Rencontre Dans Une Forêt

BÊTA PUBLIQUE

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Une fois de plus, il se mit à me caresser plus vigoureusement, et je sentis l'onde de plaisir venir, m'attendant toutefois à me voir privé une nouvelle fois de la délivrance de l'orgasme. Mais alors, mon corps, las de ses jeux, s'arqua dans un geste brusque, et le plaisir explosa soudain en moi : une vague de plaisir intense submergea mon corps, et je fus pris de soubresauts incontrôlables. Ma semence gicla entre ses doigts, alors que mon cri résonnait dans la forêt autour de nous ; je le regardai observer mon sexe qui expulsait les derniers jets de mon nectar, et je le crus surpris ; mais je compris qu'il avait désiré ma jouissance.

Il me retourna brusquement, face contre la pierre grise des ruines, et je sentis qu'il m'enduisait l'anus de mes propres sucs, avant que son sexe ne s'ouvre douloureusement un passage en moi ; les fleurs m'avaient quelque peu détendu, mais pas assez pour que son entrée soit facile, et j'étais encore sensible de mon orgasme à peine achevé. Je criai, de douleur et de plaisir mêlés, tandis qu'il s'enfonçait plus profondément entre mes fesses. Ses mains caressaient mon dos, et m'obligèrent à me cambrer ; je lui obéis et je me sentis m'ouvrir davantage à lui. Le souffle court, je ne pouvais que gémir pitoyablement, me sentant me contracter autour de cet intru inattendu qui me fendait en deux.

Il se mit à me besogner durement.

Mais il se concentra sur l'entrée de mon orifice ; là il aiguillonna un endroit particulièrement sensible, quelque chose à l'intérieur de moi, quelque chose qui transforma bientôt mes gémissements de souffrance en plaisir ; ce plaisir me fit me détendre, et je sentis alors qu'il franchissait une barrière intérieure pour m'explorer plus loin encore. Ses poussées se firent plus puissantes que brutales, et j'écartai un peu plus les jambes et les fesses pour l'accueillir. Je m'ouvris à lui et je me relâchai complètement ; sa queue m'emplit alors tout entier, et je grognai de plaisir. C'était divin !

-Oui, comme cela, fit-il d'un ton enjôleur, en saisissant mes hanches pour me donner plusieurs coups de reins profonds, tandis que je gémissais toujours.

Il me monta jusqu'à me rendre raide à nouveau ; lorsqu'il fut satisfait de la dureté de mon sexe, il se retira, avec une douceur qui contrastait avec la brutalité avec laquelle il m'avait pris.

Pendant un instant, je restai le visage contre le sol, attendant qu'il se réintroduise en moi. Je n'osai plus bouger. Puis il me fit me lever ; je me trouvai face à lui et à ses lèvres délicieuses, qu'il referma sur les miennes. Je me laissai fondre dans son baiser, un baiser que j'avais attendu, et il me récompensa de ma patience en ouvrant ses lèvres pour moi ; du bout de la langue, j'explorai alors sa bouche, si douce et acidulée. J'osai poser ma main sur son torse et je lui chatouillai le mamelon du bout des doigts ; un soupir me répondit, et je continuai mes caresses jusqu'à faire durcir le petit téton.

Alors, il me prit à nouveau la main ; il me fit traverser l'une des vieilles arches de pierre qui tenaient encore debout, et nous parcourûmes les ruines jusqu'à trouver un coin de mur intact, lequel était couvert de jasmin qui embaumait l'air de sa délicate fragrance ; ici le sol était tapissé d'une mousse moelleuse et odorante. Il me fit m'étendre dessus, et vint se positionner au-dessus de moi ; il frotta son sexe contre le mien, et tous deux nous nous laissâmes à exprimer notre plaisir. Il m'embrassa, cette fois, passionnément, et il suça ma lèvre inférieure, jusqu'à m'en faire mal ; je gémissais à présent sans aucune retenue et je le laissai faire, perdu dans le tourbillon de ses délices et tourments.

Quand il se lassa de me mordiller, il se redressa et plaça à nouveau une jambe de chaque côté de mes hanches et je cru qu'il allait de nouveau me torturer ; mais cette fois, il se leva légèrement, saisit mon sexe en érection, et l'enfourcha.

Un plaisir intense s'empara de moi et je le regardai, muet de stupéfaction, perdu dans la contemplation de son corps si beau, si parfaitement fait, qui ondulait sous mes yeux, mon sexe profondément fiché en lui. Je le sentais qui m'enserrait complètement et je plongeai dans une mer de volupté et de jouissance. J'en avais le souffle coupé.

Il pencha son visage sur le mien et m'embrassa, toujours en allant et venant sur ma queue, pendant que la sienne frottait d'une manière tout à fait plaisante contre mon ventre. Je l'enveloppai dans mes bras, et il se laissa faire ; je soulevai mes hanches pour guider mon sexe en lui et il gémit à chacune de mes poussées. Je me noyai dans les sensations que son corps me procurait ; la douce odeur de sa peau, le chatouillis de ses cheveux d'or sur ma poitrine et mes épaules, et la pression si douloureusement exquise de son anus sur mon sexe.

J'accélérai la cadence, et il m'encouragea : « Emplis-moi de ta semence, » j'allais et venais fébrilement entre ses fesses si douces, pendant qu'il me murmurait des choses dans une langue incompréhensible. La pression en moi ne cessa d'augmenter, et mon corps se tendit, mon dos s'arqua une nouvelle fois, et il se redressa, m'offrant le spectacle de son corps nu, sa bite gonflée de son désir pour moi, au moment où je venais me planter le plus profondément possible en lui ; alors je me vidai en gémissant.

Il se retira ensuite ; un sourire flottait sur ses lèvres. Je sentis mon sexe amolli glisser hors de lui, et je l'observai se lever, vidé de toute énergie. J'étais épuisé d'avoir joui deux fois en si peu de temps, las des douces souffrances qu'il m'avait fait endurer. Mais il ne me laissa pas de répit ; il souleva mes jambes, m'obligeant à m'exposer complètement à sa vue, et il les plaça sur ses épaules, embrassant le creux de mes genoux. « Je ne pourrais plus...murmurai-je, mais il était sans pitié ; il vint se placer entre mes jambes.

Je craignais qu'il me prenne à nouveau sans douceur, mais ce ne fut pas le cas ; je sentis son gland m'ouvrir délicatement, et, par petit à-coups délicieux, il poussa jusqu'à pouvoir se glisser complètement en moi. Je le laissai faire, incapable de lutter.

Cette fois, il prit son temps ; il s'enfonça au plus profond de moi, puis se retira presque entièrement, avant d'entrer à nouveau, et ce, à plusieurs reprises. Et, malgré moi, à chaque fois que je sentais sa queue me pénétrer, un gémissement de plaisir m'échappait. Mon corps lui était tout entier dévoué ; il répondait à chacune de ses poussées, chaque caresse, chaque baiser. Je m'immergeai dans ce monde de sensations que je n'avais alors jamais connues, le plaisir au-delà du plaisir, l'abandon total de toute volonté ; je savourai sa domination sur moi et ses impérieux coup de boutoirs qui rallumaient les braises encore chaudes de mon désir.

Il s'enfonça une nouvelle fois puis resta immobile, profondément planté dans mon corps, pendant que je me tortillai de plaisir sous lui. Il se pencha pour m'embrasser à nouveau et je bus ses lèvres avec ardeur ; je lui saisis les épaules et l'obligeai à rester là, contre moi, son sexe palpitant en moi, nos deux cœurs battant à la chamade.

Ses mains me caressèrent le visage et il murmura : « Le plaisir doit un jour se terminer.

Je le relâchai à contrecœur, et il se redressa, puis, avec une force surprenante, il souleva mes hanches et se mit à me pilonner. Je restai les yeux rivés sur son visage, tandis qu'il caressait cet endroit si secret en moi, cet endroit qui me faisait perdre toute velléité de dignité et qui me réduisait à un corps enfiévré de désir, gémissant, suppliant. Ses grands yeux sombres ne me lâchèrent pas un instant, pas même quand il se mit à aller et venir plus rapidement ; ses jolies lèvres s'entrouvrirent et il fronça les sourcils, mais il garda son regard planté dans le mien. Il accéléra encore la cadence, et je me mis à gémir de plus en plus fort ; jusqu'à ce que l'extase éclate en moi comme une bulle de savon, aussi rapide et furtive, mais d'une intensité sans pareille. Alors, je criai et je l'entendis se joindre à moi, tandis que son sexe se contractait, et qu'il m'offrait pour la seconde fois sa précieuse semence.

Lorsque les dernières vagues du plaisir nous quittèrent définitivement, il se retira ; il vint s'étendre à mes côtés, et, du bout des doigts, me caressa la poitrine. Je le contemplai, le souffle coupé par sa beauté hors du temps et de notre monde, car je l'avais bien compris, à présent, il n'était pas humain, ni mortel, presque irréel pour un simple homme comme moi. Il prit mon visage entre ses mains et pressa une dernière fois ses lèvres contre les miennes. Je fermai alors les yeux, soudainement épuisé, et sombrai dans un sommeil aussi noir que l'encre.

Lorsque je me réveillai, je me trouvais seul, adossé au tronc d'un arbre millénaire. Je levai les yeux et aperçus, au travers de la cime dorée du vénérable géant, que le soleil était encore haut dans le ciel. J'avais pourtant la sensation d'avoir dormi durant des heures ; mais cela ne faisait manifestement que quelques minutes. Des morceaux de souvenirs d'un rêve lointain refluaient encore dans ma mémoire, mais bien vite j'oubliai ce qu'il avait contenu ; légèrement désorienté et surpris de m'être assoupi aussi loin dans la forêt, je rentrai chez moi.

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Anonymous
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3 Commentaires
MulierscriptorMulierscriptoril y a 3 mois

Texte superbe de sensualité et quelle écriture ! Bravo

MS

rabatachmiserabatachmiseil y a 4 mois

Je ne voulais d'ailleurs pas dire "crabe" mais "enclume", pardon ! ^^

rabatachmiserabatachmiseil y a 4 mois

Quelle douceur dans cette histoire, bravo Ftmpron !

La Nature, la forêt, absolument tous les sens représentés et, bonus pour moi, la présence de ruines qui m'ont toujours fait fantasmer... C'était vraiment plaisant ! Et le choix narratif final, qui viendrait presque annihiler le récit lui-même, est audacieux et remarquable !

Le degré de pornographie, de domination et de partage est très bien dosé, avec des positions peut-être un peu simples mais excitantes. Pour l'anecdote, j'ai tiqué légèrement à la fin : le "Dieu" (appelons-le comme ça) prend le héros en position "crabe", les jambes du protagoniste soumis posées sur les épaules du Divin. Puis ce dernier se met debout, soulève presque magiquement son soumis du sol pour le finir en un si peu pratique "congrès suspendu". Mais... on ne sait pas ce que sont devenues les jambes du héros. J'me suis dit naïvement qu'une telle position était impossible, avec les jambes encore sur les épaules de l'autre, mais après vérification sur le net : certains pros y arrivent ! ^^ J'espère quand même pour ce pauvre héros que ses jambes étaient placées sur les bras de son partenaire... ou il a du se réveiller avec de sacrées courbatures ! ^^ On s'en fiche un peu mais c'est un vrai fantasme cette position pour moi : vu ma taille et mon poids, il faudrait bien un Dieu pour que je goûte un jour à ce plaisir ! ^^

Félicitation encore une fois et merci, Ftmpron. Ton histoire a réussi a m'éveiller les sens, et je crois même que je pourrais m'en servir comme support à fantasmes les soirs où je me fais plaisir seul ! ^^

A plus !

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