Novices Dépravées

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Quand deux lycéennes s'épanouissent sexuellement.
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RoxanaS
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Roxana et Cassandra vont être jetées en pâture à douze mâles pervers à qui ces trous à bites d'à peine seize ans serviront de vide-couilles et de chiottes humaines lors d'une outrageante orgie sexuelle.

Roxana, Eurasienne germano-irano-japonaise, longue chevelure raide noir de jais et peau mate, a un visage en ovale aux traits démoniaques : yeux bridés vert émeraude, sourcils arqués, nez aquilin, lèvres pulpeuses et fossette au menton. Elle a une silhouette râblée (1m66, 62 kilos) dotée de muscles saillants et de courbes opulentes : biceps gonflés, cuisses robustes, abdos ciselés, énormes seins aux tétons bruns (95E) et gros cul bombé. Élevée dans un austère chalet du tréfonds de la forêt de Bavière, cette gamine taciturne a forgé son corps vigoureux dans cet environnement rigoureux.

Cassandra, Blanche germano-brésilienne, longue chevelure ondulée blond doré et peau rosée, a un visage en diamant aux traits angéliques parsemé de taches de rousseur : pommettes saillantes, yeux ronds bleu marine, sourcils courbés, nez concave et lèvres pulpeuses. Elle a une silhouette svelte (1m69, 56 kilos) dotée de muscles fuselés et de courbes harmonieuses : taille fine, chute des reins vertigineuse, abdos esquissés, gros seins aux tétons roses (85D) et petit cul rebondi. Élevée dans une luxueuse villa des hauteurs de Rio de Janeiro, cette gamine tempétueuse a façonné son corps dynamique dans ce cadre idyllique.

Roxana et Cassandra sont camarades de classe et de chambre dans un prestigieux gymnasium de Munich où ces adolescentes solitaires et déracinées ont été ostracisées par une influente sororité de bourgeoises hautaines. La belliqueuse Roxana et la narquoise Cassandra, redoutées en raison de leurs tempéraments abrupts et de leurs aptitudes en arts martiaux (judo pour Roxana, jiu-jitsu brésilien pour Cassandra), affrontent ensemble cette atmosphère hostile et fortifient leurs corps irrigués par une sève vivace (crossfit pour Roxana, fitness et yoga pour Cassandra).

Elles se sont initiées aux délices du saphisme il y a quelques mois. Munies d'une panoplie de godes et de plugs, harnachées de godes-ceintures, ces férues de facesitting, de deepthroating et de squirting pilonnent leurs chattes et leurs culs, dilatés lors de torrides sessions de fisting vaginal et anal. Ces fougueuses lesbiennes s'empalent en duo sur un massif double gode, l'imprègnent de leurs effluves intimes et l'avalent par chaque extrémité afin d'échanger, leurs gorges comblées, un fugace baiser.

Roxana et Cassandra sont les muses de Bianka, trente ans, artiste subversive dont les œuvres macabres et scabreuses scandalisent autant que sa personnalité atypique. Celle qui était autrefois un longiligne dandy androgyne (visage anguleux, yeux vert de gris, longue chevelure raide roux acajou, peau laiteuse) s'est métamorphosée en sulfureuse transsexuelle. Roxana et Cassandra ont succombé au charme diabolique de cette sculpturale créature à la féminité exacerbée, dégustant ses énormes seins siliconés aux tétons roses (90G) et sa longue queue lisse et circoncise (24 cm).

Bianka, inspirée par la pétillante Cassandra et par l'énigmatique Roxana, dessine et peint ses muses sous les traits de guerrières sanguinaires, de nymphomanes insatiables et de midinettes torturées. Elle les a persuadées d'assouvir les obsédants fantasmes de gangbangs qui tourmentent leurs nuits lors d'une orgie filmée puis diffusée sur le net.

Elles courent le risque d'être reconnues. Affublées d'une épouvantable réputation et exclues du gymnasium pour leur conduite licencieuse, les excellentes élèves et sportives émérites Roxana (prodige de l'alpinisme) et Cassandra (navigatrice hors pair) devraient alors renoncer à leurs espoirs de bourses d'études dans de célèbres universités anglo-saxonnes. Ces baroudeuses intrépides pourraient ainsi s'éloigner de leurs destins tout tracés et s'aventurer hors des sentiers battus afin d'explorer les contrées les plus inhospitalières. Elles ont néanmoins insisté pour utiliser des pseudonymes, Scheherazade pour Roxana, Anastasia pour Cassandra.

Roxana et Cassandra ont quitté Munich en matinée pour rejoindre Berlin en train. Ces lycéennes se sont transformées en femmes fatales. Leurs peaux, celle de Roxana basanée et celle de Cassandra hâlée par le soleil estival de Rio, sont quasi-intégralement épilées. Le khôl et le mascara subliment leurs regards. Leurs lèvres pulpeuses scintillent et leurs ongles manucurés (carrés pour Roxana, en amande pour Cassandra) rutilent. La ténébreuse Roxana a choisi le sombre grenat tandis que la lumineuse Cassandra a opté pour le vif fuchsia. Cassandra, quelques mèches blond cendré éparpillées dans sa crinière blond doré lâchée, resplendit. Roxana, adepte des coupes extravagantes (mulet, bol très court, mohawk), a sacrifié sa chevelure et arbore un crâne lisse, rasé à blanc par Cassandra.

Roxana et Cassandra parviennent en taxi en fin d'après-midi dans un faubourg malfamé de Berlin. Elles se changent dans une ruelle lugubre entre deux bennes à ordures, au milieu de préservatifs usagés et de cadavres de bouteilles. Roxana troque son crop top blanc minimaliste, son jean destroy et ses sneakers blanches, Cassandra sa combishort safran décolletée et ses bottines noires, contre les sobres uniformes à dominante bleu marine du gymnasium (blazers, chemise à manches courtes, cravates, jupettes, bas et mocassins). Roxana se pare d'un turban assorti. Elles avertissent Bianka de leur arrivée imminente et éteignent leurs téléphones. Elles observent l'endroit du tournage, un sinistre entrepôt désaffecté au sol jonché de détritus et dont émane une odeur nauséabonde, écrin approprié pour ces sacs à foutre ambulants.

Cassandra, sa bouche bée et ses yeux écarquillés, et Roxana, son visage renfrogné, s'immobilisent, effarées d'apercevoir face à elles, au lieu des trois à quatre séduisants éphèbes espérés, douze mâles mûrs et nus, affichant une allure féroce et braquant sur elles des regards acérés, des sourires carnassiers et des calibres tendus.

Elles sont accueillies par Bianka, équipée d'une caméra d'épaule, juchée sur des bottes noires à talons aiguilles, irrésistible dans sa minirobe noire décolletée en cuir, ses lèvres gonflées et ses longs ongles pointus d'un vermeil flamboyant. Elles reconnaissent Maximilian, trente-six ans, torse et pieds nus, lui aussi muni d'une caméra d'épaule. Sous la houlette de leur maîtresse, elles l'ont dominé, expérimentant le pegging et le fisting anal avec un homme. Elles se remémorent que, bardées d'imposants godes-ceintures, elles ont simultanément sucé et enculé, puis sucé et fisté, ce filiforme don juan (visage efféminé, yeux bleu ciel, longue crinière raide blond platine, peau pâle), esthète raffiné doté d'une queue lisse (19 cm), lui assénant finalement une magistrale double pénétration anale alors qu'il honorait sa maîtresse Bianka d'une fellation. Bianka l'a sollicité pour qu'il l'assiste afin que ses muses soient toujours devant l'objectif d'une caméra.

Les mâles encerclent les lycéennes. Bianka les a manipulées et les a données en offrande à cette douzaine de mâles dont les trognes sont aussi hideuses que leurs corps sont rebutants. Elle a constitué pour ces beautés naturelles une ahurissante galerie des horreurs, réunissant une meute d'hommes appâtés par ces alléchantes élèves d'un établissement élitiste.

Roxana et Cassandra repèrent cinq comparses. Attila, Hongrois de quarante-neuf ans au cuir tanné, visage taillé à coups de serpe et tignasse noire hirsute, longue queue veineuse (24 cm), a un faciès effrayant qui contraste avec son élancé corps d'Apollon à la musculature ciselée. Ce gladiateur des temps modernes a passé vingt ans derrière les barreaux et participe à de sanglants combats illégaux à mains nues. Jürgen, cinquante-trois ans, visage hâve et crâne dégarni, cheveux bruns raides et moustache drue, et Dragan, Serbe de quarante-six ans, visage balafré et crâne chauve, barbiche brune entortillée, son torse et ses cuisses affreusement brûlés, sont des éboueurs gringalets aux queues tordues (16 et 18 cm). Otto, quarante-trois ans, visage allongé au teint livide et cheveux noirs très courts, et Bodo, quarante-quatre ans, visage émacié sous des lunettes en écaille, cheveux blond doré drus et moustache fournie, sont des marginaux efflanqués aux queues lisses (19 et 18 cm) vivant de menus larcins. Ces cinq acolytes évoquent aux deux adolescentes une horde de hyènes affamées.

Les lycéennes distinguent à leurs côtés deux bibendums ventripotents et poilus aux queues boudinées (15 et 16 cm) et aux énormes culs flasques. Konrad, cinquante-six ans, visage rougeaud joufflu et crâne chauve, et Karsten, cinquante-quatre ans, visage bouffi au teint cireux sous des lunettes rondes et crâne dégarni, cheveux noirs frisés et moustache drue, sont des petits commerçants, l'un boucher, l'autre tavernier, dont les cinq autres sont des habitués. Ces petits patrons criblés de dettes d'un quartier populaire de Berlin se pourlèchent les babines devant les appétissants morceaux de viande fraîche et ferme au menu.

Roxana et Cassandra identifient enfin une bande de cinq clochards dégingandés et décharnés. Igor, Russe de quarante-neuf ans, visage grêlé au teint cireux et longs cheveux châtains gras, barbe broussailleuse, son dos zébré et sa main droite sectionnée remplacée par un crochet, est Raspoutine réincarné avec son immense queue veineuse (26 cm). Vlad, Roumain blafard de cinquante-deux ans, visage anguleux et crâne chauve, yeux globuleux et langue tranchée, a une longue queue lisse (22 cm). Ce gigantesque squelette a été enfermé durant vingt-cinq ans dans de sordides asiles d'aliénés soviétiques. Lothar, cinquante-trois ans, visage grêlé et longs cheveux gris clairsemés attachés en queue de cheval, barbe éparse, son œil gauche crevé, a une queue tordue (19 cm). Heinrich, satyre de cinquante-neuf ans, visage balafré et longs cheveux blancs raides, barbe broussailleuse, a une queue veineuse (18 cm). Mohamed, Somalien de quarante-huit ans à la peau d'ébène, visage émacié, longues dreadlocks noires et barbiche hirsute, a une longue queue noueuse et circoncise (24 cm). Ces vagabonds rongés par la frustration sexuelle scrutent avidement les affriolantes lycéennes, égarées dans leur glauque repaire, antre de leur débauche autofinancée.

Roxana et Cassandra, figées, sont des proies tentantes pour ce gang de prédateurs affamés qui avancent d'un pas déterminé vers elles. Leur cercle se referme autour des lycéennes. Sa surprise initiale surmontée, Cassandra est consumée de désir. La malice animant son regard et son sourire trahit sa frénésie. La téméraire Cassandra zieute Roxana, ses sourcils froncés et sa mâchoire serrée, émoustillée malgré les apparences. Elle décide d'attiser les braises ardentes sur lesquelles tâtonne sa farouche amie afin qu'elle libère ses pulsions refoulées. Cette allumeuse provoque l'étincelle qui déclenche les hostilités quand, empreinte d'une colère feinte, sa voix suave et chuintante rompt le silence.

« Vous avez de sales gueules, les gars! On s'est ruinées pour se faire baiser par des beaux gosses! On mérite pas mieux? »

Elle ouvre son sac en bandoulière et le jette d'un geste théâtral. Des billets volètent et tapissent le sol. Cette comédienne née simule la colère.

« Dix mille euros pour vous! On les a empruntés à un maquereau! On va devoir faire le trottoir pour le rembourser! »

Cassandra, fille unique d'un banquier d'affaires et d'une avocate d'affaires, a pioché dans son argent de poche mais les bêtes fauves croient à son cinéma et, s'estimant offensés par cette gamine, se ruent à l'assaut. Acculées, Roxana et Cassandra ne peuvent plus reculer et sont condamnées à être enculées. Roxana, subjuguée par la témérité de son amie et enthousiasmée par cette charge conquérante, renchérit de sa voix grave et éraillée.

« Vous savez vous servir de vos queues, au moins? »

Les joues des insolentes adolescentes sont zébrées par des gifles cinglantes. Cassandra et Roxana, à qui son turban est enlevé, sont submergées et dépouillées de leurs blazers. Leurs gros tétons pointent ostensiblement sous le tissu de leurs chemises. Leurs boutons sont arrachés, confirmant l'indécent oubli de leurs soutiens-gorge. Elles sont débarrassées de leurs jupettes, dévoilant aussi l'absence de culottes de ces jeunes aguicheuses que les mâles imaginent bientôt obligées de faire le tapin pour des crève-la-dalle. Leurs pubis soigneusement entretenus ne sont pas glabres mais leurs culs (taille 34/36 pour Cassandra, taille 38 pour Roxana) attirent davantage l'attention des mâles. Leurs mocassins éloignés et leurs bas déchirés, leurs corps dénudés sont maintenant exposés aux regards inquisiteurs.

La naïade Cassandra à la voix onctueuse irradie de sensualité innée. Les mâles admirent son visage envoûtant, sa silhouette athlétique aussi fine que ferme, sa cambrure et son galbe irréprochables, ses gros seins en pomme d'une rondeur parfaite. sa toison taillée en foisonnant cœur blond miel, soyeux buisson à butiner, et sa vulve charnue et lisse. L'exceptionnelle beauté de son corps élancé s'avère sans égale. Jürgen la complimente de sa voix nasillarde.

« Tu f'rais une bonne pute de luxe, la blondasse! »

L'amazone Roxana à la voix râpeuse déborde de virile féminité. Les mâles contemplent son crâne tondu, ses yeux bridés, son nez busqué, sa silhouette à la fois musculeuse et plantureuse, ses lourds seins en cloche, sa toison taillée en touffu triangle noir, rêche forêt noire à brouter, et sa chatte dodue et lisse. L'attrait bestial exercé par son corps hors normes est ahurissant. Jürgen lui décoche pourtant une flèche empoisonnée.

« T'as une gueule de morue! Tu s'ras mise à l'abattage sur les chantiers pour que dalle! »

Roxana, invisible dans l'ombre de la magnifique Cassandra sans cesse draguée, reste hermétique à la brimade de ce minable mais elle est contrariée quand Bianka la toise et, de sa voix suave, s'exclame sur un ton acerbe.

« Messieurs, aussi moche soit-elle, vous serez à l'aise dans son gros cul! »

Cassandra, volontiers narcissique, l'accable dans la foulée pour mieux se valoriser.

« Messieurs, oubliez cette moins-que-rien et matez le mannequin! »

Roxana, agacée par cette tempête d'injures et frustrée d'être traitée comme un faire-valoir, s'apprête à répliquer quand les mâles survoltés se lancent dans la dépravation effrénée des lycéennes. Douze queues se frottent contre leurs croupes. Vingt-trois mains calleuses aux ongles crasseux palpent leurs seins, leurs chattes, leurs culs et leurs cuisses. Leurs peaux frémissent, égratignées par la pointe aiguisée du crochet d'Igor. Leurs tétons durcis sont pincés, léchés, aspirés, mordillés et tordus. Leurs chattes sont tripotées, leurs clitoris triturés et leurs vagins doigtés. Les narines des adolescentes embaumées d'un parfum fruité sont agressées par les haleines fétides et les émanations pestilentielles se dégageant de ces ivrognes répugnants. Roxana et Cassandra s'embrasent pourtant comme jamais auparavant. Leurs corps frissonnent, leurs cœurs palpitent, leurs lèvres tremblent et leurs respirations sont saccadées. Elles soupirent et gémissent sous les viriles caresses. Leurs langues se hasardent dans des bouches édentées et sur des chicots jaunis et pourris, enlacent les rugueuses langues mâles et le tronçon de langue de Vlad. Leurs mains astiquent les chibres et tâtent les bourses remplies. Leurs langues titillent, et leurs dents d'une blancheur immaculée mordillent, les tétons des mâles. Cassandra effleure du bout de ses ongles la peau craquelée de Dragan et s'accapare sa queue, ultime vestige de chair qui y subsiste. Cassandra agrippe la chevelure grasse du manchot Igor, puis la queue de cheval du borgne Lothar, et embrasse voracement ces deux mutilés.

Roxana, son gros cul malaxé et ses mamelles pétries, empoigne l'épaisse tignasse d'Attila et les dreadlocks de Mohamed, mordille leurs lèvres et les embrasse goulûment. Heinrich, dont le dernier coït remonte à une époque où les adolescentes n'étaient même pas nées. dévore si gloutonnement sa moite forêt noire que sa barbe est luisante de mouille. Igor insère la pointe de son crochet dans son anus. Elle darde sur lui un regard foudroyant mais ce dégénéré, une expression démente sur son visage, ordonne d'une voix gutturale marquée d'un fort accent slave.

« À genoux, salope! »

Roxana et Cassandra, agenouillées pour le blowbang, sont cernées par douze queues bandées aux couilles remplies de jus. Les fantasmes obnubilant ces lesbiennes se matérialisent et, affamées de grosses queues, elles se jettent sur le festin composé de saucisses juteuses. Leurs langues lèchent les glands et leurs bouches pompent les queues pendant que leurs mains les branlent. Roxana ébahit les mâles quand leurs dards traversent sa langue bifide dont les deux portions fendues enlacent les glands. Le minois de Cassandra est couvert par cinq glands posés dessus simultanément, puis la titanesque queue d'Igor masque tout son visage. Roxana taille une pipe, chacune de ses paupières aveuglée par un gland posé dessus, puis elle lustre avec ses épais biceps les queues couronnant son crâne lisse.

Les orgueilleuses adolescentes rivent leurs regards sur les mâles qui, s'estimant défiés, raclent leurs gorges et crachent d'immondes mollards sur leurs frimousses. Les mâles distribuent aux lycéennes des volées de gifles et de bifles et déforment leurs joues avec leurs glands turgescents. Les lycéennes prennent en étau les queues entre leurs seins et prodiguent de sensationnelles branlettes espagnoles, léchant à l'occasion les glands. Certaines tiges sont portées disparues entre les imposants melons de Roxana. Les mâles baisent leurs aisselles, leurs bites effectuant des va-et-vient entre leurs bras et leurs bustes. Ces jeunes salopes transies crachent sur les glands qu'elles tètent, massent les bourses poilues et s'empiffrent de queues humectées dans ce gargantuesque buffet à volonté. Les mâles pelotent leurs poitrines, claquent leurs culs et doigtent leurs chattes trempées. La facétieuse Cassandra joue avec la caméra de Bianka et, sa bouche pleine, lui adresse un clin d'oeil taquin puis lève ses deux pouces en signe de satisfaction. Roxana et Cassandra, duo fusionnel, agissent en symbiose, leurs poitrines collées l'une contre l'autre, les queues coulissant entre leurs lèvres collées. Elles honorent les mâles à tour de rôle, la lèche-couilles Cassandra gobant leurs bourses et la bouche à pipe Roxana pompant leurs queues.

Cassandra et Roxana démontrent leur extraordinaire maîtrise de la gorge profonde. Elles absorbent les tiges de chair parcourues de secousses de plaisir et aplatissent leurs nez contre les bas-ventres et les toisons écoeurantes des mâles. Cassandra les fascine quand le bout de sa langue s'insinue hors de sa bouche pleine pour continuer à lécher leurs couilles et quand elle avale en même temps la queue et les bourses de Jürgen. Cramponnée à leurs fesses, elle achève de les ensorceler en ingurgitant à la suite les trois colossales matraques d'Attila, de Mohamed et d'Igor. Elle masse fièrement sa gorge qui se gonfle lors de ces intrusions massives et réitérées, et semble sur le point d'être transpercée.

Roxana peine en revanche à l'imiter et échoue sur le mastodonte d'Igor. Cassandra, son visage déformé par une expression rageuse et ses muscles fuselés bandés, embroche sans pitié la tête de son amie et fulmine.

« Bouffe sa bite, connasse! »

Igor enserre la nuque de Roxana avec son crochet et accentue encore la pression jusqu'à ce que sa queue soit entièrement engloutie. Cassandra tapote le crâne tondu de son amie et glousse avant de relâcher son étreinte alors que Roxana est au bord de l'évanouissement. Alors que la jeune métisse aspire de grandes goulées d'air, l'espiègle Cassandra mordille le lobe de son oreille puis lui susurre.

« T'es une bonne salope, Roxy. »

RoxanaS
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