Parfum frelaté d'Arabie

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je me mise à gémir et bien sur ils prirent mes soupirs comme un encouragement. Le père me força à m'allonger sur l'épais tapis et il remonta sa djellaba avant de se laisser tomber sur moi. Je fus tout à coup écrasée de son poids et je poussais un cri de surprise autant que de douleur. Mais il n'en eut cure, ses genoux forçaient déjà mes cuisses que je laissais écarter sans trop résister, je ne voulais pas être couverte de bleus. Aussitôt je sentis un membre épais contre ma fente et qui cherchait furieusement l'entrée de mon vagin. Il ne lui fallut pas longtemps avant de me pénétrer et de me planter son sexe jusqu'à la garde, forçant mon ventre et refoulant mon utérus avec son gland violacé. Sans attendre il se mit à haleter sur moi, me pistonnant de coups de reins puissants, je sentais sa bite qui me remplissait toute, aller et venir entre les parois humides de ma chatte. Je me trouvais prise sous lui dans l'incapacité du moindre geste de défense, je devais subir son asseau, le laisser me violer pendant que sa barbe rêche me frottait le cou d'une façon fort désagréable. Il me besognait en haletant fort, concentré sur son effort, tourné uniquement vers sa recherche de jouissance que je sentais venir par des palpitations de plus en plus violentes de sa queue qu'il me plantait de plus en plus vigoureusement.

Tous à coup il pesa de tout son poids sur moi, m'immobilisant à même le tapis, j'étais prisonnière de ses bras puissants. Je sentais des tressaillements dans mon bas ventre et puis une inondation chaude envahit mon ventre tandis que le vieux grognait au dessus de moi. Il demeura ainsi un temps qui me parut d'autant plus long que j'étouffais sous lui. A bout de souffle je tentais de bouger et il comprit qu'il devait relâcher son étreinte, je respirais enfin.

Pour peu de temps en fait, aussitôt que le vieil homme bascula sur le coté pour me libérer, je sentis un autre corps retomber sur moi et me maintenir à même le tapis. Le fils prenait possession de moi. Sa façon était encore plus brutale que celle du père. Sans aucun préliminaire il planta sa bite en moi et il s'en suivit des vas et viens furieux de ses reins qui propulsaient son membre au fond de mon vagin. Il me tenait de façon si serrée que je ne pouvais bouger, ses bras m'enserrant de façon que je sois à lui sans pouvoir y échapper.

C'était un homme d'une trentaine d'année, un homme fait, sans doute marié et qui avait connu outre sa femme, d'autres partenaires si j'en jugeais par la technique de maintien dont il faisait preuve. Il avait plus d'endurance que son père, il était bien mieux membré aussi et sa bite étirait mes muscles vaginaux, les forçant à ouvrir davantage encore le passage vers mon ventre. Je subissais tant, que mes plaintes n'étaient pas de plaisir mais de peur, d'inquiétude, je me doutais être tombée dans un guêpier dont il serait difficile de se sortir sans subir tout ce dont-ils jugerait utile de me faire subir.

Il appuya davantage encore son corps sur moi, ses reins étaient furieux et mon vagin devenait douloureux sous les coups de boutoir que je subissais. Je me mis à crier de douleur réelle cette fois. Il me vint des larmes, j'appelais au secours celui qui m'avait amenée la, mais quand je croisais son regard, je n'y vis qu'une méprisante ironie.

Et mon calvaire continua, j'appelais à l'aide mais mes cris ne provoquaient que rires autour de moi, le père discutait avec mon accompagnateur pendant que le fils me pénétrait de façon si brutale. Je voyais qu'il était question de moi à en juger par leurs gestes qui me désignaient et le regard qu'ils me portaient. Le vieux semblait faire des propositions au riche saoudien qui m'accompagnait et l'autre hochait négativement la tête. Le vieux reprenait et je sentais que le ton montait, la discussion était âpre et mon accompagnateur hochait toujours la tête négativement, il semblait dire que ce que lui proposait le vieux n'était pas acceptable.

Pendant ce temps le fils me couvrait toujours, me baisant sans retenue et surtout sans tenir compte de mes cris tandis que je me débattais sous lui. Il me tenait fermement, me proférant des choses en arabe que je ne pouvais comprendre mais que j'imaginais être des insultes, des ordres impératifs à me tenir tranquille et le laisser user de moi comme bon lui semblait.

Les deux autres parlaient toujours aussi véhémentement avec forces gestes, le vieux semblait tenir tête à mon accompagnateur, il me semblait qu'il était question d'argent, le mot « dollar » revenant dans leur conversation. Le vieux me désignait de sa main à son interlocuteur, l'autre commençant à paniquer, je le voyais à son visage inquiet et aux regards pleins d'angoisse qu'il me jetait.

Le fils haletait sur moi, j'étais écrasée sous lui, à bout de souffle, cherchant vainement l'air brulant de la boutique. Son sexe me défonçait le vagin, il me faisait mal au ventre, et je gémissais doucement, les dents serrées ne pouvant qu'attendre la fin de cette torture qui ne venait pas. Il me vint en tête des souvenirs de lectures où il était question de bordels, parfois la mère maquerelle avait recours à un homme particulièrement membré et endurant pour rendre plus docile une de ses protégées. J'avais affaire à ce genre d'homme me semblait il, sa froideur, la taille de son membre, son endurance, son absence d'émotion en faisait une machine à baiser froide et déterminée.

La discussion se poursuivait à coté, le vieux parlait fort, mon accompagnateur semblait fléchir, il baissait la tête et je paniquais: « non lui criais je, ne cédez pas! » Il me regarda un peu surpris. Mes yeux l'imploraient, de plus en plus le jeu des deux autres me paraissait clair maintenant, ils voulaient me garder et me faire « travailler » pour eux. J'avais compris bien des choses malgré le barrage de la langue, il était clair que l'homme qui me couvrait était un maquereau sans scrupule avec les femmes qui tombaient sous ses griffes. De son coté mon accompagnateur semblait être tombé dans un piège dont il ne savait comment se défaire. J'étais l'enjeu d'une sordide tractation entre ces arabes, et quand on sait le peu de cas qu'ils font des femmes, je tremblais sous le poids de mon tourmenteur. Je commençais à avoir très mal au ventre, je criais, je me débattais comme je pouvais mais je sentais mes forces me quitter et je devenais molle entre les bras puissants qui me maintenaient et me liaient. Je pleurais tant la douleur devenait intense et la brute qui me saillait finit par le comprendre. Il se redressa au dessus de moi et sa bite fouilla mon vagin de plus belle avant qu'il ne soit pris de spasmes puissants qui libérèrent des flots de sperme qui coulèrent le long de mes cuisses. Puis satisfait, il me libéra et je demeurais sans bouger tandis qu'il se relevait me regardant avec le plus grand des mépris. J'étais humiliée à jamais à ses yeux.

Mon accompagnateur en profita pour se pencher vers moi me murmurer rapidement que le deux marchands voulaient me garder et faire de moi une pute qu'ils proposeraient discrètement aux habitants du souk. Une panique me prit, je voulus soudain partir très vite, retrouver l'hôtel, François, lui dire que cela avait été trop loin, que je voulais rentrer à Paris sans attendre. Mais il me répondit que c'était impossible, les deux autres veillaient, qu'il avait négocié, il avait fait valoir que j'étais une étrangère protégée. Ils ne voulaient rien savoir cependant, ils me voulaient dans leur boutique en tant qu'objet. Mon accompagnateur avait du transiger, il ne pouvait pas m'abandonner la, on me retrouverait vite, avait il fait savoir, aussi, le vieux lui imposa de me garder toute l'après midi et jusqu'au soir. Il dut céder et c'est ainsi que je me retrouvais offerte comme une marchandise au fond d'un souk en Arabie.

Je dus sucer des bites douteuses dans la chaleur étouffante de cette sombre arrière boutique. Des hommes frustres, sans égard pour la femme, ne voulant juste prendre que leur plaisir. Leurs mains calleuses s'offraient mon corps, le pelotant de partout, martyrisant mes seins, explorant mon sexe et mes fesses, me pénétrant sans précaution et besognant férocement jusqu'à une éjaculation qui inondait mon vagin de semence brulante.

L'après midi fut long, je ne sais combien de ces arabes vinrent pour me rencontrer, les nouvelles vont vite dans le souk, et le soir venu il y avait presque la queue devant l'échoppe. Il fallut que les marchands y mette bon ordre et je quittais tard cette boutique affreuse, par une porte de derrière tandis que le fils, à contre cœur, retenait des hommes frustrés et en colère de ne pouvoir assouvir leurs désirs.

Nous avons fuit avec mon accompagnateur, nous avons couru dans les rues étroites pour retrouver la limousine, nous y précipiter et fuir ce lieu infâme jusqu'à l'hôtel où François m'attendait, inquiet et interrogateur.

Je ne trouvais pas la force de tout lui raconter mais je crois qu'il comprit que tout cela avait été trop loin. Ce soir la il me laissa me reposer après une douche bienfaisante. Je dormis comme une souche toute une nuit tourmentée de cauchemars, me réveillant en sueur, recroquevillée et tremblante.

Heureusement nous devions reprendre l'avion le soir même. Je passais ma journée à me soigner, réparer les dégâts sur mon corps, les bleus, les griffures et des choses plus intimes. Je fis mes valises et j'attendis avec hâte le moment du départ.

Je vivais ce dernières heures en Arabie comme dans un rêve, détachée de tout, ignorant tout, entièrement tournée vers un but, revenir à Paris.

François a passé sa journée en réunion et le soir il est rentré triomphant en brandissant une liasse de papier. Les contrats, enfin signés.

Ce n'est que lorsque l'avion eut décollé que je trouvais la force de raconter à François mes aventures dans le souk, mais je lui servais une version édulcorée d'où étaient absents les sévices que je subis dans l'arrière boutique.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
DragonosDragonosil y a plus de 7 ans
Domination

Comme un vieux fantasme.

J'irais visiter avec ma femme.

Partagez cette Récit