Omar le premier jour de croisière

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Ravagée par la douleur, Laurie savait qu'elle ne serait plus jamais la même, que l'innocente jeune femme que tant de monde admirait était morte en elle.

La bite tressautant de plaisir de posséder cette splendide pouliche rétive, Omar sentait ses couilles s'emplir d'un jus épais qu'il ne tarderait pas à lui injecter au plus profonde de son intimité.

Que pouvait-il espérer de mieux que de la rendre mère de petits bâtards noirs? ...... Elle était belle la vie!........ pensa-t-il goguenard.

Il la martelait maintenant à la vitesse tel un marteau piqueur, il s'ensevelit dans son fourreau et grogna :

- "Ahhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh ....." jet après jet, il remplissait à ras bord la chatte asservie de la jeune femme effondrée.

C'est dans un clapotis révélateur qu'il termina de la baiser, le surplus de foutre s'écoulait en larges filets du point d'union de leurs deux corps.

Vaincue, défaite, elle soupirait misérablement, son corps tremblait de fa-çon irrépressible alors que l'acide semence de son violeur commençait à cautériser les plaies de son vagin meurtri.

Tremblante comme une feuille, elle l'implorait :

- "S'il vous plait .... Tuez loi ..... Tuez moi ..... Je ne veux plus vivre après ça!....

D'autant plus qu'elle venait de constater effondrée :

- "Mon Dieu, il n'a pas mis pas de préservatif..... Je devais me faire engrosser au cours de cette croisière ..... Mais ..... Mais pas par un noir.... Pas comme ça!....."

Laurie souhaitait vraiment mourir à cet instant.

C'est alors qu'il lui empoigna brutalement la nuque, lui tirant la tête en avant.

Dans le noir, ses lèvres un épais gland buta contre ses lèvres fermées, alors qu'il insistait la pressant contre son pubis, Laurie réalisa avec hor-reur quel acte dégradant il attendait d'elle.

C'était une chose si dégoûtante, si avilissante qu'elle elle avait même refusé de se livrer avec son mari, et voila qu'elle frissonnait de tout son corps alors que cet homme qui venait de la violer si vicieusement pré-sentait sa bite à l'orée de ses lèvres.

L'estomac secoué de nausées, tremblante de tous ses membres, elle se sentait mal alors que l'épaisse colonne glissait entre ses lèvres entrou-vertes.

Contrainte d'ouvrir la bouche, Laurie eut grand peur de vomir au goût ré-voltant de la grosse colonne de chair qui s'immisçait entre ses lèvres.

C'était si avilissant, elle devait replier sa langue pour faire place à l'en-combrant visiteur, Laurie soupira résignée à se conformer à se exigen-ces.

Frissonnante de dégoût, elle se força à obéir ..... Allant même jusqu'à titiller de la pointe de la langue son méat dilaté.

Baisée en bouche, avalant sa salive à chaque fois que l'épais bourgeon explorait son arrière gorge, Laurie empoigna sa bite au niveau des bur-nes.

Ce afin d'éviter que ce bâtard ne lui enfonce toute la longueur de sa mentule dans la gorge, au risque de l'étouffer.

Elle aurait voulu mourir après avoir subi cet ignoble viol et ces actes dé-gradants, mais sûrement pas étouffée par l'énorme bite noire de son agresseur.

Relâchant sa bite, Omar tâtonnait dans le noir, à la recherche de son appareil photo digital qu'il avait disposé prêt à l'emploi, sur une des éta-gères.

La caméra en main, il la tint en l'air et déclencha le premier flash, un éclair aveuglant captura l'image de la somptueuse beauté à genoux su-çant sa bite qu'elle étreignait de la main flattant ses burnes.

Prêt à éjaculer de nouveau, il reposa la camera sur l'étagère toute pro-che.

Il crispa sa main sur sa nuque pour prévenir tout retrait, Omar gloussa lui remplissant la bouche pour se finir en crachant ses dernières giclées sur son visage égaré.

- "Argggggggggggg .... Arggggghhhhhhhhhhh .... " mugit-il lorque la première giclée de semence chaude lui embourba la gorge

La bite sortie de sa bouche il la prit à pleine main et la braqua sur son visage pour lui octroyer un masque facial.

Un nouvel éclair, cette fois l'image la représenterait visage dégoulinant de foutre la grosse bite responsable de ces projections infâmes bien vi-sible en arrière plan.

Assise sur le sol de la cabine, le dos appuyé contre le lit Laurie frémis-sait de honte.

Soudain un flot de lumière, provenant de la porte, envahit la cabine, cli-gnotant des yeux pour ajuster sa vue, tout ce que vit Laurie de son agresseur noir, c'est une vague silhouette qui quittait la cabine avant de claquer la porte dans son dos, plongeant à nouveau la cabine dans l'obscurité la plus totale.

Il se passa un bon quart d'heure avant que Laurie ne retrouve suffisam-ment de force pour réagir, elle se mit alors à la recherche du commuta-teur.

La lumière allumée, Laurie vit la porte coulissante qui menait à la salle de bain. S'appuyant au mur, elle entra dans la salle de bain, c'est alors qu'elle entendit :

- "Splat ..... Splat ..... Splat ...."

Regardant au sol, elle comprit avec horreur qu'il s'agissait de gouttes de sperme s'échappant de sa chatte pour tomber au sol.

Sa chatte qui était si étroite auparavant n'était plus qu'un vaste trou béant tant l'énorme bite de son violeur l'avait distendue, et son foutre, quasiment à l'air libre, gouttait littéralement au sol.

Elle avala sa salive à la vue de son reflet dans le miroir, elle rougit de honte en constatant que son visage était couvert d'un entrelacs d'épais filets de foutre.

Elle se saisit du savon, et se frotta énergiquement, mais elle savait qu'elle ne faisait qu'effacer les traces superficielles, il était nécessaire qu'elle prenne rapidement une douche vaginale pour tenter d'éliminer le foutre qui tapissait son utérus fertile, cette menace était bien plus dange-reuse.

Elle se saisit d'un serviette et se frotta énergiquement avant de sortir de la salle de bain.

Elle devait maintenant retourner dans sa cabine, elle se mit à la recherche de ses vêtements.

Elle avait oublié que des gouttes de foutre qui s'étaient échappées de sa chatte chacun de ses pas, elle glissa sur une flaque de foutre et s'étala de tout son long dans une mare de sperme couvrant le sol.

Jetant un oeil sur elle, elle grinça des dents et frissonna de dégoût, alors qu'elle venait tout juste de débarrasser son corps de ces gluantes souillures, elle avait maintenant les eux pieds enrobés d'un épais film de semence.

Alors qu'elle frémissait de colère, dans un réflexe inconscient, ses sphincters vaginaux se contractèrent expulsant une nuée de gouttelettes de foutre de sa chatte qui vinrent lui poisser la face interne des cuisses.

Sanglotante, elle retourna dans la salle de bain pour reprendre une dou-che.

Ayant enfilé sa tenue de jogging sans ses sous-vêtements qu'elle n'avait pas retrouvé, elle se hâta de quitter la cabine.

Regardant le bouton de porte de sa cabine, elle tourna le dos et remonta sur le pont, il lui fallait se rendre dans la petite boutique qui vendait des produits pharmaceutiques, elle avait besoin de se procurer une douche vaginale pour se curer le vagin avant qu'il ne soit trop tard.

Elle n'en avait pas emmené dans on désir de se faire engrosser au cours de cette croisière, mais elle voulait un enfant de son mari, et non de ce-lui d'un infâme violeur noir.

De retour à son poste sur le pont supérieur, Omar la suivait des yeux alors qu'elle s'approchait lentement du garde-fou yeux rivés sur les flots bleus.

- "Oh, oh songerait-elle à en finir!....." réalisa-t-il soudain.

Hélant rapidement Catherine, une des filles chargée de l'entretien du pont supérieur, Omar l'avisa qu'une passagère semblait souffrir du mal de mer, il lui conseilla d'aller la remonter.

Il poussa un gros soupir de soulagement en la voyant reprendre son chemin, après avoir conversé quelques minutes avec Catherine, alors qu'elle entrait dans la coursive, Omar s'éloigna de son poste d'observa-tion et choisit une place d'où il pouvait regarder ce qui se passait dans la coursive, continuant à épier la ravissante beauté en pleine détresse.

En la voyant disparaître dans la boutique qui vendait des produits pharmaceutiques, il surit et supposa qu'elle venait se procurer une douche vaginale .... Dans l'espoir d'éviter une grossesse redoutée.

- "Trop tard, ma douce!...... Omar ne tire pas des cartouches à blanc!.....Avec la dose de sperme que j'ai déchargé dans ton utérus il y une petite heure!...... Tu ferais mieux de faire des prières!...... Eh, eh, eh ...." gloussait-il hilare.

Son soutien-gorge et sa petite culotte entortillée autour de sa bite la faisait palpiter à nouveau dans son caleçon, il se marrait sachant qu'elle était nue sous sa tenue de jogging.

- "Bordel je suis sur que ses tétons doivent lui brûler!...." se marrait-il pensant combien ils devaient la faire souffrir après avoir été sucés, étirés, maltraités, mordillés de si sauvage façon, il voulait justement qu'elle soit meurtrie par leur frottement sur le tissu de son sweat.

Et de fait Laurie grimaçait à chaque frottement de ses tétons dardés contre son sweat, elle avait longuement examiné ses nibards douloureux avant de quitter la salle de bain, affolée par les traces de morsure qu'elle devrait dissimuler, des ondes de douleur diffusait dans tout son torse alors que ses nichons bleuissaient.

Ses sous-vêtements disparus, des filets de foutre s'écoulant de sa chatte béante, Laurie, après s'être tamponné la moule avait du bourrer un gant de toilette dans sa cramouille pour endiguer le flot de foutre tout en en absorbant une bonne part.

Elle n'aurait peut-être pas résisté à la tentation de sauter par dessus bord si la gentille jeune femme ne l'avait pas distrait de son attirance morbide pour les flots bleus.

Prudente, Laurie s'était procurée deux flacons de douche vaginale.

L'un pour un usage immédiat dès qu'elle serait de retour dans sa cabine, dans l'espoir d'éviter de se retrouver enceinte des oeuvres de son ignoble violeur ... S'il n'était pas déjà trop tard!.....

- "Mon Dieu ... Violée ..... Violée et déshonorée le jour de notre pre-mier anniversaire de mariage!...... Et peut être mêle engrossée par ce noir que je n'ai même pas entrevu ...." frissonna-t-elle horrifiée.

Si elle se retrouvait enceinte des suites du viol, bien que contre l'avorte-ment en général, Laurie réalisa qu'elle n'aurait pas d'autre choix dans ce cas.

Mais, si elle faisait l'amour avec son mari au cours de cette croisière, elle ne parviendrait pas à savoir qui l'avait mise enceinte.

Le flacon de douche vaginal en rabe lui permettrait d'éviter ce risque, elle espérait bien dissuader son mari de faire l'amour, prétextant être bien trop fatiguée par la croisière ou se servant de tout autre excuse invérifia-ble,... Mais au cas où.......

Elle ne voulait surtout pas que son mari remarque ses contusions, les bleus ornant son corps et encore moins qu'il constate la béance de sa chatte et de son trou du cul derniers témoignages de son viol.

De retour à son poste d'observation, Omar surveillait le pont extérieur, il sourit en voyant la jeune femme retourner vers le couloir menant aux ca-bines du pont inférieur.

Alors qu'elle s'engouffrait dans le couloir, Omar pensa :

- "J'espère que tu vas souhaiter un bon anniversaire de mariage à ton mari, de ma part!....."

Jetant un oeil sur la feuille de réservation des Walker, il inscrivit en en-tête Jour 1, 2 photos.

Cela l'aiderait à se rappeler que les deux premières photos prises avec son appareil photo digital étaient celles de la délicieuse Laurie Walker.

- "Oh oui ma chère madame Walker ... Omar t'appellera dans un proche futur, lorsque son bateau fera escale près de chez toi!..... Je suis bien sur que lorsque tu verras les photos de ton viol, tu fe-ras n'importe quoi pour qu'elles ne soient pas diffusées .... Et pour cela tu viendras me rejoindre dans ma chambre de motel pour y passer avec moi le temps de l'escale du navire!......" conjecturait-il plein d'optimisme.

- "Oh oui ...... J'en profiterai pour te casser le cul ..... Je suis bien sur que t'es encore vierge du trou de balle!...... " se marrait-il plein d'espoir.

C'est alors qu'Omar forma le projet lucratif qui devait sceller le destin de Laurie :

- "Hummmm J'ai une bien meilleure idée .....Je me la faire la première heure et ensuite, je me ferai des couilles en or!......"

L'équipage était constitué de centaines de matelots de nationalités différentes, la majorité sont des mâles, Omar savait qu'ils paieraient cher pour satisfaire leur lubricité, par exemple pour se taper une ravissante jeune américaine comme l'adorable madame Walker.

Il avait pris une photo de pied en cap de la somptueuse jeune femme vê-tue de sa jolie robe bleue ornée d'un galon rose sous la poitrine, cette photo montrée à l'équipage provoquerait l'inscription de nombreux clients, elle aurait du boulot pour toute la journée.

Si elle la jeune beauté avait connu les intentions de ce pervers d'Omar, elle serait remontée sur le pont pour piquer une tête par dessus bord.

Comme les bateaux regorgeaient de matelots privés de jolies femmes, Omar avait programmé un plan extrêmement pervers : tout d'abord il se ferait la somptueuse chienne en la faisant chanter avec les photos, puis il la donnerait en pâture à l'équipage, chacun lui payant son octroi.

Omar se remémorant ses performances avait défini rapidement le temps qui serait alloué aux consommateurs

- "20 minutes ..... Pour chaque groupe de 5!...."

- Quant au prix de la passe, Omar l'avait fixé à 50 $ pour une branlette ou une éjaculation sur ses pieds et ses jambes, et 150 $ pour la baiser en bouche, en con ou en cul! .... Ce qui devrait faire 650 $ toutes les 20 minutes!

Omar calcula rapidement :

- "21 clients à l'heure ..... Pendant 10 heures d'affilée ...... Mon Dieu .... Elle va souhaiter se jeter par dessus bord après avoir servi de jouet à plus de 200 consommateurs en une seule journée!...."

FIN

13 janvier 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur Black Demon.

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