René et ses Proies 07

BÊTA PUBLIQUE

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Anna se positionna devant Kevin lui offrant sa si belle queue parfaitement droite comme une forme de récompense à ce qu'il venait de subir. Ce n'était déjà plus Kevin mais bien Pippa qui ouvrit la bouche et commença à aller et venir, coulissant sur l'objet de vénération qu'on lui tendait. Martha se caressait ostensiblement d'une main en regardant la scène, un pot de pommade dans sa main libre.

Avec un léger regret, elle arrêta de se faire plaisir et prit une bonne quantité de crème sur ses doigts et commença à l'étaler sur le dos et les fesses de Kevin sans l'en avertir.

Dans un premier temps, le cri qu'il allait pousser au contact imprévisible de cette pommade sur sa peau devint un geignement par la grâce du volume de chair qui occupait sa bouche et bloquait la sortie d'un son plus bestial provoqué par la soudaine douleur qui l'avait envahi. Son dos s'était creusé sous la surprise, il avait incliné involontairement sa tête vers l'arrière et Anna en avait profité pour infiltrer son sexe en mode gorge profonde. Kevin avait été à deux doigt de mordre le sexe qui l'étouffait presque.

Martha, un peu sadique, regarda Anna dans les yeux et lut le soulagement que son amie avait éprouvé, se rendant compte qu'elle était passé près d'être sérieusement blessée par Kevin. Anna ouvrait maintenant de grands yeux réprobateurs, regardant avec colère sa compagne, puis elle aussi savoura ce bonheur de longer un précipice qu'amène la pratique et l'assouvissement de désirs et pulsions risquées.

La crème fit très rapidement effet. La douleur qu'éprouvait Kevin fut anesthésiée. Il ne ressentit plus rien des marques sur son dos. Il en garderait des traces conséquentes durant plusieurs jours car passer de cinq à dix coups de cravache d'une telle intensité, et surtout les supporter, n'était pas une expérience facile.

Tous ceux qui observaient sa progression dans la résistance et l'acceptation du supplice s'étaient dit que ce Kevin avait en lui quelque chose de très particulier à leur offrir! Tous bandaient ou mouillaient d'excitation devant ses performances et sa souplesse mentale et physique si attendrissante et motivante.

Bon Dieu, se dit Monsieur René bloqué devant son écran. Ces trois-là ensembles sont sacrément douées et bandantes! Il était tellement concentré sur ces images qu'il en oubliait presque qu'il ne voulait pas s'éterniser dessus.

Monsieur René se força à réagir et appela enfin Leila. Il avait récupéré son contact sur le mobile de Kevin. Il coupa le son du live, mais il ne put s'empêcher de garder quand même la vidéo active sur son portable pour y jeter un œil à chaque fois qu'il le souhaiterait.

Une voix de jeune femme franche et directe fit résonner un « Oui? » interrogatif et sonore. René prit immédiatement la parole :

-Bonjour madame, excusez-moi de vous déranger. Je me présente, je suis le gérant du magasin de bijoux dans lequel vous êtes venus il y a quelques jours de cela avec quelques amis. L'un d'eux que j'emploie quand il n'a plus cours m'a donné votre numéro car j'ai trouvé par terre une bague qui, m'a-t-il dit, vous appartiendrait...

Monsieur René laissa passer un moment de silence, Leila ne reprit pas la parole et il poursuivit :

-Les bijoux c'est mon métier, voyez-vous et je sais reconnaître un objet de valeur. N'étant pas un voleur, je souhaiterai que vous veniez la voir et me confirmer qu'elle est bien à vous, comme on me l'a indiqué, afin que je puisse vous rendre votre bien!

Monsieur René avait pris sa voix la plus gentille et innocente, celle du petit commerçant qui sait qu'il est au bas de l'échelle des valeurs de la société et au service de ceux qui ont des moyens bien supérieurs. Leila répondit inconsciemment et parfaitement à cet appât en lui mentant effrontément comme prévu :

-Oh! Ben c'est super! Effectivement Monsieur, j'ai perdu une belle bague qui appartenait à ma mère, un cadeau de famille voyez-vous, j'étais désespérée. Un vrai drame pour moi. Je peux passer très vite vous voir et vous remercier car si c'est bien cette bague, vous me sauvez la vie!

Monsieur René riait intérieurement à ces mots. Quel culot! Cette Leila était un sacré numéro, vraiment! Comme si une personne normale lui permettrait de mettre la main sur un bijou de valeur sans autre preuve que sa simple confirmation à elle!!!

Cette Leila avait vraiment une fâcheuse tendance congénitale à prendre le reste de l'humanité pour des imbéciles! Tous les renseignements qu'il avait pris sur elle, ce que Kevin lui avait dit, tout dans son comportement prouvait qu'un sérieux complexe de supériorité altérait ses capacités de jugements. Mais comme la vie ne l'avait pas encore mis en présence d'adversaires d'un autre calibre, elle se croyait la plus forte...

Il aurait encore plus de plaisir à s'emparer d'elle et à lui faire payer toutes les additions que son corps de rêve ne manquerait pas d'attirer. Elle finirait elle aussi par répondre à sa volonté en lui obéissant.

-Eh bien Madame, je suis ouvert jusqu'à 19h voire un peu plus pour mes bons clients donc dites-moi quand vous souhaitez venir?

-Écoutez, je peux me libérer pour 18h donc je devrais pouvoir être chez vous à 19h dès aujourd'hui!

Et pour cause, il était hors de question pour Leila de rater une belle affaire. Monsieur René continua d'interpréter son rôle de petit commerçant serviable et pas futé à merveille.

-Parfait Madame, parfait, rendez-vous à 19h à ma boutique. Si j'ai déjà fermé, n'hésitez-pas à frapper fort à la porte vitrée, elle est très solide et je viendrais immédiatement vous ouvrir. Encore merci d'être disponible aussi rapidement.

-C'est la moindre des choses, Monsieur. Et encore merci pour votre honnêteté Monsieur et à ce soir!

Leila venait de raccrocher n'attendant même pas sa réponse.

Quelques jeunes venaient d'entrer dans sa boutique, Monsieur René mit le vicieux qu'il était en veilleuse légère et s'intéressa aux deux couples qui semblaient de bonnes cibles pour des achats de pacotilles.

Dans la pièce de « formation » de Pippa, Martha et Anna s'étaient déjà vidées dans la bouche de leur élève et l'avaient même obligé à lécher consciencieusement les quelques gouttes tombées au sol. Puis elles avaient débuté les leçons plus pratiques et classiques qui durerait plusieurs semaines. Aujourd'hui, c'était atelier maquillage!

Tout était planifié pour aboutir à une féminisation de qualité et souhaitée par Kevin qui l'effacerait peu à peu de ce corps pour que la vraie et docile Pippa en devienne une résidente permanente et plus seulement une locataire temporaire ou intermittente au gré des envies des uns et des autres.

Elles en étaient certaines, d'ici quelques semaines, Kevin les questionnerait sur les chirurgies possibles, les traitements hormonaux et serait le premier à souhaiter pousser sa transformation jusqu'à un stade physique sans retour.

Anna et Martha n'en restaient pas moins étonnées du sérieux avec lequel Kevin les écoutait et de la facilité avec laquelle il retenait tout et absorbait chaque information. Cette petite trainée est vraiment intelligente et obéissante se disaient-elles. C'était un vrai plaisir de la former et de lui administrer des punitions imméritées que ce corps acceptait sans sourciller.

Au fils des heures, la journée de Pippa se prolongeait beaucoup plus que Kevin ne l'avait supposé. Ses fesses étaient rougies par les coups de cravache auxquels s'étaient additionnés plusieurs séances de fessées. Anna et Martha l'allongeaient sur leurs cuisses à chaque fois qu'il se trompait ou ne retenait pas correctement un enseignement et elles y allaient allégrement.

Anna avait une main ferme, le frappant avec la régularité sans faille d'un métronome alors que Martha variait le rythme et la puissance de ses coups sans prévenir, parvenant à faire rougir la peau de ses fesses quand elle le souhaitait.

Certes Kevin ne s'était jamais trompé et était l'élève parfait par excellence, ne méritant aucune de ces fessés.

Par contre, comme il était important que Pippa s'habitue à ces traitements, accepte ces injustices et ne cherche pas la logique de leur administration. Le but du jeu était qu'elle commence à apprécier ses punitions voire à les solliciter.

C'était le cas!

Kevin sut que sa Pippa intérieure avait envie de se tromper par simple jeu! Il la laissa donc faire et se tromper.

Comme en rigola aussitôt Anna, « Cette petite salope de Pippa adore que l'on s'occupe d'elle », regarde« son petit clitoris bien excité » après chaque punition.

Sur ce constat, elles l'obligèrent à s'allonger devant elles, dos au sol. Les deux transsexuelles commencèrent à lui malaxer son « clitoris » avec leurs pieds nus en lui demandant de se contrôler et de ne pas jouir tant qu'elles ne lui autoriseraient pas cette libération.

À chaque fois que sa respiration s'accélérait et qu'elles sentaient que Pippa était à deux doigts de rompre, elles s'arrêtaient et la traitaient de tous les noms avilissants qu'elles pouvaient lui donner. Leur élève respirait difficilement, perdue entre les caresses qu'elle recevait et les noms qui la rabaissaient sans cesse, savourant sans aucune honte ces instants.

Les pieds d'Anna et Martha étaient d'une grande agilité. Elles arrivaient à branler Pippa de concert, à appuyer sur son... clitoris, à s'infiltrer dessous sur cette peau si sensible cachée entre ses cuisses. Parfois, un gros orteil s'aventurait sous ses fesses et venait même presser son anus et le titiller.

Quand l'une le caressait ainsi, l'autre prenait un malin plaisir à lui promener sa plante de pieds sur son visage, lui demandant de la lécher et de bien passer entre les orteils. Tout cela dura de très longues minutes.

Puis elles arrêtèrent tout, laissant Pippa épuisée et sans jouissance. Elles lui demandèrent de se rhabiller, mais alors que Kevin allait se démaquiller et enlever le vernis de ses ongles comme elles le lui avaient appris, Anna et Martha furent inflexibles. Il devait rester telle que Pippa était et se présenter intacts face à elles le lendemain après-midi.

Kevin comprit alors qu'il devrait aller à la Fac avec des ongles flashy et brillants de paillettes comme s'il revenait d'une soirée un peu spéciale, sans même parler de leur forme qui ne tromperait personne. Il sut que son maquillage pas franchement discret dirait tout de lui et il apprit également qu'il devrait aussi porter un string dès son réveil et le garder jusqu'à ce qu'il se déshabille devant Anna et Martha le lendemain.

Connaissant parfaitement sa taille, Anna et Martha avaient pris soin de choisir un sous-vêtement en dentelles très sexy et surtout trop petit. La ficelle serait une torture pour son anus et le reste du string compresserait ses bourses et son sexe toute la journée, laissant de belles traces à observer quand il se déshabillerait.

Anna et Martha l'embrassèrent néanmoins chaleureusement avant qu'il ne sorte de la pièce et Kevin en fut heureux comme un gamin. Elles le raccompagnèrent presque jusqu'à l'entrée de la pièce de la boutique, ouvrirent la porte, le poussèrent vers l'avant et se reculèrent. Kevin se retrouva en pleine lumière derrière Monsieur René qui était en grande discussion avec... Leila!!!!

Kevin était perdu et désorienté. Par un simple réflexe il croisa les mains derrière son dos pour ne pas montrer ses ongles. Leila le regardait, surprise de le voir apparaître dans ce magasin. Monsieur René se retourna comme s'il était un élément naturel des lieux et lui demanda de se rapprocher d'eux.

-Ah Pippa, peux-tu te rapprocher et me donner ta main droite?

Kevin tendit sa main, elle disparut dans celle de Monsieur René qui la posa à plat sur le comptoir. Leila sourit méchamment en découvrant ses ongles vernis, constata son maquillage... de pute (il n'y avait pas d'autres mots qui lui venait à l'esprit) et le fixa d'un air innocent en disant « Pippa? Charmant!».

-Eh oui, mon assistante qui n'a pas mis sa belle robe et est habillée n'importe comment, enchaîna perfidement Monsieur René en regardant Leila dans les yeux. Ce sera quand même mieux avec son aide et sa petite main très fine pour vous montrer quelques bagues dit-il à Leila comme si Kevin n'existait pas.

Et durant cinq minutes, Monsieur René et Leila essayèrent plusieurs modèles et tailles de bagues sur ses doigts comme si Kevin n'existait pas et que seule sa main avait une utilité. Leila n'hésitait pas à toucher ses doigts voire à les rudoyer en le regardant bien dans les yeux et en lui donnant du Pippa en veux-tu en voilà! Parfois aussi, elle les caressait et un doux frisson perturbait Kevin.

Leila avait accepté de voir ces bijoux de pacotille car elle voulait paraître polie après que Monsieur René lui ait rendu « sa bague ». Connaissant plutôt bien les bijoux de valeurs, Leila savait qu'elle venait de récupérer un bel objet auprès de cet imbécile.

Elle se demandait qui avait bien pu lui dire que ce bijou était à elle jusqu'à ce qu'elle tombe nez à nez avec Kevin... qui s'appelait « Pippa » en ces lieux, avait des ongles vernis avec des paillettes et était maquillée comme s'il partait draguer en soirée. Et dernier scoop à en tomber par terre, la petit Pippa portait normalement des robes!!!!

La vache! Kevin se travestissait en femme n'était donc pas le mec timide qu'elle avait cru croiser depuis le début de l'année universitaire. Pour une surprise, c'était une surprise! Et Pippa, c'était quoi ce nom? D'où sortait-il? Il fallait vraiment qu'elle chope Kevin sans l'autre vieux pervers dans les pattes et débute une conversation sérieuse avec lui.

Leila avait cru deviner que ce crétin de Kevin était transi d'amour pour elle. Étant perverse et sadique de nature, avec l'aide de ses amis qu'elle manipulait avec facilité, elle pensait s'être bien amusée sur son dos lors de leur dernière visite dans ce magasin. Elle avait vu les caméras et laissée suffisamment d'indices pour que le patron de la boutique retrouve Kevin après leur petit vol à deux balles.

Elle pensait qu'il viendrait ensuite la voir pour lui expliquer qu'il avait été accusé à tort d'un vol et qu'il ne comprenait rien à toute cette histoire, mais rien ne s'était passé comme prévu. Elle lui aurait ensuite sauvé la mise et il lui aurait été redevable, mais...

Kevin n'était pas venu la voir. Il ne s'était plaint de rien et là elle découvrait une semaine plus tard son gentil petit Kevin en employé du bijoutier et en mode « oui ben en fait, je suis une fille et je m'appelle Pippa d'abord! ».

Il faudrait qu'elle se renseigne très vite et comprenne si elle pouvait profiter de ce qu'elle venait d'apprendre. Qu'est-ce qui se cachait derrière tout cela? Le cerveau de Leila tournait à plein régime et elle n'écoutait que très peu le flot de paroles du vieux vicieux qui se trouvait en face d'elle. De toute façon, lui, elle l'avait démasqué tout de suite!

Sous ses airs de « gentil timide », ce René était un vieux cochon qui la matait, discrètement croyait-il, dès qu'il le pouvait depuis qu'elle était arrivée. Elle lui avait donné le change, laissant son regard plonger sur sa poitrine, faisant semblant de ne pas voir que son Jean taille basse était vraiment trop bas.

Qu'il mate ce con, se disait Leila. Du moment qu'il me file la bague! Pour les mille euros minimum que valait ce bijou, il pouvait se rincer l'œil et même les deux. Au final, c'était lui qu'elle baisait en beauté et pas le contraire!

-Leila, je peux vous appeler Leila, Mademoiselle, n'est-ce pas?

Leila perdue dans ses pensées se secoua et répondit d'instinct :

-Bien sûr, bien sûr, après m'avoir contacté pour me rendre cette bague, il n'y a aucun problème Monsieur... Au fait, je ne connais pas votre nom...

-Appelez-moi René, tout simplement, ça sera parfait.

René ne donnait jamais son nom et bien peu le connaissait d'ailleurs. Ce n'était surement pas à cette petite trainée qu'il allait le balancer. Dire qu'elle pensait l'amadouer en lui promenant ses seins et son cul sous le nez. Ah ces jeunes femmes qui se croyaient puissantes parce qu'elles avaient un corps!

Pour peu qu'elles soient bien foutues, elles avaient une fâcheuse tendance à prendre les autres pour des obsédés stupides et sans une once de jugeote. Qu'elle continue à y croire, ça l'arrangeait! Le seul but de ce rendez-vous était de la rencontrer et de lui faire accepter une bague qu'elle aurait dû refuser! Mais ça, Mademoiselle Leila la futée ne pouvait pas se douter de ce qui allait lui arriver ensuite. René reprit :

-Leila, je suis désolé, mais il est tard et à mon âge on a ses petites habitudes. Le magasin est fermé et j'ai des affaires à régler avec mon assistante voyez-vous. Je ne vous chasse pas, mais sachez que je suis très heureux d'avoir pu vous remettre la bague offerte par votre maman.

-René, vous êtes un gentleman! Je vous remercie pour votre honnêteté et votre diligence. Je vais prendre congé, mais je vous promets que vous avez gagné une cliente fidèle et que je reviendrai à nouveau prochainement avec des amis pour leur faire découvrir votre si charmante boutique.

Tu peux en rêver, se disait Leila. Tu peux te mettre au Marathon songea Leila intérieurement, tu n'es pas prêt de me revoir. Le seul bijou intéressant que tu avais, tu viens de me l'offrir, gros bastringue!

Leila hypocritement remercia encore René qui en rajouta dans le côté obséquieux avant qu'ils ne se quittent. Puis Monsieur René alla verrouiller la porte du magasin, éteignit les principales lumières dans sa boutique et s'adressa à Kevin.

-Ma petite Pippa, j'ai eu une journée très chargée et bien éprouvante. Peux-tu de foutre à poil et passer sous mon bureau immédiatement, tu veux bien?

Kevin savait qu'il serait quand même visible de la rue, mais se mit nu devant Monsieur René comme s'il s'agissait de la chose la plus naturelle au monde. Il s'accroupit, ouvrit le rideau coulissant sous la banque d'accueil, s'y glissa et se mit à genoux dans ce réduit obscur.

Monsieur René ne disait rien. Arrivé à coté de son siège, il observa Kevin agenouillé devant lui et acquiesça. Il défit la ceinture de son pantalon, le baissa avec son slip jusqu'aux genoux et s'assit en écartant les jambes. Son sexe à moitié bandé émergeait de son abondante forêt de poils. René ordonna :

-Pippa, j'ai les comptes de la journée à faire et quelques courriels à envoyer au sujet de notre délicieuse Leila. Tu vas en profiter pour me caresser gentiment.

Kevin obtempéra et s'inséra entre les jambes ouvertes de Monsieur René. Il approcha ses mains de cette queue qu'il vénérait depuis qu'il l'avait vu bander, si puissante et imposante. Ses mains et ses doigts semblaient déjà si fins autour de ce membre. Kevin commença un subtil mouvement de va et vient d'une main alors que son autre main caressait la naissance de ce membre et se perdait dans la douceur et la moiteur des poils de Monsieur René.

Une main travailleuse, l'autre exploratrice, son visage extatique à quelques centimètres de tout cela, Kevin ne pouvait s'empêcher de se rapprocher de ce sexe. Il sentit l'odeur virile et masculine qui en émanait en cette fin de journée, vit les premières traces d'humidité sortir du gland. Il inspira doucement, s'imprégnant de ce parfum qui le dominait. Il n'avait plus qu'un besoin, prendre ce sexe, cette queue, cette bite, dans sa bouche et savoir que Monsieur René éjaculerait sur sa langue pour qu'il puisse tout avaler.

Au bout de quelques minutes sous les caresses attentionnées qu'il lui prodiguait, le sexe de Monsieur René avait trouvé sa taille habituelle, hors norme, ainsi que sa pleine fermeté si étonnante à cet âge. Kevin entrouvrait la bouche à quelques millimètres du gland gonflé n'attendant qu'un ordre qui n'arrivait pas.

-Ah ma petite Pippa, tu deviens une petite experte de la branlette! C'est parfait, il faudra que je remercie Anna et Martha pour la qualité de leur formation.

Kevin redevenu Pippa depuis qu'il était nu et s'occupait du sexe de Monsieur René, sourit à ces compliments. Monsieur René poursuivit :