrapant les lobes d'oreilles de Kevin pour immobiliser sa tête pendant qu'il se vidait. Décidément, cette petite chose docile était une merveille.

Sur l'écran de son ordi, il suivait en même temps le Live « Pippa la soumise suce son maitre et avale! ». Gros score et belles retombées financières comme prévu. Les deux caméras filmaient parfaitement la scène. Une en grand angle et de dos, l'autre juste au-dessus de la tête en action en vue plongeante.

Les internautes avaient parfaitement pu voir la bouche de Pippa entourer son gland, les mains de René agripper ses oreilles, emprisonnant sa tête. Ils voyaient les joues de Pippa se gonfler et le sperme gicler et envahir cette petite bouche affamée.

Les compliments ne cessaient pas sur la performance de Pippa. On lui demandait toujours et encore quand on pourrait s'attacher ses services. Des dizaines de personnes sur toute la planète rêvaient de s'occuper d'elle sérieusement. Certains voulaient juste l'avoir à leurs pieds une journée pour se faire sucer et branler autant de fois que possible d'autres imaginaient bien d'autres choses et des supplices si pervers... Tout se passait à merveille.

René ne répondit à aucune de ces questions, il se contenta de préciser qu'il y aurait durant les trois prochains jours d'autres Live de « Pippa la soumise » qui seraient annoncés via les canaux habituels et qu'il leur préparait la prise dans ses filets d'une nouvelle découverte se nommant "Leila". Teasing efficace s'il en était!

Maintenant que son ami le Commissaire était prévenu que Leila avait en sa possession la fameuse bague qu'il lui avait remise (et qu'elle avait eu la mauvaise idée d'accepter), il ne lui restait plus qu'à attendre les premières nouvelles du matin et le coup de fil du Commissariat demain.

Il pensait à cette petite prétentieuse qui ne prêtait pas attention à tous les détails. Elle croyait vraiment qu'il ne la voyait pas avec son mobile en train de le filmer de l'autre côté de la rue? Elle se pensait cachée, à l'abri, mais il n'en était rien. Monsieur René savait très bien qu'elle ne pourrait s'échapper ni vue ni connue ce soir après sa petite rencontre avec sa Pippa.

Elle qui se croyait au-dessus des autres... Oh oui, elle avait dû filmer sa petite Pippa en train de se foutre à poil. Elle avait dû la voir passer sous son comptoir et se demander ce qu'elle y faisait. Supposer des choses en voyant ce vieux commerçant stupide qu'elle venait de rencontrer s'asseoir à son poste comme si de rien n'était. Dieu sait ce qu'elle s'imaginait et ce qu'elle pensait faire de ses images depuis qu'elle le filmait.

Quelle importance, il s'en foutait. Qu'elle filme tout ce qu'elle voulait, qu'elle s'excite dessus, qu'elle mouille bien en imaginant ce qu'elle voulait. Il n'arriverait rien. Dans quelques minutes son portable serait aux mains de policiers consciencieux qui le remettrait à leur supérieur. Fin de partie ma petite!

Monsieur René sentit la langue de sa petite Pippa faire le tour de son gland et le lécher encore, s'imprégnant des dernières gouttes qu'il pouvait offrir. Cela faisait un bon moment qu'il s'activait doucement sur sa tige ramollie la nettoyant consciencieusement. Très obéissante comme toujours cette petite se dit René. Il relâcha la pression sur la tête qu'il avait entre les mains et la repoussa assez rudement.

-C'est bien Pippa, tu progresses. Tu es en train de devenir également une avaleuse convenable. Tu peux sortir, te rhabiller et rentrer chez toi. Sois à l'heure demain.

Monsieur Rena se leva, rangea son sexe parfaitement nettoyé dans son caleçon et ajusta son pantalon comme si tout ce qui s'était passé était le plus normal possible. Sa petite suceuse était sortie difficilement de son lieu de travail, sans doute avec quelques courbatures. Elle ramassait ses affaires pour se rhabiller.

Il était temps de repasser en mode « domination ». Kevin se retrouva poussé fermement dans le couloir alors qu'il était encore nu ses fringues dans les bras. La porte se referma sur lui mais il attendit parfaitement Monsieur René lui dire :

-Facile, tu connais le chemin! Surtout, tu suis les lumières!

René adorait dire cela. Il ne s'en lassait jamais se sentant tel un Dieu omnipotent et irrésistible. Cette phrase l'excitait au plus haut point.

Dans la rue, Leila essayait de comprendre, ce qu'il s'était passé et s'interrogeait encore sur le comportement de ce René et surtout sur ce que Kevin pouvait bien faire dans ce magasin. Elle était en train de revisionner la séquence filmée avec son appareil pour se persuader qu'elle ne rêvait pas!

Son petit camarade, si doux et timide, qu'elle croyait amoureux transi d'elle, ce dont elle comptait bien profiter encore il y a peu de temps, s'était bien mis à poil et s'était accroupi entre les jambes du vieux cochon pervers qu'elle avait rencontré ce même jour. Elle ne rêvait pas et comprenait parfaitement ce qu'il avait dû se passer ensuite. Leila n'en revenait toujours pas!

Le réservé et obscur Kevin cachait bien son jeu de petite tapette avide de vielles queues! Il s'appelait donc Pippa dans ce magasin et jouait de la turlutte entre les jambes du vieux porc poilu qu'elle avait dû supporter plus d'une heure pour gagner une belle bague!

Leila avait déjà en tête de passer l'info à un ou deux potes qui sauraient quoi faire de Kevin. S'il aimait vraiment les queue, il en allait en découvrir d'autres bien plus jeunes!

Quand Leila pensait au sexe, une certaine vulgarité lui venait naturellement à l'esprit et n'en finissait pas de la stimuler. Se questionnant sur les qualités de suceuses de son Kevin, elle se demandait si la fameuse "Pippa" savourait le foutre de son patron où s'il se contentait d'en prendre de longues rasades sur son visage et son corps?

Pippa avait-elle découvert les joies d'une bonne sodomie et s'était-elle sentie perforée par le sexe d'un vrai mec ou son petit Kevin restait-il vierge de l'arrière-train? Pour sa bouche, aucun doute, étant donné la durée de la séance du jour, ce n'était pas une première!

Leila perdue dans ses pensées, se faisait la liste de ceux qui prendraient un grand plaisir à le défoncer salement dès qu'elle leur aurait raconté sa journée et montré sa petite vidéo. Kevin, enfin Pippa puisque c'était ainsi qu'il allait falloir l'appeler, allait prendre très cher! Les mecs qu'elle connaissait allaient vite lui coller des poppers sous le nez histoire de lui élargir les idées et son trou du cul!

Quand il serait bien parti et serait offert à eux, son cul s'en souviendrait et le brulerait sérieusement.

Leila comptait bien exploiter sa découverte au plus vite : Le zoom de son mobile était parfait et malgré la relative obscurité, on distinguait bien tout ce qui s'était passé en face d'elle.

Leila se préparait à envoyer sa petite vidéo à quelques bons amis quand une main s'abattit sur son épaule et qu'une voix autoritaire lui intima :

-Police! Madame, je vais vous demander de poser votre mobile au sol de mettre vos mains derrière votre dos sans mouvement brusque! Immédiatement!

Le ton vif de la demande incita Leila à obtempérer illico malgré sa surprise évidente. Elle ne se posa pas de question, n'eut même pas envie de crier, à peine se permit-elle de vérifier que plusieurs policiers se trouvaient bien derrière elle lorsqu'elle posa son mobile au sol.

C'était quoi ce bordel se disait-elle!? Nom d'un chien, il y a erreur de personne! Elle plaça néanmoins ses mains derrière elle et sentit aussitôt des menottes se refermer sur ses poignets d'un « clic » sonore, brutal et sec.

On la retourna assez brutalement. Un agent la tenait en respect avec une arme, un autre parlait dans une radio et était équipé comme un commando militaire. Deux autres pareillement équipés semblaient faire le guet comme si elle était une personne dangereuse, éloignant les passants avec des sonores et autoritaires «Circulez! Circulez Messieurs Dames SVP!».

S'il n'y avait eu le caractère imprévu et surréaliste de la situation la concernant directement, Leila se serait crue dans un documentaire TV qui montre les flics en pleine action. Elle cherchait presque les caméras, mais n'en vit aucune.

L'agent à la radio lança :

-Monsieur le Commissaire, opération terminée, suspecte appréhendée. Retour au Commissariat avec l'interpellée d'ici quinze minutes.

Leila n'y comprenait plus rien. Elle ne sut jamais si elle avait vraiment vu René lui faire un signe de la main et afficher un grand sourire ou si dans le stress de la situation, elle avait rêvé.

Pour la première fois de sa vie, un policier appuyait sur son crâne pour qu'elle ne heurte pas le toit d'une voiture en y entrant. Il l'invitait fermement à rejoindre un collègue à l'arrière du véhicule banalisé, mais doté d'un gyrophare bien actif, qui venait d'arriver à vive allure et de se garer devant la petite troupe avant de repartir avec sa prisonnière.

Il n'avait fallu que quelques minutes pour que le trottoir se vide et que rien ne subsiste de son arrestation. Peu de passants étaient présents en cette fin de journée et personne n'avait eu le temps de sortir son mobile et de filmer la scène. Dans quelques minutes, face à la soudaineté des événements, tout le monde aurait oublié la scène. Leila ne le savait pas, mais elle allait disparaître durant 72 heures et personne ne penserait à elle.

Toute la semaine qui suivit Kevin fut à l'heure, attentif, progressant dans tous les registres qu'on lui enseignait. Anna et Martha continuèrent pourtant à le punir sévèrement alors que sa maitrise du maquillage et des soins de beauté devenait époustouflante. Leur petite Pippa était capable de se transformer en adorable salope en si peu de temps, effaçant Kevin sans jamais rechigner, pour devenir Pippa en quelques minutes.

À sa Fac, alors que l'absence soudaine de Leila n'intéressait que peu d'étudiants, ses camarades remarquèrent les changements physiques affectant Kevin. Ses ongles colorés, ses mains manucurées, ses cils et ses yeux délicatement mis en valeur, ses lèvres surlignées, le relief d'un string sous son pantalon moulant, etc.

Les signes ne trompaient personne, mais les temps changeants, ils furent nombreux à comprendre et à accepter que le timide Kevin fasse un « coming out » discret et s'offrent à eux dans sa nouvelle vérité.

Il y eut bien évidemment deux ou trois mecs un peu lourds pour faire des remarques désobligeantes et quelques jeunes femmes un peu choquées par cette transformation. Néanmoins, tous acceptaient cette évolution affirmée au grand jour.

Kevin nota même qu'il nouait de nouvelles relations avec des étudiants qu'il n'aurait jamais osé aborder. C'était comme si sa mutation attirait vers lui un vent de sympathie et de compréhension. Lui qui pensait choquer et souffrir de propos insultants en venait à apprécier la situation. Il ne s'était jamais senti aussi bien à la Fac. Même les enseignants lui demandait si tout allait bien, si les cours étaient clairs et s'il n'avait pas besoin d'être aidé.

Le vendredi matin, il décida de lui-même de venir à la Fac habillé en femme sexy et presque provocante. Il nota les regards admiratifs de certains, se sentit belle, attirante, confiante. Il dut se retenir de bander sous l'excitation qu'il éprouvait aux regards pleins d'avidité que lui lancèrent plusieurs personnes en le croisant.

René qui avait profité des services de Kevin tous les soirs se faisant branler et sucer plusieurs fois décida que comme prévu, le vendredi serait une journée de tests. Anna et Martha avait récupéré un Kevin totalement féminisé en Pippa à leur grande surprise. Elles le fessèrent longuement avec un vif plaisir tant Pippa mit tout son être à accepter cette punition.

Après ses leçons du jour, elles décidèrent de l'envoyer ainsi vêtue et parfaitement coiffée et maquillée auprès de Monsieur René. Celui-ci ne dit rien et lui demanda presque gentiment d'aller dans son réduit des plaisirs sans se déshabiller.

À la grande surprise de Kevin, ce n'était pas Monsieur René qui était venu finalement s'asseoir, mais un autre homme qu'il ne connaissait pas. Celui-ci avait ouvert aussitôt sa braguette et une odeur étrange et forte, mélange d'urines et de sueurs masculines mêlées, en avait émergé enveloppant Kevin. Il avait alors agi mécaniquement comprenant parfaitement ce que l'on attendait de lui.

Plongeant ses deux mains dans cette braguette, déboutonnant le bouton du pantalon, il avait extirpé assez facilement un membre de taille raisonnable déjà tendu à l'extrême, droit comme un I majuscule. Quelques poils gris attachés les uns aux autres étaient collés à la base du sexe. Cela sentait fort l'homme en chaleur et Kevin en fut retourné de pulsions qu'il commençait à bien connaître et à savourer.

Sa bouche se précipita au secours de ses mains et enfourna cette bite suintante qui lui était réservée. Il la suça férocement, goulument et parvint à la faire jouir en quelques brèves minutes, aspirant un sperme âcre et odorant dont il n'aima pas le goût, mais qu'il avala sans rechigner une seule seconde. Le plaisir était là malgré tout, étrangement.

L'homme poussa un grognement satisfait, se laissa nettoyer par cette bouche si efficace, remballa son sexe dans son pantalon, beaucoup plus propre qu'il l'avait sorti et se releva après avoir flatté la tête entre les jambes comme s'il s'était agi d'un petit animal de compagnie.

Kevin l'entendit déclamer :

-Putain merci René! Ta Pippa c'est la suceuse plus efficace suceuse que ma bite a jamais croisée! Tu dois bien t'amuser mon salaud!

Kevin sourit à ce compliment et savoura sa minute de gloire. Une fois l'ami de Monsieur René parti, Monsieur René vint le chercher et le saisissant aussitôt par la taille, l'embrassa tendrement comme s'il était fier de sa performance, sa langue fouillant sa bouche toujours aussi savamment, avant de lui parler en lui donnant une enveloppe :

-Pippa je suis content de toi. Tu as été presque parfaite cette semaine. Pour te récompenser, tu trouveras dans cette enveloppe un billet de train et toutes les infos pour un séjour que je t'offre dans un Palace sur la côte normande. Je te libère pour trois jours de vacances aux frais de la maison, tu les as bien méritées!

Kevin ne savait que répondre, Monsieur René enchaîna poussant une petite valise rouge vers lui :

-Tu as toutes les affaires dont tu as besoin là-dedans. Un Taxi t'attend devant le magasin et va t'amener à la gare, un autre te prendra en charge à ta destination d'arrivée. Tout est expliqué dans l'enveloppe et il y a même de l'argent de poche pour que tu en profites vraiment. Ne me dis pas merci et profite bien de ces trois jours. RDV mardi après tes cours à la Fac. Tu peux sauter le lundi, tu auras tes cours pris par un ami, je me suis occupé de tout. Ta formation se poursuivra avec Anna et Martha jusqu'à ce que je juge que tu as atteint les objectifs que je me suis fixé pour toi!

Trente minutes plus tard, la charmante Pippa était assise en Première Classe d'un TGV, honteusement draguée par un homme d'une quarantaine d'années. Malgré ses talents de séducteur invétéré, le Dom Juan ne comprit jamais pourquoi cette jeune femme si attirante n'avait pas cédé à ses avances et lui avait résisté...

En fait, elle avait préféré tout simplement rompre la conversation entamée contrainte et forcée par leur voisinage commun sans autre forme de procès et se plonger dans la lecture d'une lettre. Puis elle était restée silencieuse et pensive l'ignorant.

Étrange, les femmes sont souvent imprévisibles se dit le dragueur, matant la contrôleuse de la SNCF et son gros cul qui venait d'attirer son attention. Oui, c'était ça! Un bon gros cul bien rond dont il aurait aimé s'occuper avant la fin de son trajet.

Se désintéressant lui aussi de sa voisine, il offrit son plus beau sourire à la préposée aux kilos en trop. Elle s'approcha de lui en ondulant presque gracieusement. Espèce de grosse vicieuse pensa-t-il aussitôt. Il laissa sa main pendre dans le couloir de circulation presque innocemment.

Lorsqu'elle eut fini de contrôler son billet et qu'elle se retourna vers ses voisins, l'employée s'assit presque sur son avant-bras, emprisonnant sa main entre ses grosses fesses!

Les femmes sont vraiment imprévisibles! Une de perdue, une de trouvée. Life goes on! L'homme se concentra sur Miss Gros Cul! En deux heures de trajet, il devrait bien arriver à un résultat intéressant avec elle!

Pippa se demandait qui était le fameux Robert qu'elle allait rencontrer dans ce Palace et dont elle devrait accepter toutes les demandes! Monsieur René lui garantissait qu'elle ne le regretterait pas.

Pippa commença à rêver à Robert, l'imaginant sous plusieurs formes : jeune ou vieux, poilu ou pas, grand ou petit, etc. Elle trouvait dans toutes les combinaisons qui lui venaient à l'esprit motifs à fantasmer. Pippa était maintenant prête à franchir une étape cruciale de son évolution, elle le savait. Kevin s'évanouissait définitivement en elle. La petite chenille allait enfin laisser s'envoler et donner vie à un beau papillon qui déploierait ses ailes...

Mais en fait d'ouvrir ses ailes, c'était son cul qui allait être ouvert! Pippa s'en doutait bien et rêvait en silence à ce qu'elle ressentirait vraiment quand elle serait pénétrée. Imaginant mille douleurs et mille plaisirs enchanteurs, un sourire éclaira ses lèvres et sa langue les humecta doucement. Plus qu'une heure trente de trajet se dit-elle.

Son voisin se leva, elle ne le revit pas avant l'arrivée en gare du TGV. La nuit était tombée dehors, Pippa ferma les yeux et somnola.

Depuis presque deux jours maintenant, Leila avait été mise en cellule. Elle avait beau avoir crié, hurlé sa rage et son incompréhension, il ne s'était rien passé. Personne ne lui avait adressé la parole. Des plateaux avaient été apportés pour qu'elle puisse manger. La bouffe était dégueulasse, mais elle avait fini par avoir faim. Les bouteilles d'eau minérale qu'on lui avait donné étaient déjà ouvertes et le liquide pas très clair.

Elle avait d'abord vidé les premières bouteilles dans le trou qui lui servait de toilettes, résolue à ne jamais tremper ses lèvres dans ce liquide suspect. Puis au bout de quelques heures après son premier repas, assoiffée comme jamais par une nourriture volontairement trop salée, elle avait fini par craquer et boire d'une seule traite la dernière bouteille mise à sa disposition.

Le Commissaire prit son pied en voyant Leila étancher sa soif à son mélange d'eau et d'urine. Il avait pissé dans cette bouteille avec joie. Elle avait fini par craquer. Il n'en doutait pas. Ils ou elles craquaient toujours. La seule question était le temps qu'ils tiendraient avant de craquer. C'était un jeu et des paris récurrents avec ses adjoints et collègues dans le Commissariat.