Nouvelle demeure 01

BÊTA PUBLIQUE

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Une paire d'heures plus tard, nous avions vidé le deuxième pichet de boisson Anne se leva soudainement et intervint :

-Ecoutez les amis, on se comporte comme des idiots... Roy et moi, nous ne portons jamais de maillot de bain chez nous! .... On se met entièrement nus! .... Cela vous gênerait-il qu'on enlève nos maillots? ....

Avant même que je dise un mot Dave rétorqua :

-C'est une excellente idée! .... Puis il se tourna vers moi et ajouta :

-Allez ma chérie, enlève cette chose qui est si provocante sur toi! .... Elle ne couvre rien du tout en réalité! .... Allez n'hésite pas! ....

Je suis sure que c'était l'effet des boissons parce que justement je ne suis pas ce genre de personne qui agit sur un coup de tête, et pourtant, je ne sais pas pourquoi, lorsque Roy se leva et ôta son étroit maillot de bain exposant son incroyable bite au soleil je restais captivée par cette vue qui m'aurait profondément effarouchée et fait fuir en temps normal.

Puis il avança vers moi et dénoua les bretelles de mon maillot et le roula sur mes hanches me demandant de l'enjamber tandis qu'Anne enlevait le short de Dave exposant sa bite de taille moyenne mais totalement dé-ployée.

Je regardais avec stupéfaction Anne sourire et poser la main sur sa bite en disant :

-Fichtre, quelle belle pièce! .... En fait t'es une sacré veinarde Donna! ...... Comme tu l'as certainement remarqué celle de Roy est encore plus longue et plus épaisse! ...

C'est justement ce que je constatais, mes yeux étaient rivés sur sa grosse mentule. J'étais incapable de détourner les yeux de cette bite qui vibrait et grossissait encore sous mes yeux ébahis.

C'est alors que Roy m'empoigna et me projeta dans la piscine, plongeant dans mon dos.

Nous luttions bientôt dans l'eau alors que Dave et Anne s'étaient assis sur le bord et discutaient ensemble sans se soucier de nous.

Les mains de Roy se baladaient sur tout mon corps alors que nous jouions, il se permit même de poser ma main sur sa grosse bitte déployée, je ne sais pas encore pourquoi, mais je ne parvenais pas l'en ôter.

Je savais que c'était mal, que c'était extrêmement gênant, mais Jésus que c'était bon! .....

Elle était si longue, si épaisse, si bandée, en un mot si mâle...

Je ne sais pas comment cela arriva, mais bientôt je me serrais contre le rebord de la piscine alors que sa bite frottait contre ma fentine, mes jambes s'ouvrirent et sa bite s'enfourna dans ma chatoune sans aucun effort.

J'étais certaine que ce serait douloureux, mais il me pénétra extrême lentement, gentiment et nos yeux rivés l'un à l'autre je ne m'étais jamais sentie aussi comblée.

Lorsque Roy fit coulisser son organe démesuré dans et hors de ma cha-toune, ce qui me rendit tout de suite folle d'excitation, je jetais un coup d'œil sur Dave et vit qu'en compagnie d'Anne ils nous ignoraient totale-ment.

Je ne sais pas pourquoi je me livrais à Roy, je ne sais pas non plus pourquoi je n'avais pas le réflexe de lui dire d'arrêter.

L'idée que Dave puisse tourner la tête et se rendre compte que je me faisais baiser par Roy dans la piscine à quelques pas de lui me terrifiait! .....

Roy me murmura à l'oreille :

-Ne te tracasse pas pour Dave, regarde les bien! ....

Je regardais alors avec plus d'attention Dave et Anne, et remarquais bien vite qu'elle lui caressait la face interne des cuisses.

J'étais extrêmement gênée lorsqu'elle se leva soudain repoussant du pied son transat pour se jeter à ses genoux et emboucher séance te-nante sa bite! ....

Je ne savais quoi ressentir. J'étais soulagée, il ne pouvait plus se mon-trer jaloux désormais! ....

J'étais extrêmement surprise de constater que les observer faire pouvait être aussi excitant et j'aimais sentir la grosse bite de Roy coulisser aisé-ment dans ma chatoune accueillante.

Roy comprit que j'allais crier mon plaisir, il posa ses lèvres sur les mien-nes et me roula une pelle enflammée.

Je savais que c'était mal.

Nous n'étions pas un couple échangiste ou quelque soit la façon d'appe-ler ces gens.

Nous étions mariés et heureux de l'être, on se comportait toujours en jeunes mariés en fait.

Je n'avais jamais entretenu l'idée d'avoir des rapports sexuels avec un autre que mon mari, et il en était de même pour lui, j'en étais sure.

Je ne parvenais plus à réfléchir, je me contentais de vivre les événe-ments, c'était bien trop pour moi.

Avoir enfilé ce minuscule bikini si provoquant après m'être fait raser la chatte par une femme, avoir participa à des conversations hautement érotiques alors qu'on se relaxait au bord de la piscine, avoir tant bu de cette délicieuse boisson que je savourais tant, tout cela c'était trop.

Je criais dans la bouche de Roy en jouissant, rebondissant d'orgasme en orgasme.

Jamais je n'avais ressenti d'orgasmes multiples auparavant et je n'étais plus qu'une chiffe molle lorsque je sentis Roy éjaculer au fin fond de ma chatoune en me martelant de deux ou trois violents coups de boutoir.

Une fois qu'il eut joui en moi, il resta imbriqué dans ma cramouille et nous roulâmes sur le flanc pour mieux observer Dave et Anne.

Dave était visiblement sur le point de jouir dans la bouche d'Anne, elle paraissait impatiente de savourer son sperme.

Dave se raidit, grogna sourdement et je vis les joues d'Anne se gonfler sous la pression du foutre qu'il lui projetait à flots dans la bouche, puis je la vis avaler la chaude potion avec des mines gourmandes.

J'aurais du être furieuse mais à ma grande stupéfaction ce spectacle m'excitait follement.

Je sentis mes muscles vaginaux se crisper sur la bite de Roy la serrant comme dans un étau, en réponse sa bite prit encore plus de volume.

Nous regardions maintenant Anne se faire brouter par Dave, bien vite elle enchaîna les orgasmes.

Ils devaient s'être rendus compte qu'on les observait avec attention, mais ils agissaient comme s'ils étaient seuls au monde.

Roy entreprit de sortir de la piscine avec sa grosse bite bandée toujours imbriquée dans ma foufoune ultra-sensible.

Il me transporta sur une petite zone herbeuse où l'herbe était particuliè-rement grasse et accueillante et m'allongea la bite toujours enfoncée en moi.

Dès qu'il se mit à coulisser, je me retrouvais au septième ciel, je fermais les yeux savourant ces sensations enivrantes pendant plusieurs minutes, puis je sentis une main et une bouche s'emparer de chacun de mes nichons.

Je levais les yeux surprise sur Roy qui s'appuyait sur ses bras tendus, Anne et Dave s'occupaient chacun d'un de mes nibards.

Il y avait sûrement quelque chose d'autre que de l'alcool dans leur bois-son sinon je n'aurai jamais consenti à ce genre d'expérience.

En fait c'était la plus excitante situation qui m'était jamais advenue et j'aurai voulu que cela ne cesse jamais! .....

Je posais un bras autour du cou de Dave et l'autre autour de celui d'Anne et je les serrais tendrement tandis que Roy me faisait rebondir d'orgasme en orgasme.

Il se vida finalement en moi et tandis que je jouissais sous ses assauts, Dave me roula une pelle passionnée, je me sens incapable de rapporter les émois que je ressentais à cet instant.

L'amour, l'excitation, cette satisfaction des sens apaisés que je n'avais jamais autant ressenti qu'aujourd'hui.

Pour toutes ces raisons, je ne me sentais plus du tout gênée.

Finalement Roy se retira de ma foufoune et se dressa sur les genoux. Anne remplaça Dave et se mit à m'embrasser avec passion me disant qu'elle me trouvait follement excitante.

Puis elle guida mon visage vers la bite de son mari enduite de nos se-crétions.

Je ne saurai expliquer pourquoi je la laissais m'inviter à faire une chose aussi répugnante.

Non ce n'est pas exact, elle ne me faisait pas faire, elle me présentait cette opportunité et j'ouvris la bouche et absorbais la plus grande part de la mentule de Roy dans ma bouche.

Comme je suçais et léchais son chibre, Anne me caressait le visage d'une main et la bite et les couilles de son mari de l'autre.

Dave m'embrassait dans le cou et sur mes épaules mignotant mes té-tons si sensibles me répétant à quel point j'étais sexy.

La bite de Roy se déployait rapidement dans ma bouche, son pouvoir de récupération m'épatait, sans parler de la dimension démesurée que pre-nait son organe, lequel me semblait bien plus gros que lorsque je l'avais devant mon visage.

Ils me contrôlaient tous trois et bientôt l'énorme mentule de Roy pénétra de plus en, plus profondément dans ma bouche largement distendue.

Dave posa la main sur ma chatoune comblée et y glissa aisément plu-sieurs doigts alors qu'en même temps il m'écrasait le clito de son pouce.

Je réagis en absorbant encore plus de la monstruosité de Roy, je sentis alors la main d'Anne se poser sur la nuque m'invitant à avaler encore plus son gros chibre.

Je ne pansais pas que ce soit possible, en fait, je savais que c'était im-possible, mais brutalement mes mâchoires s'écartèrent à la limite de la rupture alors qu'il avait planté ses 25 centimètres de bite dans ma gorge, ses burnes tapant contre mon menton.

Le plus étonnant c'est que je ne paniquais pas.

Toutes les stimulations que je recevais me transformaient en une vérita-ble marionnette à cet instant.

Je reculais ma tête jusqu'à ne laisser que son gland dans ma bouche, puis je l'enfournais à nouveau jusqu'à la garde.

C'était de plus en, plus facile et j'étais très fière de mon exploit.

Je sentais sa bite vibrer dans ma gorge et je savais qu'il était sur le point de jouir dedans, mais il se recula, le gland à l'orée de mes lèvres et je travaillais de concert avec Anne pour le faire jouir de nos mains.

C'était le troisième orgasme que je procurais à Roy, lors de cette der-nière demi-heure et j'étais stupéfaite du volume de sperme qui m'emplit la bouche, suintant autour de sa grosse bite.

Il extirpa finalement son chibre de ma bouche et j'avalais avidement son foutre, c'était quelque chose que je n'avais jamais fait cela avec mon ma-ri.

Une fois que j'eus tout ingéré, Anne ramassa d'un doigt le foutre qui s'était étalé sur mon menton et me tendit son doigt à lécher.

Je le suçais docilement puis elle me poussa en avant pour cueillir les dernières gouttes de semence poissant la bite de Roy.

Puis elle me redressa et me roula une nouvelle pelle.

Je n'avais jamais, avant ce soir, embrassé de femme de cette façon, je n'avais jamais même imaginé que je le fasse un jour, pour quelque rai-son que ce soit j'en étais toute réjouie, j'appréciais tout de cette soirée.

Roy se releva et nous invita à faire de même. Nous avons rejoint lente-ment nos sièges pour siroter un nouveau verre de leur délicieux cocktail.

Je ne saurai pas expliquer pourquoi nous étions maintenant capables de nous asseoir en cercle entièrement nus, et de discuter tranquillement entre nous, de rire et de plaisanter sans être autrement gêné.

Je n'avais plus un seul brin de contrôle de moi maintenant, ni le moindre sentiment de culpabilité d'avoir baisé avec Roy, pas plus que de jalousie d'avoir vu Dave et Anne s'aimer avidement.

En fin après-midi j'ai été frappée de voir que Dave suivait les avis de Roy et Anne, tout comme moi d'ailleurs.

Nous semblions faire tout ce qu'ils souhaitaient, que ce soit quelque chose que nous aurions fait normalement ou pas.

Roy me posséda deux fois encore tandis que Dave faisait cuire les steaks.

Chaque fois c'était aussi délicieux que la première fois.

Et chaque fois, au moment de conclure Anne et Dave nous rejoignirent pour jouir avec nous.

Un moment donné, alors qu'Anne était étendue à coté de moi me tenant la main et que Dave lui faisait l'amour, Roy me rendit encore folle de plaisir en me ramonant une fois de plus avec sa grosse bite.

Chaque fois qu'il me prenait, il me présentait sa bite à nettoyer avec ma bouche et mes lèvres, ce que je faisais sans aucune hésitation.

Je remarquais qu'une fois que Dave avait fait l'amour à Anne elle lui de-mandait de nettoyer sa fentine avec sa langue.

C'était encore une chose dont Dave ne m'avait jamais fait profiter!

Un peu avant 17 heures Roy suggéra à Dave de faire cuire les steaks, il s'empressa de se lever et d'allumer le grill.

Anne me suggéra de mettre la table, je rentrais dans la maison pour aller chercher des assiettes les couverts que je disposais obligeamment sur la table selon ses vœux.

Puis je posais les salades et dix minutes plus tard nous nous régalions de concert.

Je remarquais que tout me semblait bien meilleur en cette fin d'après-midi.

La baise était bien meilleure, la nourriture était bien meilleure, la boisson était délicieuse, je semblais profondément amoureuse de nos nouveaux voisins que nous rencontrions pour seulement la seconde fois, je me dé-brouillais pour tout faire pour leur plaire!

Je suppose que c'est pour cela que je ne refusais pas lorsque Anne me repoussa à nouveau sur la pelouse m'allongeant sur un coussin avant de s'étendre sur moi.

Nous nous roulions des pelles fiévreuses en se pelotant, je participais avec joie à cette séance de gouinage.

Je lui refaisais toutes les choses délicieuses qu'elle me prodiguait.

Alors que nous faisions l'amour, je vis du coin de l'œil que les hommes se tenaient à nos cotés, leurs bites se déployant à nouveau alors qu'Anne s'embrasait, pour la première fois je goûtais au jus d'une autre femme.

Je ne peux pas expliquer pourquoi, mais je me sentais obligée de lui complaire, aussi lui suçais-je avec avidité la foufoune, j'adorais ça!

Nous avons joui à plusieurs reprises avant que Roy nous sépare, me fai-sant mettre à genoux pour me prendre par derrière.

Tandis que Roy baisait à nouveau ma chatoune accueillante, Dave se pencha sur moi et j'enfournais avec facilité ses 18 cm de bite au fond de ma gorge, il semblait que chaque fois que je pensais que les choses ne pouvaient pas être plus excitantes, Roy et Anne me démontraient que j'avais tort.

Dave jouit rapidement dans ma bouche et j'avalais sa semence pour la première fois!

Il s'affaissa alors et regarda Roy me remettre sur les genoux et m'attirer étroitement contre son torse, malaxant mes nichons tout en me baisant avec vigueur.

Il jouit à son tour et, sans même qu'on me le dise, je pivotais et engloutis sa bite mollissante dans ma bouche impatiente que j'étais de savourer ses flots de jute grasse.

Il me tapota la tête, comme on le fait avec un jeune chiot, me répétant que j'étais vraiment une bonne tailleuse de pipe.

Tout au fond de mon esprit l'idée que j'aurai du refuser ces assauts lu-briques persistait, mais je n'en tenais aucun compte, captivée par les compliments de Roy.

Puis survint la chose la plus surprenante de toute cette nuit, lorsque j'eus terminé de nettoyer sa queue et ses burnes, il m'ordonna de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand.

J'obéis séance tenante, et je vis avec stupeur Anne guider Dave entre mes cuisses, fourrer son visage tout contre ma chatte engorgée de fou-tre.

J'écarquillais mes yeux comme des soucoupes alors que sans aucune hésitation Dave lapait voracement le foutre que Roy avait largué dans ma foufoune.

Tandis qu'il me butinait le gazon, Roy se pencha au-dessus de ma tête et suggéra que ce serait encore meilleur si je lui nettoyais le trou du cul.

J'obtempérais.

J'eus bientôt un nouvel orgasme sous les caresses de la langue de Dave qui me bouffait avidement le minou.

Nous nous sommes alors relevés tous les quatre et nous avons regagné le patio.

Anne me suggéra alors de nettoyer la table, ils s'assirent tous me regar-dant obéir sans même me poser de questions.

Lorsque j'eus nettoyé la cuisine et le patio je les rejoignis et vidais un nouveau verre de leur potion.

Nous étions assis tous 4 entièrement nus et décontractés au tour de la table, Roy et Anne menaient la conversation clamant qu'on avait tous 4 pris un plaisir extrême ensembles. Tout nous semblait normal.

Ils nous dirent qu'ils retournaient chez, il se faisait tard, ils nous souhaitè-rent une bonne nuit nous avisant qu'ils avaient organisé une journée d'enfer pour le lendemain.

Nous avons accepté leur décision sans moufter. Nous nous sommes roulés des pelles, je veux dire nous leur avons roulé des pelles en les quittant.

Puis nous sommes allés au lit nous lovant l'un contre l'autre.

Je ne me rappelle pas m'être jamais endormi aussi vite.

Nous nous sommes réveillés tôt au petit matin ce que nous ne faisions jamais le dimanche et nous avons pris une douche ensemble.

Nous n'avions aucun remords en ce qui concerne les événements de la veille.

Nous nous sourions l'un l'autre, nous embrassions, nous caressions, nous n'éprouvions aucun repentir, juste un profond amour.

10 février 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

J'aime beaucoup cette idée de "drogue" qui facilite tout !

Rudy

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