Ninon Éponge Les Dettes - Partie 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Toi, vas la nettoyer maintenant, avec ta langue dis t'il en regardant Romain. A quatres pattes aussi!

Romain marcha comme demandé jusqu'à Ninon

- Je suis désolé, on ira voir les flics, c'est des malades tes potes.

- On ne pourra pas, les parties étaient clandestines... Maintenant, écartes les jambes s'il te plait, qu'on en finisse.

Avec dégout, il lécha les cuisses trempées puis remonta jusque à sa chatte, malgré elle, Ninon s'étendit de tout son long pour profiter de cette douce caresses appuyée des rayons du soleil.

- Mais c'est que çà l'excite de nouveau de lécher la pisse! Et elle aussi en profite! intervint Théo.

Voyant que Romain était à la limite de vomir, il amena une canette de bière, et la lui tendit.

Romain avala quelques gorgées.

- Non non, tu va la vider dans son ventre et ensuite tu te raffraichira le gosier!

Romain ne bougeant pas, Théo attrapa de nouveau la canette qu'il enfonçà sans ménagement dans l'abricot de Ninon.

Le froid lui donna mal au ventre mais les va et vient de la bouteille en verre l'excitait en même temps, sans compter sur le doigt de son tourmenteur qui tournoyait sur son bouton. Théo avait beaucoup d'expérience, il posa sa main juste à temps sur la bouche de sa victime pour éviter qu'elle ne crie sa jouissance à tout le quartier et aux passants qui n'étaient qu'à quelques mètres. Et tout en poussant la tête de Romain il leur dit :

- Eh bien voilà, ta vraie nature! Maintenant mon pote, tu peux boire une nouvelle cuvée, bière au jus de moule. Santé!

Ninon se sentait vidée, au propre comme au figuré. Cette humiliation, à moitié nue, en extérieur, devant quatres hommes dont trois qu'elle ne connaissait pas le matin même, lui provoquait autant de honte que de plaisir non maitrisé. Mais la honte l'emportait ; jamais elle n'oserait revenir dans cette ville de peur de croiser les regards. Jamais elle ne pourrait à nouveau regarder Romain de la même manière, comment allaient ils pouvoir continuer leur relation après çà.

Le soleil, l'alcool, les émotions, avaient eut raison de la belle Ninon. Elle s'était assoupi après son orgasme. Combien de temps? Elle l'ignorait. En ouvrant les yeux, elle était toujours sur la terrasse, elle aperçut Romain, toujours nu, assis à côté des trois gaillards, encore en train de boire.

- Ca y est, elle se réveille! Bien dormi ma poulette? lui demande Fred.

Reprenant ses esprits, elle se sentit contractée. Affolée de ne pas pouvoir bouger, elle pris conscience qu'elle était attachée. Son body était reboutonné, heureusement car elle était en fait allongée sur le dos, sur une table de jardin. Ses poignets, reliés ensemble au dessus de sa tête, accrochés à un pied du meuble ; les genou repliés, écartés, reliés par une corde à la structure de la tonelle. Bien qu'aucun de ses organes ne soient visibles, la posture était d'une sexualité jamais vue. Lorsqu'elle voulu répondre à Fred, rien ne fut audible. Un baillon rouge lui entravait la bouche, de la bave en abondance en débordait. Fred s'approcha d'elle.

- Maintenant que nous avons bien rigolé, nous allons prendre nos intérêts pour la semaine à venir. Profite bien.

Elle essaya de se débattre mais sans succès. Les liens étaient solides. Romain était pentelant, incapable d'agir. Les mains de Fred parcoururent le corps de Ninon, ses épaules, ses hanches, ses jambes, ses pieds, ses fesses, ses seins à travers le body. Lorsque sa main atteint son mont de Venus, elle apparue résignée, prêt à subir ses assauts. Mais les doigts ne firent que caresser l'entre cuisse et continuèrent leur chemin. Romain, réagissant enfin les menaça de ne pas les payer s'ils touchaient à sa copine.

- Ton temps est passé, ce n'est plus à toi que reviennent les décisions.

Fred sorti son couteau, Ninon, appeurée, s'agita de nouveau.

- Ne gigotes pas, je ne voudrais pas abimer un si beau bout de viande.

Le couteau glissa sous les bretelles du body et d'un coup les liens rompirent. Il prit ensuite une paire de ciseaux, déboutonna les pressions de l'entrejambe qui avait commencé à humecter le coton et remonta du pubis jusqu'à la gorge en découpant avec soin le vêtement. Au dernier coup de ciseaux, le tissu s'écarta, laissant place à une poitrine ferme, ,aux tétons érigés et à ce sexe galbre déjà observé dans la journée. Son corps était tremblant, la peau scintillante au soleil. Les caresses reprirent de plus belle sur la peau nue. La main de Fred s'agrippaient sur les cuisses encore collantes de bière. Pour y remédier, il sortit le tuyau d'arrosage et commença à asperger le corps sans défense. Au début, l'eau était limite brulante mais au fil des secondes, la fraicheur prit place. Le corps de Ninon était sublime avec les goutellettes brillantes. Fred insista alors sur son sexe, s'approchant de plus en plus près. Il réduisit un peu la pression et l'enfonca entre ses lèvres. Lorsque l'eau commença à jaillir, il stoppa le jet, cracha dans sa main, enduisi la rondelle de Ninon, enfonca le bout du tuyau dans son sillon et ralluma le jet. A vue d'oeil, son ventre gonfla. Pendant ce temps, il lui triturait les tétons, alternant ses sentiments entre douleurs au ventre, à l'anus et au seins.

- Je te conseille de tout bien garder tant que je ne t'autorise pas à te vider.

Il la détacha, puis lui passa un collier en cuir attaché à une laisse. Elle compris le message, se leva difficilement, les membres engourdis, le body se décolla de son dos et tomba au sol. Fred le ramassa, et essuya le corps de Ninon avec soin, puis lui fit signe de se mettre à quatre pattes et lui proposa une balade accompagné d'un coup de laisse sur les fesses. Incapable de répondre, toujours entravée par le baillon, elle avanca, contrainte de le suivre, mais avec difficulté, serrant les cuisses pour ne pas vider les litres d'eau forcés en elle. Ses seins et son ventre lui pesaient dans cette position, ses genoux étaient douloureux à cause des cordages. A quelques mètres du groupe de garçons, Fred mis la boucle de la laisse autour d'un poteau.

- Tu vois le petit portail là bas? Si tu ne tiens pas plus de deux minutes, je l'ouvre et te promène dehors, avec le monde qu'il y a aujourd'hui, tu vas avoir du succès!

Quand Jacky déclencha le chrono sur son téléphone, Ninon fut abbatue, réalisant que depuis le début, il filmait ou prenait des photos d'elle. Si ces photos venaient à fuiter, sa vie personnelle et professionnelle serait ruinée. Fred ne faisait rien pour l'aider, Théo l'avait rejoint et ils caressaient tous les deux, comme une chienne, le dos, la tête et les fesses de Ninon. S'attardant sur son anus douloureux et son clitoris tendu. Ces attouchements lui faisait craindre un relachement involontaire mais elle réussi à tenir jusqu'à ce que l'alarme du téléphone retentisse. Elle relacha tous ses muscles, oubliant sa fierté. Semblable à une fontaine, les deux jets simultanés ne s'arrétaient pas. Elle se sentait une nouvelle fois vidée de toutes ses forces, toujours en position et attachée au poteau alors que ses comparses retournaient à la piscine entrainant Romain, nu. Le jet stoppa enfin. Elle décrocha le collier et courru sur la terrasse, mais lorsqu'elle voulut enfiler son body, elle se rappela que celui ci était inutilisable. Fred accouru au même moment avec Théo. Ils rattachèrent Ninon à la table mais la libérèrent du baillon.

- Laissez nous maintenant, vous avez eu ce que vous voulez, non?

- Ne t'inquiéte pas, on ne te fera que du bien et après on vous laisse tranquille la semaine, répond Théo.

Romain, toujours bloqué dans la piscine ne pu que voir la grimace sur le visage de sa copine lorsque Fred inséra son sexe dans sa fente. Il n'avait même pas pris le soin de se protéger, culbutant Ninon qui offrait indécemment ces orifices.

- Depuis ce matin j'en rêve de ta chatte! Tu es vraiment étroite, un peu froide avec l'eau mais c'est du bonheur, profite, je ne suis pas sur que Théo et Jacky veuillent bien te fourrer le minou une fois que je l'aurais tapissé.

Abbatue, Ninon subit les aller retours endurants de son bourreau et après quelques minutes de ce traitement, Fred sentit le vagin l'enserrer et elle cria sa jouissance en même temps qu'il se vidait, les couilles plaquées contre son cul. Il fit le tour de la table, lui bascula la tête à l'envers. Forcée, elle ouvrit la bouche et il lui engouffra son chibre gluant au fond de la gorge. Ses testicules l'empêchaient de respirer par le nez et dans le même temps elle sentit sa chatte se refermer sur un nouveau membre moins épais. C'est Théo qui avait pris le relais, pour quelque secondes seulement. Elle s'affola lorsqu'elle sentit que le gland glissait un peu plus bas, entre ses deux lobes. Le sperme de Fred ayant bien lubrifié la bite de Théo, ce dernier ne prit pas de précautions et s'enfonçà d'un bloc dans l'anus encore vierge de toute sodomie masculine de Ninon. Elle pu enfin respirer alors que Fred se retirait, le sexe propre, mais c'était sans compter sur Jacky qui venait de prendre la place alors que Romain restait inerte à quelques mètres en retrait. Jacky était brutal, il utilisait la bouche offerte comme un masturbateur, s'enfonçant sans méanagement. Le visage recouvert de sécrétions, de salive, Ninon se sentit libérer lorsque son cul et sa bouche furent libérés simultanément. Elle n'eu pas le temps de comprendre ce qui se passait, Jacky la sodomisa et Théo pris la place dans sa bouche. Le sursaut de dégout en réalisant qu'elle léchait une bite fraichement sortie de ses intestins faillirent la faire vomir mais sa trachée était bloquée par l'engin. Finalement, sa bouche fut remplie abondemment et Jacky, après avoir envoyé une première salve dans son fondement, lui tapissa le ventre du reste. Perversement, le baillon avait été remis aussi vite que possible pour l'obliger à avaler le précieux liquide.

- A toi Romain, c'est ton jour de chance, tu vas lécher cette belle chatte gluante jusqu'à ce qu'elle brille et on vous laisse repartir pour aujourd'hui. J'espère que tu ne nous paiera pas trop vite, le week end prochain, j'en reprendrai bien pour un tour de ta salope.

Romain ne bougeait pas. Fred l'attrapa par le cou et lui frotta la tête contre la chatte de Ninon, le forçant à avaler ce mélange visqueux avec dégout. Il bandait à nouveau en posant sa langue entre les fesses poisseuses, jamais il n'avait osé s'y aventurer, remarquant l'excitation, Fred lui ordonna :

- J'ai l'impression que tu n'as pas encore eu l'occasion de lui faire le cul. Et bien vas y, c'est mon cadeau.

"Heureux" de pouvoir arrêter de bouffer du sperme, Romain se redressa et glissa facilement son sexe dans ce conduit élargi par les deux pénétrations précédentes. Il ne lui fallut que quelques secondes pour y décharger.

Fred revint avec leur fringues, Ninon fut détachées, le baillon retiré.

- Rhabillez vous et cassez vous maintenant. Rendez vous samedi prochain si vous n'avez pas le fric.

Ninon enfila sa robe, le reste ne lui ayant pas été rendu et détala par le petit portail avec Romain. Elle sentait le sperme lui glisser le long des fesses jusqu'aux cuisses, mais ce n'était plus qu'un détail.

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Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Vraiment bien. Moi aussi je vais attendre la suite.

Rudy

MoinaturelleMoinaturelleil y a plus de 2 ans

Très bon début vivement la suite

elkoelkoil y a plus de 2 ans

j'adore !! vivement la suite !

AurailiensAurailiensil y a plus de 2 ans

J'ai beaucoup aimé, au... weekend prochain !

trouchardtrouchardil y a plus de 2 ans

très bon début. Merci.

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