Mutinerie au Congo, Chapitre 04

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Elle n'a pas le temps de penser davantage. Le premier nègre s'est retiré, satisfait, et le second lui pousse gentiment le dos pour lui faire comprendre qu'elle doit maintenant se mettre à quatre pattes, ce qu'elle fait sans résistance. Elle entend encore des voix qui la traitent de salope blanche pendant que l'homme pousse sa bite dans son sexe assez excité pour offrir une entrée en douceur.

Véronique s'imagine que l'homme qu'elle aime est là, tenu en respect par des motards, pendant que toute la bande est en train de lui passer dessus. Ça, ça l'excite beaucoup, et elle se met à haleter et à gémir d'un plaisir croissant pendant que le soldat, gourdin solide, est en train de la monter comme un étalon africain. Les hommes sifflent, applaudissent et en redemandent.

Elle les entend et fait semblant que ce sont tous les autres motards qui la sifflent en attendant leur tour. Toutes les fibres de son vagin sont en feu; elle ressent tout. La bite congolaise l'emplit d'un plaisir surréel, qui prend soudainement le pas sur la douleur de ses meurtrissures.

Véronique est toute haletante! L'homme la prend en levrette avec un rythme et des grognements qui vont s'intensifiant, puis tout à coup... Véronique le voit. C'est LUI! LUI! Elle l'avait complètement oublié, mais il est bel et bien là.

Le capitaine-commandant Gilles LeBlanc, l'homme dans la quarantaine sur qui elle fantasme comme une vraie petite folle! Et il la voit! Il la regarde en train de se faire défoncer par un nègre! Prise par derrière!

C'est trop! C'est trop!!! Des décharges électriques d'une intensité inédite lui parcourent le corps d'un grand feu roulant. Véronique crie et ne comprend même pas ce qui lui arrive. Où est-elle? Mais où est-elle?

Elle est à genoux avec un homme qui lui tient la taille et la prend en levrette; elle sent ses fesses qui donnent puissamment contre cet homme anonyme dans un concert de collisions répétées. L'homme pousse soudain de grands cris de victoire...

« Aahh oui! OUI! OUI! OUI... AAAHHH... La petite lycéenne! On la viole! Ahhrrr! La petite lycéenn NNNNNNNNNNNNNNNNNN NNNNNNNGFFHDrr ooohh... »

C'est seulement alors, tandis que le nègre rugit de plaisir en lui envoyant toute sa sauce épaisse que Véronique se rend compte qu'elle vient de vivre son plus gros orgasme à vie.

Le commandant Gilles LeBlanc, qu'on escorte dehors de chez lui, s'est arrêté pour regarder le spectacle irréel qui s'offre à lui. De jeunes filles et épouses belges sont là, nues sous le ciel du soir, à danser ou à se faire violer au son des tam-tams.

Il les reconnaît... Armande Neveu, Louise O, la jeune Nadine, oh qu'elle est mignonne! Et plusieurs autres filles de l'âge de ses filles à lui. Mais aucun signe de Juliette. Le commandant éprouve un vif dégoût pour lui-même en se rendant compte qu'il est déçu de ne pas voir sa fille aînée, et qu'il aurait adoré la voir, toute nue elle aussi... Juliette... Mais non, c'est déjà bien assez qu'il ait commis inceste et adultère avec Anne sa plus jeune. Et le pire, c'est qu'Anne a aimé le sentir en lui; il ne pouvait pas ne pas s'en rendre compte.

Gilles LeBlanc sent qu'il a déjà envie de monter Anne encore, et il est certain qu'elle le laissera faire. Il tâche d'éloigner cette douce abomination de son esprit en assistant aux viols collectifs qui se déroulent en face de chez lui, sous les yeux ravis d'une nombreuse assemblée de mutins, qui boivent leur bière de banane, fument des cigarettes, et parfois chantent tandis que leurs musiciens s'activent à leurs tam-tams qui rythment cette soirée de viols et de règlement des comptes en souffrance coloniale.

Lucie est environnée de sept ou huit mutins qui la tiennent soulevée au-milieu d'eux et la violent à tour de rôle, debout entre ses belles petites jambes, tenues aux chevilles tandis que les seins de l'adolescente battent la mesure débridée du viol et font la joie grasse de ces lascars en goguette, qui s'amusent aussi à répandre de la bière de banane sur ses seins, histoire d'africaniser un peu sa jeune poitrine, si éclatante par sa blancheur taboue.

Isabelle est penchée en avant et subit un pilonnage en règle, avec son beau cul blanc bien à la vue. Pauline est allongée au sol, toujours aussi nue, et trois nègres l'embrassent et la caressent partout, des pieds à la tête. Ses cheveux noirs sont aspergés de bière de banane et parfumés au sperme congolais. On n'arrête pas de la traiter de petite salope confirmée et de fille à nègres. La jeune fille pleure et sanglote, tout excitée malgré elle.

Mais c'est surtout Véronique qui retient l'attention du commandant Gilles Leblanc. Véronique et son cul! Véronique et son magnifique corps d'adolescente, qui se fait sauter à quatre pattes, ses jambes et ses jolis pieds offerts à sa vue. Gilles Leblanc est étrangement heureux de voir Véronique nue en pareilles circonstances.

Tandis que le soldat achève l'accouplement avec la Belge aux cheveux noirs, Gilles Leblanc, dans son uniforme déchiré, dépouillé des insignes de son grade, interroge du regard le colonel Bobozo, chef de son escorte et devenu roi et maître absolu de Camp Hardy. Le colonel nègre hoche la tête.

Véronique sent tout son corps électrifié de chauds spasmes quand les mains de Gilles LeBlanc se posent sur ses fesses, qu'il caresse et parcourt avec délice. Le vif plaisir qu'elle ressent provoque une montée d'adrénaline et elle s'active.

Tout à coup, la jeune fille est debout sur ses genoux et fait face à Gilles LeBlanc, et elle l'embrasse avec fougue en se jetant dans ses bras.

« Prends-moi! Prends-moi, mon commandant! J'te veux comme une folle! » lui murmure la belle lycéenne tandis qu'elle couvre son visage de baisers et lui arrache littéralement ses lambeaux d'uniforme, embrassant la poitrine de Gilles à mesure qu'elle le dépouille.

Le colonel Bobozo trouve la scène très drôle et franchement divertissante. Ses hommes aussi; ils sifflent et en redemandent. Le colonel ordonne qu'on fasse sortir Anne LeBlanc, afin qu'elle puisse elle aussi danser nue au son des tam-tams et surtout, qu'elle puisse voir son papa chéri sauter une de ses amies du même âge qu'elle.

Quand Anne, nue, est emmenée dehors, elle se met à pleurer en voyant Lucie qui se fait violer au milieu d'une tournante congolaise, puis elle reste bouche bée, lèvres tremblantes de stupeur. Véronique est au sol avec un homme étendu, et elle est en train de lui sucer sa belle bite; cet homme, elle le connaît très bien. C'est son papa!

« Oh, la salope! » s'écrie Anne. Et tous les soldats qui l'entendent se mettent à rire; ceux qui l'ont vue faire l'amour avec son père rient à s'en taper les cuisses. Elle est jalouse! La petite noiraude est jalouse parce qu'une autre jeune est en train de faire l'amour avec son papa à elle!

« Voilà une belle histoire à raconter dans les journaux! » commente un caporal pendant que Véronique, qui a dressé le membre de Gilles droit comme un I, s'installe à califourchon sur lui, et dans ce moment sublime, Gilles admire la belle touffe noire de Véronique, puis il pousse un râle émerveillé quand elle se laisse descendre et que ses parois vaginales l'agrippent comme un gant doux, chaud et bien serré. Oh, que c'est bon!

Elle entame le coït et Gilles s'empare de ses merveilleux seins. Véronique gémit du plaisir de sentir en elle cet homme de quarante ans sur qui elle fantasmait en secret et avec toute l'intensité de son jeune âge.

Gilles admire les seins de Véronique qui battent la mesure du coït serré. Oh, que c'est bon de faire l'amour avec une jeune! Il saisit sa petite taille de fille bien, admire la beauté de ses cheveux d'Andalouse et les lueurs de femme fatale qui éclairent ses yeux de diseuse de bonne aventure.

Anne a elle aussi les cheveux noirs, mais là s'arrête toute comparaison. Ce sont deux filles très différentes. Gilles adore le vagin de Véronique et sent son érection prendre une envolée prodigieuse en contemplant sans cesse cette jeune paire de seins au son rythmé des tam-tams, ces seins qui se remuent de bas en haut, de haut en bas, secoués doucement par leur coït amoureux.

« Aaahh... Aaaaaaah... Gilles! Gilles! Aaaaahhh oui... OUI, OUI, OUI... OOOOHH C'EST BON!!! »

Véronique jouit comme une folle en dansant sur la bite de Gilles LeBlanc au son des tam-tams congolais. Elle oublie qu'elle est devenue une pute à nègres pendant qu'elle lâche une salve de gémissements aigus en sentant un nouveau roulement de décharges électriques parcourir son corps tout entier avec son sexe comme épicentre.

« GILLES! COMMENT PEUX-TU! COMMENT PEUX-TU!»

C'est Béatrice LeBlanc, qu'on vient de faire sortir pour qu'elle admire cette nouvelle infidélité de son cocu de mari.

Anne est non moins jalouse, mais elle est occupée : des soldats la tiennent pendant que le colonel Bobozo la passe au montoir.

Les seins d'Anne, fermes et jolis, sont magnifiques à regarder se faire secouer par le lourd coït imposé par le colonel nègre, qui la pilonne délicieusement tout en regardant Véronique danser à califourchon sur la bite du commandant blanc. La soirée est réussie sur toute la ligne! Après s'être farci Juliette, le colonel Bobozo profite de ses prérogatives et éjacule en Anne comme un puissant gorille alpha.

Anne n'a pas le choix; elle est la pute du régiment congolais. Les hommes encore valides, avec le gros adjudant joufflu en tête, font la file pour la violer à leur tour; d'autres aspergent ses seins de bière de banane pour les lui lécher; d'autres encore viennent embrasser ses pieds. La fille du commandant Gilles LeBlanc est goûtée et savourée sous toutes ses coutures. Ceux qui l'ont capturée en après-midi racontent avec plaisir comment ils l'ont déshabillée tandis qu'elle criait « maman! maman! maman! maman! maman! maman! » en hurlant. Quand tout sera fini, vers minuit, ils lui donneront de la guimauve grillée, la pauvre!

Béatrice voit et entend avec dégoût et mépris son mari qui lâche un gros postillon en l'air et pousse un râle de satisfaction quand il éjacule avec force et fureur en Véronique, qui savoure chaque goutte chaude de l'éruption massive. Pendant qu'elle reçoit cette éruption, l'adolescente se penche en avant et embrasse Gilles en l'enlaçant de ses bras épuisés.

« Je t'aime! Je t'aime! Je t'ai toujours aimé, mon commandant... » fait Véronique en l'embrassant, toute pantelante. « Je suis à toi, mon commandant. Tu pourras me refaire ça chaque fois que tu en auras envie! Quand on sera revenu à Bruxelles, je veux que tu me violes sur ton bureau! »

Béatrice est livide de rage. Le fait d'être agenouillée, nue comme sa fille, et soumise à un déluge d'opprobre n'est rien pour elle. Les soldats n'osent absolument pas affronter sa bouche. De toute façon, Anne LeBlanc est là tout près, bien docile à présent; la jeune fille pleure pendant qu'on lui donne à sucer.

Elle pleure parce que son père vient de la tromper. Les nègres se mettent en devoir de la consoler avec la chaleur de leurs bites qui se pressent autour d'elle. Le beau petit corps d'Anne va finir sous une épaisse couche de sperme congolais, au son des tam-tams. C'est le sort réservé aux plus belles Blanches de Camp Hardy en ce fatidique soir du 11 juillet 1960. Les années cinquante sont finies.

À SUIVRE

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 12 mois

'' Anne's beautiful little body is going to end up under a thick layer of Congolese sperm''

would have been far better story if you elaborated on this, more details please

HBuffHBuffil y a environ 1 anAuteur

Merci pour les bons commentaires! Le chapitre suivant est en phase de relecture.

LucasDehiLucasDehiil y a environ 1 an

Toujours aussi bien la suite !

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