Rencontre Dans Une Forêt

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Rencontre entre un homme et un Dieu qui le désire.
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Je m'éveillai, allongé sur le sol tapissé de mousse. Lentement, j'ouvris les yeux, et les plissai aussitôt ; malgré les épaisses cimes qui formaient un dôme au-dessus de moi, les rayons chauds et vifs du soleil parvenaient à m'éblouir. Toutefois, je ne m'en plaignais pas ; la douce chaleur qu'ils dispensaient m'enveloppait comme une couverture ; je me redressai et m'étirai, réprimant un bâillement, et je découvris que j'étais nu.

Les sourcils froncés, je tentai de comprendre comment j'avais fait pour me retrouver au milieu de cette vaste forêt dans le plus simple des appareils. J'eus le vague souvenir de m'y être rendu, mais j'étais alors vêtu, quoique légèrement en raison des fortes chaleurs de ces derniers jours, et j'avais marché un long moment, afin de trouver un bosquet de mûres que je connaissais fort bien. Je ne me rappelais y être parvenu.

Avais-je été agressé? Détroussé par des voleurs? Je me tâtai le corps ; pas de signes de blessures, pas plus qu'il n'y avait de signe de lutte dans les environs. J'observai les alentours, à la recherche d'un indice d'où je me trouvais, quand mon regard tomba sur lui.

A quelques pas de moi se tenait une mince silhouette élancée avec, pour toute parure, de longs cheveux d'or ; j'étouffai une exclamation de surprise et reculai de quelques pas en le voyant, de peur qu'il ne s'agisse d'un assaillant.

Toutefois, je changeai d'avis en le voyant.

Un sourire illumina son visage lisse et imberbe. Je ne parvins pas à lui donner un âge ; sa stature et sa musculature m'indiquaient qu'il s'agissait d'un homme dans la force de l'âge, mais son visage était dépourvu de toute marque du temps ; ses yeux en amandes étaient aussi verts que le feuillage qui le dissimulait à peine, et ses lèvres roses et pleines contrastaient agréablement avec sa peau hâlée, presque dorée.

Il s'avança et je le découvris, entièrement nu, devant moi. Je constatai avec effroi que son sexe dur était dressé entre ses jambes musclées. « Qui êtes-vous? demandai-je d'une voix étranglée en sachant très bien que cette information ne me serait probablement d'aucune utilité.

-N'aie pas peur, fit-il d'une voix chaude et douce comme le miel. « Je te connais bien. Tu viens très souvent. Je t'ai longtemps observé, tu sais.

-Je ne vous connais pas, répliquai-je en reculant de quelques pas, brusquement conscient de ma nudité et de ma vulnérabilité. Le fait qu'il m'annonce qu'il m'avait observé ne me rassurait guère.

-Tu me connais très bien, poursuivit-il en faisant un pas de plus. « Tu me visites presque chaque jour. Tu cueilles mes fruits et mes baies ; tu chasses les animaux qui m'habitent ; mais jamais tu ne prends plus que ce que tu ne le dois ; et tu tues tes proies aussi promptement que possible, en te montrant miséricordieux lorsque tu le peux. Je t'ai beaucoup observé, oui, fit-il en voyant mon expression confuse. Ses yeux émeraudes se plongèrent dans les miens et il sourit à nouveau ; de petites fossettes creusèrent ses joues lisses et il s'avança ensuite plus près de moi.

Je vis alors quelque chose de plus profond s'agiter dans son regard, quelque chose qui me glaça le sang, une sorte d'avidité que je n'avais perçue dans nul regard humain. Il ne cilla pas, et je m'efforçai d'ignorer sa verge, dressée comme une épée, entre nous.

-Vous êtes...

-Chut, ne dis rien, fit-il en s'approchant si près que je pouvais sentir son souffle contre mon visage. N'essaie pas de découvrir qui je suis, souffla-t-il à mon oreille, et je sentis son sexe effleurer ma cuisse nue. A ma grande honte je senti poindre en moi le début d'un désir que je m'efforçai de maîtriser.

«...Car jamais ton esprit ne pourrait l'appréhender », acheva-t-il. Mon cœur cognait dans ma poitrine et tout en moi me disait de fuir dès à présent, de me sauver et d'oublier tout cela, tout ce qu'il m'avait dit, et de ne jamais revenir.

Mais avant que je ne puisse y réfléchir plus longtemps, il pressa son corps tout contre le mien et un parfum capiteux de fleurs, mêlé à celui du bois et à l'odeur fraîche des pierres de la rivière m'envahit les narines ; j'humai malgré moi son odeur et me senti défaillir ; il m'entoura de ses bras, pendant que j'enfouissais mon visage au creux de son épaule pour aspirer cette merveilleuse odeur. Je fermai les yeux et je me retrouvai comme projeté près d'un petit ruisseau par une chaude après-midi d'été, le goût des framboises sur les lèvres et la peau doucement caressée par le soleil. « Oui. Laisse-toi aller.

Il me prit les épaules et me fit reculer ; je rouvris les yeux et constatai que j'étais toujours au milieu de cette forêt, face à cet homme- cet être- d'une beauté qui me paralysait. Je me trouvais comme un insecte face à l'une de ces étranges fleurs parées de leurs plus belles couleurs ; je mourais d'envie de la butiner, de me plonger tout entier en elle, mais je savais aussi que certaines de ces magnifiques fleurs se refermaient parfois brutalement sur leur victimes et qu'elles disparaissaient alors à tout jamais. Mes yeux parcourent sa saine musculature et je passai ma langue sur mes lèvres, à la fois par nervosité et par désir.

-Suis-moi, à présent, fit-il d'une voix paisible en me prenant la main. La sienne était chaude et douce ; comme la mousse qui tapissait le sol, pensai-je, et je le suivis sans plus aucune autre pensée.

J'observai alors son corps sans honte ; son dos musclé, ses fesses rondes et pleines ; ses jambes puissantes qui me menaient, à grandes enjambées, au travers de cette forêt si imperturbable. Nous empruntâmes des sentiers que je ne reconnaissais pas ; nous traversâmes une petite rivière dont l'eau tiède vint rafraîchir mes pieds fourbus. Toujours avec diligence, sans exactement comprendre pourquoi je lui obéissais, je le suivis jusqu'au cœur de la forêt. Là, je découvris les ruines abandonnées de ce qui avait dû être un temple, ou quelque bâtiment d'une semblable importance, dont le toit avait disparu.

Sa main chaude toujours refermée sur la mienne, il me guida jusqu'au cœur de ces ruines, le visage ravi lorsqu'il vit mon expression d'émerveillement. A l'intérieur de cette vieille bâtisse de pierre, je découvris toutes sortes de fleurs étranges, dont le parfum me rappelait l'odeur de mon guide ; plusieurs arbrisseaux étaient alourdis de fruits inconnus, prêts à être cueilli.

Il en saisit un entre ses longs doigts élégants, et mordit dedans à pleine dents ; ses yeux se fermèrent et il exhala un soupir de plaisir, ce qui me fit inévitablement rougir, car je ne pouvais me détacher du spectacle que m'offrait son sexe dressé, et ses gémissements de contentement réveillaient en moi quelque chose d'inavouable. D'une main, il m'attira à lui tout en dégustant le fruit, et, une fois que je fus à sa hauteur, il en pressa le jus sur mon torse nu ; je hoquetais de surprise et voulus protester et me dégager, mais ses yeux intenses me clouaient sur place. Ses yeux suivirent les gouttes de jus sucré qui dégoulinaient sur mon torse, jusqu'à atteindre mon pubis, puis mon sexe. Je baissai alors les yeux à mon tour et constatai que ma verge avait gonflé.

Le souffle coupé, je demeurai le visage dans l'ombre, incapable d'affronter son regard ; il y avait quelque chose d'humiliant pour moi dans le fait qu'il perçoive mon désir, lui qui se promenait la queue érigée avec le plus grand des naturels, alors que je ne parvenais pas à bander sans vouloir dissimuler mon sexe, comme si mon appétit était une chose ridicule et honteuse.

Sa main me caressa alors doucement, puis m'enveloppa, avant de faire quelques vas et vient. Les joues en feu, je tentai à nouveau de m'échapper, mais il resserra sa prise autour de moi et m'obligea à rester face à lui. De l'autre, il me contraint à lever le menton ; j'avais la sensation que ses yeux d'un vert lumineux me transperçaient de part en part, tandis que je me sentais grossir entre ses doigts. « Oui, il te faut céder, murmura-t-il.

Je haletai bruyamment ; ma queue était à présent aussi raide que la sienne. Il me libéra, d'un geste désinvolte, et je tâchai de maîtriser mon souffle.

Il me guida ensuite jusqu'à un bosquet dont les arbustes portaient de petites baies d'un violet intense ; là, il en cueilli une et me la tendit. Je ne reconnaissais pas ce fruit et je refusai d'abord, mais il insista. Je la pris alors du bout des lèvres et senti éclater sous mes dents une douceur acidulée qui me rappelait celle des groseilles et je hochai la tête en signe d'appréciation.

Il me tendit la main et je la pris, méfiant, mais néanmoins curieux. Il m'entoura à nouveau de ses bras, et glissa une autre baies entre mes lèvres, je la goutai et l'avalai, mais ses doigts s'attardèrent sur mes lèvres ; il me présenta à nouveau une baie, que j'avalais lentement, tandis qu'il me caressait la bouche.

Je le regardai, tremblant des pieds à la tête, tandis qu'il glissait son index dans ma bouche. Il m'observait toujours attentivement, de ce regard effrayant et pénétrant, pendant qu'il faisait aller et venir son doigt entre mes lèvres. Je ne savais pas ce qu'il me voulait, et j'étais terrifié à l'idée de lui déplaire, mais j'étais, en même temps, tout à fait fasciné par sa personne ; chaque parcelle de son corps était parfaite et m'évoquait la vigueur et la beauté ; qui étais-je pour me refuser à pareil être? Son doigt jouait toujours avec ma bouche, et il en introduisit un second.

-Tu es si pur, murmura-t-il. Ton désir pour moi l'est tout autant. Je t'ai bien choisi.

Il retira ses doigts et me laissa là, planté au milieu de son jardin ; je le suivi du regard et le vit se diriger vers un mur ou pendaient d'épaisses lianes qui arboraient des fleurs d'un bleu profond. Il fit volte-face et son regard impérieux me fit trotter jusqu'à lui, pressé de lui obéir.

-Vas-tu me faire du mal? me surpris-je à demander tout haut, le souffle court.

Il posa sur moi un regard impavide ; il resta ainsi un petit moment, sans que je puisse savoir si je lui avais déplu, avant d'éclater d'un rire qui m'évoquait l'eau d'une cascade. Il se tourna et s'approcha brusquement de moi, si brusquement que je cillai et fis un geste pour me protéger le visage. Mais au lieu d'un coup, ce fut une caresse du bout des doigts sur ma joue rugueuse qui me surprit ; « Bien sûr que non, murmura-t-il.

Puis sa bouche fondit sur la mienne.

Ses lèvres étaient piquantes et douces à la fois, comme l'étaient les mûres ; je gémis doucement, et j'ouvris la bouche, avide d'en gouter plus ; mais il se retira aussi vite qu'il s'était approché. Je lui jetai un regard confus. « Viens, m'invita-t-il d'un geste aérien. Ne t'en fait pas, tu y goûteras encore avant la fin de notre rencontre, m'assura-t-il avec un sourire quand il vit que je restai stupéfait par son geste. Mais d'abord, je veux te faire découvrir d'autres plaisir.

Qu'allait-il me faire? A l'évidence, je n'avais pas affaire à un être ordinaire ; peut-être étais-je sous le coup d'un mauvais sort? Était-il un esprit malin? Un dieu, un démon? Était-ce un rêve?

-Ce n'est pas un rêve, fit l'homme aux cheveux doré, comme s'il avait lu dans mes pensées. « Quoi qu'il s'agirait, peut-être, pour quelqu'un de ton espèce, d'une explication plus simple que la vérité. N'y pense plus ; laisse-toi simplement guider. Je veux que tu me cèdes entièrement.

Que je lui cède? Cela ne m'évoquait rien de bon pour la suite. Il dut percevoir ma soudaine détresse car il me sourit à nouveau. « Tu apprendras que céder n'est pas toujours synonyme de défaite. » Il me tendit la main, une fois de plus et j'hésitai. Mon cœur cognait dans ma poitrine, et ma queue m'élançait douloureusement. Il n'avait fait que me toucher, songeai-je, et de la manière la plus délicieuse qui soit ; au souvenir de ses doigts qui courraient le long de mon sexe, je frissonnai ; puis je posai ma main dans la sienne.

Il me mena jusqu'à un bosquet de buissons ornés de fleurs d'un rouges vifs que je ne reconnaissais pas, et s'arrêta. Là, il s'agenouilla devant le bosquet et cueilli quelques-unes des fleurs écarlates. « Assieds-toi devant moi, m'indiqua-t-il. Je m'exécutai.

Je l'examinai plus longtemps ; sa peau dorée, douce, tendue sur ses muscles qui s'activaient pour cueillir les fleurs les plus basses ; ses longs cheveux d'or qui lui tombaient devant le visage, aussi souples et brillants que la soie, son ventre parsemé d'une toison de boucles dorées, qui s'achevaient en une couronne autour de son sexe érigé.

Il se redressa et je pus en observer toute la longueur ; je restai hypnotisé devant les mouvements qu'il faisait quand il se déplaçait ; j'observai le liquide qui sourdait à son extrémité, et je ne pus réprimer un petit gémissement pitoyable. Il était magnifique ; jamais je n'avais vu un homme aussi beau, ni une femme, d'ailleurs ; mon corps était aussi tendu que la corde d'un arc, et je désirais plus que tout pouvoir poser mes lèvres sur sa peau.

-Que vas-tu me faire, alors? demandai-je, à présent plus curieux que craintif.

-Comme toi, je ne prendrai que ce dont j'ai besoin et pas davantage, répondit-il calmement.

Après cette mystérieuse déclaration, il vint se placer à genoux devant moi, et colla presque son visage au mien ; je respirai fort, hypnotisé par son regard émeraude, et j'entrouvris la bouche, prêt à ce qu'il m'embrasse à nouveau, impatient de goûter à ces lèvres si charnues. Toutefois, il ne le fit pas ; à la place, il glissa doucement une fleur entre mes lèvres. « Mange-la.

Je refermai la bouche et mâchai lentement ; une sensation de chaleur m'envahit la bouche, une chaleur piquante ; toutefois, ce n'étais pas comme celle que j'avais ressentie en mangeant des plats trop épicés ; celle-là était différente. Elle m'échauffait les sens, et bientôt une chaleur similaire s'immisça entre mes jambes. J'avalai la fleur, sentant sa brûlure descendre dans mon gosier, et il m'en présenta aussitôt une autre, avant d'en macher une à son tour. Il m'en fit avaler deux autres supplémentaire, et, pour chaque fleur qu'il me présentait, il en prenait une en bouche également.

Il en prit une dernière, et, au lieu de me la fourrer en bouche, il me caressa doucement le visage de ses pétales écarlates ; je fermai les yeux, pendant qu'il faisait jouer le capitule sur mon visage, puis le long de ma gorge. Furtivement, il posa un baiser sur mes lèvres ; il me fit m'étendre complètement sur le sol et je sentis qu'il me chevauchait, une jambe de chaque côté de mes hanches. Il s'abaissa et pesa de tout son poids sur moi ; je pouvais sentir son scrotum, tout proche du mien, et le contact à lui seul manqua de me faire exploser de plaisir ; je m'efforçai de me contenir comme je le pouvais.

Il pressa la fleur contre mes mamelons, et je constatai que son contact éveillait un feu en moi ; mes tétons se durcirent, et je me pris à espérer qu'il pose ses délicieuse lèvres sur eux, ce qu'il me refusa.

D'une main, il me fit lever les poignets au-dessus de la tête, et les immobilisa. De l'autre, il descendit le long de mon ventre, et mes hanches se soulevèrent malgré moi. J'entendis son rire cristallin, tandis qu'il me forçait à rester immobile.

Il posa alors la fleur sur mon gland, et se mis à le frotter avec ; je devins alors presque fou de désir. Je gémis, et tentai de me débattre, alors qu'il gardait le capitule refermé sur l'extrémité de ma queue. J'étais en feu ; c'était comme si la fleur m'aspirait me faisait gonfler plus encore que je ne l'étais ; comme si un millier de langues me goutaient, comme si je m'enfonçais dans un sexe étroit et bouillant de désir pour la première fois.

-Je t'en prie, suppliai-je en sentant la sueur perler sur mon front. J'haletais tant la douleur était forte, mais je refusais de crier ; toutefois, mon corps me trahit et mes hanches tentèrent de se soulever pour me soulager, mais il me maintint plaqué au sol, la fleur brûlante toujours pressée sur mon gland.

-Pas tout de suite, murmura-t-il, et il retira enfin l'instrument de sa torture, mais je ne fus pas soulagé pour autant ; le douloureux plaisir refusait de me quitter, et je me mis à gémir de plus belle, mais cette fois, de frustration. « Je vois que tu commences à t'abandonner ; c'est bien.

Il se leva et relâcha mes poignets, et, pendant un bref instant de folie, je tentai de me caresser pour me soulager ; mais il me saisit à nouveau les mains et me réprimanda d'un doux baiser m'insufflant sa patience et son calme. J'inspirai profondément en tâchant d'ignorer le désir ardent qui me consumait.

Alors, il me fit m'agenouiller et se plaça debout, devant moi : il me présenta son sexe raide, et caressa mes lèvres avec son gland humide ; il le poussa doucement contre mes lèvres, et j'ouvris timidement la bouche pour l'accueillir.

Il s'enfonça en moi avec brusquerie, mais ma gorge était étrangement détendue, peut-être à cause des fleurs qu'il m'avait fait ingérer ; je laissai s'échapper un cri de surprise et je goûtai le sel de sa queue sur ma langue. Je fermai les yeux, tandis qu'il butait contre le fond de ma gorge ; j'eu un mouvement de recul, mais il m'obligea à rester immobile. Un gémissement aussi doux que le chant d'un oiseau lui échappa, et je m'empressai alors de le sucer aussi habilement que je le pouvais pour entendre à nouveau ce son merveilleux.

Je fis courir mes lèvres et ma langue sur sa verge gonflée, tétant goulument son sexe, avec une dévotion que je ne me connaissais pas, désireux de lui plaire ; je levai les yeux et vis son visage, penché sur moi, et ses yeux d'un vert profond qui me regardaient ; il avait la bouche légèrement entrouverte, et il me sourit. Le feu qui m'animait s'en retrouva soudainement décuplé. Je lui cédai alors complètement.

Je suçai plus fort encore, enhardi par son approbation, je l'aspirai et le léchai, et je le senti frissonner. Il sortit ensuite complètement son sexe de ma bouche et joua distraitement avec, tapotant ma langue que je lui présentais, jouant avec mes lèvres entrouvertes, et je me délectai de ce jeu ; j'avais perdu l'esprit, j'étais fou de désir. Tout ce dont j'avais envie, à présent c'était sentir cette bite dans ma bouche.

Il s'enfonça à nouveau entre mes lèvres impatientes. Ma verge était gonflée de désir pour lui, et je la caressai doucement pendant que je le satisfaisais avec ma bouche ; s'il remarqua ma manœuvre, il n'en dit rien. Seuls des gémissements émanaient désormais de lui.

Il prit ma tête entre ses deux mains et je le laissai dicter le rythme de son plaisir ; je le laissai me baiser la bouche, aussi fort et aussi vite qu'il en avait envie. Il usa de moi comme bon lui semblait, et je fus ravi de le laisser abuser de mon orifice, ne ressentant nulle humiliation, mais au contraire, un sentiment de délicieux abandon.

Un cri lui échappa, et je sus qu'il avait atteint son plaisir ; il se retira légèrement, mais pas entièrement ; alors il déversa son nectar chaud dans ma bouche, et je le savourai en fermant les yeux ; j'avalai à petites gorgées sa semence, dont le goût salé se mêla à celui des fleurs ; le mélange était aussi enivrant qu'un bon vin.

Je le gardai en bouche alors même que son sexe s'amollissait ; j'en voulais plus, mais il se retira entièrement, cette fois, avec un léger rire. « Je te pensais raisonnable, mais manifestement ma semence est particulièrement à ton goût. » Il me fit me redresser et ses lèvres effleurèrent les miennes, mais il me dédaigna une fois de plus.

En revanche, l'une de ses mains se referma sur ma queue et je grimaçai de plaisir, tandis qu'il me cajolait avec une terrible lenteur. Il me fit m'allonger à nouveau et je craignais ce qui allait venir ; il saisit à nouveau les petits capitules qu'il avait cueillis et je le priai « Non, pas cela encore...

Il en sélectionna plusieurs et frictionna doucement ses mains avec ; puis il entoura ma verge de ses deux mains et se mit à la caresser à un rythme régulier. Je soulevai aussitôt les hanches, et je baisai ses mains, en criant, « Oui, oui ! » ; devenu esclave d'un désir qui me noyait complètement. C'était insoutenable, la douleur et le plaisir, le baiser brûlant de ces fleurs et l'exquise douceur de sa peau. Il me tortura pendant un long moment, libérant mon sexe quand il me voyait proche de l'extase, puis reprenant ses gestes pour m'éveiller à nouveau. Son plaisir était évident ; un sourire malicieux étirait ses lèvres et son sexe se dressa à nouveau fièrement entre les boucles blondes de sa toison pubienne.

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