Petit Joueur

Puis j'ai reçu un coup de fil d'Amandine : son ménage n'évoluait pas dans le bon sens, ils se sont disputés, et ils ont convenu de faire un break. Serge voulait terminer les vacances et Amandine voulait rentrer chez elle, alors ils ont décidé que la séparation provisoire commencerait immédiatement. Amandine rentrait le lendemain.

Douchée et vêtue pour la deuxième fois de l'après-midi, parce que je n'avais pas réussi à repousser Thomas après la première douche, je portais mes vêtements les plus sommaires. Thomas se tenait toujours dangereusement proche de moi lorsque je lui ai ouvert la porte d'entrée.

Elle n'avait pas l'air tellement bouleversée, mais je l'ai quand même prise dans mes bras.

« Comment vas-tu, ma pauvre chérie? » J'ai demandé avec un long câlin. Pour toute réponse, elle a haussé les épaules, avant d'ajouter :

« J'ai décidé de profiter de cette opportunité » m'a-t-elle déclaré avec un petit sourire. « Je suis encore jeune et désirable et, pour être honnête, j'en avais un peu marre ! »

« Parfaitement, tu as bien raison ! Allez, je vais ouvrir une bonne bouteille »

Nous sommes tous allés dans la cuisine où Amandine et moi avons refait le monde, en buvant de grands verres de Chardonnay. Thomas est resté proche de moi tout le temps. Si Amandine remarqua qu'il n'était pas remonté dans sa chambre, s'installer devant son jeu, elle n'a émis aucun commentaire. A la fin, d'un discret hochement de tête, je lui ai montré la sortie, il nous a souhaité une bonne soirée, et nous a laissées discuter.

Avec l'alcool qui lui déliait la langue, Amandine a avoué qu'elle n'avait plus eu de relations sexuelles satisfaisantes avec son mari depuis des lustres. A cause de jeunes éphèbes qu'elle avait croisés au bord de la piscine, pendant ses vacances, elle était embrasée, brûlante de désirs fous. J'ai fait de mon mieux pour sympathiser, mais j'avais eu plus que le nécessaire ces derniers jours, et c'était un peu délicat.

Après que nous ayons vidé une autre bouteille et que les yeux d'Amandine commençaient à se fermer, je l'ai aidée à monter les escaliers et je l'ai mise au lit. J'étais à peine dans mon lit que Thomas est arrivé.

« Je suis désolée, Thomas » lui dis-je, prenant son visage déçu entre mes mains pour l'embrasser doucement : « Nous devons être discrets, maintenant. Ta mère a assez enduré. Si elle nous surprenait ensemble ... » J'ai senti son gros bâton se dresser contre mon ventre et, en baissant les yeux, j'ai vu qu'il était bien réveillé et près à servir, mais je suis restée inflexible. Les épaules basses, il s'éloignait tristement, les papillons dans mon ventre me poussaient à le retenir, mais j'étais sûre d'avoir raison.

Le lendemain matin, Amandine s'est levée tôt et semblait d'humeur joyeuse, pendant que Thomas dormait encore.

« J'ai eu la berlue, ou c'est bien mon Thomas qui est resté avec nous hier soir? Par quel miracle l'as-tu fait sortir de sa coquille? Je t'en prie, c'est tellement merveilleux, confie-moi ton secret ! »

J'ai éludé cette conversation dangereuse en essayant de prendre un air détaché. Je l'ai complimentée sur son bronzage et sa tenue. Elle portait une longue jupe fleurie fendue devant jusqu'à la taille et un chemisier noué sous ses gros seins. Elle m'a vu l'admirer et elle a fait un tour sur elle-même.

«Je ferais mieux de travailler mon bronzage si je veux revenir sur le marché» m'a-t-elle expliqué.

« Absolument ! Vas-y meuf ! »

Après le déjeuner, en bikini, elle s'est allongée sur un transat au soleil dans leur cour arrière, à l'abri des voyeurs. Je suis allée m'équiper pour profiter du soleil avec elle, mais lorsque je venais la rejoindre, en jetant un coup d'œil par la fenêtre de la cuisine, j'ai vu Thomas s'approcher d'elle.

Je ne pouvais pas entendre leur conversation, mais il a ramassé la bouteille de crème solaire à côté du transat en lui parlant. Elle était allongée sur le ventre et tourna la tête pour le regarder, puis lui sourit et hocha la tête.

J'ai ensuite regardé Thomas verser la crème sur ses mains et commencer à lui masser doucement les épaules et le dos. Sachant très bien ce que je ressentais lorsque ses mains douces et fortes massaient ma chair, ma propre chatte commença à s'humidifier d'envie. Quand ses mains arrivèrent à la culotte du bikini, il rejoignit directement ses jambes.

J'étais assez émoustillée à ce moment et j'ai glissé ma main dans ma culotte. J'étais jalouse de ma cousine bien-aimée lorsque les mains de son fils, remontant lentement le long de ses cuisses, atteignirent la limite de sa culotte. J'aurais tellement adoré sentir ses mains sur moi. Même de cette distance, je pouvais voir ses fesses se contracter alors que les mains de Thomas exerçaient leur magie sur elle. Mes doigts ont plongé entre mes lèvres, emplissant ma chatte.

Les doigts de Thomas alternaient entre pétrir la partie découverte des fesses et glisser entre ses cuisses, dangereusement près de sa chatte, et je pouvais voir ses hanches onduler légèrement lorsque l'envie de baiser surmontait sa maîtrise de soi. Je ne voyais pas assez bien pour être sûre s'il touchait réellement sa chatte ou non, mais de toute façon, quoi qu'il lui fasse, elle semblait vraiment apprécier cela.

Puis il a attrapé la main de sa mère pour la placer sur la bosse de son short. J'ai eu une crispation, ma respiration s'est complètement arrêtée, mais mes doigts se sont agités plus vite, en attendant de voir la réaction d'Amandine. Elle ne semblait pas réaliser ce que sa main touchait. Pendant ce qui m'a semblé une éternité, je regardais sa main explorer la bosse de son short. Puis elle se retourna et, apparemment à contrecœur, retira sa main.

Son visage était rouge, soit à cause de la chaleur du soleil, soit à cause de l'excitation, c'était difficile à dire, mais elle lui a dit quelque chose, et l'expression de son visage était lasse. Thomas se détourna d'elle, et j'ai vu son visage bouleversé. Il s'est enfui dans la maison, je l'ai entendu monter à l'étage, probablement s'enfermer dans sa chambre. Peu de temps après, Amandine se leva également, et se dirigea vers la porte du jardin. Je m'attendais à ce qu'elle vienne me demander des comptes, exiger de savoir ce que j'avais enseigné à son fils, mais au lieu de cela, elle est montée à l'étage.

Je me suis assise et j'ai attendu, convaincue qu'elle redescendrait tôt ou tard pour obtenir mon scalp, mais les minutes se sont écoulées sans qu'elle réapparaisse. Au bout d'une demi-heure, l'anxiété me pesait, alors j'ai pris un grand verre de vin et je suis allée m'asseoir dans le salon, en me disant qu'au bout d'une heure j'irai voir ce qui se passait.

Quand l'heure fut enfin écoulée, je montais à l'étage pour écouter à la porte de Thomas. Je n'entendais rien, alors j'ai ouvert pour jeter un coup d'œil à l'intérieur. J'ai été sidérée par ce que j'ai vu : Amandine était couchée sur le côté, face à moi, entièrement nue, apparemment endormie. Tout son corps était couvert d'une fine couche de transpiration. Thomas était allongé contre elle, un de ses bras et une de ses jambes jetés sur le corps de sa mère.

J'étais sur le point de refermer la porte quand elle a ouvert un œil. Elle m'a fait signe avec son doigt d'approcher et je suis venue m'agenouiller à côté d'elle. Sa main a caressé ma joue, elle m'a rapproché d'elle et m'a murmuré : « Qu'as-tu fait de mon fils? » Je me suis penchée sur elle pour lui murmurer à l'oreille, mais elle a pris mon visage dans ses mains pour m'embrasser passionnément sur les lèvres. J'étais déconcertée mais c'était un très doux baiser.

Finalement, elle a rompu le baiser pour me bredouiller à l'oreille : « C'était... C'était...Fabuleux ! Merci ma chérie ! Oh, putain, quel pied ! » Mon corps s'affaissa de soulagement. Elle y avait un grand sourire sur son visage fatigué. Elle a eu un rire de petite fille espiègle avant de m'attirer à nouveau pour d'autres embrassades plus coquines. Cette fois, sa langue s'enfonça profondément dans ma bouche. À part quelques bêtises d'ivresse à l'université, je n'ai jamais été attirée par les filles, mais ce baiser m'a enflammé les sens. Je me suis complètement abandonnée, fermant les yeux pour caresser le cou et les seins d'Amandine pendant que nos langues luttaient ensemble.

Mon corps tout entier était une boule de désir en fusion. Je gémissais dans sa bouche en sentant ses mains malaxer mes seins. Mes mains exploraient son corps offert à ma convoitise. Ses seins ronds et lourds avec leurs tétons charnus me fascinaient, pendant qu'elle déboutonnait mon chemisier. J'ai sursauté lorsqu'une autre paire de mains s'est attaqué à ma jupe par derrière, abaissant la fermeture éclair avant de glisser ma jupe vers le bas en me caressant les fesses par-dessus ma culotte. Thomas s'était réveillé, sans que je m'en aperçoive dans ma frivolité, et il me taquinait maintenant le cul.

Je tremblais d'excitation, tandis que deux paires de mains arrachaient mes vêtements. La bouche d'Amandine n'a pas quitté la mienne une seconde. Ce fut une lutte que j'étais heureuse de perdre. Thomas était collé à moi, ses mains malaxaient mes seins et tordaient mes tétons si sensibles, tandis que sa queue, glissante d'éjaculat, coulissait déjà entre mes fesses, excitant mon trou du cul si étroit.

Amandine était agenouillée face à moi, elle m'embrassait à pleine bouche, et ses doigts faisaient des choses merveilleuses dans ma chatte ruisselante. Mes mains ne pouvaient pas contenir ses beaux seins lourds et mes doigts s'enfonçaient dans les chairs tendres. Chaque terminaison nerveuse de mon corps scintillait d'excitation. Après un dernier coup de langue diabolique dans ma bouche, Amandine recula et me laissa pantelante. Elle me contempla un instant avec un sourire polisson, puis se mit sur le dos et se tortilla pour placer sa tête entre mes jambes.

Elle a largement écarté les siennes et j'ai été consumée de désir à la vue de sa chatte exposée. Je suis tombée en avant, la léchant furieusement, avec le goût merveilleux de son jus remplissant ma bouche. Sa bouche s'empara de mon clitoris, me faisant gémir de plaisir. J'étais émerveillée par le goût salé de sa mouille avant de réaliser, avec un regain d'excitation, que je suçais en fait le sperme de Thomas. Du coup, j'enfonçais ma langue plus profondément, escomptant en avoir plus.

J'ai senti les mains de Thomas écarter mes fesses pour frotter sa queue de haut en bas, de mon cul à ma chatte, me taquinant, pendant que sa mère suçait mon clitoris. Les hanches d'Amandine tanguaient follement, alors j'ai enfoncé deux puis trois doigts dans sa chatte, en léchant vivement son clitoris. Les sensations endurées par ma chatte étaient déjà extraordinaires, mais lorsque Thomas a enfoncé sa bite au plus profond de moi d'un seul coup, cela m'a fait crier de bonheur.

Parce que je m'abandonnais sans pouvoir me retenir, j'ai cessé de sucer le clitoris d'Amandine, et j'ai branlé sa chatte sans pitié jusqu'à ce que je sente son vagin avoir des spasmes autour de mes doigts, et que ses cris de joie remplissent mes oreilles.

Mon propre vagin passionnément frémissant s'est contracté autour de la bite de Thomas, et il a commencé à jouir par vagues successives, me remplissant de son sperme chaud. La langue d'Amandine parcourait ma chatte et sa bite. Il s'est retiré et la langue exaltée de ma sœur a prolongé mon orgasme encore et encore. Mon vagin se contractant a expulsé le sperme qu'elle a léché.

Je me suis tournée sur le côté, et mes cousins se sont blottis contre moi, l'un par-devant, l'autre par-derrière. Nous nous sommes étreints en nous embrassant et en nous caressant Nous sommes restés comme ça longtemps, perdus dans nos songes de bonheurs merveilleux. C'est Thomas qui a rompu le silence :

« Cousine, quand reviendras-tu? » J'ai regardé Amandine qui suçait mon téton gauche. Elle s'est arrêtée pour me sourire d'une manière encourageante.

«Bientôt» répondis-je. « Très bientôt »