Parfum frelaté d'Arabie

BÊTA PUBLIQUE

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Cette lutte l'avait un peu émoustillé, même si sa femme sanglotait sous lui, le suppliant de la laisser. Elle voulut le griffer et il dut lui tenir les poignets pendant que son sexe recherchait la fente bien hermétique depuis le premier jour de sa vie. Elle se tortilla, voulut se soustraire, gémissante en sentant le moment proche ou, la bite du male allait la déflorer. François devait se battre avec elle, peinant à trouver l'entrée de la fente sèche aux lèvres closes. Tout ce cirque dura encore un long moment avant que le sexe de François réussisse à lubrifier un peu l'entrée du vagin de sa femme. Elle luttait toujours, refusant son intimité à son mari et il ne pouvait pas grand chose sinon guetter l'instant ou, son gland se trouvant en position, il pourrait donner ce coup de reins qui lui ouvrirait la voie. Ce moment fut long à venir mais François se battait lui aussi, excité par le refus de celle qui pourtant était sienne.

Dans leur lutte, vint un moment ou elle faiblit, ses reins qui se refusaient à lui, devinrent moins mobiles et François sentit la fente à sa portée. Sans attendre il pesa sur elle de tout son poids et d'un violent coup de rein, il fut en elle, son gland venant butter sur son hymen. elle eut une plainte aigue. François sentit la résistance du voile de chair qui barrait l'entrée du vagin, c'était la première fois qu'il ressentait cela et une violente montée lubrique le saisit. Sa bite se tendit en un pieu irrésistible et il se rassembla ses forces avant de délivrer un coup de rein qui l'étonna lui même par sa violence. Dessous lui sa femme se cabra sous la douleur, sa bouche s'ouvrit pour libérer un cri de douleur désespéré avant qu'elle ne se sente envahie par une chair brulante et impérieuse.

Elle pleura, supplia et se débattit encore mais en vain, François était en elle et il la tenait fermement. D'un seul coup, son corps se détendit et elle laissa son homme jouir d'elle a sa guise ce qu'il ne se priva pas de faire, jouissant en elle par deux fois avant de la libérer.

Elle fut traumatisée de cette horrible nuit de noce, et par la suite elle ne se donna à son mari que le moins possible de la façon la plus classique en récitant des prières, en s'efforçant de ne trouver dans cet acte aucun plaisir.

François m'a confié comme mission d'aller ce matin visiter le terrain sur lequel il a des vues pour bâtir un grand hôtel de luxe.

Je ne sais pas ce qui m'a pris dans cette limousine, était ce la chaleur? L'atmosphère si particulière de l'Arabie? Le parfum subtil mais entêtant que le chauffeur avait répandu dans son auto, toujours est t il que je me suis laissée aller sur le siège arrière de la limousine que j'avais pour moi toute seule. Bien sur j'ai bien vu les regards du pakistanais dans le rétro qu'il avait judicieusement orienté vers mes cuisses. J'en ai eue des frissons, soudain une envie de me montrer est venue submerger ma raison et mes cuisses se sont ouvertes d'elles même laissant paraitre les mailles si légères d'un collant à peine visible mais qui étincelait sous la lumière vive du soleil d'Arabie.

Le pakistanais en fut si surpris qu'il fit une embardée sur l'autoroute, heureusement large et peu fréquentée. Ses yeux noirs brillants se sont focalisés sur mon entre cuisses. J'affectais une indifférence un peu hautaine, laissant mon regard trainer sur le paysage de plus en plus sablonneux où les immeubles se faisaient rares. Je me pris même à rêver, à penser à Georges resté en France, si loin de moi et qui me manquait à cet instant précis. Georges, mon mari, celui qui me protégeait à chaque instant. Je me trouvais soudain si vulnérable sans lui, François ne m'offrait pas cette sécurité, il était la, prêt à m'offrir à qui lui faciliterait la signature de son contrat chéri. J'étais un faire valoir, un miroir aux alouettes où venaient se fracasser les males qui s'approchaient de trop près de moi. Ma vulnérabilité se heurtait à ma curiosité, j'avais tant expérimenté le désir des hommes que je voulais encore attiser leurs envies, curieuse de savoir comment des orientaux pouvaient se comporter quand une femme blanche s'offrait ainsi impudique à leurs regards. Certes à Paris j 'avais eu l'expérience des boutiques indiennes, mais j'étais restée dans mon environnement. Cette fois je me trouvais si loin de mes repaires, je voulais tenter une expérience.

J'attrapais mon portable et j'appelais Georges, je lui dis où je me trouvais, ce que j'allais faire, je lui dis que mon chauffeur était pakistanais, tout ce que je pouvais lui dire pour qu'il imagine la situation. Se faisant j'avais carrément écarté les cuisses, livrant mon intimité aux regards de plus en plus insistants du pakistanais qui n'en pouvait plus. Je parlais dans mon téléphone, je disais à Georges que j'avais chaud, que j'avais très envie de me déshabiller tant la chaleur écrasait tout. Je lui disais que j'étais somnolente dans cette voiture de luxe, étendue à l'arrière, me laissant aller sans retenue. « Et le chauffeur? » Demandait Georges vaguement inquiet. « Ne t'inquiète pas, il conduit, » gloussais je tandis que ma main remontait sur ma cuisse et que des gouttes de sueur perlaient au front du pakistanais.

Je me caressais ouvertement à l'arrière de la limousine tout en parlant à Georges qui connaissait si bien sa femme si sensuelle. Il savait reconnaitre mes moments où le désir monte en moi. J'ai sentis la voiture ralentir et tourner pour prendre un chemin sablonneux et s'arrêter derrière une dune. Georges me demandait ce que je faisais, « mais rien mon chéri! j'ai chaud c'est tout, je supporte mal cette chaleur et j'ai hâte d'être de retour à Paris. » Pendant ce temps le pakistanais c'était retourné et entre les sièges, il me reluquait sans vergogne. Mes doigts courraient sur ma fente à travers le fin lycra qui crissait délicieusement. Il a osé me toucher le pied que j'avais allongé entre les deux sièges avant. Comme un enfant devant le sapin de noël, il a avancé sa main jusqu'à me caresser le pied. J'en ai eue des frissons et mes doigts se sont agité plus vite. Et puis il m'a souri, il s'est enhardi jusqu'à me toucher la voute plantaire, me procurant de délicieuses chatouilles qui faisaient frissonner tout mon être et augmentaient mon désir de plaisir. Il a compris le plaisir qu'il me procurait et ses chatouilles se sont accentuées, me tirant des gémissements et des frissons.

Il n'a pas été plus loin, il risquait gros, il ne savait pas si j'étais une provocatrice ou une réelle « salope » et dans le doute ses gestes sont restés mesurés. Mais moi, j'ai mouillé mon collant tout en parlant à Georges au téléphone, un Georges qui me susurrait à l'oreille des mots susceptibles de me faire mouiller, des mots à nous et qui me faisaient monter aux rideaux. Il m'a encouragé à me branler pendant que l'autre me chatouillait gentiment. J'ai joui entre ces deux hommes, l'un si proche et l'autre si loin mais si proche en même temps. Délicieuse extase, étrange situation qui me donnait des envies de possession, mais la, en plein désert et avec ce domestique, pas question d'aller plus loin alors que je sentais mes seins dardés dans mon soutien gorge, mes pointes érigées et sensibles s 'agaçant contre la dentelle des bonnets.

Alors n'y tenant plus, je me suis précipité sur le chauffeur , et défaisant sa braguette, malgré ses protestations, je lui ai sorti la bite avant de la prendre en bouche. Il m'a supplié d'arrêter mais je n'écoutais plus, je l'ai pompé sauvagement jusqu'à ce que je sente les palpitations de son membre et son éjaculation que j'ai bue avec un délice d'autant plus grand que l'interdit et le danger le rendait inquiet.

Quand j'ai eue fini, je l'ai rassurée et nous avons poursuivi la route jusqu'à l'emplacement que convoitait François.

Il a pris un chemin pour quitter la route principale et nous avons cahoté pendant un certain temps avant de parvenir à une grille qui fermait un vaste espace. Un gardien s'est avancé pendant que le pakistanais descendait sa vitre pour lui montrer son laissé passer. Le bédouin a jeté un œil à l'intérieur, il m'a dévisagé les sourcils froncés avant de donner son aval et de relever la barrière qui fermait les lieux. La voiture est repartie dans ce lieu désert, séparé du monde et un peu désolé, planté que de rare arbustes et de touffes d'herbes rare. J'ai vu apparaitre soudain une bâtisse assez basse et délabrée. Le chauffeur a arrêté la voiture avant de se tourner vers moi pour me dire que c'était la propriété que François convoitait et que la bâtisse avait appartenue à une riche famille saoudienne. J'ai essayé de repérer les lieux mais par la vitre je ne voyais pas grand-chose, aussi je suis sortie de la limousine, aussitôt enveloppée dans la chaleur intense qui régnait ici. J'ai regardé tout autour, prenant quelques clichés et puis j'ai poussé la porte de la bâtisse. L'intérieur était sombre, un peu plus frais que l'extérieur où le soleil de feu brulait le paysage. J 'ai attendu que mes yeux s'habituent à la pénombre avant de faire le tour de la maison. Il y avait encore les meubles mais on voyait bien que tout était à l'abandon. Je suis montée à l'étage et j'ai visité les pièces une à une. Des chambres, des salles de bains défraichies et des meubles visiblement délaissés. Un craquement derrière moi m'a fait sursauter et j'ai découvert mon chauffeur qui me souriait. « every thing all right madam? » J'ai fait oui de la tête mais mon cœur s'était mis à battre un peu plus vite, surprise que je fus par son intrusion, et troublée aussi car je venais tout à coup de repenser à ce qui s'était produit dans la limousine une heure plus tôt. Mais il semblait rester à distance, timide, c'était un homme habitué à demeurer effacé. Je lui ai souri et aussitôt il s'est rapproché de moi: « any tickles again? » J'en ai frissonné de tout mon corps malgré la chaleur qui régnait la. L'homme était tout proche et il murmurait des choses en un mélange d'anglais et de pakistanais. Quand il a été au plus près de moi, sa main s'est avancée vers mes fesses qu'il a frôlé un peu timidement. Voyant que je ne le repoussais pas il s'est enhardi pour me caresser franchement. Je sentais sa main chaude courir sur ma robe légère et cette situation me rappelait le métro quand les frôlements se font insistants. « Seat down on the bed » Et je le suis assise sur le lit pendant qu'il s'agenouillait devant moi et qu'il prenait délicatement mon pied entre ses mains pour me le couvrir de baisers brulants. Je me suis laissée aller dans les plumes légères de la literie. Je me suis abandonnée à des caresses sensuelles qui échauffaient mes sangs et faisaient monter en moi un nouveau désir. Je me laissais faire, il écartait mes cuisses, prenait mes pieds l'un après l'autre, il les caressait, il les chatouillait par-dessous pendant que je lui abandonnais mon intimité qu'il pouvait mater tout à loisir. Ses mains sont remontées le long de mon mollet, il faisait crisser le fin lycra de mon collant. Quand il a atteint mes genoux, il a forcé mes cuisses à s'ouvrir davantage et je me suis retrouvée complètement ouverte devant lui comme une femme qui attend le rut. Mes cuisses ont alors été couvertes de caresses et de baisers. Je sentais son souffle frémissant qui courait sur ma peau sous les fines mailles du collant. Un souffle intense remontait sur mes cuisses, éveillant des sensations sensuelles, des envies d'être prise, saillie et besognée par un male au désir exacerbé.

Pendant ce temps ses doigts fins et agiles me titillaient les pieds, ils couraient sur ma voute plantaire ou mon coup de pied et tout mon corps en émois recevait ces caresses pendant que je sentais désormais son souffle sur ma fente brulante et humide, juste séparée de lui par des mailles arachnéennes qui ne cachaient rien de mon intimité. Sa bouche s'est posée sur mes lèvres et il m'a donné ce baiser si profond, sa langue cherchant à ouvrir ma chatte. Le collant a été rapidement trempé de ma cyprine pendant l'homme me buvait. Je me suis mise à me tortiller sur le lit en gémissant. Il s'est enhardi et il m'a sucé le clitoris à travers mon collant, je me suis mise à crier dans cette pièce inconnue, dans ce lieu inconnu, au milieu de nulle part pendant que l'homme me travaillait les pieds et le sexe des doigts et de la bouche.

Je crois qu'à cet instant, il aurait pu me prendre sauvagement, me monter et planter sa bite dans mon ventre, me ramoner le vagin jusqu'à me faire hurler ma jouissance. Mais tout cela lui était interdit, il le savait bien. Il était déjà en faute et il aurait pu se faire renvoyer sur le champ, peut être avec des coups de fouet en prime si cela arrivait aux oreilles de ses employeurs. Et puis, déposer son sperme au fond d'un ventre avait pour lui une signification bien précise dans sa civilisation. Aussi se contenta-t-il de me faire jouir par sa bouche et ses mains et je dois dire que je crus devenir folle sous toutes ces caresses. Quand j'eus atteint l'orgasme deux fois, je me trouvais sur le lit sans force et il me regardait en souriant, heureux de m'avoir apporté toutes ces délices. Je voulus le récompenser de ses bienfaits, lui faisant signe d'approcher, j'ouvrais son pantalon et comme auparavant dans la limousine, je pris son sexe en bouche. Cette fois je le suçais doucement avec application, laissant monter son désir en lui. Il ne tarda pas à me faire savoir qu'il approchait de l'extase, sa bite palpitait entre mes lèvres et je sentais aux coups de reins qu'il me dispensait, une indication que bientôt il allait jouir. Ses mains se sont crispées sur mes cheveux, me maintenant contre son bas ventre, le nez dans sa toison drue et il s'est mis à râler un bonheur que sans doute il ne connaitrait plus. Dans un cri sauvage, il s'est laissé aller dans ma bouche et son sperme par saccades a envahi ma gorge, me privant d'air quelques instant. Je fus surprise par le flot qui se rependait, je suffoquais, cherchant l'air qui ne venait pas. Un instant j'eus un haut le cœur qui envoya le sperme jusque dans mon nez, je me dégageais pour trouver de l'air, la bouche grande ouverte, le sperme coulant de la commissure des lèvres et du nez, toute barbouillée du flot épais. Il me sourit, contemplant le désordre qu'il venait de provoquer. Je me remis vite sur mes pieds, cherchant dans mon sac des kleenex pour me débarbouiller la figure. Il me regardait toujours en souriant, finissant par me proposer des lingettes qu'il gardait dans la voiture.

Nous avons repris la route rapidement car cet épisode nous avait mis en retard. En repassant la barrière, le bédouin m'a vue me débarbouiller au fond de la limousine et je dois dire qu'il avait l'air perplexe.

Mais mon travail ici n'était pas fini et dès le lendemain, François me demanda d'accompagner un saoudien qui voulait me faire visiter le souk. François m'expliqua que je ne pouvais pas m'y rendre habillée à l'européenne et qu'il fallait que je revête le costume local dévolu aux femmes, à savoir le tchador. J'en fus un peu contrariée de quitter mes jupes et corsage pour revêtir un truc un peu informe, mais bon, pas possible autrement de sortir en ville.

Ce matin donc, le saoudien est venu me chercher, il avait apporté le vêtement adéquat pour une telle sortie. François m'avait encouragée à porter mes collants fins et juste mes collants sans rien d'autre. J'en étais troublée, mais il m'expliqua que c'était à la demande de son hôte. Ainsi donc je revêtais le tchador en question, surprise cependant de la légèreté des tissus en soie fine qui caressaient ma peau et me procuraient une sensation de me sentir nue même couverte de ce costume noir et austère.

Nous partîmes dans sa voiture de grand luxe, le chauffeur se frayant son chemin dans le dédale de rues de la vieille ville où je fus inquiète de me retrouver perdue. Mais mon nouvel ami saoudien me souriait, me rassurant et me jurant que ce soir je retrouverais François à l'hôtel. Il me fit descendre pour le suivre dans le dédale bruyant et coloré du souk. Une foule s'y pressait, majoritairement masculine et à travers le fin tissu du tchador je me sentais frôlée à chaque instant, des mains me caressant au passage. Je finis par me sentir nerveuse, un peu excitée aussi, anxieuse de ne pas perdre de vue mon mentor qui pressait le pas dans les rues étroites et encombrées. Les mains des saoudiens n'étaient pas toujours discrètes et plus d'une fois je sentis nettement des mains aux fesses, curieuses de mes formes sous le tissu bien plus fin que ce que portait habituellement les femmes du cru. Je crois qu'ils décelèrent à ma démarche l'occidentale égarée dans un endroit à risque. Heureusement mon ami était la pour repousser les plus hardis, mais je le sentais bien qu'il parlait de moi en des termes crus, que je ne pouvais pas saisir, mais qui semblaient imagés si j'en croyais les sourires qu'ils éveillaient sur les faces brunies qui m'entouraient.

Bien sur nous sommes entrés dans une boutique, une de ces échoppes à souvenirs, un capharnaüm de pacotilles de toutes sortes, sombre et rafraichie par un ventilateur qui brassait l'air surchauffé. A note arrivée, le vieux marchand s'est levé pour accueillir mon accompagnateur, s'inclinant devant lui avec respect, appelant son fils pour venir à son tour saluer le riche arrivant. Mais je crus comprendre que j'étais le sujet de conversation principal. Le vieux hochant la tête bien respectueusement, son fils me dévisageant de ses yeux sombres, ils me conduisirent dans une pièce derrière où ils me firent assoir sur des tapis épais et ils m'offrirent le thé. Le saoudien fit la traduction des mots qu'ils échangeaient, le vieux lui demanda le droit de voir mon visage ce que lui accorda en riant mon accompagnateur. J'ignorais que ce geste de me dévoiler à lui, était pour eux un geste à forte teneur érotique, comme si j'avais tout à coup dévoilé mes seins dans la rue. Le vieux s'approcha de moi et me caressa la joue, tout en échangeant des propos en arabes. L'autre l'encourageait et le vieux ne tarda pas à aller plus loin, me caressant les bras et les hanches et puis encore plus au fur et à mesure de leur conversation incompréhensible. J'eus des mouvements de recul, mais l'homme qui m'avait amené la me fit comprendre de rester à ma place et bientôt le vieux se mit à me palper de toute part.

Des mains brunes, oui, des mains qui appartenaient à différentes personnes, le vieux marchand bien sur, mais bientôt suivies par celles de son fils, plus légères, plus habiles et plus promptes à explorer mon intimité. Mon accompagnateur regardait la scène d'une air satisfait, ses yeux luisaient dans l'ombre chaude. Je percevais son regard avide qui suivait la progression de cette exploration si indécente, mes seins palpés à pleines mains, mes tétons chatouillés puis exacerbés par des pressions entre les doigts, ou bien alors ils les faisaient rouler sous la soie légère, bien trop légère je m'en rendais si bien compte maintenant.

Puis vint le moment ou, le père comme le fils étaient si excités qu'ils en vinrent à vouloir m'enlever ce tchador qui me couvrait de la tête aux pieds. Avec des gestes fébriles, ils tirèrent dans un sens et puis dans l'autre, je me sentais ballotée entre les deux avant de me retrouver nue, seulement vêtue de mon collant entre leurs mains. Je les sentais soudain au comble de l'excitation et leurs mains revinrent explorer mes formes de façon plus insistante encore, ils me massaient les nichons, me tirant des frissons de long de mon échine, ils forçaient mes cuisses à s'ouvrir, à révéler mon intimité. Leurs mains couraient sur les mailles fines en lycra, le long de mes cuisses et je me suis mise à gémir tant ces deux la me procuraient une trouble excitation. Le vieux a eu des mots je ne compris pas bien sur, mais il empoigna le fin tissu et le tira jusqu'à ce que j'entende un craquement prolongé et que ma fente se retrouve au contact de ses doigts. Aussitôt ce fut la ruée, leurs doigts se mêlaient entre mes lèvres intimes qu'ils ouvraient sans trop de ménagement, qu'ils exploraient, et plus ils me pénétraient, plus je sentais monter en moi un désir irrépressible.