Premier Livre

BÊTA PUBLIQUE

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Henri, ne doutant de rien, avala les comprimés. Quelques minutes plus tard, il se sentit terriblement fatigué, et se coucha sur le canapé. Le pauvre homme sombra alors dans un profond sommeil.

- « Edmond, viens ici! On est en sécurité! » jubilait Blanche

L'intéressé descendit avec méfiance, mais après les explications de la jeune épouse, il était certain du sommeil intense du mari. Elle avait même, par prévision, écrit un mot amoureux sur un post-il jaune, et l'avait collé sur la canapé.

Chapitre 10 -- Quand le chat roupille, les souris baisent

Ils s'embrassèrent une énième fois, et par la sensation de soulagement quand leur langues s'entremêlèrent, au beau milieu du salon, Blanche réalisa qu'il était pour elle comme une drogue, et qu'elle ne pourrait jamais plus se passer de leurs ébats charnels.

Edmond regardait avec un air de défi le mari endormi pendant qu'il dégrafait le soutien-gorge de sa femme. Il l'obligea ensuite à s'accrocher au dossier du canapé, laissant ainsi pendre la généreuse poitrine de Blanche au dessus de la tête de son époux. Elle aurait bien voulu s'en vouloir, mais actuellement, seul l'instinct animal de chair occupait son esprit.

Sensuellement, il lui ôta sa petite culotte trempée, et enleva sa propre ceinture. D'abord, il fessa délicatement le cul nu et ses lèvres charnues, puis de plus en plus fort, si bien qu'après quelques minutes, elle poussait de brefs cris de douleur, mais restait en position, soumise. Satisfait de cette obéissance, Az sortit son barreau, et le frotta longuement contre la vulve, sans la pénétrer, provoquant chez Blanche un état d'excitation et d'impatience qui la poussait à agiter son bassin et implorer l'homme de bien vouloir la prendre.

Il refusa et lui imposa de s'empaler toute seule sur son piquet. Il vit donc les fesses magnifiques de sa dame aller et venir, frénétiquement, sur lui, immobile. Ses seins décrivaient un mouvement pendulaire au gré des mouvement de ses reins, et effleuraient parfois le visage de son mari. Blanche retrouvait le plaisir véritable. Elle ne réprimait plus ses gémissements de joie, qui allaient en s'amplifiant, mais heureusement, aucun de ses fils ne se réveilla. Enfin elle fut submergée par une vague de plaisir pur qui signait encore un orgasme.

Blanche s'allongea sur l'autre canapé, épuisée de tant d'ardeur. Edmond la berça de baisers sur son corps chaud, et de caresses délicates. Elle ferma les yeux et s'endormit. Alors Az la prit comme une mariée, et la porta jusqu'à son lit, en princesse inerte, avant de l'y déposer, et appliqua un dernier baiser sur son front pour de s'en aller ensuite chez lui.

Le lendemain, ce fut Henri qui se émergea le premier, encore dans le brouillard. Le mot doux de sa femme le fit se souvenir d'une scène érotique dans la douche avec elle, et il quitta le domicile heureux, mais soucieux du temps, car en retard.

Ce fut ensuite au tour de Blanche, toujours nue, qui avait la tête pleine de souvenirs de la veille, et elle se surprit à ressentir un vide sans son amant, qui lui manquait déjà.

Le petit Jean se mit à pleurer quelques minutes plus tard, ce qui réveilla aussi Georges. Les deux enfants demandèrent où était passé le gentil bonhomme de la veille.

Chapitre 11 -- abstinence et adresse

Ce jour là, Edmond Azram ne rendit visite ni ne téléphona à celle qui avait partagé son lit durant la nuit dernière, et n'était pas présent à la crèche de Georges.

Blanche s'inquiéta d'abord, pensant qu'il s'était peut-être froissé de l'avoir vue dans la douche avec son époux. Elle ne connaissait en fait de lui que son prénom et son surnom, si bien qu'elle n'avait aucun moyen de le joindre.

Frustrée, elle passa sa journée, entre deux repas ou allaitement de ses enfants, à se masturber frénétiquement, avec l'odeur de son prince charmant sur les draps du lit, qu'elle gardait près de son nez. Malheureusement, elle ne ressentit que le même plaisir fade qu'elle avait éprouvé lors de ses récents ébats avec son mari. C'était comme goûter à un met exquis en ayant le nez bouché, et elle n'arrivait à trouver cela qu'à peine agréable, elle qui s'agitait furieusement sous sa culotte, et malgré le geste, sa vulve peinait à s'humidifier. Pourtant elle n'arrêtait pas. À chaque fois qu'elle pensait à Edmond, sa main revenait simuler celle du jeune homme, et elle ne faisait qu'y penser toute la journée, de sorte qu'elle se surprenait souvent à crier son nom au milieu de sa frénésie.

Vers la fin de l'après-midi, elle reçut tout de même un mystérieux message, mais comprit que le numéro était celui de son Edmond. Il disait :

« Rejoins moi à 22h00, enfants couchés, au 202, boulevard de l'Est, appartement 41. Minijupe et décolleté, pas de sous-vêtements. Bisou là où tu penses, Az »

Blanche appela le numéro, mais personne ne décrocha.

Elle savait que c'était lui, et cette perspective la réjouissait énormément. Par contre, elle n'avait ni minijupe, ni décolleté assez pigeonnant, comme il l'aurait sans doute souhaité. Elle se confectionna donc une telle tenue. En prenant une vieille robe noire qui lui arrivait au genou, elle découpa soigneusement et recousit, grâce à un modèle d'une brochure coquine d'internet. La nouvelle jupette lui paraissait désormais beaucoup trop courte pour sortir : elle était taillée de sorte qu'en se penchant très légèrement, on voyait ses fesses fermes qui n'aspiraient qu'à Edmond. De plus, ne mettant pas de culotte, n'importe qui dans la rue un peu attentif aurait vu ses lèvres impudiques. Pour le décolleté, elle prit simplement sa chemise blanche, qui par ailleurs était sa préférée, et la déboutonna jusqu'au nombril. Enfin, simplement pour lui plaire, elle mit ses plus hauts talons, et se maquilla admirablement.

Après avoir fait dîner et couché ses enfants, elle s'habilla et se trouva très indécente. Elle voulait attendre jusqu'à 21h30 pour partir, le boulevard en question étant à 30 minutes de marche, mais n'y tenant plus, elle succomba à la tentation et partit vers 21h00. Elle quitta la maison précipitamment, et marchait vite dans les rues mal éclairées, pour ne pas se faire remarquer. Raté, car plusieurs passants la sifflèrent, et on demanda même son tarif pour la nuit.

Blanche arriva à l'adresse indiquée, dans les quartiers pauvres, vers 21h30, et par souci de ponctualité, décida de ne monter avant 21h50. Elle s'assit donc, sur la chaise d'un bar et commanda un expresso, la nuit allait être longue. Elle avait oublié que sa tenue laissait tout voir quand elle s'asseyait, et ce ne fut pas long pour qu'un vieux monsieur barbu s'approche. Il s'assit à côté d'elle, avec un sourire malsain, et d'une main commence à masser le haut de la cuisse de la jeune dame. Blanche ne voulait pas crier, de peur d'attirer d'avantage l'attention sur ses vêtements provocateurs, et risquer plus gros. Elle tenta donc de repousser amicalement le vieil homme, mais sentit un vieux doigt fripé s'introduire en elle, et une autre main passer sous sa chemise.

« Arrêtez, je vous en prie... » tenta Blanche, fébrile, mais il continua de la peloter désagréablement, en souriant.

Alors elle eût une lumière, et lui demanda sur un ton incitatif de venir continuer, mais dans les toilettes. L'homme ne pût résister à la demande qui signifiait qu'il allait pouvoir la pendre de tous les côtés, sans que personne ne le vit. Sans pour autant lâcher la prise qu'il avait dans la jeune femme, et en lui pinçant les fesses, il la conduit dans les toilettes des hommes.

« Sors-le » murmura-t-elle, et pendant qu'il se débraillait, elle lui asséna un coup de pied magistral dans ses bijoux, ce qui laissa l'homme sans voix, et à demi-évanoui, pleurant presque.

Elle sortit alors en courant du bar, et entra précipitamment dans la résidence.

« appartement 41, ça doit être au 4ème étage » se dit elle. Effectivement, quand elle monta, elle vit la porte de l'appartement 41, légèrement entre-ouverte.

Chapitre 12 -- Détruire pour mieux reconstruire

Quelle ne fut pas sa surprise quand elle découvrit le petit appartement rempli de femmes. Elle se tenait immobile, médusée, ne comprenant pas cette présence. Les femmes était aussi courtement vêtue qu'elle, discutaient et riaient ensemble. Elle étaient toutes plus belles et attrayantes les unes que les autres, de vrais mannequins ; les deux blondes qui se tenaient devant elles avaient des jambes longues et fines, des yeux bleus perçants, et leurs éclats de rire envahissaient la pièce. À côté, deux brunes et une rousse s'amusaient à se frapper de coussins ; la rousse avait perdu son haut et ses magnifiques seins fermes et pleins de tâches de rousseur gigotaient nerveusement.

Enfin, elle aperçut Edmond, qui de ses deux bras tenait par la taille deux Vénus, l'une brune et l'autre blonde, et en embrassant la blonde, il massait les fesses de la brune qui riait.

Blanche fut tentée de s'en aller mais courut vers Az pour lui demander des explications, l'air furieuse. Il fit mine de s'étonner de sa réaction, puis le déclara, les yeux dans les yeux ;

« Quelle égoïsme de croire que je ne suis que pour toi! Tu es très jolie, Blanche, mais tu n'es qu'une parmi les autres...

elle s'effondra, en larmes. Elle venait d'éclater, de voler en morceaux

-Allons, allons, tu as la chance d'être à moi... répliqua-t-il, consolant, et il défit sa braguette pour laisser sortir son pénis, tout en approchant la tête de la belle larmoyante.

Sans opposer aucune résistance, elle approcha sa bouche et se mit à sucer la verge. Ainsi réduite au silence, Az pouvait lui parler sans contestations :

« Tu m'appartiens, Blanche. C'est de toi même que tu es venue ici. (les paroles douces entraient dans le crâne de la jeune femme sans en sortir) Tu as besoin de moi, pas vrai? Et regarde, je te satisfait, tu as de la chance! Observe autour de toi toutes celles qui voudraient être à ta place... » Blanche jeta un bref coup d'œil, et vit, en effet, une dizaine de regards envieux

Elle commençait à se reconstruire. Dans le sens qu'Edmond Azram lui indiquait. Elle réfléchit, et trouva les paroles d'Edmond entièrement justes, et se sentit coupable. Alors qu'elle continuait les aller-retours sur la poutre, elle s'estima réellement chanceuse.

La Blanche de la semaine précédente n'était plus. Une nouvelle femme naissait.

Chapitre final - L'apothéose

Edmond jouit dans sa bouche, et elle se régala. La femme rousse, qui s'appelait Amandine, apporta alors une large caisse rose. Toutes les femmes se regroupèrent autour, et attendirent que l'homme ouvre le paquet. Après l'ouverture, Blanche distingua des objets colorés qui lui étaient inconnus ; des formes phalliques, des fouets et des menottes en plastique, des fourches en caoutchouc... des sex-toys par dizaines!

Alors toutes les femmes se précipitèrent dessus, par imitation, Blanche fit de même, et se retrouva avec un long bâton rouge torsadé. On se déshabilla alors en gloussant, et aussi Blanche suivit elle, malgré quelques hésitations.

Soudain elle réalisa que toutes les femmes présentes avaient leur pubis intégralement rasé, et eût honte de ses poils. Mais Az commanda à une femme de la raser. Henri s'en étonneras sans doute se dit-elle, mais l'ambiance n'était pas à la précaution. Une jolie femme aux cheveux châtains clairs et aux yeux noisette (Eleanor, elle l'apprendra plus tard) la conduisit donc dans la salle de bain, un pot de mousse et un rasoir dans la main. Les deux femmes étaient seules et coupées du bruit à l'intérieur, aussi Eleanor s'appliqua-t-elle, et en dix minutes, Blanche avait la « chatte lisse comme une pute ». Il n'y avait pas de douche, elle devait donc enlever la mousse à raser dans la baignoire. L'autre femme l'aida, et après un moment de silence, embrassa Blanche sur la vulve. Celle-ci prit d'abord ça pour un geste drôle pour achever son travail, mais la jeune inconnue continuait : bientôt elle sentit une langue l'explorer de l'intérieur.

Blanche n'avait jamais conçu le sexe lesbien, et quelques jours auparavant cela l'aurait même choqué. Mais, après le discours d'Edmond, et parce que l'atmosphère de chaleur provoquée par l'anneau décuplait ses sens et rendait le geste délicieux, Blanche laissa Eleanor lui prodiguer un cunnilingus exquis. Alors que la chaleur et les longs gémissement montaient encore dans la pièce, la femme se retourna dans la baignoire, tout en continuant sa besogne, faisant comprendre que Blanche devait effectuer sa part du travail. Elle qui n'avait jamais fait cela se trouva désemparée, mais inspirée par l'ivresse du moment , commença à laper les lèvres et le clitoris, plus introduisit sa langue dans le vagin et lécha ses parois. Le goût, au début étrange, se faisait de meilleur en meilleur, et Blanche crût même distinguer à l'intérieur le goût du sperme d'Edmond, si bien qu'elle continua avec plus d'ardeur, pour récolter des traces du nectar. Puis, au fur et à mesure qu'elle continuait l'acte étrange et si contre-nature, elle sentit le vagin se contracter d'avantage, avant de sentir une explosion de joie qui inonda sa bouche de cyprine, et fit hurler l'autre.

Les deux femmes sortirent, Blanche échauffée mais n'ayant pas joui, et découvrirent un spectacle de débauche, couvert d'un concert de plaisir sonore; une femme brune se faisait perforer la vulve par une autre à grand coup de phallus violet en plastique ; à côté, deux femmes jappaient en s'empalant mutuellement sur un même objet courbé, rouge écrevisse ; enfin, clou du spectacle, Edmond prenait la belle Amandine en levrette, pendant que trois femmes assoiffées mêlaient leur langues sur le lieu de l'union, c'est-à-dire la verge quand elle ressortait, et l'abricot de la femme rousse, qui cumulait la pénétration et la stimulation en surface. Une femme aux cheveux platine observait la scène à côté, un vibromasseur se noyant dans sa mouille.

En voyant Az ainsi choyé, Blanche ne se sentait plus jalouse, seulement un peu inutile. Alors qu'Eleanor rejoignit la femme blonde, Blanche s'approcha d'Edmond, et l'embrassa.

Sous le coup du baiser peut-être, il éjacula dans la jolie rousse, qui s'écroula sous le coup d'un orgasme simultané. Les trois femmes se précipitèrent sur les lèvres suintantes du liquide blanc, et pompèrent leur collègue de tout le liquide accessible, avant de se ré-attaquer à sa source, tels des petits vers leur mère. Mais Az se retira, et en quelques secondes, son pénis, qui venait pourtant d'éjaculer, se redressa comme par enchantement.

Edmond prit Blanche et deux femmes blondes, qui selon Blanche était les plus belles, et leur demanda de monter avec lui l'escalier. Après être passé à côté d'une femme qui n'en finissait plus de jouir de son œuf vibrant, et d'une autre, qui se faisait fouetter par une brune encore habillée, tout en étant menottée dans le dos, ils entrèrent dans la chambre d'Edmond. Sous la couette s'agitait déjà deux femmes, visiblement en position de ciseaux. Az caressa doucement le dos de ces créatures saphiques, et leur demanda de quitter la chambre ; ce qu'elle firent, après un baiser volé.

Sur son ordre, les trois femmes soumises se mirent à quatre pattes, alignées sur le même lit, avec Blanche au centre. Il lécha alors chacune des trois vulves qui dégoulinaient de désir ; la langue les électrisèrent instantanément. C'est Blanche qui eut droit au barreau de chair ; et il débuta un lent va-et-vient qui la faisait gémir en se mordant la lèvre inférieure. Ensuite, il inséra les deux doigts centraux de ses mains dans les deux vagins des deux femmes blondes, et ses pouces sur leur rondelle, comme pour rejoindre son pouce et ses doigts en elles à chaque mouvement de sa main.

Comme ses bras et mains s'agitaient furieusement dans les deux femmes latérales, provoquant par ailleurs des cris simultanés chez elles, Az décida d'accélérer le rythme chez celle du milieu. C'était beau de voir les trois créatures dans la même position, alignés et qui désormais hurlaient leur extase d'une seule voix.

Blanche fut la première à se faire surprendre par une vague de jouissance, et elle eut le temps de recommencer avant que les deux autres ne succombent elles aussi.

Il était alors une heure du matin environ, et toutes les femmes étaient épuisés de tant d'effort. Avant qu'elles ne se mirent à partir, Edmond descendit avec un étrange collier, qui s'accompagnait d'une laisse détachable. Sur le collier, on voyait une plaque dorée avec écrit en majuscules : « propriété d'Edmond Azram ». Edmond le tendit à Blanche, en lui glissant à l'oreille : « c'est parce que tu es ma préférée », ce qui emplit cette dernière d'une joie immense. Elle parada ensuite avec, sous le regard des autres femmes, un peu jalouses, mais qui prenaient plaisir à la filmer avec leur téléphones. Loin de l'humiliation, Blanche se sentait fière de parader nue et à quatre pattes avec son maître.

Les femmes s'en allèrent une par une, et Blanche fut la dernière. En quittant la résidence, elle se sentait envahie d'un sentiment de plénitude et d'épanouissement.

« Je suis sa préférée », se répétait-elle fièrement, en touchant du doigt le collier sur son cou.

FIN

Épilogue

La jeune épouse et mère transformée gagnait de jour en jour en audace et en vices. Sitôt que son mari s'en allait, elle arborait fièrement le collier, et allait rejoindre son compagnon (ou était rejointe). Elle prenait même plaisir à le mettre en sa présence, quand elle portait une écharpe.

Edmond dormait le plus souvent à la place de son mari, et leurs nuits étaient courtes.

Bientôt on vit le couple oser dîner en public dans un restaurant, aller au cinéma (pour y faire l'amour dans le noir, c'est entendu), et même se rendre à certains sex-shops ensembles.

Enfin, un jour, Blanche surprend un retard de ses règles...

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