Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.
Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.
Cliquez iciJe veux crier contre eux, je veux leur dire qu'ils ne peuvent pas me laisser comme ça, attachées et impuissantes en attente des orgasmes qui vont se produire.
Mais les hommes rangent leurs affaires, s'habillent et s'en vont. Le dernier s'assure que le gode tienne bien avant de poser une pince à linge sur chacun de mes tétons durs et sensibles.
J'essaie de le supplier, mais je ne réussis qu'à lécher ma culotte imbibée de sperme. Bientôt je gémis à cause d'un orgasme et l'homme sort de la maison. Je gémis encore lorsque j'entends la porte se refermer derrière lui.
Maintenant, je sais que quand je veux baiser, j'ai besoin de plusieurs hommes et de leurs queues bien dures. J'ai perdu le compte du nombre de fois où j'ai joui avant que mon mari rentre à la maison. En parlant de lui, où est-il putain?
****
Je descends au salon, mais cette fois je ne la détache pas. Je préfère bien la baiser. Elle est attachée et bâillonnée avec sa petite culotte imbibée de sperme, donc elle ne peut rien dire.
Je retire alors le vibromasseur et je m'enfonce dans sa chatte pour la baiser rudement.
J'ai donc écrit les situations de ces derniers mois. Je ne sais pas si Monique est forcée ou si elle gère ça à son avantage. Et je ne sais pas si je le saurais un jour. Mais j'ai toujours entendu dire que si tu ne sais pas comment combattre ton ennemi, il vaut mieux le rejoindre.
FIN.
Encore un récit bien "hard". Je vous ai renvoyer des messages en privé :)