Mon Aventure Ch. 03

Informations sur Récit
Sam est revenu avec son ami James.
2.6k mots
4.32
21.7k
2

Partie 3 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/23/2017
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Traduction d'un texte de RayStar.

Ce récit est une fiction qui mélange plusieurs genres. Vous y trouverez des relations non consenties, des relations interraciales, des relations incestueuses, de la soumission et dégradation féminine. Si vous pensez que cela puisse vous choquer, ne continuez pas.

**********

Les deux portes ouvertes, ma chambre et celle de ma fille m'intriguèrent. J'allai aux autres chambres et je les trouvai ouvertes aussi. Je me demandai si c'était dû à quelque chose que je n'avais pas remarqué ou si c'était nouveau.

Ma curiosité fut plus forte que moi. Alors je décidai de laisser les portes ouvertes. Dans la chambre à côté, Janvier était comme Avril, endormie sur ses couvertures. Elle était sur le côté et portait une chemise de nuit. Elle aurait pu être assez longue pour couvrir son sexe quand elle était debout, et même assise. Mais dans son lit elle était retroussée à sa taille. Son cul était face à la porte où je me trouvais et il y avait assez de lumière dans le couloir pour voir les lèvres de sa chatte. Elle avait l'air d'être rasée et je me demandai si elle l'était complétement.

Dans l'autre chambre, Septembre était sous les couvertures et lisait un magazine. Elle leva les yeux et sourit. Je lui souhaitai une bonne nuit et je lui dis que j'allais prendre un bain. Elle tira ses couvertures sur le côté et glissa hors du lit, nue. Elle vient vers moi et me donna un câlin et un bisou en me disant de bien profiter de mon bain. Etreinte par une fille nue me donna encore plus envie d'être avec une femme. Je voulus être de nouveau une esclave salope, être utilisée, être obligée de lécher des filles jusqu'à ce qu'elles soient satisfaites.

Je me retirai dans mon bain. Pendant près d'une heure, je me savonnai, je me lavai et je jouai avec ma chatte. J'aime jouer avec mon sexe. Personne ne peut me faire jouir comme moi je le peux. Et même quand quelqu'un me fait jouir, il faut que je me donne moi-même un autre orgasme. Ceux que j'ai d'autres personnes sont très différents de ceux que je me provoque. Ils ne sont pas mieux car à chaque fois je suis bien mais ils sont différents. J'ai beaucoup joué avec mon sexe depuis mon adolescence alors je suis devenue très bonne dans ce domaine.

Enfin étant satisfaite mentalement, émotionnellement et physiquement, je pris tout mon temps pour me sécher et je passais ma lotion préférée sur tout mon corps. Je revins dans la chambre à coucher et je m'arrêtai devant ma commode. Alors que j'allais prendre quelque chose pour me couvrir avant de me coucher, je pensai et je fus étonnée que tout le monde dans la maison soit nu. Je refermai le tiroir et je me glissai dans le lit.

Le lendemain, je me réveillai juste après 8 heures. La maison était vide. Je me promenai dans la maison en peignoir et en sirotant mon café. Puis je ramassai les vêtements qui trainaient un peu partout dans les chambres. Je trouvai des mots de ma famille qui me souhaitait une bonne journée en me disant où chacun était aujourd'hui. Après une deuxième tasse de café, je sautai dans la douche

Ce fut rapide après mon long bain du soir. Et en m'essuyant, je me demandai ce que j'allais porter. Tout d'un coup j'ai pensé à Sam et je me dis que je n'avais pas eu le temps d'en parler à Jack. Je ne savais pas si Sam se montrerait aujourd'hui et je ne savais pas si je pouvais ou voulais l'empêcher de m'utiliser comme il l'avait fait.

Je trouvai une jupe courte et je l'enfilai. Puis je pris une des chemises de jack et je fis un nœud

En passant devant le miroir, je remarquai que mes seins tressautaient alors je m'arrêtai pour me regarder. Mes mamelons sombres étaient clairement visibles sous la chemise mince sans manches. La jupe était noire et serrée, elle arrivait au milieu de mes cuisses.

Pour une fille plus grande comme Septembre, elle couvrirait à peine sa chatte. Mais elle était parfaite pour moi. Je pris des chaussures plates et je réalisai qu'une partie de moi-même se préparait comme une petite femme qui allait se faire baiser par une grosse bite. Je sentis un picotement familier entre mes jambes.

Je me mis à ranger la maison, laver quelques plats, nettoyer les comptoirs, faire le tri dans les vêtements à laver, et nettoyer la salle de bain. Quand je redescendis à la cuisine pour remplir ma tasse, je trouvai deux hommes noirs assis à la table, se servant du café. L'un était Sam et l'autre dit s'appeler James. Sam fit glisser sa chaise et déboutonna sa braguette.

Je restai immobile une minute, surprise par son sans-gêne, surtout devant un étranger que je ne connaissais pas.

- Es-tu sourde salope? Dit Sam avec une voix qui me fit froid dans le dos.

- Met toi à genoux et suce ma bite!

J'allai protestai, je voulus vraiment. J'allai dire que je ne pouvais pas faire ça, que j'étais mariée et que j'avais des enfants et que nous devions oublier la journée d'hier.

Au lieu de ça, je me vis traverser la salle un peu hébétée et je me mis à genoux.

- Enlève ta chemise et soulève ta jupe. James veut voir tes seins et ton cul.

Je me relevai et enlevai la chemise. Sam tripota mes seins et me tourna vers James pour qu'il puisse bien voir. Celui-ci tendit la main, serra mes seins et pinça mes tétons. Je relevai ma jupe, exposant ainsi mon cul à Jack et ma chatte à James.

Sam me retourna à nouveau et appuya sur mes épaules pour me faire agenouiller. Il se mit à rire et dit :

- Cette salope blanche sait comment sucer une bite. Elle ne sait pas encore vraiment où est sa place mais je vais lui apprendre.

Je léchai se couilles et suçai sa queue comme une bonne petite salope. Une partie de moi pensa qu'il fallait que je termine le travail. En faisant éjaculer Sam, il partirait et je pourrais reprendre une vie normale.

Mais j'avais oublié James. Un mouvement sur le côté me fit regarder vers l'endroit où il se trouvait avec une caméra vidéo. J'arrêtai de sucer et je commençai à protester quand Sam poussa ma tête et ma bouche sur sa bite. Il me menaça :

- Continue de sucer. J'ai des photos sur mon téléphone qui te montre en train de me sucer et de me baiser. Et je crois que James a une bonne vidéo de toi me suçant ma bite ces cinq dernières minutes.

Il se mit à rire à nouveau. Puis il tira sur mes pieds et me retourna. Il me poussa et me tira en même temps, pour me pencher en avant et aligner ma chatte avec sa bite. Puis il m'empala sur sa queue. Il mit sa bite toute entière en moi d'un seul coup. Je fus complétement remplie par une grosse bite noire pour la deuxième fois en deux jours. Je m'assis sur son membre et je ne bougeai plus afin que mon sexe s'habitue à l'invasion. Puis je vis James.

Je n'avais pas réalisé à quel point il était énorme : Plus grand que Sam et bien 25 kilos de plus. Je fus encore plus choquée quand il baissa son pantalon. Je fis face à la plus grande bite que je n'ai jamais vue. Elle était à moitié raide et mesurait environ 22 centimètres de long. Elle était épaisse, bien plus que celle de Jack ou de Sam. J'eus peur car il allait surement essayer de mettre cette énorme chose dans mon corps.

Je tendis la main et essayer de l'envelopper autour de ce gourdin. Il était trop épais pour que ma main fasse le tour et il grossissait encore. Dans ma peur, je commençai à être excitée, je voulais voir comment aller devenir cette chose. Je savais ce que voulait l'homme. Alors je léchai le gland et essayai de mettre mes lèvres autour. Je pus finalement mettre son gland dans ma bouche. Il bascula vers l'avant pour essayer de me baiser le visage.

Ma bouche me fit mal d'être aussi distendue pour sucer James. Je portai mon attention sur ses couilles. Elles étaient du même acabit. Des couilles énormes, plus grosses que des balles de golf pendaient. Je n'aurais pas pu mettre les deux à la fois dans ma bouche.

Tandis que je le suçais, le léchais, caressais ses couilles, Sam continua à marteler sa bite dans ma chatte. Tout d'un coup il me souleva et me retourna. Il avait mes cheveux dans une main et sa queue dans l'autre. J'étais de nouveau à genoux entre ses jambes. Il tira mes cheveux pour forcer ma tête en arrière et il gicla une première fois sur mon visage.

Je sentis le sperme atterrir de mon front à mon menton. J'ouvris la bouche pour le jet suivant. Ma figure était sous son contrôle. Il leva sa queue pour que le sperme frappe mes yeux et mon front. Finalement il plaça son gland sur ma langue et tint mon visage en place en agrippant mes cheveux. James prit des photos de moi le visage recouvert de sperme, la bouche ouverte, une bite noire sur ma langue, regardant droit l'objectif de la caméra. Comment pourrais-je clamer mon innocence?

James s'assit et Sam me libéra et me tourna vers cette énorme bite dressée. J'allai à genoux vers elle dans l'intention de la sucer jusqu'à ce que James éjacule. Mais au bout de quelques minutes je compris que ce n'était pas ce qu'il voulait. Il me tira vers le haut pour me relever puis il me tira vers l'avant pour que j'enjambe ses cuisses, ouvrant ainsi mes jambes bien larges. Je fus sur la pointe des pieds et je n'étais pas encore assez haut pour être sur la tête de sa bite.

Alors il me souleva et plaça son gland à l'entrée de ma chatte. Je commençai à protester qu'il était trop gros quand je sentis un « pop ». Il me tenait par les hanches et la pression a finalement fait entrer le bout de sa queue entre mes petites lèvres. Il n'y eut que le bout en moi mais je me sentis plus étirée et plus remplie que jamais. Il bougea mes hanches de haut en bas, et après quelques minutes, il put déplacer la tête de sa bite dans et hors de ma chatte.

A chaque course, il mit sa bite un peu plus en moi? mais il n'y avait que 8 centimètres quand il commença à éjaculer en moi. Ce liquide épais fit qu'un centimètre encore entra avant qu'il me libère. J'étais empalé sur sa queue, mes pieds ne touchant pas le sol, les mains sur sa poitrine. Mon poids me fit encore m'enfoncer d'un centimètre et nous gémîmes tout deux.

Il frotta mon clitoris. Et alors que je commençai à jouir, il me dit qu'il allait me baiser tous les jours jusqu'à ce que sa bite tienne toute entière à l'intérieur de moi. Il ajouta qu'il allait aussi travailler sur mon cul pour pouvoir me sodomiser. Ces commentaire, couplés avec ses doigts sur mon clito et la séance de sexe m'amenèrent à l'orgasme. Je criai et j'écrasai mes seins sur sa poitrine et mit mes bras autour de lui.

J'embrassai son cou alors que mon corps tremblait. Même si sa bite ramollissait, j'étais encore empalée. Mes pieds touchèrent le sol lorsque la dernière vague de mon orgasme passa. Je me tins à Sam un long moment, essayant de reprendre mon souffle et voulant que mon cœur ralentisse.

Enfin sa queue glissa hors de ma chatte, du sperme coulant de mes lèvres évasés. Je me mis à genoux pour nettoyer sa queue et ses couilles avec ma langue. Après que j'eus fini, les deux hommes s'habillèrent. Ils m'embrassèrent, claquèrent mon cul et jouèrent avec mes seins avant de partir.

Je m'assis seule, hébétée et je me sentis à nouveau comme un simple jouet sexuel. Ils m'avaient utilisée et je réalisai deux choses.

En premier, j'avais aimé. Pas parce que ces hommes étaient noirs. J'ai aimé car quelque chose en moi brulait d'être traitée ainsi, utilisée pour le simple plaisir et rien de plus. Ça me rappela l'époque où le sexe n'était que du sexe. Il n'y avait pas d'amour, pas d'engagement. J'étais juste un réceptacle où ils pouvaient se vider. Cette pensée me fit frissonner. A ce moment je n'avais plus ni mari ni famille. Pourtant je m'inquiétai de mon mari et de mes filles.

En second, j'en ai appris beaucoup sur moi en restant assise là à penser à ce que le sexe me faisait. Ils m'avaient baisée pendant une demi-heure. Je restai assis près de 45 minutes, du sperme fuyant de ma chatte, plongée dans mes pensées. Mon café était froid. Je montai les escaliers pour aller prendre une douche.

Une heure plus tard je fus sur la route, pensant à ma situation. J'étais ravie, excitée et bien plus d'être un jouet sexuel. Sur cette pensée je décidai de faire une pause et je me garai.

Par habitude, je m'étais habillée complétement. Je me demandai si Sam serait chez moi quand je reviendrai, et plus important encore, ce qu'il me dirait ou ferait lorsqu'il verrait que je porte un soutien-gorge et une culotte. La pensée d'avoir une punition physique me fit mouillée.

La pensée d'autres punitions étaient effrayantes mais m'excitaient aussi. Et puis il y avait des photos et vidéos qui montraient clairement mon visage qui suçait volontairement une bite, mon visage recouvert de sperme et probablement un film qui me montrait en train d'être baisée par Sam ou James.

Qu'est-ce que Jack, les gens avec lesquels je travaille, les enseignants à l'école de Janvier, les voisins ou même mes parents penseraient? Est-ce que ces photos ou films seront publiés sur internet pour être vus par tout le monde? Est-ce que cette affaire affecterait mon mariage et ma famille? Et plus important encore, pourquoi ne pourrais-je pas dire non à tout cela et arrêter?

Je pus répondre facilement à cette dernière question car la réponse était simple. Je ne voulais pas arrêter. Je voulais du sexe sans amour, je voulais être utilisée comme un simple jouet sexuel. Et je sentais que je ne voulais pas seulement mais que j'en avais besoin.

Je me baissai et tirai vers le haut ma robe d'été. Je mis mes pouces dans ma culotte et je la retirai. Je décrochai mon soutien-gorge et je le sortis par les manches de la robe.

Etre nue sous une légère robe d'été me fit frissonner. Je me rendais bien compte que sous tous les angles du soleil, il sera facile pour les gens d'apercevoir mon corps. Ma petite toison taillée en v et mes mamelons étaient visibles. Je redémarrai la voiture et, une main sur le volant, l'autre sous ma robe, je conduisis jusqu'à mon prochain arrêt.

Ma chatte était humide. Je fis courir mes doigts sur mes petites lèvres et ma peau lisse. Je mis un doigt puis un deuxième dans la moiteur de mon sexe. Je les retirai et les léchai pour les nettoyer. En même temps je me demandai si Sam faisait des cunnilingus. Cette pensée m'excita encore. Je caressai mon clitoris puis je repartis pour faire mes courses.

Je me retrouvai aguicher quelques personnes qui apprécièrent. Quand je vis des gens vérifier ma nudité sous le tissu mince de ma robe, je commençai à me pencher. De l'arrière j'étais sûr que mon cul et ma chatte étaient exposés. Et de l'avant, on pouvait voir mes seins se balancer. Je m'accroupis même devant un magasinier, ouvrant grand les jambes pour lui donner une belle vue sur mes cuisses.

A suivre...

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

elle a vraiment beaucoup de chance, je mouille en lisant ces récits!

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Engrenage

L’héroïne est prise dans son propre engrenage de recherche de ses plaisirs de jeunesse.

ça va forcément aller très loin ...

Rudy

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