Régénération Dégénérée

BÊTA PUBLIQUE

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Il verrouilla définitivement le collier métallique autour de mon cou. Le claquement sec du verrouillage me transperça l'esprit et la chatte, et me secoua comme un fétu de paille. Il scellait ainsi le discours que nous avait tenu Madame Amélie dans son appartement : c'en était mon acceptation et ma signature, j'étais moins qu'une chienne, une esclave. Ce vendeur était en réalité un vendeur d'esclaves, il allait me proposer à la vente, me mettre aux enchères, pour une mise à prix initiale ridiculement basse concernant une chienne âgée aux mamelles affaissées, une chienne à trainer en laisse, tout juste bonne à ramper aux pieds de ses maitre et maitresse. Une femelle bonne à traire pour allaiter toute une portée. J'étais au bord de l'orgasme. J'offris mes pis sur le plateau de mes paumes de mains aux deux filles qui me pompèrent avidement en pressant sauvagement chaque tétine à deux mains, désireuses, à leur tour, de les marquer de leur sceau. J'aurais voulu appartenir à chacun et chacune dans ce magasin et que chacun des stigmates incrusté sur mon corps soit le signe de leur possession et de mon esclavage. Il ne se passa pas longtemps avant que je hurle ma jouissance de salope dégénérée à travers la salle de ce magasin SM.

À travers les larmes de l'orgasme qui m'avait secouée, j'entr'aperçus le vendeur emmener Antoine en direction d'une cabine d'essayage. Il lui donna un pantalon de similicuir et un manteau d'assez mauvaise qualité. Il lui dit quelque chose que je ne compris pas, mais je devinais qu'il s'agissait d'enfiler les frusques qu'il lui donnait.

Le vendeur gothique revint vers moi, et, débarrassée de mon imper inutile pour me trouver nue à l'exception de mon collier métallique, il me fit mettre à genoux pour le sucer au milieu de la boutique. J'y mis toute l'énergie et l'application dont j'étais capable. Une des femmes qui m'avait pompé les nibards me branlait la chatte à l'aide d'un vibromasseur hystérique, tandis que l'autre derrière moi, me pelotait les nichons. En réalité, elle me les malaxait, les broyait et les étirait un peu dans tous les sens, jouant avec comme pâte à modeler. Le gothique me pistonnait la gueule, y enfournant sa bite jusqu'aux couilles usant de son mandrin comme d'un vérin déjanté. Il maintenait ma tête par la nuque, lui impulsant un sens de branlage inverse du sien. Ses coups de reins augmentaient en fréquence autant qu'en intensité. Son gland titillait ma luette. Parfois il buttait sur mes joues, si fort qu'il en déformait ma bouche en tirant mes lèvres vers l'arrière. Malgré mes yeux exorbités, je pouvais jeter des coups d'œil alentour. La foule présente matait la scène sans gêne comme si c'était la normalité, une fille branlait un punk, lui astiquant la hampe comme jamais une bonniche ne fait le ménage.

Finalement, le vendeur éjecta les filles de mon corps. Il abandonna ma bouche, appuya sur mon crâne pour plaquer mon visage au sol, puis passant derrière moi, me souleva la croupe et me prit rapidement à la hussarde. En quelques coups de queue, sa sauce fut prête. Il se retira et éjacula sur mes fesses. Son liquide épais et gluant dégoulinait lentement le long de mes fesses, s'insinuant dans ma raie, rampant dans la profondeur de mon sillon pour finir par me lécher le cul comme si ce foutre voulait me pénétrer par effraction. Je restais un instant prosternée dans le vide à jouir de ces sensations. Je me demandais si les spermatozoïdes disposaient d'une volonté propre et pourraient me violer en m'enculant sans recourir à un objet contondant.

Le vendeur me fessa le cul à plusieurs reprises en me taxant de bonne chienne et de sacré salope. Puis il me releva sans ménagement en me crachant dessus. L'ordure me bousculait, me traitait sans égard, mais plus encore, avec mépris. Pour la première fois de ma vie, j'étais considérée comme un sac à foutre. J'étais prête à défaillir d'exaltation. Le porc enfourna sa bite dans ma gueule pour que je lui toilette sa queue de tous les résidus que la baise avait laissés. Je m'acharnais à satisfaire ce fumier, je lui léchais la pine et les couilles avec application, lui gobais le gland en veillant à bien arrondir les lèvres ; je l'engloutis en l'aspirant et je passais la pointe de ma langue sur le pourtour du bout de la tige dans le même temps. L'ordure se remit à bander. Satisfaite de mon toilettage, je plongeais ma tronche de dépravée décatie entre ses cuisses pour l'atteindre en feuille de rose. Je lui léchais le cul, je fis pénétrer ma langue dans son trou brun, non pour lui mais pour moi, pour me prouver que je pouvais descendre au plus bas dans l'abjection, accomplir ce qu'un porc vicieux de la sorte n'exigeait ni n'attendait d'une truie comme moi. Lorsque l'enfoiré fut satisfait de mon travail d'infâme grognasse, il remonta son froc, me repoussa avec dégoût d'un coup de pied, se rebraguetta et m'abandonna hébétée au milieu de la boutique sous le regard des badauds ahuris. J'entendais quelques réflexions, certaines désobligeantes, plus souvent carrément humiliantes, à propos de ma chiennerie, du foutre qui maculait mon cul et coulait de ma raie, des résidus qui souillaient le contour de ma bouche. Je ressentais des milliers de petits picotements de jouissance. Je jouissais d'avoir été traitée et d'être vue comme une véritable moins que rien vicelarde, chantre d'une déchéance immonde. Je me délectais de cette déchéance qui était mienne et dont profitaient quelques excités pour se branler sous mon nez. La pensée qu'ils auraient pu m'éjaculer dessus hanta longtemps mon esprit.

J'étais encore un peu sonnée, le regard vaporeux. Je vis Antoine vêtu du pantalon que lui avait fourni mon baiseur. C'était un pantalon découpé devant et derrière laissant largement apparaitre la bite et les fesses, tenu uniquement par une ceinture autour du ventre et deux bandes de cuir sur les hanches. En fait, il n'y avait pratiquement que des jambières. Le manteau couvrait ce qu'il manquait, des épaules jusqu'aux genoux. Il couvrait mal le cou et laissait clairement apparaitre le collier aux quatre anneaux. Antoine semblait mal à l'aise.

Le vendeur s'approcha de nous.

— J'ai quelque chose pour vous dit-il en me regardant.

Il me donna un papier que je tendis à Antoine. C'était un certificat médical récent spécifiant sa non-séropositivité. Il me tendit un manteau, manteau qui ressemblait à celui que portait mon mari. Il était plus court et s'arrêtait bien au-dessus de la moitié de mes cuisses, couvrant à peine un peu plus que la courbure de mes fesses. Je compris qu'en tant que femme j'étais condamnée à montrer mon cul. Je fus flattée qu'on le trouve encore assez digne d'intérêt pour être montré, exhibé et finalement maté. Le manteau découvrait totalement mon collier d'esclave. Le vendeur prit nos affaires et les rangea dans un coin en nous disant qu'Amélie les récupérerait. Nous étions privés d'argent, des clefs de notre appartement, de voiture, nous n'avions rien d'autre que ces inutiles protections.

Il souleva mon manteau pour se rincer l'œil une dernière fois des marques de doigts incrustées dans mes nibards. Il me fit pivoter pour admirer son sperme qui séchait encore sur mon cul nu. Il ajouta que nous n'avions rien à payer. Je fus parcouru d'un frisson de plaisir, j'étais la pute et j'aurais dû payer? N'ayant aucun fric sur moi, je m'imaginais rembourser ma dette en nature! Comment aurais-je fait? Aurais-je dû sucer tous les types présents dans le magasin, brouter toutes les chattes, et, pour finir, lécher tous les culs... Et payer encore une fois pour m'acquitter du plaisir que j'aurais pris à payer ce tribut? Je fantasmais d'être la première pute à devoir payer ses clients pour les faire jouir. « Et tu dois bander », ajouta le vendeur en soulevant le manteau de mon mari. Ce qui était vrai, Antoine bandait comme je ne l'avais plus vu faire depuis longtemps. Une érection bandante. Nous avions toujours le cul à l'air lorsque mon portable sonna. Le SMS était arrivé. Madame Amélie nous disait de nous rendre chez elle. De jeter les frusques qu'on venait de nous donner dans une poubelle de la rue. D'attendre, nus, à genoux, tête baissée, sur le seuil de son appartement jusqu'à qu'elle nous ouvre la porte.

Sans argent, nous étions obligés d'y aller à pied mais pieds nus? Je demandai au vendeur si nous pouvions avoir nos chaussures. Il répondit que ça ne faisait pas partie de ses instructions.

***

Il ne faisait pas froid, le sol était tiède. Marcher pieds nus n'était pas infaisable de ce point de vue. Mais nous étions deux adultes de plus de quarante ans, et on ne s'attend pas à voir deux adultes âgés marcher pieds nus dans la rue, d'autant plus si des colliers métalliques d'esclaves SM paradent à leur cou de façon provocante et s'ils sont si peu recouverts de manteaux ridicules et indécents que c'en est humiliant. Car ces manteaux nous couvraient mal, nos sexes apparaissaient plus facilement qu'ils ne disparaissaient. Mon manteau étant plus court que celui d'Antoine, mon cul n'était pas en reste et s'affichait en fonction de mes mouvements. Je n'avais qu'une peur, rencontrer des gens connus. Malgré cela ou à cause de tout cela, Antoine bandait (ce qui faisait ressortir sa bite du manteau) et j'étais terriblement excitée. Je mouillais. La mouille se répandait sur mes cuisses, amplifiant mon excitation. Je repensais à la boutique SM. Tout ce qu'il s'y était passé, et tout l'avilissement jouissif que cela avait révélé en moi. J'avais été prise en public, branlée, tétée, j'avais encore des marques sur le corps et du foutre d'un porc sur les fesses. Ces dégénérescences galopaient comme des furies dans tous les coins de ma tête, s'entrechoquant avec mon quotidien, affolant toutes mes certitudes. Pour rien au monde je n'aurais fait machine arrière.

Antoine et moi prenions les petites rues moins fréquentées dès que possible. Mais les gens que nous croisions nous dévisageaient plus facilement, car ils nous remarquaient d'autant plus que la fréquentation était moindre. En réalité, ils ne nous dévisageaient pas, pas réellement, ils nous reluquaient, nos visages les intéressaient moins qu'un sein ou le sexe qui dépassait de ces manteaux indécents. Mais ça ne me gênait plus. Je préférais être reluquée qu'être ignorée. En fait j'étais fière d'être reluquée. J'avais envie de tomber ce manteau et d'avancer nue en leur criant « regardez-moi! Matez la salope ». J'étais en chaleur. Chaude comme l'enfer auquel ma perversité me destinait inéluctablement. Je n'en pouvais plus, à croire que les flammes du diable me dévoraient déjà de l'intérieur. Au détour d'une rue déserte, je coinçai Antoine, je passai la main sous son manteau, je sortis sa bite, palpai ses couilles lourdes de désir, car trop pleines de son besoin d'éjaculation, et, à genoux devant lui, je me mis à le sucer frénétiquement. « Trop envie », marmonnai-je entre deux succions. Il se laissa faire sans protester. Sa semence monta vite, si vite qu'il eut le temps de jouir sur mon visage avant qu'un passant nous surprenne. Un foutre dénonciateur souillait mon visage en de nombreux endroits et s'étendait sur ma chevelure. Un collier de métal aux anneaux sans équivoque autour de mon cou dévoilait mes penchants pervertis. Un manteau crasseux largement défait révélait sans contestation possible mon lourd poitrail de femelle obscène. Le passant sourit et nous souhaita beaucoup de bonheur. J'eus envie de l'embrasser. Au lieu de cela, je soulevai le pan arrière de mon manteau pour lui exhiber mon cul. Je ne sus pas si son regard était encore sur mes fesses à cet instant.

***

Il était tard, mais il faisait bien jour quand nous poussâmes la porte donnant sur la cour intérieure de l'appartement de la Maitresse de nos Fantasmes. Nous n'avions pas osé jeter nos vêtements dans la rue. Être nus dans la rue, c'est bien en rêve, en fantasme, mais dans la réalité, c'est bien plus difficile et ça nous était impossible. Les poubelles étaient trop loin de la porte d'entrée de l'immeuble. De nuit, nous aurions pu tenter, pas de jour. Pourtant j'en crevais d'envie. Devant la poubelle, je fis un geste pour ôter mon manteau, mais Antoine me retint : « On ne peut pas prendre ce risque! » me dit-il.

Nous entrâmes dans la cour. Nous pouvions jeter les frusques dans les poubelles des particuliers. Il devait y avoir un coin pour celles-ci, puis nous monterions nus jusqu'au second et attendrions. Mais jusqu'à quand? Nous n'avions pas l'heure. Sonner et attendre paraissait la solution. Nous jetâmes nos frusques. Nus, nous montâmes les marches de l'escalier extérieur doucement, redoutant de faire le moindre bruit. Nous étions largement exposés aux fenêtres des appartements donnant sur la cour intérieure. J'étais traversée d'un mélange de peur et de jouissance. Mon corps vibrait autant que les planches de l'escalier craquaient chaque fois que je posais mon pied sur une marche. Mes seins étaient gonflés et tendus. Ma vulve aussi, semblant ouverte comme une corolle. Ma vessie tout autant. J'entendais des bruits de voix imaginaires, de pas fantomatiques, de portes qui s'ouvrent qui n'existaient pas. Nous nous agenouillâmes devant la porte de Madame Amélie. Je tendis le bras pour sonner. Je baissai la tête et frissonnai. J'avais la sensation d'être devenue hypersensible à l'environnement. Je sursautai à chaque craquement, à chaque frémissement de l'air. Mélangé à ce même frisson apeuré, mon plaisir était immense, indicible. La pointe de mes tétons me semblait être devenues des pointes d'acier. Je vis qu'Antoine bandait si fort que sa bite était collée contre son ventre. J'eus envie de me positionner en levrette, de lui tendre un cul aguicheur et qu'il me saute, qu'il me prenne brutalement comme une bête, comme une chienne, comme sa chienne... mais nous n'aurions pas respecté les directives. Un sentiment que je n'avais plus connu depuis des décennies me parcourait des pieds à la tête et n'arrêtait pas son va-et-vient permanent, explorant chaque point érotique sensible, chaque zone érogène de mon corps. Je me sentais revivre. Je ne portais plus que ce collier d'esclave comme unique vêtement ; seul le bon plaisir d'une dominatrice dont je ne savais presque rien pouvait m'en délivrer et seul mon désir avait pu me l'imposer. Je me sentais plus que nue, vraiment dépouillée de tout, extrêmement fragile et pourtant prête à être emportée par une jouissance interminable.

Je compris qu'être dépourvue de tout me rendait tout ce que j'avais perdu.

J'étais au bord de l'apoplexie.

***

Un bruit de porte qui s'ouvre, bien réel, puis de pas dans les escaliers cassa cette sensation de plénitude fantasmagorique. J'avais peur d'être surprise bien qu'être surprise ainsi m'attirait au plus haut point. J'avais envie, mais j'avais peur comme lorsqu'on monte sur un manège fou de fête foraine. Cette peur était extraordinairement excitante. Je ne pouvais plus contrôler ma vessie. Un liquide chaud et doux coula le long de mes cuisses puis sur mes genoux. Je cherchai à me retenir, mais plus j'essayais moins j'y parvenais. Au final, j'abandonnai, je me relâchais totalement. Mon esprit éprouva une jouissance infinie, non pas de pisser, mais de l'acte de me laisser aller à pisser sur ce pas-de-porte, de pouvoir être vue, et peut-être punie pour cela. Le déluge coula abondamment sur mes cuisses puis sur le sol, inondant mes jambes et mes pieds. Je pissais sans contrainte et jusqu'à la dernière goutte sur le pas-de-porte de Madame Amélie.

J'étais incapable de dire combien de temps s'était écoulé depuis que j'avais appuyé sur le bouton de la sonnette. Madame ouvrit enfin la porte, elle constata l'immense flaque dont j'avais orné son pas-de-porte. Elle fit entrer Antoine et me laissa poireauter dans ma pisse. Un long moment. Je tremblais comme une feuille lorsque la porte s'ouvrit à nouveau. Madame me plia en deux en appuyant sur ma nuque pour me courber jusqu'à la prosternation. Surprise, je tentai de résister. Madame m'insulta et je compris que je ne devais pas résister. Je devais être punie, et la punition devait m'humilier. Madame plongea mon visage dans ma pisse, et l'y maintint longuement en me traitant comme un jeune chiot. Elle mit une serpillière dans ma bouche et me commanda de frotter. En m'insultant à nouveau. Pour elle je n'étais pas digne d'être un balai lave-pont. J'avais honte. Et pourtant Madame qui surveillait n'arrêtait pas de dire que j'étais excitée ; que pour une chienne, ma chatte était bien trempe. N'importe qui dans l'immeuble pouvait me voir nue et prosternée, tenter d'essuyer ma pisse répandue sur le sol, en effectuant des mouvements de va-et-vient simulant un accouplement bestial. Avec cette guenille infâme dans la gueule de plus en plus imbibée de ma pisse, qui dégoulinait sans cesse, et mes reptations obscènes qui me trainaient comme serpillière et imprégnaient mes cheveux, mon visage, mes nichons, mon ventre, mes cuisses, ma chatte, j'espérais, je souhaitais, je voulais que quelqu'un sorte d'un appartement et me voit pour ce que j'étais vraiment, car à présent que Madame était là pour me protéger. Je ne sais pas si quelqu'un a observé cette scène, mais je le fantasmais. Quand la serpillière fut pleine, je pus retirer l'infamie de ma bouche et l'essorer dans un seau. Madame ne me permit pas d'utiliser les mains avant le dernier moment, lorsque mes cheveux imbibés trainant sur le sol dans mon abjection, ne me permettaient plus d'achever ma punition.

Je n'ai pas eu le droit me laver. Je suis restée allongée sur le carrelage de la cuisine, couverte de mon urine toute la soirée et toute la nuit. Pendant la nuit je n'ai pas vraiment dormi, j'étais surexcitée. J'ai espéré que quelqu'un de l'immeuble m'ait vu et se soit branlé en me regardant. J'étais punie, je n'avais pas le droit de me toucher pour me soulager de ce fantasme, sinon je me serais masturbée comme la dégénérée que je suis, en imaginant tout l'immeuble en train de lorgner la scène, de se branler et de m'éjaculer dessus. Et peut-être plus...

***

Suite à cette première expérience, Madame Amélie a accepté de coacher notre vie sexuelle. Nous sommes très heureux de son acceptation. Cependant, elle nous a informés qu'elle est impitoyable et que cette nature, sa nature pourrait bien nous mener dans des endroits, et par des voies que nous ne désirions pas obligatoirement fréquenter au départ.

Elle s'est rendu compte que nous n'avions pas suivi toutes ses directives et que nous n'avions pas jeté les manteaux dans une poubelle de la rue. En conséquence, nous n'avions pas terminé la réalisation de ses instructions en marchant nus dans la rue. Ce choix dans l'exécution d'un fantasme est nôtre, tant pis pour nous. Cependant, en pissant devant sa porte, j'ai fait bien plus que de ne pas suivre des instructions : c'est différent et tout à fait inacceptable. Dorénavant, de tels actes seront sévèrement sanctionnés et durement punis.

C'est un risque qu'il nous faudra accepter pour nous sentir revivre.

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9 Commentaires
Plaisirs54Plaisirs54il y a 9 mois

Comment ne pas être sensibles à ce couple avec lequel nous avons plusieurs points communs? Nous sommes donc curieux de suivre l’évolution de cet engagement avec Madame Amélie. Dans cette attente, merci à l’auteur pour ce texte bien écrit et réaliste.

AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Beaucoup de plaisir pris à lire cette histoire. La présentation et description des deux personnages apporte à la suite j'aime ça. J'aime cet équilibre entre l'épaisseur des personnages et les aspects pervers du récit. L'homme est en effet épargné jusqu'à là...

trouchardtrouchardil y a 10 mois

j'allais critiquer la mise en page de ton texte, mais je viens de voir que tu t'en est aperçu.

Malgré la difficulté à le lire, ton récit est bien écrit et intéressant. Je te remercie de nous l'avoir proposé.

APVapvAPVapvil y a 10 mois

Un vrai scénario. Les sentiments de la protagoniste. Scènes très excitantes. Merci

meo75meo75il y a 10 mois

Récit très intéressant, vous évitez les évidences répétitives et avez choisi des héros qui sont des gens de tous les jours et non des fantasmes vivants.

Je regrette qu'il ne se passe rien pour le mari, et pour le couple, ce qui est le plus intéressant c'est justement la modification de la relation de couple qui sera induite.

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