Petit Joueur

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Gabrielle a accepté de s'occuper de son jeune cousin.
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Rainett
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Ce n'est qu'après que Gabrielle ait accepté de s'occuper de Thomas qu'Amandine l'a prévenue qu'il était accro aux jeux vidéo. Gabrielle n'était cependant pas inquiète : elle était presque sûre d'avoir les atouts pour attirer ce beau jeune homme loin de sa console.

J'ai été un peu surprise quand Amandine m'a appelée, et presque suppliée, de venir chez elle pour m'occuper de son fils Thomas pendant une semaine. Ma cousine m'a expliquée que l'entente n'était pas bonne avec Serge, son mari, depuis un bon moment, et qu'elle espérait qu'une semaine de vacances en amoureux pourrait arranger les choses.

« Ce seront les vacances d'été donc tu n'auras pas à te soucier de l'école et tout ça » m'expliqua-t-elle en essayant de vendre son projet. Elle savait aussi qu'en tant que professeur, je serais disponible.

Elle avait l'air si désespérée que j'ai immédiatement accepté. Je n'avais pas revu Thomas depuis cinq ans, alors qu'il avait environ treize ans. C'était un ado timide et un peu boutonneux, mais assez agréable.

J'ai fait le voyage pour aller jusque chez elle la veille de leur départ. Nous nous sommes assises et avons bu une tasse d'Earl Grey pendant qu'elle me communiquait quelques informations : les clés, les numéros d'urgence, où elle rangeait les choses, des trucs comme ça. Elle ne m'a parlé de Thomas qu'à la fin et même alors, elle semblait un peu réticente.

« Il a un peu changé depuis la dernière fois que tu l'as vu... » Commença-t-elle.

« Ah oui? »

« Oui, il n'est pas devenu le jeune homme brillant que j'espérais. Il passe tout son temps libre sur sa console, à jouer en réseau avec ses copains, des mecs obsédés par les jeux vidéo. C'est probablement de ma faute, je ne suis pas assez sévère. » A-t-elle poursuivi. Je la regardais avec sympathie.

« Tous les garçons de cet âge ne sont-ils pas comme ça?»

« Pas tous, ou du moins pas autant. Il ne sort presque jamais de sa chambre sauf pour aller à l'école. Sa seule vie sociale, c'est de jouer en réseau. Tout ce que tu pourras trouver pour le faire sortir sera très apprécié par son père et moi. »

« Ne t'inquiète pas » lui dis-je en lui tapotant la main. « Passe simplement un bon moment, et ne te préoccupe pas de nous. Nous ferons bon ménage. »

Elle m'a emmené jusqu'à sa chambre où elle est entrée sans frapper. Devant ma surprise, elle m'a expliqué qu'il vivait ici avec son casque sur les oreilles, et que c'était inutile de toquer à sa porte. Thomas nous tournait le dos, absorbé par son écran sur lequel se déroulait une sorte de bataille apocalyptique.

Amandine s'approcha de lui et lui tapota l'épaule. Il tua encore plusieurs autres extraterrestres, les explosant dans une pluie de sang, avant de marmonner quelque chose dans le microphone, et se tourna vers sa mère avec une expression exaspérée sur le visage.

« Dis bonjour à Gabrielle, Thomas » Il s'est tourné vers moi. Même pas un sourire pour m'accueillir. Il était évident que Thomas avait grandi depuis la dernière fois que je l'avais vu. L'acné juvénile avait disparue. Il était admirablement musclé et très joli garçon.

« Salut Thomas » je lui adressais mon plus beau sourire, celui qui fait des ravages chez les garçons. Il grogna quelque chose d'inintelligible, et me tourna le dos.

« Puis-je continuer maintenant? » dit-il d'un ton sec à l'attention de sa mère, en se tournant vers son écran.

Amandine m'a lancé un regard d'excuse et elle a commenté : « Je t'avais prévenue. »

J'étais à la fois vexée et en colère. Sans fausse pudeur, à vingt-cinq ans, je suis plutôt mignonne, et je n'ai pas l'habitude d'être ignorée ainsi par les garçons, surtout ceux d'une vingtaine d'années. C'était comme s'il m'avait provoquée. Immédiatement, j'ai décidé d'en savoir plus.

« N'a-t-il jamais eu de petite amie? » Ai-je demandé, essayant de paraître détachée.

« Non, je suis presque sûre que non. »

« C'est dommage, il est plutôt mignon. Il n'est pas gay, n'est-ce pas? »

« Oh non. Je suis sûre que non »

« C'est fou qu'il soit aussi peu sociable »

« Oui, c'est un geek » répondit Amandine, un peu rêveuse.

Ma première pensée quand Amandine avait demandé mon aide, c'était qu'un jeune homme de dix-huit ans doit être capable de se débrouiller sans sa maman pendant une semaine. Maintenant que je l'ai vu, je comprenais l'inquiétude de sa mère. Mais la froideur du garçon m'avait lancé un défi, et j'étais bien décidée à lui prouver qu'il existe des activités plus ludiques que les jeux vidéo pour les garçons de son âge.

De plus, en voyant ce jeune homme si mignon, je pensais que cela pourrait être amusant pour moi aussi. Malheureusement, j'avais fait mes bagages en partant du principe que je passerais des moments paisibles avec Thomas, et je n'avais pas d'équipement « sexy ». Après le départ d'Amandine et Serge, je suis montée dans leur chambre pour jeter un coup d'œil à sa garde-robe. Je ne pensais pas que cela la dérangerait : c'était pour une bonne cause après tout.

Il était clair que les vacances en amoureux n'étaient pas sa première tentative pour relancer l'intérêt de son mari. Elle avait quelques tenues résolument révélatrices, y compris une mini-jupe plissée à carreaux que je pensais utiliser si son cas était désespéré.

Je pensais qu'il serait peut-être ardu d'arracher Thomas de sa console bien-aimée, mais pas impossible. Une fois que j'aurais allumé la mèche, il me suffira de souffler sur les braises, avant de lui prodiguer quelques conseils sur la façon de se comporter avec des filles de son âge. Du coup, je deviendrais l'héroïne d'Amandine.

J'ai essayé un T-shirt moulant et décolleté et une jupe courte en jean. Ils s'ajustaient tous les deux plutôt bien à mes formes, et cela mettait en valeur mon décolleté et mes jambes.

J'ai fait un détour par la cuisine et, pour partir d'un bon pied avec Thomas, je nous ai cuisiné des burgers et des frites au four. J'ai préparé un plateau que j'ai monté dans sa chambre. Je lui ai donné son assiette avant de m'installer sur une chaise avec le plateau sur les genoux. Je l'ai regardé jouer, soulagée de constater qu'il jetait de fréquents coups d'œil sur mon décolleté et mes jambes.

En regardant du côté de son aine, j'étais ravie d'y voir un renflement. Je pensais avec soulagement qu'il n'était certainement pas gay. Curieusement, il semblait avoir quelques difficultés pour se concentrer sur son jeu. Il s'excusa auprès de ses copains lorsqu'il se fit éliminer. Juste avant, mes seins venaient de le frôler lorsque je me suis penchée pour débarrasser son assiette vide.

Je dois bien admettre que j'espérais qu'il descende au salon pour me tenir compagnie, et pour voir un peu plus de chair que je pouvais lui montrer. J'ai été un peu déçue qu'il s'abstienne. Son regard avide sur moi m'avait chauffée, et j'en voulais plus. Je me suis consolée avec quelques verres de vin, et je suis allée me coucher.

Le lendemain matin, j'hésitais entre des leggings qui moulaient parfaitement mes rondeurs et une mini-jupe de la garde-robe d'Amandine. Finalement, à cause de la chaleur estivale, j'optais pour une mini-jupe blanche très courte et un caraco noué sur le devant, sans soutien-gorge bien sûr. Je me suis regardée dans le miroir en essayant d'être objective : des nichons encore fermes avec de grandes aréoles sombres et des petits tétons coquins. Et, en regardant par-dessus mon épaule, un cul bien rond pour lequel n'importe quel jeune de dix-huit ans donnerait ses deux bras.

Quand il est descendu pour le petit-déjeuner, j'ai pu voir qu'il était séduit.

« Bonjour Thomas, tu veux des tartines? »

«Oui», grogna-t-il. Pas bonjour, ni s'il te plaît, ni merci. Charmant garçon. Le premier mot intelligible qui était sorti de sa bouche ! J'ai haussé un sourcil et il a semblé perplexe pendant un moment, puis il a roulé des yeux, a claqué sa langue sur son palais, et il a ajouté à contrecœur : « S'il te plaît »

J'ai souri en me levant, et je me suis étirée devant le placard pour attraper les ingrédients. Même s'il ne pouvait pas juger vraiment de la rondeur de mes fesses, elles étaient suffisamment proches pour l'émouvoir. Quand je me suis retournée, je l'ai surpris le regard fixe et les joues rouges. Je savais que je le troublais.

« Que fais-tu aujourd'hui? » Je lui ai demandé pendant qu'il terminait son petit déjeuner. Il ne m'a pas répondu, il a simplement levé les yeux vers sa chambre. Lorsqu'il s'est levé, j'ai vu la bosse qui déformait le tissu tendu de son jean.

« Qu'est-ce que je peux faire de plus pour convaincre ce garçon qu'il y a mieux dans la vie que de tuer des extraterrestres? » C'était désormais un véritable défi que me lançait ce chaste éphèbe et je n'avais pas l'intention d'abandonner !

J'étais surprise de voir à quel point le fait que Thomas me désire m'avait excitée et j'avais vraiment besoin d'un peu de temps seule. Je suis montée dans ma chambre et j'ai remonté ma jupette jusqu'à ma taille. J'étais déjà émoustillée et, en très peu de temps, j'avais déjà les prémices d'un orgasme.

J'ai brièvement envisagé de verrouiller ma porte, mais je savais que rien ne pourrait éloigner Thomas de sa précieuse quête. J'ai ôté ma culotte, puis grimpé sur le lit pour chevaucher l'oreiller. Frotter ma chatte en imaginant que c'était Thomas que je chevauchais.

Avec mes doigts et mes hanches qui s'agitaient, mon clitoris et ma chatte frottant contre le tissu, je m'écrasais sur l'oreiller et mon jus coulait en abondance. Je fantasmais sur le renflement que j'avais vu au petit-déjeuner, et j'ai dû étouffer mes cris lorsqu'un orgasme intense m'a fait trembler.

Après avoir récupéré mes esprits, j'ai ramassé l'oreiller qui puait l'odeur de ma chatte. Je l'ai porté à mon nez et j'ai inspiré profondément. Alors il m'est venu à l'esprit que mère nature me fournissait le moyen idéal pour attirer l'attention d'un homme : les phéromones. Me sentant très coquine, j'ai mis l'oreiller à sécher au soleil, réservant son usage à plus tard.

Cet après-midi-là j'ai attendu, cachée dans ma chambre, une de ses rares excursions aux toilettes. J'ai ramassé l'oreiller maintenant sec et je l'ai porté dans sa chambre pour échange son oreiller avec le mien : le pauvre garçon ne saura pas ce qui l'a affecté.

Le lendemain matin, j'étais allongée dans mon lit, imaginant le jeune Thomas dormant avec le visage enfoui dans ma fragrance. Je passais négligemment mes doigts de haut en bas sur mes lèvres mouillées en repensant à ce renflement tentateur. J'ai dû arrêter ma caresse avant de me laisser emporter. Je voulais attendre le lever du prince. J'ai enfilé un kimono en soie crème pour descendre les escaliers.

Quand je l'ai entendu bouger à l'étage, j'ai commencé à lui préparer son petit déjeuner, et c'était presque prêt quand il est descendu. Il avait l'air d'avoir passé une mauvaise nuit, et il semblait aussi avoir une certaine raideur qui gênait sa démarche ! Alors que je me tenais tout contre lui pour lui donner ses tartines, j'étais presque sûre qu'il était capable de sentir ma chatte, et j'ai souri en l'entendant renifler.

« Allez, grand garçon, essaye de remonter dans ta chambre maintenant ! » Je pensais en regardant par-dessus son épaule son pénis qui gonflait joliment le tissu de son short. Mais c'est exactement ce qu'il a fait quand il a fini de manger ! Je ne pouvais pas le croire !

C'était devenu une question d'estime et de panache désormais. Après une douche rapide, je suis retournée dans la chambre d'Amandine pour choisir sa tenue la plus sexy : une mini-jupe écossaise avec un string et une brassière qui couvrait à peine mes mamelons en me donnant un effet push-up.

Je suis allée rejoindre Thomas dans sa chambre et bien sûr, il jouait encore. Je ne comprenais vraiment pas comment il avait réussi à générer un tel désordre alors qu'il passait tout son temps les fesses vissées sur cette chaise. J'ai commencé à ranger, en me penchant sans plier mes genoux pour lui donner une bonne visibilité sur mes fesses.

Il est devenu soudain très silencieux et son regard sur moi m'a presque fait chavirer. Mais il semblait quand même essayer de jouer à son putain de jeu, et j'entendais les coups de feu et les explosions même à travers les écouteurs.

J'ai shooté dans une chaussette roulée en boule et elle a roulé sous le lit, alors je me suis mise à quatre pattes pour la récupérer. Elle était loin sous le lit, et j'ai plaqué ma tête et mes épaules au sol pour me glisser sous le lit. Mais je ne pouvais pas m'enfoncer sous le lit avec les fesses en l'air. Et je sentais un courant d'air qui m'indiquait que ma jupette ne les recouvrait plus. Je tortillais mes fesses pour atteindre la chaussette errante, mais mes reins butaient contre le montant du lit. Soudain, une inspiration géniale, j'ai donné un coup avec ma jambe et j'ai heurté sa chaise.

« Aide-moi, Thomas. Je suis coincée ! » J'ai crié. Bien sûr, ce n'était pas vrai, mais il s'est arrêté de jouer. Enfin, j'avais réussi à capter son attention !

Je tremblais d'émoi en sachant ce qu'il pouvait voir de mon intimité. J'aimais l'idée que mon petit cousin de dix-huit ans puisse regarder mon cul et ma chatte à peine voilés. Je tortillais mes hanches en tous sens, de haut en bas et de droite à gauche, faisant semblant d'essayer de me libérer, mais en réalité lui agitant mes fesses de manière obscène.

Finalement, j'ai senti un contact sur ma fesse gauche, juste le bout de ses doigts effleurant ma peau. J'ai frissonné et la chair de poule m'envahissait de partout. Ensuite, avec ses deux mains, il s'est emparé de mes fesses, serrant et caressant, faisant couler ma chatte d'excitation.

J'étais sur le point de me « libérer » miraculeusement de ma situation inconfortable lorsque son doigt s'insinua sous le cordon de mon string. Glissant le long de celui-ci, effleurant mon anus puis les lèvres de ma chatte. C'était si merveilleux que j'ai laissé de délicieuses sensations m'envahir. Je voulais vraiment qu'il ne s'arrête jamais.

J'ai soudain réalisé que j'étais allée beaucoup trop loin dans mes tentatives folles pour l'attirer, et maintenant les événements s'emballaient. Je perdais le contrôle de la situation, et j'étais à la merci de mon jeune cousin.

« Thomas ! » criais-je d'une voix aigüe en sentant qu'il écartait ma culotte et que ses doigts exploraient l'entrée de mon vagin.

« Tom ! S'il te plaît, ne fais pas ça ! » J'ai crié avec un peu plus d'angoisse.

Mais il l'a fait ! J'ai senti sa bite tendue s'enfoncer durement dans mon vagin. J'étais tellement mouillée qu'il est entré facilement. Et puis il m'a baisée. Je n'avais jamais rien connu de semblable. Un lapin sous speed. C'était absolument monstrueux. Il y mettait de la fureur, et en un rien de temps, j'étais presque à l'agonie. Malheureusement, il n'a pas duré, il s'est retiré, et il a éjaculé sur mon cul.

J'étais frustrée et furieuse. Je me suis extirpée de sous le lit et je l'ai incendié : « Non et Non! Tu ne peux pas me faire ça ! T'arrêter maintenant, alors que j'étais si proche ! » Je criais avec ma main entre mes jambes pour essayer de me terminer. À son honneur, il a tendu la main et m'a caressé gentiment les fesses, ce qui était adorable et m'a vraiment aidé.

Je progressais plutôt bien quand je le sentis se blottir contre moi par derrière. Sa queue, qui était redevenue miraculeusement dure, glissait déjà dans ma raie du cul. Positionnée à quatre pattes, j'ai écarté mes cuisses pour l'accueillir dans mon vagin avide.

Encore une fois, il m'a baisée comme un marteau-piqueur. Ses bras m'entouraient, ses mains agrippaient mes seins. Je pouvais sentir ses jambes lutter pour s'accrocher au tapis, afin que sa bite puisse me cogner encore plus fort. Il était comme un animal enragé, et je me demandais vraiment quelle sorte de monstre j'avais libéré, tandis que je basculais dans un orgasme colossal.

Je me suis laissé glisser sur le ventre, dans une vaine tentative pour lui échapper, essayant d'éloigner de sa rage mon clitoris hypersensible, mais il m'a accompagnée pour continuer à me cogner. Le tapis à poils épais tourmentait mon clitoris et c'était bizarre, à la fois trop et en même temps juste exquis. Je me demandais combien de temps pourrait-il continuer à me marteler ainsi. Les jeunes hommes ne sont pas réputés pour leur endurance, plutôt pour leur vigueur. Mais Thomas était tout à la fois !

En fait, mes fesses étaient douloureuses à cause de la façon dont son pubis me heurtait si fort, mais la douleur s'ajoutait aux sensations intenses que sa bite palpitante provoquait en moi. J'ai couiné en réalisant que j'allais jouir à nouveau ! Alors que j'exultais, il réussit l'exploit d'aller encore plus vite. Grâce à la combinaison de l'action de sa bite dans mon vagin et du tapis qui frottait contre mon clitoris, j'ai continué à jouir pendant qu'il éjaculait son sperme chaud au fond de ma vulve.

J'étais conquise et je me suis tournée pour l'embrasser amoureusement sur la bouche, éperdue de reconnaissance. Tout mon être vibrait de bonheur. Il a couvert ma bouche avec la sienne et m'a embrassée virilement, m'imposant sa mâle domination. Ses mains étaient partout sur moi, essayant peut-être de rattraper le temps perdu. Je n'avais pas eu le temps de reprendre mes esprits que déjà je sentais son pénis s'ériger contre mon ventre. Il m'a poussée sur le dos.

« Oh mon Dieu, Tom. Pas encore, pas si vite ! » J'ai gémi et j'ai geint, pas sûre que ma pauvre chatte martyrisée puisse en supporter davantage. Mais quand je l'ai senti forcer contre les lèvres de ma chatte, j'ai ouvert grand mes jambes pour l'accueillir à l'intérieur de moi.

Ce jour-là, il fut insatiable. Nous avons pris une douche ensemble, et il m'a baisée par derrière en écrasant mes seins contre la paroi vitrée. Plus tard, tandis que j'essayais de cuisiner des spaghettis, j'ai senti son érection glisser entre mes jambes, puis avançant entre elles, chercher mon intimité si sensible mais très accueillante.

J'ai éteint le gaz et il m'a plaquée sur la table de la cuisine, les bras écartés, nous faisant traverser la cuisine, la table et moi, avec ses bousculades démentes. Son enthousiasme et l'incroyable vigueur de sa jeunesse étaient un enchantement, mais je devais penser à ses futures copines en l'éduquant de manière à vraiment charmer une femme.

Une fois apaisé, je l'ai conduit au salon pour lui expliquer que ce qu'il me faisait était merveilleux, mais que parfois les filles apprécient aussi une lente progression. Je pouvais le sentir vibrer d'une ardeur difficile à contenir lorsque je lui ai demandé de m'embrasser dans le cou, puis de mordiller mes lobes d'oreilles. Ensuite, je lui ai imposé de descendre lentement plus bas tourmenter mes seins en lui expliquant la fine limite entre douleur et plaisir pendant qu'il mordillait mes mamelons émus.

Il apprenait vite, mais il fut clairement plus intéressé lorsque je lui ai montré les replis de ma chatte. J'ai gardé le meilleur pour la fin, le clitoris, et il fut fasciné, s'agenouillant entre mes jambes écartées avec son souffle chaud qui me rendait folle.

« Imagine, c'est comme un petit pénis, mais encore plus sensible » Lui expliquais-je, ma voix rauque se brisant tandis que j'essayais de me contrôler. « Donc, si tu le frottes directement, tu dois être très délicat. »

Je tremblais d'impatience pendant que ce jeune étalon viril observait mon sexe, puis mon souffle s'est creusé lorsqu'il a finalement murmuré : « Puis-je l'embrasser? »

« Oui, s'il te plaît » J'ai murmuré puis, la tête en arrière, j'ai gémi pendant qu'il suçait mon clitoris et léchait ma chatte. La nature est bien faite, et il n'a pas eu besoin de beaucoup d'explications pour enfoncer sa langue profondément dans ma chatte, me dévorant avec un plaisir partagé. Il m'a fait couiner deux fois avec sa bouche avant de m'éperonner durement, et il m'a fait crier de nouveau avec son martèlement saccadé de lapin frénétique.

Les trois jours qui suivirent furent une joyeuse métamorphose sexuelle nourrie par l'énergie tyrannique de Thomas, et j'ai aimé chaque instant. Je passais l'essentiel de mon temps avec mon cousin entre mes cuisses. Dans mes brefs instants de lucidité, je savais que je n'aurai pas dû laisser notre relation évoluer vers cette débauche orgiaque, mais j'étais devenue sa marionnette docile et ardente.

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