Musique Peu Classique

Informations sur Récit
Une compositrice sadique. Attention connu violent
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La première fois que je l'ai vue, remontant de la classe du sous-sol avec les enfants, j'ai flashé sur elle comme rarement. Enroulée dans son châle, elle masquait à peine une poitrine lourde en accord avec un corps puissant, exhalant une assurance rare. Ses lunettes de myope lui donnaient des yeux magnifiques, j'étais sous le charme. Et jaloux quand elle discuta longuement avec un autre papa récupérant son fils. Elle avait une pause après le cours de mon enfant. Semaine après semaine, j'entamais un dialogue avec elle, cherchant à la séduire en m'intéressant à son métier de chanteuse, à ce qu'elle aimait, au disque sur lequel elle travaillait seule chez elle. Rien ne laissait entrevoir qu'elle était séduite, mais elle échangeait facilement, prit mon téléphone pour m'envoyer des musiques.

Je n'avais jamais trompé ma femme et n'en avait aucune intention, enfin je le pensais. Curieusement, au bout de quelques mois le charme s'est dissipé. Je la trouvais dure et froide, malgré sa gentillesse affichée avec les enfants, cassante même. En fait elle m'impressionnait et j'avais compris que c'était elle qui menait les choses à la baguette et que ma pauvre séduction n'avait aucun sens. Je ne dirais pas que j'avais peur d'elle, mais je n'en menais pas large devant elle, ce qui était à priori idiot. Le printemps arrivant, je devais quand même convenir que son physique était très attirant, sensuel, ferme, puissant. A l'image de ce qu'elle était.

Le dernier mercredi avant les vacances de Pâques, Elisabeth me proposa de passer la voir à Mantes la jolie, où elle habitait, puisque j'avais émis l'intérêt de découvrir le genre de musique sur lequel elle travaillait. Après qu'elle soit partie, je m'étais rendu compte que c'était moins une proposition qu'un ordre qu'elle m'intimait. Et j'avais dit oui, sans en avoir vraiment l'envie, cela aurait été trop difficile d'aller à l'encontre de sa demande. J'inventais, pour ma femme, une sortie avec un ami le samedi suivant pour la rejoindre, me sentant à la fois honteux, mais excité. Pour une fois que je me laissais aller, peut être allait-elle me sauter dessus et nous ferions l'amour pendant des heures? Ou alors elle était super premier degré et je devrais subir sa musique avant de pouvoir m'échapper. Evidemment cette deuxième hypothèse était la plus probable. Je m'étais quand même bien épilé et lavé, rasé de près, au cas où. Je me sentais comme un collégien pour sa première sortie.

A la descente du train, elle devait venir me chercher. J'avais laissé mon téléphone à la maison, ne voulant pas que ma femme me trace et voit que je n'étais pas à mon club de sport. Au bout d'une demi-heure, elle est enfin arrivée, alors que je me demandais pourquoi j'avais dit oui. Pour la première fois, je vis un grand sourire sur son visage, et elle m'invita à monter en me tutoyant. J'étais surpris par le luxe de sa voiture, m'attendant à une vieille épave. Concentrée sur la conduite, elle me parlait à peine. Nous sommes sortis de la ville pour nous retrouver dans la campagne, avant de suivre un chemin de terre amenant à une grande bâtisse cachée de la route. Un endroit magnifique, je ne pouvais croire qu'elle vivait ici et donnait des cours de musique en plein Paris!

- Bienvenu chez moi! Le manoir du solfège

- C'est vraiment magnifique, il est à toi?

- Oui, depuis peu, je te raconterai l'histoire, je suis certaine que cela va te passionner.

- Avec plaisir

- Pas si loin de Paris, le premier voisin à 3 kilomètres, personne qui ne passe jamais à proximité, c'est vraiment unique. Allez viens, on va rentrer. Oh si tu as un téléphone, cependant, le réseau est vraiment mauvais.

- Je ne l'ai pas pris, donc pas de souci.

- Oh vraiment? C'est intéressant. Personne ne sait que tu es ici alors!

- Mais si, toi? Je lui souriais en retour, prenant plaisir à la tutoyer et à la regarder dans sa robe à fleur très déboutonnée.

L'espace était l'impression qui dominait, en entrant dans la bâtisse. Peu de meubles, tout était parfaitement rangé, mélange de moderne et d'ancien, je trouvais qu'il y avait là beaucoup de goût. Et un silence unique. Hormis les oiseaux que j'écoutais avec ravissement. Elisabeth m'indiqua qu'elle travaillait dans le vaste sous-sol, où le bruit de la nature ne traversait pas l'isolation qu'elle avait faite mettre. Avant de me descendre visiter elle me proposa une limonade. Je trouvais cela mignon. Elle s'assit à côté de moi, me regardant en souriant, nos genoux se touchaient. J'hésitais à faire le premier geste, ce fut elle qui le fit. Posant son verre après l'avoir bu, elle se colla contre moi, approcha doucement sa bouche sensuelle en me regardant dans les yeux :

- Depuis le premier jour où je t'ai vu, j'ai eu envie de ce moment

Et elle m'embrassa profondément, sa langue prenant le contrôle de la mienne, dictant son rythme, ses mains sur mon pantalon pour masser mon sexe. Je ne résistait pas longtemps à la serrer, caresser son dos, puis, en me décalant, à découvrir sa poitrine nue sous sa robe. C'était un délice, un péché. Je regrettais si souvent la petite poitrine de ma femme, là j'étais plus que comblé. Elle était lourde, ferme, avec des tétons devenus vite très durs. Elle défit ses bretelles pour libérer le haut de son corps et me faire voir ses seins dans toute leur beauté. J'étais subjugué, ayant souvent fantasmé sur des photos de poitrine, celle-ci était sans conteste la plus belle que j'ai jamais vues. Et elle me l'offrait.

Sans que je réalise comment, je me retrouvais nu, tandis qu'elle avait gardé sa robe en bouchon autour de la taille. Mon sexe ne demandais qu'à exploser et Elisabeth vint pointer le bout de mon pénis sur l'entrée de son sexe qui semblait palpiter de désir. Elle m'enfourcha, s'empala de tout son corps, dans un soupir de satisfaction que je partageais. Sous mes yeux j'avais son corps et ses seins qui tressautait en rythme, soutenus par mes mains avides et ne se lassant pas de ce poids et de cette densité. J'étais au paradis. Elisabeth se pencha en avant pour m'embrasser longuement, ses mouvements était plus sporadiques, elle était un peu en sueur. Soudain, sans qu'elle ne bouge, j'ai senti des contractions dans son sexe, massant ma verge. N'y tenant plus j'ai joui en criant mon plaisir, j'ai joui comme je ne l'avais plus fait depuis longtemps.

Ce n'est qu'après que j'ai réalisé que nous n'avions pas de préservatif. Pour les MST je n'étais pas inquiet, j'espérais juste qu'elle prenait la pilule. Mais c'était trop tard. Elisabeth était couchée sur moi, reprenant des forces, me murmurant que j'étais tout à elle. Je devais avouer que, même si j'avais joui, je restais très excité et toujours aussi dur en elle. Mais KO par l'émotion générée.

- Viens ce n'était qu'un amuse-bouche, il est temps de passer aux choses sérieuses, je vais te faire découvrir mon antre!

Malgré mon immense fatigue, je me levais, nu, et lui donnait la main alors qu'elle me guidait vers l'escalier de la cave. Celle-ci faisait toute la surface de la maison. A la descente, je ne découvrais qu'une cave remplie de fruits et de bouteilles de vins, avant qu'Elisabeth ne dévoile une grande porte capitonnée ouvrant sur une immense pièce plongée dans le noir. Elle me fit entrer, voulant garder le suspense, referma la lourde porte derrière moi, et enfin ouvrit la lumière. Je m'attendais à un grand studio d'enregistrement, et d'une certaine façon je retrouvais la grande table de mixage, les micros et autres éléments électroniques, un violon posé avec son archet. Mais j'étais tellement titubant de fatigue, qu'il me fallut quelques minutes pour comprendre qu'il s'agissait de bien autre chose.

La pièce était peinte en noir avec un sol en béton ciré rouge. De chaque côté étaient fixées au sol de petites cages aux barreaux très épais. Au plafond pendaient des liens et des chaînes attachées à un treuil, des objets que j'aurais vus dans un musée de la torture, comme un pal, une croix de saint André, un sarcophage clouté, un cheval d'arçon ou une table gynéco. Il y avait de multiples objets partout et il ne fallait pas être un spécialiste pour savoir qu'ils n'avaient d'autre objectif que d'infliger la torture. Je regardais Elisabeth éberlué, qui gardait son sourire, à peine plus élargi, heureuse de ma réaction! Je ne comprenais rien, mais je savais que je n'avais rien à faire ici. Pourtant je ne bougeais pas. J'étais comme immobilisé, sans volonté.

J'ai paniqué quand j'ai réalisé que nous n'étions pas seuls, et même loin de là! Dans une des cages je découvris une jeune femme à 4 pattes, les mains et les pieds attachés aux coins de la cage, le dos collé à la partie supérieure et maintenue ainsi par une large sangle qui donnait l'impression de la couper en deux. Sa peau était blanche, ses seins pendaient, tirés par le bas par des liens noués d'un côté à des anneaux démesurés dans ses tétons, et de l'autre au sol de la cage. La jeune femme semblait souffrir de sa position, je distinguais un léger murmure de sa bouche entravée par un énorme bâillon en forme de pénis qui s'enfonçait dans sa gorge. Mon Dieu, où étais-je donc? Pourquoi je n'arrivais pas à réagir, ni même, en réalité, à être effrayé?

Elisabeth me prit par la main et je la suivi dans un coin de la salle pour découvrir deux autres personnes suppliciées qui nous regardaient à peine, ivre de souffrance. Normalement j'aurais été horrifie, et là j'étais presque excité. Pour dire vrai, mon pénis était à nouveau dur, et Elisabeth prenait plaisir à me caresser ainsi tandis qu'elle me détaillait ses deux proies torturées.

- Lui c'est Ré, la première note de ma collection. Après moi bien entendu, je suis Do avec un D majuscule. Il voulait tellement me séduire, il s'est donné corps et âme pour moi mais ne s'attendait sûrement pas à l'usage que j'allais faire de lui. Cela fait 8 mois qu'il est ici, souffrant pour moi sans relâche, doucement comme en ce moment, mais souvent bien plus vivement.

Doucement? 8 mois? Les questions s'entrechoquaient dans ma tête. L'homme, très musclé et très viril était attaché en croix face au sol. Néanmoins son corps faisait un arc vers le haut, ses couilles étant étirées au plafond et supportant sans doute une grande partie de son poids. J'en avais des frissons dans les miennes! La torture était tellement sadique. Son sexe érigé était étiré entre ses jambes vers ses pieds et son méat cloué à une planche de bois. Cloué! Un gros clou de charpentier, comme un papillon de collectionneur. Son corps, ou du moins le verso de son corps était couvert de crevasses faites sans doute par une lame de rasoir, le sang avait récemment beaucoup coulé. De son cul, émergeait un rondin de bois dont ma main ne ferait pas le tour, qui semblait le clouer au sol tout comme le clou de son sexe. C'était énorme, inhumain, son anus devait être détruit.

Il portait le même bâillon que celle dans la cage, Fa m'apprit Elisabeth, et des anneaux que je ne voyais pas qui étaient encore plus gros que ceux de Fa. Elisabeth me confirma que c'était une des positions de repos qu'il avait quand il n'était pas en cage. Comment était-ce possible? J'arrivais à lui demander, sans bien articuler il est vrai.

- Il absorbe chaque jour, comme Fa et La, la jeune suppliciée à côté de lui, un cocktail qu'a mis au point l'ancien propriétaire de cette maison. Je vais 'expliquer dans un moment. Ce sont des hormones, des excitants, des décontractant qui à la fois développent le désir sexuel, le désir d'offrande et la passivité, en supprimant toute velléité de se rebeller. C'est quelque chose de magique. Et cela se boit très bien dans la limonade, je suis certaine que tu n'as rien perçu et par contre tu dois bien sentir les effets, là, je me trompe?

Non elle ne se trompait pas. J'aurais du sombrer dans la terreur en écoutant son discours calme, mais au contraire, je lui souriais en hochant la tête.

- Fa c'est presque la même histoire, mais c'est moi qui suis venue la draguer dans un club lesbien de Paris. Un peu paumée elle est venue s'abandonner avec plaisir. Elle avait en elle un profond désir de soumission, aussi le choc n'a pas été aussi rude que pour Ré.

- Au contraire de La ici présente, qui nous a rejoint il y a 3 mois seulement. Une jeune fille de 20 ans, pleine d'énergie, de rêves, qui voulait découvrir la musique que je créais, comment je la créais, aussi j'ai décidé de l'inclure dans le quartet que je constitue.

- Tu devines? Non? Tu es le dernier élément de mon quartet, tu es maintenant Mi. Avec vous 4 et mon violon je vais créer un son unique, vrai, ontologique, comme personne ne l'a fait.

Je ne comprenais rien. Je regardais juste La avec concupiscence, le sexe prêt à exploser de nouveau. La était mince, avec une très petite poitrine, un grand cou, des cheveux bruns magnifiques. Le regard complètement explosé, le corps pendait du plafond, et avait été fraichement fouetté sur chaque centimètre carré de sa peau, et pas doucement, c'était magnifique sur ses seins, son pubis ou ses fesses. Ses tétons étaient là aussi lourdement annelés tout comme son clitoris où pendaient des poids incroyables. Ses jambes très écartées laissaient passer un pieu enfoncé dans son cul, la portant en partie et déformant même son ventre! Son sexe était totalement fermé par des fils de couture, et la jeune femme délirait de souffrance, non bâillonnée elle.

Elisabeth me demanda de mettre deux gants métalliques, recouverts de fines pointes sur toute la surface. Elle me demanda de caresser la jeune fille qui sursauta au premier contact. Je la caressai doucement, la faisant gémir, avant de la griffer plus profondément, m'excitant de sa souffrance, de son regard suppliant, je demandais à Elisabeth si je pouvais jouir. Avec un grand sourire, elle m'ordonna de me caresser avec les gants et de n'arrêter que quand je jouirai!

Je voulu résister, mais je me mis à caresser mon sexe dur comme jamais, le plus doucement possible, mais sans pouvoir ressentir une quelconque sensation. Je serrai plus fort, encore plus fort, me blessant profondément, ivre de souffrance et de plaisir, je jouis dans un mélange de sang et de sperme, et m'écroulait épuisé. Elle m'ordonna de lécher les taches par terre, et sans même réaliser, j'étais en train de lécher avidement le sol. Mon sexe était dans un piteux état, pourtant toujours aussi dur.

- Tu vois l'effet des excitants est puissant. Ré est dur comme cela depuis des jours. Il paraît que c'est atrocement douloureux, tu me diras. Tu es très obéissant, mais je n'en attendais pas moins de toi, je savais que tu étais faible. Finalement seule La est digne de respect dans son offrande.

- Personne ne sait que tu es ici, n'est-ce pas? Aussi tu ne repartiras pas, tu vas rester avec nous 4. Personne ne viendra te chercher ici, regarde pour Ré, Fa ou La personnes ne m'a même interrogée. Je n'existe pas dans leur vie passée, alors que je suis tout maintenant pour eux!

- Viens t'asseoir dans ce fauteuil de l'inquisition et je vais te raconter pourquoi et comment tu es là. Je sais qu'ainsi dans tes moments de conscience tu pourras y penser et nourrir ta terreur. Car parfois j'interromps le traitement, justement pour profiter de votre détresse absolue. Le traitement interrompu, les effets inverses sont décuplés, c'est tellement excitant alors de lire, la terreur, la rage, la souffrance extrême dans vos yeux. Mmmhhh j'en suis toute excitée à y repenser. Mais ce ne sera pas avant quelques semaines pour toi, tu viens juste de commencer le traitement. Tu te sens bien, n'est-ce pas? Tu as envie de m'obéir et de faire tout ce que je te demande?

- Oui Elisabeth.

- Tu n'as pas peur?

- Je, non, j'ai envie d'être avec toi

- Allez viens t'asseoir

La chaise ressemblait à un fauteuil club, mais chaque surface était hérissée de pointes longues d'une dizaine de centimètres, très impressionnantes. Au centre, le siège était découpé, comme un siège de toilette. Je n'avais pas eu le choix, je n'avais pas résisté et je m'étais assis sous l'injonction d'Elisabeth. La sensation avait été atroce dès la première seconde, ma peau avait été pressée de partout, j'avais eu mal aux fesses mais j'avais dû me mettre au fond, c'était déjà insupportable. Elle avait refermé sur mes jambes un sarcophage également hérissé de pointes, dont le volume était réglable par une molette. Sans hésiter, elle avait serré jusqu'à ce que mes hurlements soient stridents, et la satisfassent.

De même pour les bras et mes mains qui avaient été ainsi emprisonnés, avec des centaines de pointes appuyant indifféremment sur muscle, tendon ou os. Je n'avais pu ni voulu bouger, j'avais pleuré de souffrance, mais rien n'y avait fait. Ma tête elle-même avait été poussée sur l'arrière garni de pointes qui m'avaient contusionné le crâne, maintenue par un lacet autour du front, et un autre autour de la gorge rendant difficile ma respiration. Enfin, une ceinture avait pressé mon torse contre le dossier, transperçant mon dos des pointes présentes. C'était tout simplement atroce. Je n'avais pas pu bouger, et ainsi soulager les tensions, sachant que je perdais le fil de mes sources de douleur, et que je me sentais délirer. J'aurais avoué n'importe quoi pour échapper à la torture, mais Elisabeth n'attendait rien de tel de ma part.

Elle avait semblé très satisfaite et me l'avait dit, mes cris l'avaient ravie et elle avait eu hâte de passer aux premiers exercices de vocalise. Mais pour l'heure, elle avait souhaité me museler. Je découvrais la partie cachée des bâillons de Fa et Ré, un long sexe d'une vingtaine de centimètres, qu'elle avait lubrifié pour me l'enfoncer dans la gorge. J'avais obéi à sa demande et j'avais ouvert ma bouche. La sensation avait été étrange, j'avais eu envie de vomir, j'avais senti ma gorge se dilater, ma respiration coupée par l'objet inséré. Une fois enfoncé au maximum, par miracle, ma respiration avait repris. Un système de microalvéoles avait permis à l'air de passer. La sensation d'intromission avait été assez monstrueuse, j'avais eu des réflexes pour renvoyer l'intrus, sans succès puisqu'il avait été sécurisé autour de ma tête. Mes cris avaient été étouffés, mes hurlements à peine audibles. J'avais alors réalisé que les gémissements que j'entendais de Fa en arrivant, devaient en réalité être des hurlements en continu.

J'avais sursauté quand j'avais senti le froid sur mes parties génitales. Elisabeth m'avait enduit d'une crème qui sentait la menthe, et qui avait provoqué un froid sidéral sur mon sexe et mes couilles

Mon érection fit long feu et mes couilles se recroquevillèrent comme jamais. Elle en profita pour les enfourner sans ménagement dans un sac en cuir, trop petit, couvert d'aiguilles à l'intérieur, qui arrachèrent les croutes de mon pénis par suite de ma masturbation masochiste. Le sac était fermé par une fermeture éclair, les pointes pénétrant mes chairs intimes, mes couilles étaient lacérées, mon sexe percé de toute part. Du sang gouttait déjà au travers du cuir. Pourtant le pire était à venir. La crème cessant son effet, mon érection essaya de repartir, et tendit mon pénis, m'offrant encore de nouvelles souffrances. Elisabeth me regardait avec un profond plaisir, malaxa mon paquet pour créer un maximum de dégâts, sans que je puisse même bouger un cil, juste accepter la douleur intense qu'elle m'infligeait.

Je croyais en avoir fini, mais ce fut alors qu'elle m'expliqua le pourquoi du trou dans le fauteuil. Pas pour faire mes besoins, bien entendu. Elle sorti un objet en forme d'obus, noir, cranté, menaçant. Elle l'enduisit longuement de graisse avant de le positionner sous le fauteuil, tout contre mon cul. Malgré la mixture, je paniquais. Je n'avais jamais pris qu'un thermomètre par là et cet objet dont je ne pourrais faire le tour de ma main, ne pouvait, ne devait pas rentrer en moi!

Une fois bien positionné, Elisabeth prit une télécommande, et je senti une pression énorme sur mon sphincter. La pression était alternative, le gode redescendant un peu de sa position, avant de revenir à la charge, m'ouvrant petit à petit. Ou sans doute plus exactement me déchirant. Je hurlais en continu, en vain, l'objet rallongeait sa course progressivement créant une douleur inconnue en moi. Comme si j'avais été battu, et non le déchirement que je supposais. Le va et vient était lent, mes chairs s'ouvraient malgré elles et malgré moi. Je ne contrôlais en rien mes muscles, qui étaient inutiles pour bloquer la puissance de l'engin. Lassée Elisabeth laissa l'engin faire son chemin en moi et vint brancher deux électrodes au sac clouté qui martyrisait mes organes génitaux.

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