Novices Dépravées

BÊTA PUBLIQUE

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La pin-up Cassandra plaque d'une main la tête tondue de Roxana contre sa poitrine, se trémousse et glisse sa main dans ses cheveux ondoyants alors que son amie, déjà réconciliée avec elle, lèche avidement ses gros seins.

Les mâles ont laissé ces gamines batifoler et jugent le moment venu de prendre les commandes. Agrippant Cassandra par ses cheveux, comprimant leurs crânes, serrant leurs cous, ils laminent les gorges des adolescentes et leurs couilles heurtent leurs mentons. Les obscènes gargouillis émis par les adolescentes lors de cette session de gagging galvanisent les mâles. La bave coule à flots et de longs filets de salive s'étirent entre les glands et leurs lèvres. Les mâles les insultent et rougissent leurs joues, leurs seins et leurs culs. Jürgen, branlé par Roxana, pince ses narines, enfourne quatre doigts dans sa bouche et malmène sa luette avant de barbouiller son minois avec sa main enduite de salive. Les bites s'introduisent par paires dans leurs bouches accueillantes et déforment leurs lèvres. Roxana pompe la queue d'Attila tandis que la tonique Cassandra, de lèche-couilles, se mue en lèche-culs, et fait reluire sa pastille fripée. Les adolescentes échangent fréquemment leurs places et lèchent les rondelles velues des mâles en train de limer la bouche amie. Cassandra et Roxana, gorges investies par les bites, suffoquent. Cassandra, facétieuse, pince ses narines et s'étrangle elle-même. Leurs mâchoires sont meurtries et leurs gorges sont saccagées. Leurs visages sont souillés de leurs salives, de crachats et de traînées de khôl et de mascara le long de leurs joues. Cassandra a des mèches de cheveux collées sur ses joues et sur son front.

Les camarades sont séparées. Cassandra est installée sur un canapé éventré où Bodo butine sa chatte pendant que son comparse Otto lui délivre une savoureuse feuille de rose. Elle couine de plaisir et écrase leurs têtes contre ses trous. Les mâles lui font ensuite subir une éprouvante séance de facefucking. Ils coincent sa tête entre leurs cuisses, harcèlent sa gorge et doigtent sa chatte trempée. Cassandra, qui a perdu de sa superbe, halète, étouffe et émet des borborygmes qui font ricaner les mâles. Allongée sur son dos, ses cuisses contre le dossier du canapé et sa tête à l'envers, sans aucune échappatoire, les queues forcenées bombardent sa gorge alors qu'elle astique les bites. Ses yeux exorbités, elle échoue à réprimer un énième haut-le-cœur. Le vomi éclabousse sa gueule d'ange déchu et s'entremêle dans ses blonds cheveux. Lothar étale avec sa bite cette dégoûtante substance et applique un immonde masque de beauté sur son minois. Les mâles fourrent sa gorge anéantie et le vomi se déverse à maintes reprises sur sa face. La beauté de la ravissante auriverde s'est évaporée maintenant que son visage luisant de gerbe a viré à l'écarlate, que ses yeux sont embués et que son nez est morveux. Cassandra, son regard vitreux, semble éteinte mais la caméra de Bianka capte de furtifs et mystérieux sourires.

Karsten enfouit la tête de Roxana sous un sac en papier gras empestant le burger et les frites, fait un trou au niveau de sa bouche et se gausse d'elle de sa voix rauque.

« J'me sens mieux quand j'vois pas ta sale gueule de trans'! »

Toujours agenouillée, ses bras bloqués derrière son dos, les mâles misogynes baisent sa bouche anonyme avec une intensité inouïe, s'acharnent sur sa gorge et engouffrent leurs queues jusqu'aux couilles. Ses retentissants gargouillis couvrent les entêtants froissements du sac en papier. La coriace Roxana, cible de rafales de gifles sur ses seins et sur sa vulve, affaiblie par ce déferlement ininterrompu de chibres dans sa gorge, lutte elle aussi en vain contre un haut-le-coeur et dégobille. Les mâles dégénérés, leurs toisons saupoudrées de gerbe, continuent à labourer sa bouche alors qu'elle baigne dans d'infects relents de vomi et lui font rendre tripes et boyaux. Le vomi grumeleux nappe ses seins et ses abdos, et imbibe sa dense forêt noire. Dragan l'installe en levrette, claque son cul et introduit sa queue à sec. Il s'égosille et lui vrille les tympans de sa voix stridente.

« J'vais t'démolir l'trou d'balle, pétasse! »

Les mâles négligent sa chatte touffue tandis que son anus non lubrifié encaisse une alternance de percutants coups de boutoir et de vifs va-et-vient qui chauffent à blanc ses entrailles. Entre deux sodomies, sa gorge toujours limée, son anus supplicié est écartelé par des doigts osseux et potelés.

Les indissociables adolescentes sont livrées à elles-mêmes, leurs gorges saccagées par des mâles aussi hargneux que haineux. Les bites, à peine extraites de l'une des deux bouches ou du cul de Roxana, sont replongées dans l'anus de l'Eurasienne ou dans le gosier ami, gavé à distance.

Les mâles s'essuient avec le crop top de Roxana et avec la combishort de Cassandra, récupérés dans l'un des sacs en bandoulière et profitent du réfrigérateur en enquillant des bouteilles de bière fraîche afin de se désaltérer. Ils récupèrent aussi les billets éparpillés sur le sol, récompense amplement méritée pour ces forçats du sexe, et fouillent dans les portefeuilles des adolescentes pour s'emparer des quelques billets et pièces s'y trouvant encore. Les caméras immortalisent chaque instant de la spectaculaire dégradation des lycéennes qui s'abstiendront à l'avenir de se targuer d'être lesbiennes et féministes radicales. Bianka a oublié de les informer que le tournage est retransmis en direct, leurs numéros de téléphones fréquemment divulgués. Lothar brandit sournoisement devant la caméra de Maximilian leurs pièces d'identité et met en péril les adolescentes qui ne sont plus protégées par leurs pseudonymes.

Roxana est libérée du sac en papier en lambeaux. Son visage trempé de bave et de gerbe, une veine pulsant sur son front, est dégueulasse. La coriace Roxana soutient les regards de ses bourreaux, essuie son visage d'un revers de main et, rancunière, caresse ses seins et mime une masturbation. Effrontée, un sourire moqueur aux lèvres, elle fustige les mâles.

« Si j'avais une queue, je vous montrerais comment vous en servir, enfoirés! »

Les mâles furieux matent immédiatement ce début de rébellion et sévissent. Elle récolte des baffes en guise de représailles. Les mâles la bousculent, dévastent sa gorge déjà martyrisée, l'enculent avec de véhéments coups de reins et font un carnage. Roxana hurle, a de violentes quintes de toux et crache de la bile sur le sol.

Roxana et Cassandra sont décontenancées quand elles aperçoivent quatre nouveaux visages. Friedrich, quarante-quatre ans, visage allongé au teint cireux et cheveux jaune paille coiffés en mulet, très courte frange, sa jambe gauche amputée au-dessus de la cheville et qui se déplace à l'aide de béquilles en bois, et Ulrich, quarante-cinq ans, visage blême scarifié et crâne chauve, sa peau quasi-intégralement tatouée et abondamment piercée, sont des grands échalas décharnés aux queues tordues (16 et 19 cm). Osman, Somalien de cinquante ans à la peau d'ébène, visage bouffi, cheveux noirs crépus et hirsutes et bouc grisonnant, queue épaisse et circoncise (21 cm), et Uwe, cinquante-deux ans, visage rougeaud bouffi et longs cheveux gris raides, moustache grisonnante drue, queue boudinée (17 cm), sont des mâles trapus et bedonnants. Ces quatre clochards rendaient visite à leurs compagnons d'infortune et, conviés par Bianka, ont quitté leurs fripes pour se joindre à la fête rémunérée.

Seize mâles, qui ne se sont pas embarrassés de préservatifs, sont désormais regroupés pour user et abuser des corps des deux adolescentes de seize ans. Cassandra, agrippée par sa crinière maculée de gerbe, est traînée sur le sol jusqu'à une table basse vermoulue. Dragan nettoie sommairement son visage souillé avec l'une des chemises réduites en lambeaux. Ses seins aplatis contre le bois et sa splendide croupe cambrée offerte aux regards lubriques, les mâles se focalisent maintenant sur son cul. Vlad, cadavre sorti d'outre-tombe, son regard possédé, force lui aussi son anus sans aucune lubrification. Le rictus de souffrance de Cassandra, son regard larmoyant, ses lèvres tremblantes et ses doigts crispés, est filmé par la caméra de Maximilian. Elle est à son tour mise à l'abattage anal. Cassandra, ballottée dans tous les sens, ses seins malaxés et sa bouche toujours baisée, ses mains fourbissant les bites, se fait sauvagement pilonner. Cette expressive forniqueuse grimace de douleur, gueule et profère des jurons dans son portugais natal.

Roxana, balancée sur un matelas taché, se fait marteler le cul, les mâles refusant toujours de pénétrer sa chatte. Ses mains branlent à tout-va et elle suce des queues en provenance directe de son anus ou de celui de Cassandra.

Pendant que Bodo l'encule en levrette, Cassandra branle son clitoris et quémande.

« Baisez ma chatte, j'vous paie pour ça! »

Otto se positionne devant Bodo et, surplombant Cassandra, crache sur son visage, introduit également sa bite dans son anus et la houspille de sa voix grasse.

« Tu t'prends deux bites dans l'cul, le mannequin! Tu vas boiter sur l'podium! »

Le duo Otto-Bodo inflige à cette blondinette de seize ans une double pénétration anale, imprime un rythme effréné et malaxe ses seins alors que s'illumine le visage de Cassandra, transcendée. Elle réalise qu'elle a été enculée puis doublement enculée alors qu'aucune bite n'a encore franchi ses lèvres vaginales. Otto et Bodo accordent ensuite un traitement similaire à Roxana en s'allongeant l'un en face de l'autre, leurs cuisses entremêlées. Roxana s'accroupit et, penchée en avant, subit, souvent fessée, une rude première double pénétration anale.

Les sodomies s'enchaînent sans aucun répit, virulentes ou saccadées en fonction de l'endurance des mâles. Les bites défilent dans les culs dilatés. Les mains des lycéennes sont mobilisées pour branler les queues et leurs bouches pour les pomper. Cassandra, debout et inclinée vers l'avant, aide Friedrich appuyé sur ses béquilles, et guide sa queue dans son cul qu'il laboure par à-coups malhabiles. Il s'époumone en postillonnant de sa voix aiguë.

« Tu prends ton pied, pétasse! »

Cassandra le fixe d'un regard malicieux et réplique par un trait incisif qui provoque l'hilarité des mâles, Friedrich compris.

« Tu sais de quoi tu parles, cul-de-jatte! »

Cassandra, tournant son dos à Dragan dans sa position favorite de reverse cowgirl, est pliée en deux par son partenaire qui passe ses bras sous ses genoux et joint ses mains derrière son crâne, immobilisant la contorsionniste improvisée. Pendant que Dragan squatte son cul, les mâles obnubilés par les doubles pénétrations anales se relaient dans son cul éclaté et lui octroient une double ration de bites. Cassandra, au bord d'un premier orgasme qui la fuit, gueule à outrance.

Les mâles présentent leurs anus à la besogneuse Roxana, à nouveau allongée sur le matelas, qui s'applique à les faire briller, et les gros culs de Konrad et de Karsten écrabouillent sa gueule. Alors qu'elle est allongée sur son dos, son cul limé par une bite et sa bouche baisée par une autre, la queue de Konrad s'immisce entre ses seins que ce gros lard, assis sur son ventre, comprime durant une branlette espagnole. Roxana, pourtant impitoyablement démolie depuis près d'une heure et tourmentée par une douleur lancinante, son visage contracté et ses ongles enfoncés dans le matelas, frôle elle aussi son premier orgasme en se masturbant mais se frustre pour accroître sa violence.

Cassandra est à son tour jetée sur le matelas, enfin réunie avec sa camarade. Leurs enivrants parfums capiteux sont désormais noyés sous les exhalaisons de leurs sueurs âcres et de leurs infectes gerbes. Elles communiquent par un bref échange de regards. Ces féministes radicales font face aux mâles misogynes qui les maltraitent sans ménagement, assouvissant les fantasmes qui les hantent et qu'elles s'efforçaient d'exorciser dans des tracts militants au langage extrémiste. Leurs solides carapaces, perforées par les mâles honnis, ont implosé. Roxana et Cassandra savourent cette phénoménale orgie anale, assument leurs instincts déviants et s'épanouissent dans la débauche.

Les mâles enculent les lycéennes revigorées, saisissent Cassandra par ses cheveux, distribuent les fessées, broient leurs épaules, déforment leurs bouches avec leurs doigts. L'ancienne gymnaste Roxana bondit sur les queues et la cavalière Cassandra les chevauche. Elles gémissent, couinent et gueulent. Leurs cris sont étouffés par les queues qui se succèdent dans leurs bouches. Les mâles poussent des râles bestiaux et transpirent à grosses gouttes sur les adolescentes qui, transfigurées, s'emparent des bites sorties du cul ami pour s'en goinfrer. La langue de Roxana prodigue un exquis anulingus à Attila alors qu'il démolit l'anus de Cassandra. Cassandra, affalée sous Roxana, fiste énergiquement sa chatte humide délaissée alors que la jeune métisse se fait déjà enculer en levrette. Cassandra se révèle être une performeuse exceptionnelle. Allongée sur son dos, sodomisée par Ulrich et se branlant, elle jouit du cul et éjacule à gros bouillons sous les yeux écarquillés de Roxana qui, elle-même enculée, se désaltère à cette fontaine de mouille. Cassandra est toujours en train de gicler quand elle déclenche un stupéfiant prolapsus rectal qui expulse la queue d'Ulrich. La gourmande Roxana lèche et suce son sublime bouton de rose. Jürgen s'écrie.

« T'as l'fion détruit, pouffiasse! »

Cassandra, encore en reverse cowgirl, empale son cul sur la longue queue dressée de Vlad. Des mâles la surplombent et liment sa bouche. Roxana, plus que jamais enculée, lèche d'un même mouvement les couilles de Vlad et sa chatte, extrait la bite du cul de Cassandra pour s'en régaler avant de l'y replonger puis fiste la chatte longtemps ignorée de son amie. Igor se débarrasse de son crochet, éloigne Roxana et enfonce son moignon dans la chatte moite de Cassandra. Une expression de béatitude surgit sur le visage de Cassandra qui, enculée par Vlad et fistée par le moignon d'Igor, stimule énergiquement son clitoris et rive son regard sur le détraqué Igor. Ses yeux révulsés et son corps secoué de spasmes, elle atteint enfin l'orgasme et hurle. Le moignon est expulsé par un puissant geyser de mouille qui fuse hors de sa chatte. Elle saisit le moignon et le lèche avec ferveur. Les mâles ramonent ensuite la chatte trempée de Cassandra et impulsent des doubles pénétrations classiques. Pénétrée de toutes parts, Cassandra exaltée claque leurs culs et braille quand la cadence diminue.

« Défonce-moi plus fort, enfoiré! »

Roxana est de son côté enculée en levrette, sa bouche laminée par les queues. Ses épaules sont plaquées contre le matelas par Attila qui la sodomise et écrase brutalement sa face avec son pied. Elle lèche et suce les orteils qu'il fourre dans sa bouche puis, avilie, poursuit sa dégoûtante mission avec les orteils aux ongles souvent jaunis de ses acolytes barbares. Konrad fait preuve d'une cruelle franchise quand il lui annonce gaiement de sa voix rauque.

« Tu d'vrais nous remercier de t'filer nos morpions et nos champignons, l'Asiate! »

Cassandra arrive à la rescousse de Roxana et l'allonge sur son dos. Elle plonge cette fois son poing dans son anus et lui bourre le cul alors que Jürgen est le premier mâle à perforer sa chatte. Extatique, Roxana se masturbe, tressaille et éjacule si puissamment qu'elle éjecte hors de sa chatte la queue de Jürgen. Cassandra, trempée par son jus de chatte, ôte sa main et laisse Roxana se provoquer un éblouissant prolapsus rectal. La langue de Cassandra titille son indécent cul en chou-fleur, réjouissant le volubile Konrad.

« Vous pens'rez aussi à nous quand vous chierez dans vos couches, connasses! »

Cassandra enfourche, toujours en reverse cowgirl, Lothar qui, après l'avoir sodomisée, empoigne son dard et dirige un jet de pisse sur son minois. La pisse bouillonne dans la bouche ouverte de l'adolescente et dégouline sur son torse. Cassandra, radieuse, en avale plusieurs chaudes gorgées. La bite d'Heinrich pilonne sa bouche noyée de pisse et en fait jaillir le liquide. Cassandra, allongée ensuite sur le matelas imbibé, est étranglée par Jürgen qui vide sa vessie dans sa chatte. Les yeux d'abord écarquillés de stupeur, son vagin simultanément rincé à la pisse et limé dans un ensorcelant clapotis, Cassandra est hilare. Elle s'accroupit et recueille l'urine dans ses mains en coupe. Elle esquisse un sourire facétieux et asperge son visage de pisse avant de lécher ses paumes et ses doigts.

Roxana, couchée sur le canapé, se fait enculer par Karsten et fourrer la bouche par des queues sans cesse renouvelées. Karsten quitte son cul et, suivant l'exemple de Lothar, vise sa frimousse qu'il arrose de pisse. Elle en ingurgite de grandes rasades. Cassandra surgit et s'accroupit au-dessus d'elle pour l'abreuver. Les mâles pissent sur le visage et la poitrine de Cassandra. Elle recrache l'urine qui dévale le long de son ventre et se déverse sur le visage de Roxana. Roxana est toujours allongée, sa tête à l'envers, quand Attila soulage sa vessie dans sa bouche ouverte, plonge soudainement sa queue entre ses lèvres et continue à pisser dans sa gorge, s'exclamant de sa voix rauque marquée d'un fort accent hongrois.

« Bois mon champagne, salope! »

Cassandra et Roxana sont une nouvelle fois réunies, agenouillées et entourées par seize mâles, les bières pesant sur leurs vessies. Les ardentes lycéennes sont aspergées de pisse chaude lors d'une fabuleuse douche dorée. L'âpre liquide éclabousse la chevelure de Cassandra, bouillonne dans les bouches des adolescentes, ruisselle sur le crâne tondu de Roxana et le long de leurs corps, et elles en boivent de grandes lampées. Fiévreuses, elles pincent leurs tétons et frictionnent leurs clitoris. Cassandra passe sensuellement ses mains dans sa longue crinière gorgée de pisse et enfin débarrassée des derniers restes de vomi qui s'y accrochaient encore. Roxana empoigne la bite d'Ulrich et dirige son jet vers la bouche de Cassandra. Konrad se moque de ce duo fusionnel.

« Vous avez été finies à la pisse, connasses! »

La douche dorée leur a cependant permis de se refaire une beauté et leurs visages sont redevenus présentables. La langue de Roxana sillonne le corps brillant de Cassandra qui essore ensuite ses cheveux dans la bouche de son amie. Cassandra, inclinée vers l'avant, lape la mare de pisse alors que Karsten, la surplombant, urine sur ses cheveux imbibés. Roxana l'imite et elles aspirent plusieurs gorgées, échangent la pisse dans leurs bouches et recrachent le chaud liquide sur leurs visages. Uwe pisse sur l'anus de Cassandra, alors à quatre pattes. Roxana intercepte le jet et boit à la source puis lèche le cul arrosé de Cassandra.

Cassandra, insatiable, s'adresse aux mâles.

« Vous attendez quoi pour revenir nous démonter, salauds? »

Attila l'attrape par le bras et l'emmène sur le canapé où sa chatte est emboutie par Friedrich, plus à son aise dans cette position. Cassandra, à califourchon sur lui, dégoulinante de pisse, ses seins tétés et mordillés, se fait limer sa chatte et sa bouche. Vicieuse impénitente, elle plonge son poing dans son cul et se fiste elle-même devant des mâles interloqués avant d'écarter ses fesses pour faire admirer le cratère béant qu'est devenu son anus. Adossée contre le canapé, sa croupe en l'air et sa tête sur le sol, elle se fait marteler le cul et se pisse dessus, son jet d'urine retombant sur son visage et dans sa bouche ouverte. Une nouvelle salve de doubles pénétrations commence pour Roxana et Cassandra, qui l'a rejointe sur le matelas. Les gifles et les fessées pleuvent. Les mâles baisent et pissent dans leurs orifices, alignent les doubles pénétrations vaginales et les doubles pénétrations anales. Cassandra, deux glands dans sa bouche, réussit à en faire entrer un troisième. Elle plaide pour le droit d'asile quand son cul accueille simultanément les deux tiges africaines de Mohamed et d'Osman avant que leurs dards d'ébène ne s'engagent entre ses dents d'ivoire pour y être vénérés par cette Blanche servile. La cochonne Roxana est prise en sandwich entre les gros lards Konrad et Karsten qui, essoufflés, suent comme des boeufs.